Idriss 01 - La Rencontre

Informations sur Récit
Ludo offre à sa femme un cadeau qui va bouleverser leur vie.
5.4k mots
4.6
15.9k
6
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Camille. Elle a 45 ans. C'est ma femme depuis ... des années ! Nous sommes un vieux couple et je l'aime. C'est sûr que tout n'a pas été rose tout le temps, et ce n'est plus un amour passionné mais c'est vraiment fort. Le point faible de notre relation a été le sexe : elle est très timorée et prude, enfin elle l'était. Ces dernières années elle s'est « encanaillée », un peu. Je sais qu'elle fantasme sur les mecs musclés. Elle aimerait toucher ces torses bien faits. Et, je dois l'avouer, je ne peux pas du tout lui offrir ça moi-même. Alors j'ai prévu une surprise pour aujourd'hui : j'ai fait appel à un stripteaser. Je l'ai trouvé en ligne mais je voulais être certain qu'il proposait bien les prestations que j'attendais alors je l'ai appelé directement et il se laisse caresser le corps, Il fait bien un striptease intégral. Et plus si affinité? Là je n'ai pas eu de réponse mais c'est normal car s'il dit oui c'est de la prostitution. Je l'ai bien senti quand même et c'est un peu ce que j'aimerais. Je me dis que ça décoincerait peut-être ma Camille définitivement.

Pour le reste, j'ai préparé une belle journée à ma femme comme elle en rêvait : séjour en bord de mer (bel hôtel, proche de la plage), une soirée en amoureux sur un bateau, dîner compris. De retour à l'hôtel nous sommes tous les deux sur un petit nuage, je lui propose de prendre un verre au bar. Mais une fois installés, je lui dis que je dois lui faire faux-bond car il me reste une surprise à finaliser.

J'envoies un sms à Idriss (c'est le nom du stripteaser) et on se retrouve dans la chambre d'hôtel. Je lui montre la salle de bain où il peut se préparer et je lui rappelle les consignes :

« Tu fais ton show comme d'habitude, mais au moment où tu es proche d'elle et qu'elle pourrait te caresser elle n'osera pas le faire d'elle-même alors il faut que tu prennes ses mains pour les diriger vers son corps ok?

- Oui c'est bon.

- Mais j'ai une autre question, un peu plus cash mais maintenant on est en face à face : si jamais elle veux aussi te caresser la bite c'est possible?

- Oui c'est dans le contrat.

- Et si jamais elle en veux encore plus?

- ... »

Pas de réponse orale d'Idriss mais il hoche la tête avec un sourire et un clin d'œil.

- Je ne crois pas que ça arrivera, tu peux essayer de l'inciter à te toucher la queue mais ne la force surtout pas. Elle est trop coincée pour ça mais bon, on ne sait jamais ... T'as des questions?

- Non.

- Tu commences dès que j'ai fermé la porte et tu sors dès que tu as fini. Je vais la chercher, cache-toi ! »

Je vais chercher Camille et, une fois dans la chambre, je lui ai fait passer une robe d'été que j'avais préparée, sans sous-vêtement. Je la fait s'asseoir dans le fauteuil au milieu de la chambre et je lui bande les yeux. Elle a le sourire aux lèvres. Je lui murmure : « Tu pourras enlever le bandeau dès que tu entendras la musique. J'espère que ça va te plaire. Profites-en un maximum. Je t'aime »

Je quitte la chambre en claquant la porte et m'assieds dans le couloir.

Et j'attends, j'attends. Putain ! C'est long ! Je tends l'oreille aussi mais je n'entends rien, il est bien insonorisé cet hôtel ! Je me fais tout un tas de film. Au début je suis excité mais j'ai peur d'avoir poussé le bouchon trop loin, que Cam', n'apprécie pas du tout. Ensuite, ça semble tellement long, je me dis que finalement elle doit s'éclater. L'excitation et la jalousie me piquent en même temps. Mais j'ai aussi un peu peur. Je ne le connais pas vraiment Idriss, j'espère qu'il n'abuse pas d'elle. Bref, ça tourne en boucle. Et d'un coup, la porte s'ouvre et Idriss sort de la chambre. Je le regarde, il sourit et m'adresse un clin d'œil. Je lui demande de m'attendre dans le couloir et j'entre.

Camille est sur le lit, échevelée, le maquillage, fait pour cette occasion particulière, barbouillé. Elle est nue. Elle me regarde hébétée, pas fière. Je luis dis :

- Ça va chérie?

