Être vachue s'est merveilleux 11

Informations sur Récit
Le concours mensuel Meilleures Productrices et les clients.
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Partie 11 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
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Être vachue c'est merveilleux. Chapitre 11 par Lemaringouin

  1. Le Grand Concours et son prix

Quelques jours après sa soirée avec Claire, Stéphanie est réveillée par de cris et des rires qu'elle entend dans le couloir principal qui réunit toutes les chambres à coucher des vachues.

Sylvie! Réveille-toi! Tu entends?

Hum?

Sylvie sort à peine de son sommeil. Elle vient de passer sa veillée avec un des clients de la laiterie. Elle est toute molle et ses muscles sont relaxés.

Qu'est-ce qu'il y a? fait-elle

Les rires dehors! Tu entends?

Ah oui! On m'en a parlé hier. C'est le jour du Grand Concours!

??????

Oui! Claudine va t'expliquer. Maintenant laisse-moi dormir. Je suis épuisée à cause de la soirée que j'ai passée hier. C'était vraiment formidable. Je te raconterai plus tard.

Stéphanie se lève, et voit sur la table de nuit qui juxtapose les deux lits, une liasse de billets impressionnante

C'est quoi ça? Demande-t-elle en désignant l'argent

C'est ce que mon client m'a laissé après avoir comblé ses plus pervers désirs sexuels, marmonne Sylvie à moitié endormie

Quoi? Il t'a payé pour avoir couché avec lui?

Oui! mais ça c'est une petite partie de ce qu'il a payé. Le reste il l'a donné à la laiterie. C'est un riche industriel, mais je t'assure qu'il savait ce qu'il voulait, et il m'a bien servi! Maintenant tais-toi et va voir Claudine et les autres. Moi je récupère aujourd'hui. Je ne participe pas au concours.

Stéphanie sort perplexe, de la chambre et se dirige vers le réfectoire avec d'autres vachues qui jacassent en chemin, tout en chahutant. En arrivant au réfectoire, Claudine lui donne un numéro. Dans la pièce il y a déjà une trentaine de vachues qui déjeunent. Une fois toutes les filles installées à leurs tables, Claudine prend la parole.

Comme vous le savez, aujourd'hui c'est notre Grand Concours mensuel. Pour les nouvelles, comme Stéphanie, Tiphaine et Anaïs, je vous explique le principe. Les autres vous le savez déjà. Tous les mois, cinq d'entre vous, êtes tirer au sort, pour participez à notre concours, et déterminer laquelle produit le plus de lait. Les cinq tirées au sort viendront avec moi, après le petit déjeuner, pour qu'avec Amélie, Léa, Véronique et Amandine, nous puissions vous préparer pour le concours. Les autres vous irez à la traite dans vos horaires habituels.

Toute la salle commence à chuchoter, entremêlant rires et blagues.

Bien, un peu de silence. Ceci dit, procédons au tirage au sort.

Claudine s'approche d'un boulier situé sur une table adjacente, et commence à le faire tourner, afin qu'une bille avec le numéro gagnant tombe dans sa main. Elle fait tourner la manivelle du boulier, et toutes les vachues se taisent en attendant, avec impatience, le numéro gagnant.

Numéro 16

C'est moi crie une belle brune qui se lève aussitôt en sautillant près de sa chaise. Les autres la regardent avec envie.

Numéro 43

C'est moi crie une seconde vachue toute enjouée.

Le tirage continue ainsi jusqu'au dernier numéro

Le 28 crie Claudine.

Toutes les vachue regardent autour d'elle pour voir qu'elle est la dernière élue. Un silence profond envahie la salle. Stéphanie regarde le numéro qu'elle possède dans sa main : le 28. Elle se lève tranquillement et annonce :

C'est le mien!

Toute la salle applaudie. Les vachues savent que Stéphanie est déjà une bonne productrice. Claudine demande alors aux cinq gagnantes du tirage au sort : Françoise, Tiphaine, Claudette, Laure et Stéphanie de la suivre. Elles se dirigent toutes vers la salle d'habillage. Léa, Amélie, Amandine et Véronique sont déjà sur place et les attendent. Elles ont chacune un verre de jus qu'elles donnent à chaque vachue. Celles-ci le boivent d'un trait. La salle où elles se trouvent toutes est pleine de placards. Ils sont remplis de sous-vêtements de différentes sortes. Claudine ouvre une des portes des placards, et en extrait cinq sacs en caoutchouc transparent rempli d'un liquide jaunâtre muni de cinq cathéters reliés par des tubes flexibles en plastique transparent.

