J'appartiens à Snake désormais Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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Je vis Mamma hocher la tête et ils se dirigèrent tous vers le fond du hall d'entrée vers une pièce légèrement plus grande que celle ou j'avais offi-cié toute la nuit.

Cette salle ne comportait pas de lit à sa place on trouvait un banc cou-vert de feutre d'environ deux mètres de long, à hauteur de bite.

Ils m'allongèrent sur le dos, l'autre fille placée sur moi en 69.

Nous nous mîmes toutes eux au travail.

Mon pauvre minou avait déjà supporté une longue nuit de service aussi sa langue me faisait drôlement de bien.

Je suppose que les prostituées ne sont pas sensées avoir d'orgasmes lorsqu'elles travaillent, mais j'en avais eu de nombreux au cours de la nuit...... Et je n'étais pas loin de succomber une fois encore. Cette fille était une excellente brouteuse de chatte.

Nos clients se tenaient à nos cotés nous observant attentivement, par-fois l'un d'eux nous caressait, caressait ses fesses ou passait la main entre nos deux corps pour nous pincer les nichons.

Nous nous sommes bouffé la chatte pendant un long moment, puis j'en-tendis nos consommateurs se déshabiller et je vis une longue bite se planter dans la chatoune de la fille qui me surplombait.

Au même instant une autre plongea dans ma cramouille, j'entrepris e lé-cher la bite et les couilles qui frottaient sur mon visage, il se passa plusieurs minutes avant que je réalise que ce salaud ne portait pas de capote.

J'en étais arrivé à un point où je m'en foutais totalement.

Bien trop de motards m'avaient sautée la bite nue pour que je m'en sou-cie maintenant.

Je sentais une grosse bite coulisser dans ma chatoune mais je faisais surtout attention à la longue mentule qui labourait mon "amie".

Je voyais bien qu'il tout près de jouir, il se retira alors de la chatte de l'au-tre pute et engouffra sa bite dans ma bouche, jusqu'à la luette. S'ils pen-saient que cela puisse m'affecter, ils en furent pour leurs frais.

J'avais avalé bien plus de sperme lors de ces dernières semaines que la plupart des femmes dans toute leur vie.

J'avalais sa semence légèrement acide et lui nettoyais la bite, il s'exclama :

- Bordel quelle bonne suceuse! .....

J'en étais fière, ils ne tardèrent pas à m'encercler pour se vider tout à tour dans ma bouche accueillante. Je suçais ainsi les 6 hommes.

Ils me laissèrent finalement, je me nettoyais et revins dans le hall.

Cela faisait maintenant une bonne douzaine d'heures que je me prosti-tuais et je n'avais pas encore échangé un seul mot avec mes compa-gnes, à l'exception de Mamma.

Même pas avec celle qui m'avait brouté le minou.

Je ne saurai pas dire si c'était parce qu'elles ne m'aimaient pas ou si elle n'appréciait pas mon irruption dans leur petit commerce.

Lorsque les 6 hommes partirent, la fille que j'avais mignotée en fit autant, je demeurais seule avec Mamma, nous somnolions sur nos chaises.

Je pensais que ne tarderions plus à nous coucher lorsque la sonnette retentit de nouveau.

Mamma ouvrit à 3 nouveaux jeunes clients, ils furent désappointés de voir que j'étais la seule fille disponible.

Ils n'étaient pas vraiment désappointés en fait ils n'avaient aucune envie de se partager une pute.

Mais comme ils n'avaient pas le choix ils décidèrent de me prendre à trois, chacun voulant utiliser un trou différent.

Je les emmenais dans ma petite chambre et commençais par tailler une pipe à l'un d'eux.

Je compris bien vite que ce gars réclamait une gorge profonde. Et comme d'habitude cela ne dura pas bien longtemps.

J'étais si fatiguée que j'avais oublié de lui enfiler une capote, je fus toute surprise de sentir un flot de sperme m'emplir la bouche.

J'avalais sa semence, lui souris et m'exclamais :

- Oups! .....

Il me sourit en retour et me dit :

- C'était la meilleure fellation que j'ai eu de ma vie! ..... Ma fille si tu n'étais pas une pute je t'épouserai sur-le-champ! ....

