Être vachue s'est merveilleux 09

Informations sur Récit
La visite tant attendue chapitre 9.
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Partie 9 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
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Être vachue c'est merveilleux. Chapitre 9 par Lemaringouin

  1. La visite tant attendue -- Première partie

Il est six heures du soir et Stéphanie se dirige vers la salle de traite numéro 2. Ses seins commencent à lui faire mal. Elle va pour subir sa troisième traite quotidienne. Elle avance dans le corridor qui la mène vers la salle de traite, lorsqu'elle croise Claudine qui l'arrête.

Où vas-tu? lui demande Claudine

Je vais pour me faire traire, c'est mon tour, il est six heures!

Non! ce soir tu n'as pas de traite avec la trayeuse automatique.

Ah? Et pourquoi?

Ce soir tu auras la visite de la comtesse. Elle veut être avec toi et vous allez passer la nuit entière ensembles.

Claudine prend Stéphanie par la main et la mène vers sa chambre. Elle ouvre la porte et la laisse passer. Une fois à l'intérieur, elle embrasse Stéphanie sur la bouche et lui dit :

Ce soir tu vas passer une merveilleuse nuit. Je vais te préparer pour la visite de la comtesse.

Elle lui retire la blouse, puis le soutien-gorge avec les ventouses, et enfin son string. Stéphanie est toute nue. Elle l'admire. Les seins de Stéphanie pointent tout droit, avec ses pis bien érigés par l'effet bénéfique des ventouses. Claudine amène Stéphanie vers la douche.

Prend ta douche et savonne-toi avec la lotion que j'ai mise sur le support. Elle est parfumée. C'est celle que préfère la comtesse. Je reviendrai dans dix minutes, et surtout n'exprime pas ton lait manuellement! Il faut que tes mamelles soient engorgées et pleines de lait. Savonne-toi bien partout, incluant tes parties intimes.

Claudine sort de la chambre et Stéphanie se dirige vers la douche. Dix minutes plus tard Claudine revient dans la chambre. Stéphanie est debout avec sa serviette de bain.

Bon, assis-toi sur la chaise. Je vais te sécher les cheveux et te peigner. Ensuite je préparai ta tenue pour la visite.

Stéphanie s'assoie tandis que Claudine prend le séchoir à cheveux et une brosse, et commence à peigner la chevelure de Stéphanie, mais au lieu de lui faire une queue de cheval, comme c'est la règle dans l'établissement pour toutes les vachues, elle lui laisse les cheveux libres. Sa chevelure descend dans son dos.

Bien! Tu es magnifique. Maintenant lève-toi.

Claudine prend alors des O'Rings et une petite pompe, qui sont sur la table de nuit et qu'elle avait placé auparavant, et insère un O'Ring sur l'embout de la pompe, puis elle prend d'une main ferme le sein gauche de la jeune femme. Elle applique l'ouverture de la pompe sur le téton de Stéphanie et relâche la gâchette de la pompe, ce qui a pour effet de placer l'anneau O'Ring à la base du téton. Le O'Ring s'ajust fermement sur le mamelon érigé, l'enserrant complètement.

Aïe! fait Stéphanie. Cela fait mal. C'est trop serré!

Oui, je sais, mais cela évitera que tu perdes ton lait. La comtesse veut des mamelles bien remplies et juteuses. Tu vas t'habituer à cette petite douleur, ne t'en fais pas.

Claudine procède de la même façon avec le sein droit de Stéphanie. La porte de la chambre s'ouvre, et Véronique, l'infirmière de la laiterie, entre avec son petit charriot.

Bonjour Stéphanie. C'est toi l'heureuse élue aujourd'hui?

Oui, il semblerait, répond Stéphanie

Bon, je vais préparer tes mamelles.

Et pourquoi? Elles produisent déjà assez bien. La montée de lait est régulière, et elles me font mal lorsqu'elles sont engorgées.

Oui, je sais, mais cette fois-ci, c'est pour satisfaire pleinement la comtesse.

