Être vachue s'est merveilleux 10

Être vachue c'est merveilleux. Chapitre 10 par Lemaringouin

10. La visite tant attendue - Seconde partie

Après plusieurs succions et mordillements des tétons, la comtesse se relève et embrasse Stéphanie à pleines lèvres.

 Je m'appelle Claire. J'aimerai que tu m'appelles comme ça au lieu de la " comtesse ". Je sais que toutes les vachues de notre institution m'ont surnommée ainsi. Cela ne me déplait pas, mais pour toi ce sera mon vrai prénom : Claire. Je t'ai remarqué dès le premier jour de ton arrivée. J'aime ton corps, ta prestance, mais maintenant que je suis à côté de toi, j'aime aussi l'odeur qui émane de ta peau, le parfum de tes cheveux. Je suis allé plusieurs fois dans ta chambre lorsque tu étais endormie et en stage de préparation pour devenir une de nos vachues. Tu dormais comme un ange Tu m'as attiré dès le premier jour et je sais que je ne te suis pas indifférente. La façon dont tu me regardais lorsque je déambulais dans les couloirs de la laiterie me le confirmait. Je suis lesbienne, mais très sélective, et je sais que tu es Bi. C'est Pierre qui me l'a dit. Je pense que l'on pourrait être amies, dans le sens que tu comprends!

Tout en lui parlant, Claire caresse les joues de Stéphanie.

 Je vais maintenant détacher tes liens et nous pourrons nous entrelacer comme de bonnes amies. La nuit n'est pas finie et nous allons en profiter ensembles

Claire détache les poignets et les chevilles de Stéphanie. Puis elle s'allonge à côté d'elle et l'entrelace fortement. Stéphanie entoure alors ses bras sur cette superbe femme, puis l'embrasse tendrement. Après plusieurs baisers langoureux, Claire appuie sa tête sur la poitrine de Stéphanie. Les mamelles ayant été partiellement vidées de leur lait, s'affaissent sur la poitrine de la jeune femme. Claire reste un moment sur ces coussins moelleux. Puis relevant partiellement son corps, elle prend de ses deux mains les seins de la vachue, par les côtés et leurs donne des doux baisers. Elle passe sa langue sur les mamelons érigés, et sans la retirer du contact contre la chair tendre, commence à descendre lentement vers le ventre de Stéphanie. La langue humide s'approche lentement vers le sexe invitant et humide de la vachue. En bonne lécheuse, elle lape les grandes lèvres mouillées de cyprine du vagin excité par les douces caresses infligées depuis le début de leurs ébats.

 Huuummmm! Ta mouille est délicieuse. Tiens goûte-y.

Elle approche ses lèvres à celles de Stéphanie, qui sort sa langue, pour lécher cette bouche toute humide de sa mouille. Stéphanie avait déjà goûté son jus auparavant. Elle en connaissait déjà sa saveur, sa consistance, son goût, pour l'avoir déjà dégusté auparavant, lorsqu'une de ses conquêtes féminines, durant'un léchage mutuel intense, le lui avait appliqué sur ses lèvres.