- Oui, répond-elle penaude

- Ça t'a plu?

- Oui ... je crois

- J'ai très envie que tu me racontes, tu veux bien? dis-je en allant chercher un peignoir dans la salle de bain.

- Oui si tu veux.

Je m'installe à ses côtés sur le lit et lui passe le peignoir sur les épaules. Elle semble reprendre ses esprits petit à petit mais pas sa gaité. « Ne t'inquiète pas et raconte-moi s'il te plait ». Elle acquiesce, s'éclaircit la voix et se lance dans le récit.

« J'ai fait comme tu m'as dit. Quand j'ai entendu cette musique rythmée, j'étais super curieuse mais j'ai pensé que j'allais te voir déguisé en danseur même si je venais d'entendre la porte claquer. J'enlève le bandeau et là je découvre ce très beau jeune homme en chemise ultra fluide semi-ouverte et un pantalon souple qui bouge sur un air latino que j'aime beaucoup. J'aimerais être prise dans l'ambiance mais ça me fait un peu bizarre quand même : non seulement il y a un type qui danse pour moi mais en plus tu n'es pas là. J'essaye de me détendre, le gars me sourit puis arrache les derniers boutons de sa chemise en dévoilant son torse. Là, je commence à comprendre : ce n'est pas un danseur mais un stripteaseur ! Ça me gêne encore plus, si c'est possible, mais il a un super corps. Les pectoraux sont larges, très bien dessinés mais pas trop épais (il ne fait pas brute du tout) et les abdos, wow ! Les abdos ! La fameuse tablette, et il le sait, il bouge son corps en s'exhibant fièrement. Franchement, il y a de quoi. Je me rends compte que je n'avais jamais vu un tel corps en vrai, je me rends compte aussi que je commence à me prendre au jeu car pendant ces quelques instants j'ai un peu oubliée que j'étais seule !

Le gars se tourne, balance ses hanches, je vois son cul à travers le pantalon. Il a l'air bien rebondi ! Il roule des épaules et fait glisser sa chemise, je découvre son dos musclé mais surtout ses bras ! Ils sont assez imposants, les muscles sont gros, je ne pense pas pouvoir en faire le tour avec mes deux mains ! Il me fait de nouveau face, continue son show mais là je crois que je suis captivée, fini la gêne, c'est tout juste si j'en bave pas ! Il danse, bouge son corps pour faire jouer les muscles, joue avec ses bras afin que je puisse admirer leur puissance.

D'un coup il tire sur son pantalon qui s'enlève d'un coup ! J'en suis si surprise que ça m'arrache un petit cri -- et il faut avouer qu'un instant j'ai cru qu'il allait me montrer sa bite sans prévenir. Mais ce n'est pas le cas, il se retrouve en slip. Ce n'est pas si seyant d'ailleurs, je pense à ce moment-là que c'est un slip qui doit s'enlever aussi d'un coup et que c'est pour ça. Néanmoins ça met quand même en valeur son « paquet » et même si je ne suis pas vraiment attirée, je ne peux m'empêcher d'y jeter des coups d'œil pour voir comme s'est bien rempli. Mais je reviens vite à son corps et, d'ailleurs, il doit s'en apercevoir car il se rapproche de moi et me tend les mains.

Je n'ose pas les lui prendre mais, tout en dansant langoureusement, il me les saisi, me fait lever de la chaise et pose mes mains sur son torse glabre. Je me demande ce que tu vas penser de ça, je suis presque sûre que ça fait partie du cadeau mais quand même ! Vas-tu m'en vouloir d'accepter d'en profiter? Et en même temps, non seulement je suis tentée mais en plus je me dis que c'est toi qui l'a voulu, tu ne pourras pas me le reprocher, enfin j'espère. Il m'encourage à le caresser pendant qu'il me prend par la taille et continue à se trémousser. Wow, c'est chaud, c'est doux, c'est dur ! Je caresse ses pectoraux et je sens parfaitement leur forme sous mes doigts. Je passe une main sur sa taille, je sens ses muscles de côté se contracter et se détendre au rythme de son déhanchement. Il est incroyable !

