Être vachue s'est merveilleux 11

 N'aie pas honte lui souffle Albert. Bientôt ils seront à toi

Les deux femmes s'apprêtent à sucer les membres virils qui s'offrent à leurs yeux. Elles lèchent les glands, et les avalent en faisant glisser leurs mains de bas en haut afin de libérer les prépuces et effectuer une fellation en forme. Ce petit jeu dure quelques minutes, et lorsqu'elles sont satisfaites par la rigidité des membres, elles se relèvent et vont se placer de chaque côté de Stéphanie. Les deux hommes se présentent devant chacune des femmes, s'agenouillent et placent leurs pénis face aux vagins qui s'offrent à eux. Toutes deux relèvent alors leurs jambes pour les placer sur les épaules de leurs partenaires. Ceux-ci les pénètrent profondément et Charles dit alors à Stéphanie :

 Maintenant tu vas nous aider en massant les clitoris de ces deux beautés, et tu suceras leurs mamelons. Cela augmentera leurs plaisirs.

Stéphanie s'exécute en alternant ses manipulations d'une ex-vachue à l'autre, tandis que les deux hommes commencent à pomper soigneusement les vagins-récepteurs, reluisants de mouille fraîche. Carole et Lucienne commencent à haleter au fur et à mesure que les verges durcies les pénètrent. Le mouvement de va-et-vient s'accentue tandis que Stéphanie masse les deux clitoris avec des mouvements circulaires, et aspire alternativement les tétons durcis et surdéveloppés des anciennes vachues. Les deux femmes empalées lancent des cris de jouissance au fur et à mesure que les pénis les pénètrent. Étant donné les caractéristiques des membres des deux étalons, leurs orgasmes arrivent en même temps de façon explosive. Albert, le premier quitte le vagin accueillant de Carole et ordonne à Stéphanie :

 Approche-toi ici et commence à lécher le vagin juteux de Carole. Applique-toi bien pour la faire monter au ciel!

Stéphanie s'approche de la femme qui offre le sexe invitant, en s'agenouillant devant le vagin tout humidifié et rougi par la pénétration et le va-et-vient de la verge d'Albert. Elle abaisse son torse pour présenter sa langue à la fente reluisante. Étant à genoux, elle offre à la vue d'Albert, sa croupe toute ronde. Celui-ci palpe les fesses de la vachue, en évalue la fermeté et laisse glisser sa main en dirigeant son index le long de la fente qui sépare chaque fesse, et en s'arrêtant malicieusement sur l'anus de Stéphanie. La procédure ne déplait pas à la vachue, qui dandine son arrière-train en signe de consentement. La main d'Albert, après avoir évalué la résistance du sphincter, se déplace vers le vagin situé juste après. Il est tout mouillé, à la grande satisfaction d'Albert. Il en profite pour humidifier l'œillet anal de Stéphanie. Puis il enfonce son doigt majeur et badigeonne copieusement le conduit rectal Il remonte ensuite le long de la fente vaginale et se place sur le clitoris qui pointe légèrement protégé par son capuchon. Albert commence un mouvement circulaire autour du bouton pour faciliter son redressement. Le bouton de plaisir sort alors du capuchon. Stéphanie ressent le plaisir monter en elle. Elle lèche le vagin de Carole et aspire avidement son clitoris qu'elle libère de sa couverture en s'aidant de ses doigts. Ce traitement conduit la femme au paroxysme de la jouissance. Carole crie à pleine voix, exprimant ainsi l'arrivée éminente d'un nouvel orgasme. Stéphanie laisse la jouisseuse vivre intensément ce moment de volupté, puis lâche le clitoris afin de laisser souffler l'ex-vachue. Pendant ce temps Albert poursuit son application sur le clitoris de Stéphanie. L'opération évolue jusqu'à ce que Stéphanie ressente un premier orgasme clitoridien.

 Aaaahhh!!! Que c'est bon ce que vous me faites. N'arrêtez pas, continuez, Aaaahhh!!!

 Oui! bien sûr que je continue. Ce n'est que le début, un amuse-gueule! Tu vas déguster, ne t'en fais pas! Répond Albert. Va téter les seins de Lucienne. Mon collègue a besoin de renfort pour faire jouir cette garce!

En effet, Lucienne halète fortement, mais n'arrive pas au paroxysme de son orgasme. Stéphanie se tourne alors vers Lucienne, dont les tétons pointent d'impatience. Elle applique ses lèvres sur le sein gauche de Lucienne et l'aspire avidement. Elle glisse aussi sa main gauche vers le clitoris de la femme empalée par Charles et le masse ardemment. Ce sont les traitements qui manquaient pour pousser Lucienne vers l'extase. Le sein droit se met aussi de la partie en éjectant des petits filets drus de liquide blanc. Stéphanie ressent dans sa bouche une bordée de liquide chaud, sucré : le lait de l'ex-vachue. Médusée, elle remarque aussi du coin de l'œil, les jets de lait expulsés par le sein droit de Lucienne, en filets intenses. Charles se penche de son côté pour laper, lui aussi le nectar jaillissant involontairement de la glande mammaire de Lucienne.

 Aaaahhh!!! Ça y est! J'arrive! Crie Lucienne. Cette petite vachue sait s'y prendre. Continue! C'est si bon!

Le pic de l'orgasme dure quelques minutes, puis elle repousse doucement Charles qui ressort son membre du vagin entièrement satisfait. Stéphanie et Charles continuent de téter les seins nourriciers, prolongeant ainsi le plaisir extrême de la femme en extase. Albert, lui, s'approche de Lucienne et l'embrasse à pleine bouche.