 J'aimerai goûter la tienne, dit-elle

Les deux femmes se placent alors tête-bêche. Stéphanie regarde le sexe de cette nouvelle amie. Elle admire les grandes lèvres pulpeuses du vagin qui s'offre à ses yeux. Avec ses doigts, elle les écarte et renifle le parfum qui s'en dégage. Cette odeur est douce. Les sucs en ressortent donnant un aspect reluisant à la chaire rouge de l'intérieur de l'organe. Elle approche le bout de sa langue, pour parcourir lentement la chair charnue du sexe de Claire et l'applique délicatement sur la surface lisse et humide. Ses papilles réagissent favorablement au goût si délicat. Ensuite elle s'applique en faisant courir sa langue tout le long de la fente de Claire, en l'appuyant fermement afin de l'introduire dans les profondeurs du sexe humide qui s'offre, sans résistance, au contact rugueux, de son organe gustatif. Ses papilles savourent pour la première fois le jus de l'excitation de cette beauté en chaleur. Puis, après avoir léché l'intérieur, elle ressort la langue et la dirige vers le clitoris érigé situé juste au-dessus. Elle sent la respiration de Claire s'accélérer. Avec une main elle décapuchonne le petit bout de plaisir, le laissant jaillir hors de sa protection. Tout doucement elle applique le bout de sa langue sur l'organe sensible en le tapotant délicatement afin de le faire gonfler. Claire commence à pousser des petits cris de contentement et de jouissance. Elle, qui s'affairait aussi au niveau de l'entre-jambe de Stéphanie, arrête brusquement les manipulations qu'elle prodiguait consciencieusement sur le sexe de la vachue. L'excitation envahit tout son corps. Ses muscles commencent à trembler. Stéphanie se relève et approche sa mamelle gauche au-dessus du petit bouton qui se dresse devant elle. Elle presse son sein avec sa main droite en la déplaçant de sa base vers le pis pointant le clitoris. Des petits jets de liquide se répandent et baignent le clitoris dressé en pointe. Le lait dégouline sur le bout de chair et le recouvre complètement. Stéphanie applique ses lèvres, en cul-de-poule, et aspire le clitoris fermement. Par petits à-coups d'aspirations alternées, l'organe, très sensible, baignant de son lait, s'insère entre ses lèvres mouillées et pénètre dans le gouffre aspirant, au-dessus de la langue raboteuse de Stéphanie. Ces petits mouvements de va-et-vient sur le petit bout de chair sensible, fait monter l'excitation de Claire à son paroxysme. Celle-ci est au bord du précipice qui va la jeter dans un orgasme flamboyant, et elle se laisse aller, sans résistance, vaincue par le traitement jouissif que la vachue lui inflige. Elle se laisse glisser vers ce puit sans fond du plaisir intense.

 Aaaaahhhh! Je vais jouir! Ooouuuiiiiiiii! Crie-t-elle alors à pleine voix.

Ses cuisses tremblent incessamment. Ce petit jeu continue encore cinq bonnes minutes, jusqu'au moment où à bout de souffle, Claire écarte la tête de la jeune femme de sa main. Son bouton de plaisir est devenu trop sensible. Essoufflée, elle dit, en ayant les yeux fermés

 Ouah! Je n'ai jamais joui avec autant de vigueur. Merci chérie. Puis elle se redresse et embrasse sa compagne sur la bouche. Mets-toi à quatre pattes, lui ordonne-t-elle.

Claire se relève et s'approche de la table de nuit adjacente au lit. Elle y prend une ceinture à double godemiché qu'elle enfile lentement. Le premier godemiché qui s'insère dans le sexe de celle qui porte la ceinture a une longueur de 12 cm. Le deuxième est un peu plus long et a un diamètre légèrement supérieur au premier. Chaque godemiché a une texture rugueuse qui s'applique sur les parties sensibles, intérieures, des vagins. Ils ont aussi une partie vibrante à leur bout actionné par des micromoteurs installés à l'intérieurs des membres synthétiques. Leurs bouts texturés de petites protubérances, augmentent le frottement intime des parties en contact. Claire insère le premier godemiché à intérieur dans son vagin, et l'ajuste de façon à ce que la surface rugueuse de la membrane où sont fixés les godemichés s'applique uniformément sur son clitoris. Elle boucle ensuite la ceinture de manière à ce que le premier appareil de plaisir soit bien placé et fermement ajusté dans son sexe, tandis que l'autre pointe directement devant elle. Elle prend ensuite un lubrifiant qu'elle enduit sur le second godemiché. Stéphanie regarde la scène avec attention. Elle est fascinée par l'expertise de cette femme qui lui donne tant de plaisir. Son excitation monte rapidement à la vue de la manipulation précise et méticuleuse de sa compagne. Claire remarque le regard avide de la vachue et lui dit :

 Maintenant nous allons jouir ensembles, comme deux amantes passionnées.

Elle se place derrière Stéphanie, et lui caresse tendrement les fesses.

 Tu as de jolies fesses, lui dit-elle°

 Oui, je sais. Elles attirent toujours le regard inquisiteur des hommes. J'en profite pour les exciter en me dandinant lorsque je marche dans la rue.

 Oui, je suis sûre que tu fais de l'effet. En plus avec ta poitrine, tu dois en attirer des hommes

 Pas seulement, les femmes aussi me regardent avec avidité. J'aime ça, tu sais. Ça me réconforte dans ma féminité!

