J'appartiens à Snake désormais Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres.

Je commençais les ménage, ignorant les mains fouineuses qui explo-raient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.

Je faisais de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquais cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme.

Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regar-dant.

La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençais à la ran-ger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :

- J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouille-ras pour lui offrir un bon pourboire..... Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre! .... Des questions salope? .....

- Non-maître...

Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon......

Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maison! ....

Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je po-sais sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandais s'il voulait que je lui taille une pipe comme pourboire

Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux.

Finalement je posais mon bras autour de son cou et l'embrassais en lui susurrant que je le suppliais de me laisser faire.

Il hocha la tête et reconnaissante je me laissais tomber à genoux et baissais son short et son caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement.

Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake.

J'embrassais et léchais pendant un bon moment son appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant son gland mafflu dans mon arrière-gorge.

Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance.

Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensais qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grognait sourdement et 3 ou 4 minu-tes plus tard il m'injectait des flots de foutre dans l'arrière-gorge.

Je nettoyais obligeamment sa bite avant de remonter son caleçon et son short, alors que je rebouclais sa ceinture, il me remercia :

- Mon Dieu, grand merci madame Anderson, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu! .....

Je levais les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions! ...

Je ne pouvais m'empêcher à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.

Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée.

Certain qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'at-tendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs co-pains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.

Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après mi-nuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur bou-lot.

Enfin il ne resta plus que Snake et moi.

Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maison au lendemain matin.

Je me lavais minutieusement et le rejoignais dans son lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus.

Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'en-dormit.

J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormais comme un bébé! .....

Je me réveillais vers midi, Snake ronflait encore aussi me levais-je pré-cautionneusement pour gagner la salle de bain.

Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement.

Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyais la salle de bain. Elle était dégueulasse.

Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillais pour le décrasser rapidement.

Puis, je passais à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table.

Je me demandais si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle.

Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.

J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.

Tandis qu'il prenait sa douche je préparais du café. Puis je sortais dans l'arrière cour et commençais à la ranger.

Lorsque je retournais dans la maison, Snake venait de s'asseoir pour déguster son café, je lui demandais s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des oeufs.

J'approuvais et me dirigeais vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et u tube de mayonnaise.

- Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide! .....

Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture.

Comme toujours j'approuvais, j'enfilais ma courte jupe et mon haut pro-vocant et je traversais vivement la rue.

Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandais ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie. , il me rétorqua :

- Bien sûr, sans problème, entre donc! ....

Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'i y avait un petit pro-blème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressais de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournais précipitamment chez Snake.

- Par le diable, pourquoi as-tu été si longue? .....

- Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer! ....

Snake éclata de rire et s'esclaffa :

- Quel vieux salaud! ....

Je lui préparais un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café.

Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaison de ma garde robe de pute.

J'allais me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.

Snake m'ordonna de le suivre, nous avons sortis et sommes montés dans sa camionnette.

Il m'emmena dans l'épicerie où je faisais habituellement mes courses, beaucoup de gens me connaissaient.

J'aurai voulu le supplier de nous rendre ailleurs, mais je savais que c'est exprès que nous étions venus ici.

Nous étions passés devant deux magasins avant qu'il choisisse celui-ci.

Le regard apeuré de Bath était gravé dans mon esprit.

- Surtout ne déçois pas Snake! .....

Je savais que je ne devais rien faire qui risque de lui déplaire! ......

Nous sommes entrés et Snake me donna le chariot à pousser.

Nous avons marché au travers des allées pendant quelques minutes pour qu'il puisse vérifier à quel point mes charmes étaient exposés alors que bras fléchis, je poussais mon caddy.

Il marcha à mes cotés et suivit ma raie culière d'un doigt fureteur.

- Sens-tu ma caresse chienne! ..

Je hochais la tête, et il poursuivit :

- J'ai enfoncé le tissu de ta robe dans ton entrefesses pour que tout le monde puisse savourer le détail de tes formes! ....

Je n'y pouvais rien, je dus me résoudre à évoluer ainsi accoutrée.

Alors que nous déambulions, il désignait du doigt les articles que je de-vais prendre.

