Institut PAVO Ep. 05

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Le cri monstrueux résonna dans toute la salle de supplice. Il était tellement puissant qu'il réveilla toutes les prisonnières du premier sous-sol, et qu'il fut entendu dans pratiquement tout l'Institut jusqu'au hall d'entrée. Mais a cette heure-ci, mis a part les gardiennes de nuit, personne ne travaillait a l'Institut.

Même la gardienne fut abasourdie par ce gigantesque cri de jouissance. Elle retira la chèvre du sexe en feu de Melissa, et l'attacha près d'une des plantes de pieds nues et exposées ; elle attacha également l'autre chèvre avec une corde plus longue, permettant ainsi aux deux chèvres d'atteindre les deux pieds nus exposées avec leurs langues.

Encore sous le coup de sa jouissance extrême, Melissa fut léchée sous les pieds par les deux langues de chèvres. Les sensations étaient juste impossibles a supporter, ses plantes de pieds ayant été rendues extraordinairement chatouilleuses par ses deux orgasmes colossaux successifs. Son cerveau en pleine jouissance disjoncta sous l'effet soudain des abominables chatouilles procurées par ces deux langues chaudes, rapides et souples qui s'adaptaient a l'immense cambrure des plantes de pieds en s'aplatissant afin de couvrir le maximum de surface chatouilleuse, ou bien s'affinant afin de s'insinuer vicieusement entre les orteils frétillants hyper chatouilleux. Les horribles sensations de chatouilles lui remontaient de ses pieds nus directement au cerveau contractant tous les muscles de son corps transpirant dans des spasmes impressionnants, et la forcèrent a pousser des hurlements de rire féminins encore jamais entendus : un rire a la fois hyper aigu et extrêmement puissant vrillant les tympans de la gardienne. Ses grands pieds nus hyper chatouilleux se tordaient dans des contorsions impossibles tentant d'éviter les langues fouineuses; ses longs orteils également très chatouilleux frétillaient dans des agitations improbables essayant en vain d'éviter de se faire sucer et aspirer par les lèvres velues des bouches chaudes des chèvres. Melissa, le regard complètement fou, les yeux exorbités, fixait un de ses pieds nus puis l'autre d'un regard désespéré, tirant plusieurs fois violemment comme une folle sur ses propres chevilles jusqu'au sang, pour essayer de les extraire en vain des anneaux de métal qui les maintenaient attachées laissant ses pieds nus vulnérables au supplice, tout en hurlant de rire comme une folle.

"bBWWWUUUUAHAHAHAHAHAHA!! HAHAHAHAHA!! HAAAAAAA.. .HAAHAAAA... HAHAHAHAHA... BWaAAHAHAHAHA...haha..... .HAHAHAHAHA...ghahahahahaAAHHAHAHAHA.. ghiiiiihihihihiiiii...hihihi..hi..hihi...GhhahahaaAAAAAHAHAHAHAHAHA..HHAHA!"

La crise de rire démoniaque qu'elle n'arrivait pas a contrôler contractait ses abdominaux les rendant visibles, et forçait ses poumons a expulser d'immenses quantités d'air en quelques secondes dans des staccato faisant vibrer ses seins nus ; elle avait du mal a reprendre son souffle. Les abominables chatouilles des pieds lui coupaient sa respiration. Elle n'arrivait même plus a parler. Bientôt, elle se mit a rire de manière silencieuse tout en basculant sa tête vers l'arrière la bouche largement ouverte tentant de reprendre son souffle dans un claquement de fond de gorge si caractéristique des personnes ultra chatouilleuses.

La gardienne tira d'un coup sur les cordes des chèvres afin de les éloigner des plantes de pieds nues, mettant ainsi fin au supplice.

La tête de Melissa, déjà complètement basculée vers l'arrière et vers le sol, resta ainsi sans force. Son corps fatigué, fut parcouru de spasmes apparaissant de manière sporadique ; un très large sourire de femme devenue folle barrait son visage ; de temps en temps elle expulsait une bouffée de rire de manière complètement imprévisible et sans raison. Elle n 'arrivait même plus a parler. Elle avait encore une fois failli être chatouillée a mort.