Claire approche sa bouche aux fesses de la vachue et leur appose alternativement de doux baisers, tout en caressant le bas du dos de Stéphanie. Ces contacts charnels ne font qu'augmenter l'excitation de la vachue. Puis après plusieurs baisers langoureux, elle applique l'index et le pouce sur l'embout en forme d'anneau du plug anal que Claudine avait enfoncé dans l'anus de Stéphanie, et le retire tout délicatement. L'ouverture béante laissé par l'intrus, s'offre au grand jour. Elle admire l'intérieur du gouffre rose qui se présente à ses yeux, puis, prenant le flacon de lubrifiant, elle laisse couler un léger filet de liquide dans l'anus dilaté. Ensuite elle applique le bout du second godemiché, en le tenant d'une main ferme, et l'appui sur le trou amplifié de l'anus de Stéphanie. Elle pousse de son bas-ventre, laissant glisser l'instrument dans le rectum lubrifié, qui se laisse envahir sans résistance. Enfin, par petits mouvements de va-et-vient, elle enfonce et retire lentement le godemiché inséré dans le rectum de la vachue. Elle appuie ensuite sur un bouton placé sur la ceinture, ce qui met en marche la vibration des godemichés. Agrippant fermement les cuisses de la vachue, elle augmente la séquence par à-coups précis et vigoureux. Sa main droite se déplace ensuite vers le clitoris de Stéphanie, et par petites tapes et mouvements circulaires, elle masse le petit bout de façon résolue. Stéphanie sent la chaleur du plaisir envahir de plus en plus tout son corps. Les deux jeunes femmes poursuivent consciencieusement leurs ébats amoureux en poussant à chaque mouvement des râlements de plus en plus fort. Claire, à chaque pression dans le canal de la vachue, ressent son godemiché cogner son cervix, ce qui la mène petit à petit vers le précipice de la jouissance, tandis que Stéphanie éprouve une pression délicieuse sur la paroi interne qui juxtapose son point G. Les vibrations saccadées des deux godemichés augmentent encore plus la sensation de plaisir sensuel et l'excitation des deux amantes. Toutes les deux émettent des cris de jouissance qui s'entendent dans le couloir de la laiterie. Claudine qui passe par là, entend les gémissements de plaisir qui traversent la porte de la chambre. Elle sourit et se remémore les bons moments passés avec la comtesse. Elle se fait des images érotiques des puissants ébats qu'elle aussi a vécu avec cette déesse de l'amour. Claire prend un autre godemiché placé sur la table de nuit et l'insère dans le vagin de Stéphanie. Cette double pénétration augmente encore plus l'excitation de la vachue. Elle accélère alors la cadence d'insertion et d'extraction, par mouvements de va-et-vient saccadés et fermes, du godemiché anal et vibrant fixé sur la ceinture gode. Les deux amantes arrivent ensembles à leurs paroxysmes de jouissance. À ce point-là, c'est l'explosion de volupté, un feu d'artifice de plaisirs intenses. Toutes les cellules de leurs corps sont aux abois. Leurs muscles se mettent à trembler sans contrôle, ce qui augmentent encore plus leurs émois jouissifs. Le contact intime des peaux dont émane la chaleur de leur rut infernal, ne fait qu'augmenter encore plus ce second état qu'est l'orgasme superlatif, celui que peu de fois on arrive à ressentir, celui qui dure une éternité dans ce petit moment d'extase. Après avoir traversé plusieurs fois consécutives le pic de lascivité extrême, les deux femmes, épuisées, s'affaissent lourdement sur le lit en haletant de tous leurs poumons. Elles restent ainsi plusieurs minutes entrelacées, leurs corps tout en sueur, serrés l'une contre l'autre. Les godmichés, qui vibrent toujours dans leurs orifices respectifs, allongeant encore plus leurs jouissances. Puis, petit à petit, les effets orgasmiques s'amenuisent progressivement. Claire, la première, sort de sa torpeur. Elle se retire du corps encore ému de Stéphanie, retirant le godemiché anal.

 Aaaahhh!! Non!!! Reste en moi! Fait la vachue.

 Je suis là! lui chuchote tendrement Claire.