A chaque fois je devais m'étendre pour les attraper, j'étais consciente d'exposer ma croupe aux yeux de tous, j'étais tout aussi consciente du regard des gens posés sur mes appâts culiers.

J'avais remarqué qu'un des clients nous suivait à courte distance, je connaissais ce gaillard, il se nommait Brett, il m'avait souvent aidée à charger mes achats dans ma voiture, je ne connaissais pas son âge mais il devait tout juste être majeur! ......

Le temps que nous gagnions la section ménager, un autre jeune nous suivait.

Beaucoup de gens avaient pu détailler mes charmes alors que nous déambulions dans le magasin.

Snake faisait bien attention de me faire courber et m'étendre dès que quelqu'un se trouvait en bonne position pour reluquer mes appâts inti-mes.

Mais le pire c'était ces deux jeunes gars qui m'épiaient savourant avec délice mes exhibitions répétées.

Enfin nous avons gagné la caisse, nos courses terminées.

"Coup de chance", Brett se dévouait pour empaqueter mes achats, je ne saurai dire des nos deux visages lequel était le pus rouge.

Il poussa notre caddy hors de l'épicerie et me regarda ranger mes achats dans le coffre de la voiture sous l'œil goguenard de Snake. Chaque fois que je m'étendais pour poser un sac au fond du coffre, ma courte combi-naison remontait, dévoilant ma croupe en entier.

Lorsque j'en eus fini, Snake intervint s'adressant à Brett :

- Je sais que vous ne devez pas accepter de pourboire des clients, mais aimerais-tu que madame te remercie de façon spéciale! .....

Il ouvrit la portière passager de la camionnette et me repoussa sur le siège, jambes posées au sol.

Puis il me tapota les fesses en commentant :

- Elle a vraiment un beau cul! ..... Tu peux te la faire mon gars! ......

Cette fois c'en était trop, je me mis à pleurnicher.

Je jetais un oeil par-dessus mon épaule vers Snake et secouais la tête désespérée en lui murmurant :

- Non, Snake..... Je vous en prie pas ça... Ne m'obligez pas à......

Le visage de Snake afficha alors un rictus terrifiant, je compris que je venais de profondément lui déplaire.

Je réalisais, alors que Brett me pénétrait doucement, que non seulement je l'avais appelé par son surnom, mais que e venais de prononcer les paroles prohibées! ..... On ne devait jamais rien refuser à Snake! .....

Brett éjacula rapidement dans ma chatte accueillante, Snake m'ordonna de nettoyer sa bite.

Lorsque je me relevais Brett remarqua soudain l'inscription sur mon col-lier de chien.

"Salope".

- Joli surnom madame Anderson... Quelle surprise de vous si gen-tille avec moi! .....

Snake prit le chemin du retour sans dire un mot.

Je cherchais à m'excuser, je lui demandais la permission de parler, il se contenta de me jeter un regard torve.

J'avais peur auparavant, mais maintenant j'étais littéralement terrifiée! .....

Dès rentrés, Snake me fit décharger nos achats les posant dans le séjour.

Tandis que je travaillais, il donna plusieurs coups de fil.

Lorsque j'en eus terminé, je sortis du salon et lui demandais à nouveau la permission de m'excuser.

Il m'opposa un sourire aussi cynique que menaçant! ....

Une demi-heure plus tard Mickey se pointa devant la porte, nous atten-dant dans sa camionnette, Snake me traîna derrière lui et me poussa au milieu du siège passager. Personne ne parlait.

Mickey nous emmenait vers la base militaire aux frontières de la ville.

Je pensais que nous allions nous rendre dans la base, mais il bifurqua à droite juste devant la grille d'entrée et s'arrêta devant une vaste vieille maison.

Ils descendirent, Snake me tirait toujours derrière lui. Snake frappa à la porte, une minuscule femme l'ouvrit.

Elle ne devait pas mesurer plus d'1, 55 m, elle devait avoir 35 à 40 ans, c'était difficile à dire.