Je me rappelais de la capote pour les suivants bien qu'ils n'aiment pas cela.

Mais c'était de bon gars et ils ne voulaient pas me froisser.

J'étais si fatiguée que je ne réalisais même pas combien de fois je m'étais fait baiser depuis que Snake m'avait amené dans ce bordel.

Mais je ne me sentais pas encore assez endolorie pour ne plus pouvoir continuer.

Lorsque je redescendis avec mes trois clients satisfaits, je vis Mamma se préparer à partir.

Son rôle était terminé, il y avait maintenant trois autres filles attendant le client, Mamma les avait apparemment informées que j'étais ici à la re-quête de Snake, elles semblaient se contenter de cette mise au point.

Je suppose que je devais paraître assez fatigué.

Excepté un court somme peu auparavant, je n'avais pas dormi depuis presque vingt-quatre heures maintenant.

La plupart du temps je travaillais avec les autres filles se tenant dans le hall d'entrée.

Cependant, ce qui me distinguait des autres, c'est que j'étais intégrale-ment nue.

On ne me choisissait plus que lorsque les autres filles étaient déjà oc-cupées, ce qui me convenait parfaitement.

Il en fut de même pendant la matinée, je ne dus satisfaire que quelques clients, mais, aux environs de midi, les affaires reprirent.

A ce moment les clients ne se préoccupaient que de trouver des filles désœuvrées, cela ne changeait pas grand chose.

Je descendais le couloir, un homme me choisissait, je retournais en sa compagnie dans ma chambrette, et y faisais tout ce qu'il voulait ; 5 % de mes prestations étaient anales, 20 % orales, et les 75 % restant ordinai-res bien que souvent violentes.

Je notais ma 24ème heure d'abattage, puis ma 36ème heure, mon corps était totalement engourdi, les clients commençaient à se plaindre que je m'endormais alors qu'ils me baisaient.

Aussi le gros rouquin qui remplaçait Mamma me prit à part pour avoir une petite conversation avec moi avant de tester mes charmes...

Il me prévint qu'il savait pour quelle raison je me trouvais là, et qu'il était désolé pour moi, mais qu'il ne pouvait laisser des clients se plaindre du comportement des putes dont ils louaient les services!

Aussi ferai-je mieux de me secouer si je ne voulais pas que Snake soit mis au courant.

Cette semonce me fit autant d'effet qu'une douche froide, il sortit alors sa grosse bite de son caleçon et je lui taillais une pipe avec un dynamisme certain.

Puis nous avons regagné le hall et je fis de mon mieux pour me montrer avenante et dynamique avec mes clients.

Snake revint vers 17 heures, cela faisait pratiquement cinquante heures que je subissais client après client.

J'étais à mi-chemin de sa camionnette lorsque Mamma ouvrit la porte et me hurla de venir reprendre ma combinaison.

Je courus vers elle et debout dans le porche d'entrée j'enfilais ma courte combinaison, puis je retournais au van.

Snake démarra et on partit.

- As-tu compris la leçon chienne? Me demanda-t-il sévèrement.

- Oui monsieur... Soufflais-je affolée.

- Qu'as-tu appris salope?

- Maître, j'ai appris que je ne devais jamais vous appeler par votre nom, et que je ne devais jamais rien vous refuser...

- T'es vraiment une conne, petite chienne, je me demande si tu as vraiment retenu quelque chose... Tu as probablement pris du bon temps! Tu te l'es coulée douce en fait!

- La prochaine fois que tu serviras, ce sera dans un club sado-maso à une heure et demi d'ici! Je te garantis que tu n'y prendras aucun plaisir cette fois!

- Je n'étais pas sure de comprendre ce dont il me menaçait, mais je savais déjà que je détesterais cela.

Snake gara sa voiture dans l'allée du garage, je pénétrais dans la mai-son, me débarrassais de ma combinaison et entamait son ménage.

Tandis que je nettoyais la chambre, je remarquais que l e pot d'onguent se trouvait toujours là, je m'en servis pour en enduire copieusement mon trou du cul et ma fentine.

Instantanément je me sentis mieux, j'essuyais l'extérieur de mes orifices, je ne pensais pas que Snake aimerait celà, il était persuadé que je n'avais pas encore assez souffert!