Préparez nos candidates pour un lavement en forme, ordonne alors Claudine aux quatre assistantes.

Celles-ci s'exécutent en insérant les cathéters dans l'anus de chaque candidate. Les vachues s'inclinent et laissent entrer le liquide dans leurs boyaux. Une fois les poches vides, elles se déplacent toutes vers la salle de bain adjacente et laissent couler le liquide absorbé dans des bassines prévues pour la vidange. Une fois essuyées et propres, les cinq gagnantes retournent dans la salle où Claudine ouvre un placard et en sort cinq petites culottes string. Ce sont de petites culottes que l'on peut trouver dans les sex-shops. Le devant est fait de deux bandes en dentelle tressée, s'ajustant sur les grandes lèvres du vagin de la porteuse et reliées par une cordelette qui s'ajuste entre les fesses, couvrant à peine l'anus. Chaque vachues ôte son pyjama et en prend une. Tout en ricanant, elles passent leurs jambes dans les ouvertures du string, Les cinq assistantes de la laiterie vérifient, que les culottes sont bien ajustées. Elles s'assurent que la fente du vagin est bien disposée au centre de l'ouverture. Claudine ouvre une autre porte de placard et en ressort des soutien-gorge ajourés, faisant jeu avec les culottes. Là encore les vachues insèrent leurs mamelles dans les ouvertures du vêtement. Consciencieusement, chaque assistante prend les mamelles d'une vachue avec ses deux mains et s'assure qu'elles sont bien placées dans les ouvertures. Les glandes remplies de lait nutritif, pointent au-devant des poitrines. Enfin Claudine sort d'un tiroir des rubans multi couleur et les cinq femmes s'apprêtent à les fixer sur les cheveux des vachues. Elles les peignent en faisant deux couettes qui pendent de chaque côté de la tête et bouclent les mèches avec les rubans. Puis après avoir contemplé leur travail, elles s'adonnent au maquillage. Elles mettent du fard sur les yeux des jeunes filles, du rouge à lèvres sur leurs bouches et terminent en les parfumant. Elles parfument leurs chevelures, l'arrière des oreilles et leurs sexes. Une fois prêtes les vachues sont conduites vers la salle de traite numéro 2. À l'intérieur, il y a déjà une vingtaine de personnes -- tout sexe confondu -- assises dans des fauteuils placés, en deux rangées, devant les tables de traite Stéphanie ne les avait jamais rencontrées auparavant. Chaque personne porte un petit masque loup en velours noir, ce qui empêche les vachues de les reconnaître. Elles sirotent un verre d'alcool, et discutent aimablement entre-elles. À l'arrivée des vachues, il y a des sons et commentaires d'admiration. Chaque membre de l'assistance apprécie les qualités corporelles des cinq vachues. Les assistantes placent les jeunes femmes sur les tables de traite. Celles-ci se positionnent à quatre pattes, comme pour leurs séances de traites quotidiennes Elles fixent leurs poignets avec des menottes en dentelle. Elles s'affairent de la même façon aux chevilles. Claudine prend alors la parole :

