Esclave de Mère - Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je me tourne vers les deux femmes, baise avec ferveur les pieds de Sandrine, puis ceux de Mère, qui prend mes cheveux que je lui prodigue un cunnilingus qui la fait jouir très vite.

- Elle est si belle notre nouvelle Camille

- Quel génie de l'avoir prénommé ainsi! Tu y pensais d'emblée?

- Oui je dois l'avouer, dès que j'ai appris que c'était un garçon, j'avais décidé de le détruire.

- Nous y sommes presque.

- Je peux l'utiliser sans limite maintenant?

- Oui tout à fait, juste ne pas casser le travail réalisé

- Pour les papiers d'identité, on fait comment?

- Tu dois y aller avec elle, je te fais un certificat avec photo avant et après, et normalement les empreintes suffisent, je l'ai déjà fait quelques fois.

- Pour des patients?

- Pas seulement, quelques soumis aussi, je t'ai dit je me suis entraînée avant

- Tu es délicieuse!

- Je t'ai réservé un petit cadeau pour ce jour unique!

- Oh montre-moi...

Sandrine sort d'un sac un gode au diamètre plutôt raisonnable comme un gros sexe, mais sa longueur est étonnante, peut-être 150 cm, terminé par une culotte à enfiler. M'ayant nettoyé les intestins, elle commence à me remplir avec ce gode qui parcourt les 30 premiers centimètres sans difficilté, évidemment. Puis en le faisant tourner elle l'enfonce doucement au-delà. La sensation est folle pour moi, je me sens envahi de l'intérieur. Sandrine pousse inexorablement, et je vois stupéfait l'intégralité du gode rentrer en moi et remplir mon intestin contraint par le corset pourtant. Seule la culotte reste à l'extérieur.

Je suis allongée sur le dos, les jambes repliées sur la poitrine, toujours avec mes chaussures. Mère vient enfiler la culotte et se met à faire des va et vients d'abord lents, puis plus violents, provoquant en moi des sensations d'une violence folle, je me sens vidée puis remplie entièrement, je râle, mais sans un bruit, les deux femmes riant de me voir ainsi complètement muette et offerte. Mère est de plus en plus excitée, j'ai la tête qui tourne, je voudrais m'évanouir mais sans succès, sa violence n'a d'égal que les mots dont Elle m'affuble, me promettant une vie de souffrance continue, je voudrais lui crier que je suis tout à Elle, que je ne vis que par Elle, mais rien ne sort. Sandrine prend sa place, avec la même violence, je ne sais pas pourquoi elle déteste les hommes ainsi, mais c'est bon de vivre et subir sa violence. Elle laisse le gode en place, il ne risque pas de sortir tout seul, j'ai l'air ridicule avec cette cullot qui pendant de mon cul.

Je connais leur regard, les deux femmes sont dans un délire de violence dont je vais pâtir. Sandrine presse mes couilles, je pense qu'elles vont éclater, cherchant à les aplatir le plus possible, tandis que Mère fouette ma poitrine d'une mince lanière qui m'arrache la peau à chaque coup. Les femmes se branlent en même temps, et je vois Sandrine s'empaler sur mon gros gode, l'avaler dans son cul en hurlant sa jouissance. J'ai tellement, tellement envie de jouir, c'est la pire des tortures, je ne peux même pas les implorer.

Mère n'y tient plus, et va chercher un sac d'accessoire. Elle sort deux pinces bloquantes, qui écrasent mes tétons, me faisant bondir de souffrance. Sandrine n'est pas rassasiée, et l'aide à bloquer ainsi mes deux tétons. Puis vient la perceuse, je frémis, je voudrais supplier, je me débats, Sandrine écrase mes couilles pour me calmer, elle pose un pied dessus et y met tout son poids, je m'effondre, à moitié inconscient. Elles préférent me ligoter sur la table basse, lieu de mes tortures les plus terribles, les quatre membres aux quatre pieds. Sandrine tire sur la pince de mon téton droit pour le dégager, et sans même hésiter, Mère appuie la mèche et lance la perceuse. Le bruit est étrange, le sang gicle un peu, la douleur n'est pas si terrible que je pensais, sans doute la pince bloque-t-elle un peu les nerfs? La vision du foret qui traverse mon téton est d'une cruauté folle, je trouve cela excitant, mon sexe aimerait en jouir. Mère fait bien coulisser la perceuse puis insère un anneau imposant dans mon téton. La douleur est sourde.

Elle regrette que je n'ai pas plus souffert, en tous cas que je n'ai pas plus manifester. Elles décident alors de faire un deuxième trou derrière le premier. Mon téton est si gros que cela est possible. La pince bloquante est déplacée, et Mère choisit alors une mèche encore plus grosse, elles sont folles. La déchirure est plus difficile, elle prend son temps aussi, Sandrine lui caresse le clitoris tantis qu'elle perce, satisfaite de me voir tendue comme une liane, la bouche ouverte dans un cri silencieux. Pourquoi dois-je tant souffrir? Cette fois c'est une barrette qu'elle insère, propulsant l'anneau dans une offrande obscène. Je suis brisée, épuisée, morte presque. Et il faut faire le deuxième téton.

Sandrine varie sa positin, et repose un pied sur mes couilles pour les écraser pendant le perçage, tout en tirant sur l'anneau du premier téton. Je tourne la tête dans tous les sens, j'ai peur de ne pas mourir, et j'ai raison, je survis, mais dans quel état. Mes tétons sont juste déchirés, ma poitrine lacérée, et j'ai toujours ce long gode en moi, comme un serpent qui me possède. Instatiable, Mère prend mon gland, et le perce de bout en bout, cela prend un temps fou. Les sensations sont très fortes, et les femmes incrédulent, me voient jouir au milieu des flots de sang et de chair. Je hurle mon plaisir, je suis secoué de spasmes sans fin, et je m'évanouis.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

De plus en plus Trash, il ne lui reste plus que le suicide pour être délivré de ses 2 torsionnaires sadiques

OlivX

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Vraiment diabolique.

Quelle imagination perverse !

Un seul mot : j'adore.

Rudy

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

J'adore le récit et les transformations physiques, par contre c'est dommage que certains passages gâche un peu tout le reste... le gode de 150 CM, 1 M50... cela en devient grotesque. Et c'est dommage car j'adore tout tes récits.

Claude

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Esclave de Mère - Ch. 02 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Chute d'une héritière Ch. 01 Madame nous allons vous asservir ici vous n'êtes plus rien.
Les Bijoux de Florence NICOLE et les bijoux de florence.
Gang-bang d'une Femme Riche Une femme riche et mature subit un gang-bang contre son gré.,,
Un Centre Pour Roux Ch. 01 Marguerite découvre des esclaves expérientées.
Plus d'histoires