Il me prend alors dans ses bras, il sent bon. Une odeur à la fois d'homme -- je ne sais pas comment le décrire mieux que ça -- et pourtant sucrée. J'ai la tête nichée dans le creux de son épaule, ses énormes bras m'enlacent pendant que nous dansons plus lentement maintenant. J'ai à la fois l'impression d'être protégée et à sa merci. Et pendant cette espèce de slow collés-serrés, je sens ses petites pressions du bassin pour me faire sentir son pénis qui commence à prendre de l'ampleur. Je sais que ce n'est pas bien, et je n'ai pas envie qu'il en profite en se frottant à moi, mais je suis flattée. Moi je suis, aujourd'hui, une femme de 45 ans et lui doit à peine avoir 25 ans. Il est gaulé comme un dieu et moi je ne suis plus au meilleur. C'est sans doute un professionnel du striptease, et pourtant, le fait que je le caresse et qu'il danse collé à moi le fait - un peu -- bander, je l'excite et ... ça m'excite.

Il décide de me relâcher, se met dos à moi et, en prenant mes mains, m'invite à lui caresser le torse une nouvelle fois. Je me colle à lui, j'écrase mes seins -- trop tombants à mon goût vu que tu m'as demandé de ne pas mettre de sous-vêtement -- sur son dos, le bas de son dos devrais-je dire ! Je glisse mes mains sous ses bras et lui caresse les pectoraux encore une fois, je vais même jusqu'à lui pincer les tétons car j'ai remarqué qu'ils s'étaient durcis. Encore une preuve que je ne lui suis pas indifférente ! Il lève les bras, je saisi ses biceps si volumineux même en extension, je redescends mes mains sur ses côtés, je passe enfin sur ses abdos, j'adooore. J'essaye de les pétrir mais ils sont tellement fermes, mes doigts parcourent toutes les petites bosses qu'ils forment.

Pendant ce temps, il continue à se déhancher sous mes caresses et au rythme de cette musique de plus en plus sexy. Ses mouvements font descendre mes mains subrepticement, je suis sous ses abdos, presqu'au niveau de l'aine. Avec des mouvements de bassin secs, je me rends compte qu'il arrive à heurter le dos mes mains avec sa bite. Il a enlevé le slip ! Il est à poil, dans mes bras. Il joue avec sa queue comme un trompe en la balançant pour attirer mon attention.

Mais au début je suis pétrifiée, ça va sans doute trop loin. Que vas-tu en penser? Aurais-tu vraiment pu penser que ce pro essayerait de profiter de la situation? Ma main droite continue à descendre, sur son pubis, taillé court et je sais que, malgré moi, j'ai envie de lui attraper la bite. Je descends encore et la lui saisis à la base, elle est encore à moitié molle, en tout cas elle pend et elle est souple mais ferme. Ce n'est -- pour l'instant? -- pas une grosse bite. C'est chaud, c'est doux. Ma main la parcoure et je me rends qu'elle n'est pas énorme mais qu'elle est longue, ça n'en finit pas. Arrivé au bout, je redescends et je la lui caresse pendant quelques temps tout en caressant son ventre. Sa bite durcit, se dresse dans mes mains pendant que je le branle doucement. Je suis complètement folle, mais j'adore la sensation.

Il retire délicatement mes mains de son corps, se tourne vers moi et me presse contre lui. Je sens la dureté de sa queue de mon nombril jusqu'à me seins. Ma robe d'été est si légère et lui si collé que je sens les soubresauts du sang qui afflue dans son pénis. Il m'attrape par la nuque, penche un peu ma tête sur le côté et m'embrasse, ou m'effleure des lèvres, dans le cou. Je sens son souffle chaud mais aussi une sensation humide le long de ma cuisse droite. Je me souviens que je n'ai pas de culotte et que j'ai le vagin trempé.

Il se redresse un peu, me tiens par les cheveux à l'arrière de la tête et pose mon visage sur son torse. Je l'embrasse, je le lèche et je sens sa main sur mon crane qui exerce une légère pression vers le bas. Je me penche un peu plus, je lui lèche ses petits tétons érigés. J'ai dû écarté mon corps du sien, sa bite n'est plus collée à moi, je peux même l'apercevoir en baissant les yeux. Je sais très bien ce qu'il veut mais moi je ne veux pas. Je ne veux pas mais j'en ai très envie, trop envie. Et ... »

Camille éclate en sanglot.

- Je suis désolée Ludo, dit-elle, tellement navrée. Je ne voulais pas faire ça, mais j'ai été embarquée dans la folie du moment. Pardonne-moi s'il te plait chéri. Je crois que ton stripteaseur a un peu abusé de la situation et je n'ai pas résisté du tout.