Lorsqu'elle vit qu'il s'agissait de Snake, son sourire se ferma, mais elle s'effaça nous permettant d'entrer.

Je jetais un long coup d'œil circulaire et je vis s'ouvrir devant moi plu-sieurs couloirs bordés de nombreuses portes.

L'étage était aménagé à l'identique. L'entrée était constituée d'une vaste salle meublée de nombreuses chaises.

Une demi-douzaine de femmes vêtues de baby-dolls où même en sous-vêtements étaient assises en demi-cercle.

Elles nous regardèrent fixement à notre entrée, elles détournèrent rapi-dement le regard à la vue de Snake.

La petite femme s'avança vers moi et m'informa :

- On m'appelle Mamma... Tu peux m'appeler ainsi... Et maintenant accordes moi une minute..... Il faut qu'on ait un petit entretien! .....

On prit un des couloirs qui nous amena dans une petite stalle meublée d'un petit lit pouilleux et d'un lavabo.

Elle me fit asseoir de façon à ce que nos regards soient au même ni-veau, puis elle entama rapidement :

- Ma fille, je ne sais pas ce que tu as fait, mais t'a sûrement salement merdé! ..... Snake est fou de colère! .... Il t'a amenée ici pour qu'on te donne une bonne leçon! ..... Sais-tu où tu te trouves? .....

J'avais bien des soupçons, mais je secouais négativement la tête.

- C'est un bordel! .... Me révéla-t-elle en fait.

- Comme tu le sais de l'autre coté de cette grille se trouve une im-portante base militaire, et aujourd'hui c'est le jour de paye, pendant les deux jours à venir ce sera l'endroit le plus actif de la ville! ..... Snake veut vendre ton cul pendant ces deux jours! .....

- Cela veut dire un tour complet d'horloge à sucer des clients et à te faire baiser! ...... Il m'a suggéré de te ligoter sur un lit pour que tous ceux qui veulent de toi te sautent à leur guise, qu'ils te fassent tout ce qu'ils veulent! ..... Je vais pourtant t'offrir le choix..... Bien que je le prenne sur moi.....

- Si tu le préfères, tu peux te joindre aux autres filles et accueillir avec elles les clients dans le hall d'entrée pour les inviter à prendre du bon temps! ..... Ce sera sûrement moins violent! ...... A toi de choisir! ..... Si tu choisis cette voie plus facile tu pourras, te rafraî-chir et te détendre les jambes entre deux clients! ......

Je sentais déjà l'étreinte d'une sangle qu'on enroulait autour de mon buste alors que "Mamma" m'expliquait la situation.

Le sang me monta à la tête alors que je pensais m'évanouir. Elle com-prit que j'étais en plaine détresse, mais visiblement elle ne voulait pas en tenir compte, cela risquait trop d'influer sur sa propre situation.

Elle me laissa un temps de réflexion, et comme je ne me décidais, elle tendit la main pour attraper des chaînes posées sous le lit.

- Non, attendez..... Je ferai comme vous dites! .... Je vous en prie ne me ligotez pas sur ce lit! .....

- C'est d'accord, lève toi et donne-moi ta petite combinaison! .....

Elle lança mon seul vêtement sur une petite étagère sous le lavabo et m'entraîna hors de la chambrette. Elle me montra la salle de bain, puis nous sommes retournées dans le hall.

Snake et Mickey assis au milieu des filles sirotaient une bière en flirtant avec les prostituées. En me voyant revenir, ils me jetèrent un coup d'œil menaçant puis m'ignorèrent.

Bien qu'il soit encore tôt dans l'après-midi, des jeunes gens se manifes-taient déjà.

Ils arrivaient par deux, parfois seuls, parfois en groupes constitués de plusieurs individus, mais le plus souvent par deux, et très souvent à peine majeurs.

Je n'étais que depuis deux trois minutes dans l'entrée lorsque la porte s'ouvrit sur de jeunes clients. Ils entrèrent et toisèrent les filles, nous nous étions mises en ligne, ils inspectèrent nos charmes, firent leur choix, payèrent Mamma et nous entraînèrent vers nos chambrettes.