Véronique prend un coton imbibé d'alcool et le passe sur côté du sein droit de Stéphanie. Puis elle prend une piqûre, enfonce l'aiguille profondément dans la chaire tendre et pousse le piston de la seringue. Le liquide pénètre dans la masse globulaire. Puis elle fait de même avec le sein gauche. Ensuite, elle masse de ses deux mains les glandes mammaires afin que le liquide injecté s'épande dans tout le volume de la glande.

Voilà! Indique Véronique. Cela n'a pas fait mal, non?

Non! Effectivement, ce qui a été plus dérangeant, c'est le massage que tu m'as fait. Mais au fait, à quoi sert le liquide que tu m'as injecté?

La comtesse aime le lait sucré, répond Claudine. Chaque vachue qu'elle choisit reçoit ce traitement. Et dans ton cas, avec les qualités de ton lait, ce sera un vrai nectar, qu'elle va sûrement très apprécier. Maintenant, penche-toi et prend appui sur le dossier de la chaise.

Stéphanie s'exécute. Véronique prend un petit pot de crème de sur le charriot et s'induit l'index avec la pommade. Elle applique la crème sur l'œillet annal de Stéphanie, et insère son doigt dans le canal, qu'elle enduit complètement avec la crème.

Huuummmm! J'adore quand on me pénètre doucement dit Stéphanie

Oui, je sais répond Véronique. Puis elle prend un plug anal et l'enfile dans l'anus de la vachue.

Aaaahhh! Celui-ci est plus gros que d'habitude, dit Stéphanie

C'est pour mieux de préparer pour tes prochaines activités, lui dit Claudine.

Véronique tend alors un bandeau que Véronique prend et place sur les yeux de Stéphanie, empêchant ainsi que la jeune femme ne voit quoique ce soit.

Bien, dit Véronique, je vous laisse. Je retourne à mon bureau

Très bien, répond Claudine, et merci encore pour tes bons soins.

Claudine prend la main Stéphanie, qui a la vue cachée par le bandeau sur ses yeux, et la guide hors de la chambre. Les deux femmes se dirigent par le corridor jusqu'à la chambre avec l'écriteau NUIT D'AMOUR. Claudine prend la poignée et ouvre la porte. Elle pousse Stéphanie à l'intérieur de la chambre et la dirige vers le lit. Elle l'allonge sur le matelas. Elle passe alors les mains sur les seins gonflés de Stéphanie et les soupèse. La jeune vachue se laisse faire, car elle a pleine confiance en son amie Claudine.

Tes mamelles sont bien remplies, dit Claudine, en les secouant doucement. La comtesse va adorer. Tu vas lui plaire énormément, et toutes les deux vous allez passer une nuit fantastique. Tu te souviendras de cette visite toute ta vie, je peux te le garantir. Ce que tu vas vivre aujourd'hui te restera marqué pour toujours. Ce sera inoubliable. Elle reviendra bien sûr, mais la première fois est unique. La comtesse a beaucoup d'imagination et a le savoir-faire que toute femme aimerait un jour découvrir et ressentir.

