Idriss 01 - La Rencontre

BÊTA PUBLIQUE

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- Je pense qu'il n'y a pas besoin de préliminaires?

- Non, lui dis-je dans un souffle.

J'ai le cœur qui bat la chamade, le souffle court quand il commence à me pénétrer. Il y va doucement mais sans retour en arrière. Sa bite entre comme dans du beurre mais surtout j'ai l'impression que cette pénétration ne finit jamais. C'est le deuxième pénis de toute ma vie qui entre moi et il est beaucoup plus long que l'autre, il atteint des profondeurs que je ne connaissais pas et ça me fait frissonner ! Je regarde cet inconnu au-dessus de moi, il se tient appuyé sur ces deux bras tendus, il me fixe en m'assénant de longs va-et-vient du bassin. J'admire ses pectoraux contractés, je caresse ses flancs fermes pendant qu'il m'empale littéralement. Ces allers-retours qui n'en finissent pas, qui s'accélèrent commencent à me faire haleter. Je suis bouche ouverte, écartelée pour cet étalon qui me pilonne, mes sens m'emportent, je ne sais plus où je suis. Je sens une vague de chaleur s'emparer mon bas-ventre, et j'explose, mon vagin est pris de spasmes, mon dos se cambre pour accueillir cette jouissance et je crie. Le gars au-dessus de moi doit se sentir encouragé parce que je le sens qui accélère le rythme un moment avant de s'enfoncer au plus profond possible en moi puis de se redresser pour me malaxer énergiquement un sein.

Je reprends mon souffle pendant cette pause mais celle-ci ne dure pas. Il se mets à genoux (sans même sortir sa queue de ma chatte), redescend un peu me jambes et m'envoie des coups de bassin à partir de cette position. La pénétration est moins profonde mais les allers-retours sont plus vifs. En plus, ce monsieur à l'excellente idée d'en profiter pour me frotter le clito avec le pouce et je repars au quart de tour. Il faut dire qu'en plus la vue est splendide car dans cette position je peux l'admirer presque entièrement que je vois tout le jeu des muscles qu'il met en œuvre pour me prodiguer ses coups de reins. Il commence à avoir chaud, de la sueur perle sur son torse. Ça me rend folle, les petits coups de bite, son pouce qui roule sur mon clito trempé, l'orgasme me prend de nouveau, j'attrape mes seins, je les presse l'un contre l'autre, ma chatte se serre, j'en soulève mes fesses et j'ai même peur de lui tordre la queue tellement je me cabre haut sans l'éjecter mais c'est incontrôlable. J'en ai des frissons des muscles des cuisses jusqu'aux mollets. Je retombe comme une chiffe sur le lit.

Il se retire, me tire par les bras pour me faire assoir et m'embrasse à pleine bouche en me pelotant un sein. Je suis éreintée, mais clairement j'en veux encore. Je lui rends son baiser, nos langues se mêlent et je lui masse les couilles. Je me rends compte que je ne les lui avais pas encore touchées. Elles sont assez grosses mais surtout bien douces, il doit se les raser. Il finit par s'affaler sur le lit, pénis dressé et me dit : « J'suis crevé, j'ai bien bossé ! C'est ton tour maintenant, viens sur moi »

Je m'installe sur lui en saisissant sa queue et je me l'enfonce moi-même au plus profond de la chatte. Quelle sensation ! Je prends appui sur ses pectoraux avant de commencer mon va-et-vient. J'ai un peu honte de mes seins qui pendent vers lui et que mes mouvements font balloter plus que ce que j'aimerais, mais c'est bon. Il se laisse faire avec plaisir, me regarde et me caresse le dos pendant que je m'échine. Je suis concentrée sur mes mouvements, je sens le plaisir monter lentement, c'est agréable, c'est doux, je vais à la vitesse que je veux et j'en profite. Mes mains sur son torse, je sens ses petits tétons tout durs, je les titille, les pince. Alors il me repousse par les épaule et me demande de me redresser. Je me retrouve droite et empalée devant lui. J'essaye de monter et descendre sur sa queue mais dans cette position c'est pas facile et j'ai du mal à soutenir son regard. Peu importe, il matte mes seins. Puis il les caresse, les presse, les pince, les soulève pour le voir retomber quand il les lâche. Chaque fois que je ralenti un peu le rythme de mon chevauchement, il m'encourage à continuer. Je suis partagée, la sensation est agréable, le voir apprécier mes seins est flatteur mais je suis toujours aussi gênée de m'exposer à sa vue comme ça. D'autant plus que parfois il me pelote carrément le gras du ventre comme si c'était un troisième nichon ! C'est un peu dégradant, mais mon corps semble lui plaire.