J'essayais de me comporter gentiment avec eux, d'être amicale.

Ces jeunes gens ne pouvaient pas savoir que j'étais ici contre ma volon-té.

Le premier qui me sélectionna se déshabilla rapidement et me tendit une capote.

Je m'agenouillais et suçais sa bite pendant une bonne minute pour la raidir suffisamment pour lui enfiler facilement sa capote.

C'était assez difficile pour cette première fois, je n'avais jamais fait cela auparavant, je n'en avais jamais vu en fait.

Mais, une fois le sachet ouvert je compris facilement comment faire. Je m'allongeais à plat dos et le jeune homme m'enfourcha impatiemment.

Il jouit tout de suite, j'étais désolée pour lui, je ne savais pas combien il avait déboursé pour me sauter, mais cela avait été trop vite.

Cela n'avait pas duré plus longtemps que le temps de lui enfiler la capote sur sa bite tendue.

Il grogna et me remercia aimablement :

- Merci madame.....

Je posais mes bras autour de son cou et lui murmurait :

- Ne le dis à personne, mais aimerais-tu recommencer?

Son visage s'éclaira et il m'embrassa gentiment.

Et affichant un charmant sourire il me rétorqua :

- Je suis désolé madame, je sais que les femmes comme vous n'aiment pas être embrassées. Il était si doux et si gentil que je le serrais dans mes bras et l'embrassais passionnément tandis qu'il récidivait.

Lorsqu'il jouit de nouveau, après bien plus de temps que la première fois, je roulais la capote pour la retirer de sa jolie petite bite, je ne pus résis-ter, je me penchais sur son ventre et la nettoyais d'une langue agile.

Une fois qu'il fut rhabillé je lui dis :

- Rappelle-toi pas un mot...

Et je posais mon doigt sur mes lèvres, il hocha affirmativement la tête et nous sortîmes dans le couloir.

Alors que Mamma lui ouvrait la porte, je l'entendis lui dire que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.

J'étais désolée, mais il était si gentil.

Je savais pourtant j'avais trot de m'apitoyer.

Mais c'était juste un si gentil jeune homme.

L'idée me frappa soudain que je n'avais que 22 ans et je pensais à tous ces jeunes hommes comme à des enfants.

Je jetais un coup d'œil anxieux vers Snake et Mickey, ils semblaient un peu désappointés de me voir accepter aussi facilement de travailler dans un bordel.

Je me disais au fond de moi même

- Donnez-moi le temps, ce n'est que mon premier client! ...

Dès ce moment, et pendant toute la nuit jusque 4 heures, je montais et descendais le couloir menant à ma chambre, m'arrêtant parfois pour me rafraîchir un peu dans la salle de bain.

Il y avait des clients qui se montraient gentils, d'autres qui étaient plus chiants, certains beaux d'autres laids, de toutes les races que l'on puisse connaître.

Je dus prendre une fois deux gars en même temps et deux fois je dus me joindre à une autre fille pour satisfaire un client exigeant.

Après chaque client je nouais le haut de la capote et la jetais dans la poubelle.

Elle était à moitié pleine vers 4 heures et demi du matin alors que redes-cendais le couloir avec mon dernier client. Il ne restait plus qu'une autre fille et moi dans le hall d'entrée.

Les autres filles nous avaient quitté une heure plus tôt.

Snake et Mickey étaient partis après mon troisième ou quatrième client.

Personne ne s'était pointé depuis une demi-heure et je m'endormais sur ma chaise quand la sonnette retentit à nouveau.

Mamma alla ouvrit la porte à un groupe de six hommes.

Je suppose qu'il s'agissait d'officiers ou d'auxiliaires civiles de la base militaire.

Ils semblaient faire partie de l'armée, mais ils bien trop vieux pour être des jeunes recrues comme la plupart des jeunes hommes qui m'avaient sautée ce soir.

L'un d'eux discuta calmement avec Mamma tandis que les autres nous parlaient à l'autre prostituée et à moi.

Visiblement ils avaient bu mais ils ne semblaient, ni ivres ni antipathi-ques pour autant.

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