Mesdames et Messieurs. Voici nos cinq gagnantes du tirage au sort d'aujourd'hui. Sur la table numéro 1 il y a Claudette. Elle a 28 ans et cela fait deux ans qu'elle est parmi nous. Sur la table numéro 2 il y a Stéphanie. Elle a 32 ans et est ici depuis moins d'un mois. Sur la table numéro 3 nous avons Tiphanie qui a 19 ans. On compte avec elle depuis 8 mois. Sur la table numéro 4 on trouve Françoise, 35 ans, c'est notre première vachue arrivée à l'ouverture de la laiterie. Enfin sur la table numéro 5 voici Laure. Elle a 25 ans et est chez nous depuis six mois. Toutes les candidates sont de très bonnes productrices et aujourd'hui elles veulent vous le prouver. Vous avec entre vos mains leurs carnets de suivi. Vous avez pu les analyser et vous faire une idée de leurs productions. Maintenant, pour ce concours, vous allez miser sur les volumes de lait que nous allons extraire des mamelles bien remplies de chaque vachue. En fonction des valeurs de traite que vous aurez donné à chaque vachue, ceux qui s'en approchent le plus auront le privilège de passer la journée avec elle. Elles sauront vous satisfaire dans chacun de vos désirs, car elles sont prêtes, formées et avides de cajoleries. Quand je dis qu'elles sont prêtes, c'est parce que nous leurs avons donné à boire, un puissant aphrodisiaque qui facilitera les contacts et aussi leur production. Donc maintenant, à vous de jouer et que les meilleurs gagnent. Je vous souhaite bonne chance!

Les membres de l'assistance écrivent alors, sur les tablettes électroniques adossées à leurs fauteuils, leurs évaluations. Toutes ces valeurs sont enregistrées dans le système d'ordinateur central de la salle de traite.

Maintenant nous allons brancher ces chères productrices aux machines à traire, et commencer la session.

Chaque assistante prend alors les tèterelles de la machine à traire reliée à chaque table et s'affaire à les fixer aux mamelles pendantes de chaque vachue.

Nous allons démarrer toutes les trayeuses en même temps en appuyant sur ce bouton. Êtes-vous prêtes les vachues?

Toutes font un signe d'affirmation de la tête et Claudine démarre les trayeuses. Un bruit de ronronnement empli la salle, et l'aspiration alternée des pis commence avec des Ppsiffs - Houuuckk - Ppsiffs- Houuuckk saccadés correspondant à la mise sous vide et mise à l'atmosphère créés dans les tèterelles. Les pis s'étirent par la succion, pénétrant profondément dans les coupelles transparentes des trayeuses, puis se rétrécissent à la rupture du vide, pour recommencer aussitôt. Des jets de nectar blanc commencent à jaillir des bouts des pis et coulent le long des tubes translucides qui relient les tèterelles aux flacons gradués placés devant les tables de traite, à la vue des spectateurs. Les cinq vachues voient leurs pis pénétrer profondément dans les coupelles, et cette vision les excite graduellement. Les trayeuses ont été ajustées pour produire un vide plus élevé qu'à l'habitude, lors des traites quotidiennes, et les sensations des étirements des tétons sont plus intenses. Du jus séminal, produit par l'excitation des vachues, commence à couler le long de leurs cuisses, donnant un aspect reluisant à leurs sexes. Les spectateurs jouissent de cette image. Les femmes sont envieuses car elles aimeraient être à la place de ces belles jeunes productrices. Le plaisir d'avoir leurs bouts de tétines aspirées et relaxées fermement alimente leurs fantasmes les plus fous. Certaines, assises dans leurs fauteuils, frottent déjà leurs cuisses l'une contre l'autre. Les hommes, pour leurs parts, ne peuvent cacher leur excitation, car les braguettes se soulèvent graduellement, laissant place à une protubérance qui dénote le durcissement de leurs verges et son érection progressive. Tous aimeraient qu'une partenaire casuelle s'occupe amoureusement de leur bout de chair érigée. Pour les vachues, par contre, l'effet de l'aphrodisiaque associé au délice de sentir leur lait jaillir de leurs mamelles, produit un état de surexcitation extrême. Elles aimeraient aussi que quelqu'un, n'importe le genre, s'occupe attentivement de leurs parties génitales. Étant attachées fermement à la table de traite et à la trayeuse, elles ne peuvent que souffler avidement en murmurant des sons de pré-jouissance. Dans cette ambiance, une chaleur de volupté associée aux odeurs de vagins exaltés embaume toute la pièce. Même les assistantes, très habituées à ce genre de vision, ressentent l'excitation monter en elles.