Prenant son sein gauche avec sa main droite, elle présente le téton durci par la jouissance, sur le trou béant de l'anus de la vachue, et par mouvements circulaires, elle le met en contact intime avec le sphincter qui n'arrive pas encore à se resserrer. Ce petit jeu dure plusieurs minutes, jusqu'à ce que Stéphanie arrive péniblement à refermer son muscle anal, emprisonnant difficilement le mamelon de Claire. Celle-ci pousse sa poitrine sur les fesses de Stéphanie, afin que l'aréole complète pénètre le canal. Stéphanie, resserre et détend son œillet plusieurs fois, lui faisant ainsi découvrir une autre sensation de plaisir avec cette partie sensible et érogène de son corps. Enfin Claire se dégage de cette emprise charnelle et embrasse passionnément Stéphanie. Les baisers langoureux durent plusieurs minutes où les langues s'entrelacent. Elle se relève ensuite et se débarrasse de la ceinture gode qui dégouline encore des jus de son vagin et du lubrifiant de l'anus de Stéphanie. Elle s'approche de Stéphanie qui s'est retourné sur le dos, retire le godemiché calé dans le vagin de la vachue et applique sa bouche sur le sexe tout mouillé du jus de la jouissance en lapant à grands coups de langue, la surface sensible de la jeune journaliste. Elle aspire avidement tout le jus qu'elle peut extraire de cette fente et qui émerge de l'intérieur du sexe. Sa langue remonte ensuite, lentement, du bas du sexe de Stéphanie, encore baigné de mouille chaude, vers le clitoris toujours en érection. Elle l'aspire vigoureusement, tandis qu'avec une main elle masse l'anus béant de la vachue, l'aidant ainsi à refermer complètement son sphincter. Stéphanie, les yeux fermés sourit, largement, en ressentant cette nouvelle manipulation dont elle jouit pleinement.

 Bon, es-tu prête pour la belle finale? Lui murmure Claire

 Heu! Essoufflée de tant de plaisirs, Stéphanie répond : Oui, tu sais que je suis très gourmande sur le sexe, et en particulier celui de Lesbos!

 Bien. As-tu déjà éjaculé?

 Non! Je ne crois pas.

 Et bien ce sera ta première expérience

Et sans attendre que Stéphanie ne dise quoi que ce soit, Claire, qui caresse le sexe mouillé dont les lèvres internes et externes sont, gonflées de tout le plaisir reçu, enfonce le majeur et l'annulaire de sa main droite, dans le vagin de Stéphanie et positionne les deux doigts sur la paroi supérieure où se trouve la petite zone rugueuse : le fameux point G. Elle s'applique ensuite à faire des petites tapes saccadées sur cette région très érogène en recroquevillant ses dernières phalanges. L'excitation de Stéphanie commence à monter à nouveau en grade. Son cœur bas de plus en plus vite et sa respiration s'accélère. Elle émet des râlements de contentements de plus en plus brefs et forts. Au bout de quelques minutes elle ressent une envie pressante d'uriner. Elle se retient pour ne pas arroser sa partenaire du nectar doré.

 Aaahhh!! je vais jouir! Ooouuuhhhhh!!!

Mais la sensation de plénitude de sa vessie augmente graduellement et au bout d'un moment, son muscle vésical et ses sphincters internes de rétention se relâchent complètement, laissant échapper des jets intenses du liquide séminal. Ses cuisses se mettent à trembler involontairement. Ses yeux se retourne laissant apparaître le blanc des globes. Elle croit qu'elle va s'évanouir. Claire ralentit la cadence afin de laisser sa partenaire reprendre son souffle, puis elle recommence le manège. Au bout de quelques secondes Stéphanie éjacule à nouveau par jets saccadés plus abondants. Claire approche sa bouche et en collecte une bonne bouchée. Puis sans extraire ses doigts du vagin de sa compagne, s'approche de la bouche ouverte de Stéphanie, haletante, et en laisse couler une grosse portion. Le liquide tiède emplit la bouche de la vachue, qui, surprise, en savoure la consistance. Le liquide chaud enduit toutes ses papilles gustatives. C'est la première fois qu'elle goute à ce liquide séminal.

 C'est bon? lui demande Claire

Stéphanie bouge la tête en signe de consentement. Puis elle finit par avaler avidement le chaud liquide.

 C'est ton autre jus, lui dit Claire. L'avais-tu déjà gouté?

 Non, répond Stéphanie. C'est la première fois!

 Et bien tu voies, maintenant tu es une vachue-fontaine!

Puis elle l'embrasse avec fougue. Stéphanie, épuisée et complètement satisfaite, ferme les yeux et s'endort.