Même la gardienne fut surprise par l'immense sensibilité aux chatouilles de l'infirmière. Elle n'avait encore jamais entendu quelqu'un rire autant sous le supplice des chatouilles.

« Waouh! » s'écria la gardienne

« Quel supplice n'est-ce pas? » continua-t-elle, s'adressant a une Melissa molle comme une chèvre morte.

Mais la gardienne, perverse et sadique en voulait encore plus.

« On ne va pas s'arrêter la hein? »

Melissa, épuisée, supplia du bout des lèvres entre deux bouffées de rire imprévisibles, la tête toujours a l'envers en arrière vers le sol.

« Arrêtez...arr..hahaha...arrêtez les chatouilles...je vous en supplhihihihi.. »

Mais la gardienne ne voulait pas en rester la. Elle s'accroupit près du délicieux ventre nu de Melissa ; le ventre nu et plat montait et descendait sous l'effet de la respiration de l'infirmière.

« Es-tu aussi chatouilleuse du ventre que des pieds? » demanda-t-elle

« Je parie que oui! » continua-t-elle

Et sur ce elle caressa d'abord le magnifique ventre plat de sa main féminine sans chercher a chatouiller. Elle apprécia ainsi avec gourmandise l'infinie douceur de la peau fine et douce du ventre plat et tendu par la position de Melissa sur le banc a chatouilles.

« mmmmm! Quel ventre délicieux, si souple et si doux que tu as la! » souffla-t-elle

Puis, tout en continuant ses caresses, elle s'amusa a gratouiller de temps en temps la peau fine du ventre nu du bout des ongles, faisant ainsi sursauter Melissa qui poussait des petits rires de surprise :

« ghiii!ghihihihi! »

« Oh! Chatouilleuse sur le ventre nu aussi hein? « dit la gardienne avec un sourire satisfait.

Puis, la gardienne mit ses longs ongles comme des pattes d'une immense araignée et les promena ainsi sur toute la surface du ventre nu et chatouilleux en effectuant différents parcours : tantôt des petites marches depuis les 2 aines jusque sous les seins nus en passant bien par toute la surface chatouilleuse de l'abdomen, ou bien des petites marches sadiques du bout des ongles sur les flancs depuis les creux des hanches jusque sur les cotes des seins ;

La pauvre Melissa a peine remise du supplice de la chèvre, fut littéralement « réveillée » par ces chatouilles du ventre par ces ongles insupportables. Elle tenta de résister en fermant la bouche, mais, elle en était incapable. Et, de nouveau, elle ne put contenir une nouvelle crise de rire qui contracta ses abdominaux sous l'effet de ces ongles longs qui parcouraient la peau fine et douce de son ventre également horriblement chatouilleux.

Puis, la gardienne, folle d'excitation, utilisa la technique des poules qui traversent la route très rapidement afin d'éviter de se faire écraser. Pour cela, ses deux mains parallèles effectuaient un mouvement de gauche a droite du ventre, les ongles chatouillant rapidement l'abdomen d'un cote a l'autre alors qu'elle disait : « Vite! Vite! Les poules! Depechez-vous de passer de l'autre cote! Et attention aux voitures! Guili guili guili! Guili guili guili » Ce qui fit hurler de rire Melissa qui contractait ses abdominaux hyper chatouilleux...

Soudain la porte de la salle des supplices s'ouvrit, surprenant la gardienne en train de chatouiller le ventre nu de Melissa qui hurlait de rire : c'était Madame la Directrice accompagnée de la gardienne de nuit qui l'avait prévenue de venir de toute urgence...

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Institut PAVO Ep. 06 Partie Suivante
Institut PAVO Ep. 04 Partie Précédente
Institut PAVO Info Série

Histoires SIMILAIRES

Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
Le Podologue Piégée par un podologue vicieux.
Châtiment Extrême Séjour forcé au château.
Tyrannie Machiste de VIR Un parti extrémiste réduit les femmes en esclavage
Une Gentille Sissy La féminisation d'Axel par sa tante, Zara et son amie Wendy.
Plus d'histoires