Elle lui attache enfin un large ruban, couleur rouge sang, autour du cou. Ensuite prend les poignets de la jeune femme, les attache avec une corde en soie, et fixe le lien à un crochet situé en tête du lit. Stéphanie a la tête entre les bras, étirés de tout leur long. Elle lui prend ensuite les jambes, et attache une autre corde à chaque cheville, qu'elle fixe à deux autres anneaux situés au pied du lit. Stéphanie a les jambes écartées en grand, laissant son sexe grand-ouvert et les bras étirés vers la tête de lit. Elle ne peut bouger, et se trouve étendue de tout son long. Elle est dans le noir à cause du bandeau qui lui couvre les yeux. Claudine allume alors des bâtons d'encens. Stéphanie commence à sentir les parfums qui émanent des bâtons. C'est une odeur douce, envoûtante et fruitée. Claudine quitte la chambre après avoir allumé plusieurs bougies qui baignent la pièce d'une lumière tamisée. Stéphanie se retrouve seule dans cette chambre, attachée de tout son long, sans pouvoir bouger. Les minutes passent, Stéphanie reste à l'écoute de tout bruit qu'elle pourrait déceler, mais rien! Elle ne voit rien, n'entend rien, ne sent rien! Elle se demande même si on ne l'aurait pas oubliée là ou si ce ne serait pas une mauvaise blague des autres vachues, qui s'amuseraient à ses dépens. Le temps passe -- cinq, dix, quinze minutes -, puis elle croit percevoir un petit bruit sur le côté gauche du lit. Oui, cela ressemble à la respiration d'une personne. Pourtant elle n'a pas entendu de porte s'ouvrir. Intriguée, elle s'efforce d'écouter en y mettant toute son d'attention, lorsque qu'elle ressent un léger mouvement d'air sur son côté droit, comme si quelqu'un venait de bouger près d'elle. Elle retient sa respiration pour mieux percevoir le phénomène qui se déroule auprès d'elle. Soudain, les doigts d'une main inversée caressent son avant-bras, puis remontent lentement vers son épaule. Pas de doute maintenant, il y a quelqu'un près d'elle qui la touche. Elle est soulagée : il ne s'agissait pas d'une mauvaise blague des autres vachues, mais elle est aussi inquiète du déroulement de la suite de la situation. Que va lui faire cette personne? Les ongles de cette main, maintenant se promènent sur son flanc droit et descendent vers sa cuisse. Les doigts poursuivent leur chemin par la jambe droite et arrivent à sa cheville. Ils vérifient que la ligature est bien solide, ce qui rappelle à Stéphanie sa vulnérabilité, puis approchent le talon de son pied. Deux lèvres viennent s'ajouter à la fête en suçant le gros orteil de la prisonnière. Cette humidité chaude conforte Stéphanie. Elle a déjà vécu cette situation avec une de ses conquêtes féminines. La respiration de cette intruse rebondit sur ses pieds. Les ongles de la main maintenant remontent sa jambe gauche par l'intérieur de la cuisse, et s'approche de son entre-jambe. La respiration de Stéphanie devient de plus en plus haletante. La sensibilité de sa peau est accrue, Stéphanie est en attente. Cette main va-t-elle toucher son sexe? Mais contrairement à ses attentes, les ongles sautent sur son ventre et remontent lentement en exerçant des petits mouvements rotatifs comme s'il s'agissait d'une roue qui avance lentement sur un chemin escarpé. Stéphanie respire plus profondément. Elle a la chair de poule. Arrivée à son aisselle gauche, la main se retire, et une langue humide lape doucement cette partie sensible de son corps, tandis que le bout des doigts d'une autre main s'affaire à découvrir le bas-côté du sein gauche. Ils contournent la courbure de la glande mammaire, et remonte sur le sternum, vers le menton de Stéphanie. Celle-ci a la bouche entre-ouverte, et un doigt s'y introduit sans crier garde. Stéphanie suce le doigt qui s'introduit et ressort en petits mouvement consécutifs. Stéphanie a les lèvres fermées sur le doigt et mouille abondamment avec sa langue le petit intru. Le doigt mouillé ressort de la bouche de Stéphanie et descend le long de la poitrine de la prisonnière. Le doigt humide tourne autour du mamelon droit, laissant une trace humide avec la salive de Stéphanie. L'opération se répète avec le mamelon gauche. Puis un souffle tiède baigne chaque mamelon, ce qui a pour effet de durcir les tétons. Ensuite les doigts descendent vers le ventre de la vachue. Ils s'attardent un moment sur le nombril qu'ils contournent en faisant des cercles. Au bout de plusieurs ronds, un doigt entre dans l'orifice et en ressort pour poursuivre son investigation. La respiration de Stéphanie de fait de plus en plus forte. Elle s'impatiente et voudrait que l'inquisiteur approche son bouton de plaisir. Elle essaie de deviner la suite des évènements, mais plus rien ne se passe pendant quelques minutes. Son cœur qui battait vite par l'excitation et les contacts des doigts, ralentit. Inquiète, elle essaie de comprendre quelle vont être les prochains attouchements. Le silence qui règne dans la chambre lui fait un peu peur. Tout à coup, une langue humide caresse son cou, du côté droit, et remonte vers son oreille. Elle pénètre le pavillon et suit ses contours. Tous ses muscles qui s'étaient tendus par le manque de contact, se relâchent. Maintenant ce sont des dents qui mordillent le lobe de son oreille, tandis qu'une main frôle son sein. Elle palpe son volume, contourne le galbe affaissé par la gravité, le soupèse en l'élevant légèrement. La langue quitte l'oreille et une autre main lui caresse les cheveux. Stéphanie voudrait voir la personne qui lui fait ressentir des frissons de plaisir et de crainte avec les différents contacts chaleureux et humide. Elle désespère de pouvoir enlever ce bandeau qui lui cache la vue. La main qui était sur le sein, se change en un doigt qui remonte vers l'aréole. Le doigt tourne autour du mamelon ce qui a pour but de durcir encore plus son téton. Il s'élève de ses trois centimètres en pointant vers le ciel. A ce moment-là Stéphanie ressent quelque chose de glacé qui enveloppe le téton.