Je ne voulais donc pas qu'il se rende compte que je m'étais servi de cet onguent miracle.

Il se faisait tard et Snake décida qu'il ne voulait pas que je tourne autour de lui alors qu'il travaillait, il me renvoya donc chez moi, j'étais folle de joie.

Je rassemblais mes effets, enfilais ma combinaison et m'empressais de rentrer à la maison.

Je me ruais à l'intérieur et je vis quelqu'un bouger et crier, je me suis évanouie à cette vue.

Je repris conscience dans les bras de mon mari qui me tenait la tête et frottait une serviette humide sur mon visage.

Je devins carrément hystérique en constatant que c'était lui, ma vie était finie!

Cela me prit bien dix bonnes minutes pour me calmer assez pour enten-dre ce qu'il me disait.

J'étais épuisée, j'avais du dormir en tout et pour tout une quarantaine de minutes ces dernières 60 heures!

Un espèce de brouillard envahit alors votre esprit quand vous êtres par trop éreintée.

Finalement j'acceptais le fait que ma vie et mon mariage étaient ruinés, et je commençais à expliquer les faits à Jay.

Je lui racontais tout, je lui montrais même les mails et les photos, je m'at-tendais à ce qu'il hurle ou me frappe ou quelque chose de ce genre!

J'épiais son visage guettant l'expression dégoûtée qu'il afficherait tôt ou tard.

Mais il se contenta de m'écouter sans commentaires superflus.

Il ne me posa que quelques questions puis il m'aida à me relever et m'emmena dans la douche, il enleva sa robe de bain et se doucha avec moi, me lavant gentiment le corps.

Puis il m'aida à gagner notre lit et s'assit sur le rebord prit ma tête et m'embrassa tendrement pour me souhaiter une bonne nuit.

Je ne comprenais pas, à ma connaissance pas un homme ne resterait avec une foutue salope qui l'aurait trompé!

Pourquoi ne manifestait-il pas sa fureur?

Il m'avait seulement dit :

- Prends un peu de repos, ça ira mieux à ton réveil!

Je pleurais amèrement dans mon lit.

Il se pencha alors sur moi et essuya mes larmes m'embrasant jusqu'à ce que je m'endorme.

Je dormis quasiment 24 heures d'affilée, lorsque je m'éveillais, Jay était étendu à mon coté, je m'assis et il ouvrit les yeux, je ne vis que de l'amour et de la pitié dans son regard.

Je lui dis que j'allais partir, qu'il devait me foutre dehors, qu'il était bien trop parfait pour une salope de mon acabit.

Il se contenta de sourire et me dit de me calmer.

Je sortis du lit, j'étais gênée qu'il me voie nue, après tous ces gens qui m'avaient vu nue dernièrement, j'étais paradoxalement extrêmement gê-née d'exhiber ma nudité sous ses yeux.

Je pensais que je ne le méritais plus, j'étais souillée à jamais.

J'enfilais prestement une robe puis nous avons gagné la cuisine.

J'e préparais un souper léger puis nous nous sommes assis tranquille-ment. Je ne savais que dire à quel point j'étais désolée.

Il continuait à me répondre que c'était bon, bien qu'en fait ça ne l'était pas. Cela ne pourrait plus jamais être bon.

On alluma ensuite la télé pour suivre les informations, je regardais sans y faire attention jusqu'au moment ou je vis apparaître des photos de Snake, évidemment elles retinrent mon attention.

Il semblait que plus tôt dans la journée un voisin avait découvert le corps sans vie d'Albert "Snake" Dutton, il avait été tué de deux coups de revol-ver de petit calibre, probablement un 22.

Lors de leur enquête, les inspecteurs avaient trouvé une pièce verrouil-lée à double tour, refermant des preuves évidentes qu'il faisait chanter des utilisateurs du prestataire internet pour lequel il travaillait la nuit ce qui lui permettait d'avoir accès aux mails et aux discussions de nom-breux consommateurs.

Jay possédait un 22, c'était un cadeau de son grand-père, il tirait à la ci-ble avec lorsqu'il était gamin.

Mais il n'avait pas servi depuis de longues années, je lui jetais un oeil soupçonneux, il se contenta de me sourire en retour.

- Te sens-tu mieux maintenant? Me demanda-t-il inquiet.