Le niveau de liquide monte graduellement dans les flacons. Certaines ont déjà dépassé le demi-litre. Des râlements sortent à pleines gorges. Déjà Stéphanie, Françoise et Laure montrent des effets de jouissance bien marqués. L'assistance, connaisseuse de ces manifestations, exulte avec des commentaires d'appréciation. Tout le monde a misé sur ces vachues hyper-productives. Au bout de vingt minutes, les jets expulsés par les pis allongés par l'effet du vide, commencent à diminuer d'intensité. Les mamelles se vident graduellement. Les vachues exténuées perdent des forces. Leurs membres tremblent incessamment. Claudine fait signe aux quatre assistantes d'arrêter les pompes à vide des trayeuses. Les téterelles quittent les pis allongés, laissant libre les tétons rougis par le traitement qui leurs a été infligé. Leurs aréoles portent la marque circulaire laissée par les téterelles lors de la succion intense infligée aux pis allongés et en érection. Ils seront bons à sucer commente l'assistance. Les vachues soufflent énergiquement, mais laissent apparaître en même temps leur désappointement. Elles voudraient aller au bout de leur jouissance, l'extase qu'elles n'ont pas encore ressentie.

Claudine s'approche des jarres emplies de lait et donne le résultat du concours. Claudette a été celle qui a donné le plus de lait : 1,2 litre. Suit ensuite Stéphanie avec 1,05 litre, et ainsi de suite. Celle à qui on a extrait le moins de nectar, est Tiphaine. Claudine prend bien ça en note, et prévoit renforcer son régime alimentaire afin d'augmenter la production. Dans l'assistance, déjà des voix d'appréciations se font entendre. Claudine va vers l'ordinateur central de la salle de traite, et prend les valeurs que le programme affiche sur l'écran. Elle nomme ensuite les gagnants, ceux qui ont donné une valeur moyenne qui se rapproche le plus aux valeurs réelles.

Mesdames Germaine, Paulette et Chantal, ainsi que Monsieur Benoît, vous êtes les premiers gagnants et Claudette est à votre entière disposition.

Mesdames Carole et Lucienne, ainsi que Messieurs Charles et Albert, vous pourrez jouir des services de Stéphanie

Elle continue ainsi de suite avec les autres vachues, nommant les noms des participants gagnants. Claudine continue alors :

Comme vous le savez, nos vachues sont conditionnées pour satisfaire tous vos fantasmes. Nous allons donc les conduire dans les chambres réservées aux visiteurs, et vous pourrez passer tout le temps que vous désirez avec celle qui vous a été désignée. La seule recommandation, que je tiens à vous faire messieurs est que vous ne vous lâchiez pas dans leurs sexes. On ne veut pas les mettre enceintes. Je sais que vous savez vous retenir et que l'éjaculation sera faite d'une autre manière, je n'en doute pas.

Claudine et les assistantes détachent les cinq vachues et les aident à se mettre sur pied. Puis elles sortent de la salle de traite en leur donnant auparavant un verre de jus additionné d'un autre puissant aphrodisiaque afin de mieux les préparer pour la suite des évènements. Les cinq vachues, assoiffées par la traite intensive qu'elles viennent de subir, avalent d'un trait tout le liquide. Elles sont dirigées ensuite vers les cinq salles VISITEURS destinées aux ébats amoureux des clients, suivies par les participants du concours. Chaque salle a une couleur définie.

Claudine fait entrer Stéphanie dans la salle Rose, puis invite Carole, Lucienne, Albert et Charles a pénétrer dans la même salle. Ensuite elle referme la porte laissant les quatre gagnants aux bons soins de Stéphanie. Elle poursuit ainsi avec les autres participantes au concours. Une fois tous entrés dans la salle rose, le premier gagnant dit :

Bonjour Stéphanie, je suis Charles. Comme tu dois le savoir, ce sont des noms d'emprunt. Personne ne connaît les vrais noms des membres de ce club sélecte. Je te présente Carole. C'est une vraie jouisseuse anale

Oui, répond Carole. J'ai été formée à cette pratique quand j'étais plus jeune par un ancien ami et j'adore ça!

Voici Lucienne, elle ce sont les seins qui la font jouir. Elle aime qu'on lui tire les tétons, et qu'on la suce.

Oh oui, c'est pour moi la meilleure sensation.

Ici tu as Albert. Comme tu peux le voir sa peau est basanée, plutôt même foncée, et il est très bien membré. Tu pourras en faire l'expérience par toi-même. Pour ma part, mon pénis n'est pas à délaisser. Sa taille ne gagne pas celle d'Albert, mais tout de même, son diamètre ne laisse pas indifférentes mes partenaires.