Aahhh! Fit-elle

Shut! Lui fait une voix douce.

Puis la même opération de déroule sur son sein gauche. Maintenant ses deux mamelons sont recouverts de quelque chose de dur et glacé. Cela a pour effet de raidir encore plus ses mamelons. Elle veut bouger son corps pour ôter ces instruments, mais elle sent qu'ils sont placés fermement sur ses appendices, comme s'il s'agissait d'embouts creux qui englobent tout le volume des tétons. C'est comme s'ils étaient encastrés sur ses tétines durcies. Elle s'attend à ce qu'une main lui enlève ces embouts qui la font frissonner. Mais à sa grande surprise, ce ne sont pas des doigts, mais une langue humide qui vient découvrir son bas ventre et qui se dirige lentement vers le bas. Elle s'approche petit à petit de son sexe. Va-t-elle s'affairer enfin à ce bout de chaire si sensible: son clitoris! Elle l'attend ce moment, avec envie et impatience. Elle désire vivement qu'enfin on s'y attarde. Par contre c'est un doigt inquisiteur qui parcoure lentement la fente de son sexe. Celui-ci est complètement mouillé. Elle le sent car un liquide chaud coule le long de ses cuisses, et va humidifier son anus. Le doigt se retire après avoir caresser les grandes lèvres du sexe humide. Stéphanie entend un reniflement, qui croit-elle, doit correspondre à sa visite qui sent le liquide recueilli. Sa respiration s'accentue de plus en plus. L'excitation monte en elle, et elle sent son vagin s'humidifier abondamment. Une main lui caresse maintenant le ventre et remonte vers sa poitrine généreuse dont les tétons sont durcis par les anneaux glacés qui les capuchonnent. Ses mamelles sont extrêmement sensibles par le manque de traite. La montée de lait est à son apogée. Les O'Ring empêchent le lait de sortir. Une deuxième main se joint à la première et toutes deux contournent les deux seins, en les rapprochant vers le sternum. Ce geste crée une douleur dans ses glandes mammaires,

Aahhh!

Cette fois-ci la voix reste silencieuse. Maintenant, deux mains s'affairent à masser le globe mammaire droit. C'est le type de massage que l'on pratique pour faire monter le lait. Mais les embouts glacés et les O'Rings empêchent le liquide de sortir. Elle sent que le lait de ses mamelles est à la porte, qu'il veut échapper de sa glande gonflée par l'accumulation excessive de liquide. La même procédure est exécutée sur sa mamelle gauche. Puis plus rien! Elle entend la comtesse prendre quelque chose du tiroir de la table de nuit placée près du lit où elle est étendue. Maintenant, elle ressent comme deux coussinets adhésifs qui sont appliqués de chaque côté de sa glande mammaire. La même opération est exécutée sur son autre sein. Des fils fins courent sur sa poitrine. Inquiète elle se demande ce que cela peut être. La réponse lui vient immédiatement lorsqu'elle ressent des petits courants électriques, saccadés, traverser ses seins. Après quelques minutes de ce traitement, qui ne lui fait pas mal, mais ne la soulage pas non plus, elle sent une main qui s'appuie fermement sur l'aréole, très élargie du sein gauche, tandis qu'une autre retire lentement le capuchon glacé qui recouvre le téton érigé. Une bouche humide s'approche du trayon érigé et l'aspire violemment. Avec ses dents elle coince le O'Ring et le retire d'un coup sec. Stéphanie perçoit une douleur aigüe. Elle ne veut pas crier, car maintenant elle ressent un soulagement interne. En effet, trois fins jets de lait s'élèvent de 20 centimètres au-dessus de sa poitrine, ce qui permet de désengorger la mamelle et de réduire sa douleur interne. Le lait rebondit sur son sein le baignant du liquide tiède. Aussitôt la bouche chaude s'applique sur le mamelon érigé et glacé, en le suçant fortement. Le vide créé par l'aspiration intense fait sortir le liquide chaud de la mamelle, grand débit. Tout ce lait accumulé se presse pour sortir par les petits orifices du pis. Stéphanie entend la déglutition du liquide dans la gorge de la visiteuse. Après quelques aspirations intenses qui la soulage, elle sent une respiration s'approcher de sa joue droite et des lèvres pulpeuses s'appuyer sur sa bouche. Une langue invite ses lèvres à se desserrer et le liquide accumulé dans la bouche qui est en contact étroit avec la sienne, coule sur sa langue. Ses papilles s'imprègnent du goût de ce liquide envahissant. Il est doux, chaud et sucré. Un vrai délice! Elle doit maintenant l'avaler.