- Ne t'inquiète pas ma puce, lui dis-je en la prenant dans mes bras, c'est un peu ce que j'espérais t'offrir. Non seulement un beau corps à admirer et toucher mais aussi un désir et un plaisir sexuel que je ne t'offre pas dans notre routine.

- Tu, tu t'attendais à ça? Bredouille-t-elle dans un sanglot

- Je l'espérais.

- Tu n'es pas jaloux?

- Si, un peu, mais aussi super excité et content du plaisir qu'a pu te faire ma surprise. Tu veux bien continuer à raconter?

- Oui, si tu veux mais ça ne va pas en s'arrangeant et j'ai carrément honte.

- Bah oublie ta honte. Ton histoire m'excite au plus au point.

- Mais je ne comprends pas, j'ai caressé un autre homme, et je ne parle pas que de son corps mais aussi son sexe et tu t'en fous? Tu ne m'aimes plus?

- Mais pas du tout, ça n'a rien à voir ! Je t'ai offert ça. Si tu t'es laissée aller, c'est que ça te plaisait. Je t'ai donc offert quelque chose qui te plaisait. Comment pourrais-tu en déduire que je ne t'aime plus?

- Ça ne te dérange pas que je prenne du plaisir avec un autre homme?

- Je ne sais pas quoi te répondre Camille, je suis partagé. J'aurais aimé être celui qui t'excite, être celui que tu désires, qui te fait perdre la tête ...

- Mais tu es tout ça ! m'interrompt-elle

- Mais non ! Et tu le sais très bien. Je suis celui que tu aimes, je n'en doute pas. Mais pas celui qui te fait jouir, pas celui que tu as envie de caresser.

- Oh Ludo ! Je suis désolée ...

- Ok, mais c'est un fait et personne n'y peut rien. En revanche je t'aime et si je ne t'apporte pas cette excitation incroyable j'ai quand même très envie que tu la vives.

- Donc l'idée c'est que tu te sacrifies pour moi?

- Non, pas à ce point. Il y a un peu de ça, mais te savoir excitée m'excite aussi, t'entendre parler de sexe m'affole et je ne peux pas non plus m'empêcher d'espérer que non seulement tu seras un peu reconnaissante du cadeau que je t'offre mais également que tu vas prendre goût au sexe et que tu auras envie d'en profiter avec moi aussi.

- Je vois où tu veux en venir, répond-elle avec un petit sourire, mais je ne suis pas certaine qu'une telle expérience isolée puisse me changer du tout au tout.

- T'en redemande déjà ! l'interrompt-je

- Non, ce n'est pas ce que je voulais dire.

- Ne t'inquiète pas, je te taquine.

- Tu m'aimes quand même?

- Plus que jamais, tu me racontes la suite?

- T'es sûr? dit-elle de nouveau mal à l'aise.

- Oh oui ! Et d'ailleurs j'aimerais bien que tu me la racontes en me branlant.

Elle écarquille les yeux, acquiesce, déboutonne puis retire mon pantalon. Elle a un petit « oh ! » de surprise en voyant dans quel état est déjà ma bite : gonflée au max et poisseuse depuis le temps que je marine ! Elle me la saisit, commence à me masturber lentement puis elle reprend :

« Sa main devient plus insistante sur ma tête, je me laisse faire, le cœur battant, je descends lentement en lui léchant le torse, jusqu'à ce que sa queue me heurte sous le menton. Alors, sans plus y réfléchir, n'écoutant que mon désir du moment, je lui attrape la bite et je l'enfourne goulûment. Je dois avouer que je suis un peu surprise car elle me faisait tellement envie que je m'étais bêtement un peu attendue à un goût sucré. Mais c'est plus ... animal? J'en sais rien mais finalement je suis excitée quand même par ce membre chaud et palpitant que je fais aller et venir dans ma bouche. Je crois que je le suce frénétiquement, j'aspire, je lèche, je bave tout en le branlant. Ça fait des bruits de succion, de mouillé. Habituellement j'en aurais été un peu honteuse mais là, c'est comme si je m'empiffrais après avoir été morte de faim. Au bout d'un moment, je me fatigue, je ralentis le rythme.