 Bon! dit-il. Maintenant faisons jouir notre hôte!

Les quatre comparses se relèvent. Charles se couche alors sur le dos. Carole aide Stéphanie à s'allonger sur le corps étendu du jeune homme, et prenant la grosse verge enduite du jus de Lucienne, l'aide à recevoir le membre en le dirigeant vers son anus. Lucienne prend les épaules de Stéphanie et l'appui pour que le pénis pénètre le gouffre de la vachue. Celle-ci relâche son sphincter et laisse glisser le membre durci dans son for intérieur. Tous les traitements de distension du muscle anal que Stéphanie a endurés pendant ses exercices de dilatation avec les différents godes et plugs, permettent à la grosse verge de la pénétrer entièrement. Stéphanie ressent alors la jouissance de l'organe bien membré s'enfoncer profondément dans son rectum. Charles se place alors sur le corps de Stéphanie, en la regardant fixement dans les yeux, et pénètre d'un coup sec le vagin imbibé des jus du plaisir charnel de la vachue. La longueur du pénis d'Albert, fait qu'il entre profondément dans le sexe de Stéphanie, touchant son cervix. C'est la première fois que Stéphanie subit une double pénétration en chair et en os! En plus, leurs tailles augmentent substantiellement le plaisir du contact interne. Deux organes, de mâles en rut, la pénètrent en même temps et elle ressent une vive satisfaction de loger ces deux verges durcies et de tailles respectables, dans son sexe, son nid d'amour, affamé par les effets de l'aphrodisiaque!

 Huuummmm! Fait-elle. Ooohhh!!! Je vous sens très bien en moi! C'est la première fois que deux hommes m'empalent de cette manière, et j'aime ça! Vous me faites découvrir un plaisir que je n'avais jamais ressenti auparavant. Aaaahhhh!!! Merci! continuez! Faites-moi mourir de plaisir. C'est si bon!!!!

 Elle a l'air d'apprécier nos manipulations. Donnons-lui satisfaction! Allez, les filles, occupez-vous de ses mamelles pendant qu'Albert et moi, l'asticotons judicieusement

Lucienne et Carole s'installent de chaque côté du trio, et prennent à pleine mains, chacune, les glandes mammaires de Stéphanie, en les enserrant pour faire monter le lait qu'elles contiennent. Puis elles approchent, ensemble, leurs bouches et aspirent fermement les pis rougis par les exactions subies depuis le début du concours. Le lait commence à sortir des trayons et emplissent les bouches avides des deux femmes. La surexcitation de Stéphanie s'amplifie outrageusement. Elle halète de plus en plus fort. Albert prend les cuisses de la vachue pour mieux guider sa verge dans le sexe en chaleur, tandis que Charles pousse sur les reins de Stéphanie pour mieux pénétrer son anus. Les deux comparses commencent l'introduction et le retrait alterné de leurs membres, l'insertion profonde dans les conduits sexuels de Stéphanie. Le mouvement de va-et-vient va conduire la vachue au Nirvana. L'ascension graduelle vers le septième ciel, et même au-dessus, qui va mener Stéphanie vers l'orgasme majeur, celui de ressentir deux verges bien membrées la pénétrer. Cette ascension est amplifiée par les deux femmes qui tètent à tue-tête en extrayant avidement le nectar produit par les mamelles bien développées de la vachue. Carole approche alors une main qu'elle applique sur le clitoris de Stéphanie et exerce un mouvement giratoire accéléré, additionnant ainsi l'orgasme clitoridien aux orgasmes vaginal et anal de la vachue. Celle-ci ne peut plus se contenir et, à la grande admiration des quatre visiteurs, laisse échapper de son urètre un geyser d'éjaculat à grands jets saccadés et drus.

 Albert, aussitôt crie : Elle éjacule! Nous avons réussi à faire couler sa fontaine!

Lucienne aussitôt se précipite sur le jet de liquide et en absorbe une bonne bouchée. Puis elle approche sa bouche à celle de Carole, et lui en verse une partie. Les deux femmes avalent le liquide en appréciant ses qualités organoleptiques.

 Huuummmm! c'est bon dit alors Carole.

Pendant ce temps-là Stéphanie ressent l'extase suprême. Ses membres tremblent rageusement.

 Aaaaahhhh!!! Ooouuuiiiiiiii!!! Je jouie! Ooouuuhhhhh!!! C'est bonnnn!!!! Oouuuaaaaahhhhh!!! Puis elle s'évanouit.

Les deux étalons ressortent leurs membres du corps de Stéphanie, qui s'affaisse sur le futon, et s'approchent des deux femmes placées à genoux devant eux. Elles ouvrent la bouche pour recevoir la semence chaude des verges prêtes à éjaculer. Le liquide sort des méats en jets puissants et emplit les bouches béantes. Carole et Lucienne avalent d'un trait le sperme visqueux. En signe d'approbation elles lèchent leurs lèvres mouillées par les semences des deux mâles. Puis elles lèchent en même temps les glands reluisants de sperme. Les quatre partenaires occasionnels sont satisfaits de leurs performances. Ils se relèvent et se rhabillent. Puis, silencieusement, ils quittent la chambre en laissant Stéphanie, semi-endormie, un large sourire sur ses lèvres, vivre son après-jouissance et récupérer ses forces après cette partie de jambes en l'air réussie.