Huuummmm! Fit-elle

C'est délicieux, n'est-ce pas? Entend-elle. C'est la première fois qu'elle entend la voix de la visiteuse. Cette voix est douce, envoûtante et mélodieuse. Cela réconforte Stéphanie qui s'attendait à une voix sèche de matrone.

Oui! C'est bon! chuchote-t-elle. C'est sucré! Et ça a un petit goût de noisettes!

En effet, et c'est dû à la piqure que Véronique t'a appliqué dans chaque mamelle tout à l'heure.

La main de la tortionnaire caresse la face de la jeune vachue, tandis que ses lèvres pulpeuses se posent sur les lèvres de la jeune femme. Les langues s'entrelacent. C'est un baiser langoureux. Stéphanie apprécie l'haleine de cette femme, qui est mélangée au lait de son sein. Après 30 bonnes secondes d'enroulement de langues et d'échange de papilles, la bouche juteuse de la comtesse quitte les lèvres de la prisonnière. Toute humide elle s'applique à nouveau sur le pis de la vachue. Par aspirations plus intenses, Stéphanie sent le lait sortir de son sein. Cela la soulage instantanément.

Hummm! Fait-elle. C'est bon!

Puis elle ressent la main chaude de la comtesse descendre le long de son abdomen et se diriger vers son bas-ventre. La main s'arrête juste au-dessus de son clitoris. Stéphanie se tortille pour inviter la main à toucher son bouton de plaisir. Mais au lieu de ça, la main tire sèchement la peau du bas-ventre vers le haut, ayant pour effet de dégager le petit gland de son capuchon protecteur. Son clitoris très développé par les traitements successifs qu'elle a subi ces derniers jours, se trouve dégarni et à l'air. Après plusieurs aspirations sur son pis, la bouche qui recueillait le lait quitte le mamelon, et Stéphanie ressent un liquide tiède couler sur son clitoris. Elle comprend que c'est le lait de la dernière gorgée que la comtesse n'a pas avalé. Le muscle pelvien de Stéphanie s'ébranle invitant à un attouchement plus sérieux, ce qui ne se fait pas attendre. La bouche humide s'applique sur le pédoncule érigé, et l'aspire avidement.

Aaaahhhh! S'écrie Stéphanie, de plaisir.

Par petites saccades le clitoris est aspiré dans la bouche de la comtesse. C'est délicieux et soulageant en même temps. Toutes les tensions internes de Stéphanie commencent à s'évanouir. Elle avait besoin de ce contact intime. L'excitation et les appréhensions vécues ces dernières heures commençaient à peser lourdement sur son psychisme. Toutefois son autre sein est toujours engorgé et demande des soins adéquats. Mais la comtesse quitte le clitoris, non sans avant passer le bout de sa langue sur la pointe du petit organe érectile. Des frissons internes transpercent le corps de Stéphanie. Que va-t-il se passer maintenant pense-t-elle.

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