Le mec -- à ce moment-là je ne sais même pas comment il s'appelle -- me fait enlever la main de son sexe, maintient ma tête immobile et se met à faire des aller-retour de sa bite dans ma bouche, doucement. Il me baise la bouche quoi ! C'est un peu difficile au début car il faut que j'adapte mes mouvements de langue et de lèvres à son rythme mais je finis par choper le truc. En revanche j'ai la trouille qu'il s'enfonce trop et qu'il me fasse gerber. Mais en fait il maîtrise super bien ce qu'il fait avec sa queue. Il accélère, de plus en plus. J'ai les muscles de la bouche en feu, je me bave dessus et je me dis qu'il va bientôt me gicler dans la bouche. En général je n'aime pas trop ça mais là, je ne suis plus moi-même. J'anticipe même déjà de longues giclées de sperme qui m'emplissent la bouche, que je laisse dégouliner sur ma robe.

Mais ça n'arrive pas. Il arrête ses mouvements. Il reste immobile quelques secondes dans ma bouche avant de me mettre une petite tape à l'arrière de la tête. Je crois comprendre qu'il veut que je continue à le sucer et je m'exécute. Une vraie petite pute ! En en plus ça devait être ça puisqu'il se laisse faire. Et c'est dingue comme j'aime ça ! Maintenant sa bite n'a plus de secret pour moi et ma bouche semble parfaitement adaptée, elle coulisse de façon parfaitement fluide sur sa queue, tout est super lubrifié tellement je salive. Je sens tous les détails : le prépuce que je retire quand je m'avance, la découverte du gland d'abord avec l'intérieur de mes lèvres et avec ma langue que j'aplati un maximum pour le lui envelopper le plus possible. J'essaye d'aller le plus loin possible, mais pas trop, puis je ramène ma tête en arrière en ralentissant ma progression en aspirant pour pas que sa queue m'échappe. Puis je recommence, régulièrement en accélérant légèrement.

Au bout d'un moment, il m'arrache à sa bite par les cheveux et me fait me relever. Il approche ses lèvres des miennes et met directement sa langue dans ma bouche. Ce n'est pas un baiser langoureux ou passionné. C'est plus comme une prise de possession. Cela signifie qu'il considère que ma bouche est à lui et qu'il y met ce qu'il veut : sa bite comme sa langue. Et je me laisse faire, c'est bon de se laisser faire surtout quand on désire ce qui arrive. Il me dit « Tu veux que je te baise? » et je le regarde ahurie.

Je ne sais pas quoi répondre. Je n'y avais même pas pensé ! Mille pensées se bousculent d'un coup dans mon esprit : mon désir, ce corps incroyable, le fait qu'il va voir le mien qui l'est beaucoup moins et surtout ... TOI ! Merde, toi ! Je viens déjà de dépasser les bornes. En plus c'est toi qui a payé ce type, je suis certaine que même si je ne te dis pas tout, lui te le racontera sans doute. Et puis même, moi je le saurais ! M'aimerais-tu encore? Mais en fait je te raconte ça comme ça maintenant mais dans le feu de l'action je ne le formulais pas de cette façon, je ressentais qu'il ne fallait pas que je continue mais je suis complètement débordée par mon désir. C'est l'image de l'ange et du démon sur les épaules et le démon arrive sacrément bien à te faire croire que c'est pas si grave.

Et en plus, le gars ne me laisse pas beaucoup le temps de réfléchir. Il a déjà remonté ma robe, passé une main entre mes cuisses. Il rapproche ses doigts de ma chatte mais n'a même pas besoin d'y pénétrer pour savoir que je mouille comme une malade. Il me sourit et dit : « Ne réfléchis pas trop, j'ai ma réponse ». Et il enlève ma robe. Je suis gênée, mon corps flasque près de son corps ferme, mon corps blanc près de son corps bronzé. Il se colle à moi, notre différence de taille, sa longue bite et mes seins qui tombent un peu, font que j'ai son membre en partie entre les nichons. Je pense que ça l'excite, il m'attrape les seins pour s'enserrer la queue dedans et commence à se branler avec. Il me fixe en faisant ça d'un air un peu de défi et ça me redonne du courage, je lui retourne son regard et je le regarde avec un sourire que j'espère coquin et un air de défi pendant qu'il continue de se frotter entre mes seins. Clairement, à ce moment-là, ma « décision » est prise. Il les relâche soudain en les regardant tomber puis m'emmène sur le lit. Je m'allonge, il me relève les jambes, les genoux presque jusqu'aux oreilles, il enfile une capote, place sa bite à l'entrée de ma chatte et se penche au-dessus de moi. Il me dit :

12