Je hochais affirmativement la tête.

- Veux-tu me faire plaisir?

- Oh mon Dieu Jay, tout ce qu tu voudras! Je mourrais pour toi!

Il m'adressa un petit sourire furtif et ajouta :

- Ce n'est pas plus mal!

Puis il éteignit la télé, me prit la main et m'emmena dans notre chambre.

- Il semble impossible qu'il veuille encore me faire l'amour après tout ce que je lui ai avoué... Pensais-je tristement.

- Je voudrai te voir dans ces tenues qu'il te faisait porter!

Je pensais tout d'abord qu'il voulait satisfaire sa curiosité et m'humilier avant de me foutre dehors!

Mais j'avais tort.

Jay vit ma confusion, il poursuivit :

- Ma chérie, j'ai essayé d'être l'époux parfait depuis que nous nous sommes marié... Non, depuis que nous nous sommes ren-contrés... Je t'ai aimée dès la première fois que je t'ai vue, j' ai tout de suite voulu être ton prince charmant... Mais je pense que je n'avais encore jamais réalisé à quel point j'étais stupide...

Lorsque tu m'as raconté toutes ces horribles choses que tu as subies, j'ai senti croître mon excitation au fur et à mesure de tes révélations..... Lorsque tu m'as montré ces photos de toi dans tes mails j'ai quasiment joui dans mon pantalon! Et lorsque tu as dormi j'ai réfléchi à toutes ces choses que Snake savait de toi... J'ai regardé les vidéos... Je les ai tou-tes regardées, y compris les DVD que j'ai dérobé dans sa maison... Et j'ai alors réalisé que nous avions raté un tas de chose dans notre vie... Et surtout toutes ces choses qu'on aurait pu faire ensemble.....

- Si je veux te voir dans ces tenues c'est que je veux voir moi aussi ce les autres ont vu... Je veux ressentir les mêmes émois que ces hommes quand tu refermais ta bouche sur leurs biotes... Et je veux que tu hurles de plaisir sous les caresses de ma langue comme lorsque Snake te butinait la chatoune!

- Nous avons vécu une vie frileuse sans en tirer grand plaisir... J'en suis venu à comprendre tout ce que nous avons raté en suivant ce lamentable chemin... Je ne suis pas encore sur que ça valait vrai-ment le coup...

Je ne savais pas si j'avais raison, mais j'enfilais un de mes pagnes et le haut le plus révélateur que je trouvais, puis je paradais sous les yeux de Jay, je regardais son visage et comprit qu'il ne se foutait pas de moi.

Il aimait le spectacle que je lui offrais.

Lorsque je me laissais tomber à genoux pour descendre son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et que je me mis à lu tailler une pipe, il commença à se cabrer furieusement dans ma bouche, je compris qu'il m'aimait toujours autant, sinon plus.

J'étais si heureuse que j'en pleurais, je le suçais et pleurais à chaudes larmes, et lorsqu'un orgasme fracassant le submergea, il jouit pour la première fois dans ma dans ma bouche alors que je succombais à mon tour.

Puis il s'occupa de moi, il était évident qu'il avait observé attentivement les vidéos, il dégustait pour la première fois ma chagatte, mais il le fit avec style et amour, c'était vraiment fantastique!

Je n'entendis plus jamais parler de l'enquête, apparemment pas un seul des amis de Snake n'avait mentionné mon nom.

Demain je dois conduire Jay en ville, il veut renouer avec un de ses vieux copains, je savais juste qu'il possédait un bar à putes, Jay voulut s'arrêter chez Larry sur le chemin du retour pour voir s'il disposait de nouvelles tenues que j'aimerai endosser, je portais mon collier de chienne.

9 février 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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2 Commentaires
trouchardtrouchardil y a environ 4 ans
pour Cocuforever

A mon avis rien, ne t'empêche d'écrire une suite sans en demander la permission. De toute façon je pense que Coulybaca va être difficile à contacter. J'ai essayé de nombreuse fois mais je n'ai jamais reçu de réponses.

CocuforeverCocuforeveril y a environ 4 ans

J'aimerais écrire une suite tout à fait libre à ce magnifique récit. Faut-il demander une autorisation à quelqu'un?

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