Au bout d'un bon moment il finit par empoigner mes deux seins à pleine main et à me tirer vers lui. Je m'affale sur lui, mes seins s'écrasent sur son torse, mes fesses en l'air avec son pieu planté au milieu. Il m'attrape alors le cul à deux mains, l'écarte un maximum tout en le maintenant en place et commence à me pilonner frénétiquement. Et je sens que ça monte de nouveau : la chaleur, le souffle court, ma chatte qui dégouline. Plus je mouille, plus ça glisse, plus c'est rapide, profond et booooon. Il me pétrit le cul avec ses grandes mains en s'enfonçant dans mes entrailles. Il me masse l'anus avec un doigt, il s'y enfonce presque tellement je suis ouverte. Et je jouis, encore ! Mais il ne s'arrête pas, ses mouvements en moi semblent un peu prolonger l'orgasme mais à peine celui-ci commence-t-il à redescendre qu'un autre me reprend immédiatement. Je hurle, ma chatte et mon anus se serrent (je crois bien qu'il a fini par y mettre un ou deux doigts mais je n'en suis même pas sure !) je me cambre et fini par retomber mollement sur lui. Il me soulève la tête en me tirant par les cheveux et me fourre sa langue dans la bouche. Je le laisse faire mais je ne participe pas, je suis épuisée. Je me laisse juste fouiller la bouche ouverte et bavante. Pendant ce temps il continue à s'éclater dans ma chatte béante, gluante et inerte.

Après m'avoir laissé quelques instants de répit, il me demande de le finir à la bouche. Je me retrouve de nouveau à genoux avec sa bite sur ma langue. Je dois avouer que j'éprouve le même plaisir à le sucer que la première fois alors qu'avec toi ça ne m'a jamais excitée. Cette fois je pense à lui caresser les couilles en même temps et même à les lui lécher. Lorsqu'il éjacule, ça se passe comme je l'avais imaginé. Sa queue est prise de plusieurs longs spasmes qui me délivrent tous une bonne quantité de sperme dans la bouche. Je le serre avec mes lèvres, ma langue et mes mains -- couilles comprises. Je n'ai pas très envie d'avaler alors je laisse le sperme glisser de ma bouche, sur mon menton et sur mes seins. Une fois qu'il a terminé, il s'assied sur le bord du lit, la queue commençant à redescendre et me dit : « vas te débarbouiller un peu ».

Je file dans la salle de bain, je me nettoie rapidement la bouche et la poitrine, je me rince la bouche et retourne le voir. Sa bite pend désormais mollement, mais reste encore assez longue. Il me dit « Viens finir de me sucer, il en reste un peu ». Je comprends le message. À genoux, je reprends sa bite dans ma bouche et je l'aspire de bas en haut faisant couler quelques gouttes de sperme dans ma bouche. Cette fois, je ne fais pas la fine gueule pour trois fois rien et j'avale. Je m'occupe alors de bien lui nettoyer le gland avec ma langue et je le lâche en le regardant avec fierté. Il me remercie, se rhabille et prépare ses affaires. Je reste assise sur le lit encore hébétée mais surtout l'inquiétude commence à monter quant à ta réaction. Il me dit au revoir et avant qu'il ne quitte la chambre j'ai la présence d'esprit de lui demander son nom. »

- Tu ne m'en veux pas?

- Écoute chérie, c'est moi qui ai amené cette situation. Comme tu peux le voir ça m'excite pas mal. C'est vrai qu'il y a un peu de jalousie et c'est vrai que je me pose des questions. Je suis ravi que tu te sois éclatée. J'espère qu'à terme ça ne sera pas au détriment de notre couple. Et, tu as raison, cela va aussi dépendre de comment je gère ça dans ma tête. Mais ce qui es certain, c'est que c'est moi le responsable de cette situation et je la souhaitais au moins théoriquement !

- Mais pas dans la pratique finalement?

- Pour l'instant si ...

- Je t'adoooore. C'est incroyable que tu aies fait ça juste pour que j'y prenne plaisir. Et, comme je viens de te le raconter, c'était incroyable. Non seulement je n'avais jamais encore ressenti ça mais ça me donne envie de plus. J'ai envie qu'on fasse l'amour tous les deux tout de suite.

Et Camille se penche vers ma queue qu'elle tenait encore dans sa main et commence à me sucer. Ça me coute terriblement mais je l'arrête.

- T'as vraiment encore envie de sexe? je lui demande

- Oh oui, je ne me reconnais pas mais je suis encore excitée.

- Alors attends-moi cinq minutes, j'ai une idée qui devrait te plaire.

- Mmmm, tout ce que tu veux mon amour.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Excellent. Bien écrit. Bien détaillé. Bravo.

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Joli récit ! Je ne vois pas la suite, dommage !

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