Vous êtes tous clients de la laiterie? Demande Stéphanie

Oui! En fait nous sommes tous membres de ce club d'échangistes. Mon épouse est dans la salle d'à côté avec Claudette et les autres. Albert lui est célibataire. Il n'a pas encore trouvé "vagin qui aille à son pied! " conclut-il en rigolant. Les maris de Lucienne et Carole sont aussi avec chacune de tes compagnes.

Stéphanie est surprise, car c'est la première fois qu'on lui parle de club échangiste dans la laiterie.

Bien, dit Charles. Étends-toi sur le futon ici au sol. Tu vas pouvoir observer nos premiers ébats. Ensuite tu y participeras avec nous

Stéphanie s'allonge sur le futon qui peut recevoir au moins six personnes allongées, et dont la tête est relevée faisant une sorte de canapé géant. Carole commence à se dévêtir lentement en prenant soin de faire des mouvements lascifs afin d'exciter la galerie. Elle déboutonne son corsage, laisse tomber sa jupe, et Lucienne se place derrière elle en prenant ses seins calés dans le soutien-gorge balconnet, en les secouant vigoureusement. Elle embrasse Carole dans le cou, qui incline la tête pour mieux recevoir les caresses de cette partenaire occasionnelle. Les deux hommes regardent les deux femmes se bécoter. Stéphanie, qui regarde aussi attentivement la scène, commence à sentir son sexe mouiller. C'est l'effet de l'aphrodisiaque que les assistantes lui ont donné à boire. Enfin Lucienne détache le soutien-gorge qui libère deux beaux seins bien dodus. Enfin Carole laisse glisser sa petite culotte au sol, se présentant toute nue. C'est au tour de Lucienne à se déshabiller lentement. Une fois toute nue, Stéphanie peut apprécier la poitrine de Lucienne qui est encore plus généreuse que celle de Carole. Ses aréoles sont bien formées, rondes et de couleur légèrement foncée. Ses tétons, érigés par le strip-tease effectué devant des inconnus, pointent droit devant sa poitrine, gorgés de sang et manifestement allongés. Albert remarque le regard insistant de Stéphanie sur les seins des deux femmes et en particulier ceux de Lucienne. Il lui dit alors:

Elles sont bien équipées nos compagnes, n'est-ce pas?

Oui, fait Stéphanie

Toutes les deux sont d'anciennes vachues. Elles ont travaillé ici plusieurs années et sont retournées à leur vie civile. Mais elles ne peuvent se passer de revenir jouir ici avec nous.

Stéphanie est interloquée par ce qu'elle entend. C'est la première fois qu'elle voit en personne d'anciennes vachues qui ont subi les mêmes traitements qu'elle.

Elles sont toujours productives, tu sais! Mais maintenant elles ne laissent téter leurs mamelles que par leurs maris ou nous autres les membres du club.

Stéphanie remarque alors que les deux hommes ont une boursoufflure au niveau de la braguette, ce qui laisse dénoter que leurs membres prennent du volume. Carole et Lucienne s'affairent maintenant à déboutonner les chemises de Charles et Albert, qu'elles retirent lentement. Puis elles s'agenouillent devant les deux hommes et retirent la ceinture de leurs pantalons. Elles baissent, d'un geste ferme, les fermetures éclair, faisant ainsi glisser les pantalons au sol. Stéphanie, a les yeux grands ouverts, et remarque aussitôt que les deux comparses ne portent pas de caleçon. Leurs membres pointent gaillardement devant eux. Celui d'Albert est remarquable. Il doit mesurer 25 centimètres de long, tandis que celui de Charles, respectable aussi, a un diamètre d'au moins 8 centimètres. La vue de ces deux verges l'excite rageusement, par l'effet du puissant aphrodisiaque. Elle ne peut se contenir et commence à frotter ses cuisses l'une contre l'autre attisant ainsi le feu qui commence à démanger son vagin. Albert remarque la scène et sourit. Stéphanie rougit, tout en continuant de regarder, fascinée, les deux pénis au garde à vous, qu'elle va pouvoir apprécier dans ses entrailles.

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