Esclave de Mère - Ch. 03

Informations sur Récit
Je subis mes premières transformations
4.4k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 08/05/2023
Créé 07/27/2022
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Les quinze jours les plus longs de ma misérable vie. Je n'ai presque pas dormi tant les souffrances se sont développées. Je ne quitte mon bâillon que pour boire et manger ma pitance, faite de reste, d'une boîte pour chien, et d'une potion de Sandrine. Ma bouche reste béante, Sandrine pense qu'il ne faut pas plus de deux mois pour que les muscles ne fonctionnent plus, avec l'aide d'une injection de Botox qu'elle m'a faite et va renouveler pour rendre ces muscles inutiles. Je ne pourrais plus que manger de la nourriture prémâchée. Je prends cela comme cela vient, je suis à chaque instant plus convaincue que je mérite parfaitement tout ce qu'elles me font subir, que j'ai une chance folle d'avoir deux si belles femmes, et que le plaisir d'assister à leurs ébats, parfois violents et cruelles entre elles, est un vrai plaisir.

Comme promis par Mère, j'ai changé de gode au bout de huit jours. Mon cul et tout le bas de mon corps étaient anesthésiés. Le gode était nickel, rien ne sort plus par mon cul, et, bénéfice suprême, je ne pète plus! Cela ne semble rien, mais cela permet un port du gode autrement plus confortable. Elle l'a remplacé par un gode de neuf centimètres, la taille intermédiaire n'existant pas. Cela peut sembler peu de passer de huit à neuf centimètres, mais cela augme la surface de près de 25%, et le volume encore plus! Et comme il est assez court, une vingtaine de centimètre, Mère s'est mise en tête de l'enfoncer totalement dans sa femelle, moi.

Mon muscle est totalement inutile maintenant, mais les chairs doivent s'écarter. Je souffre le martyre de le sentir progresser, et ce n'est jamais assez pour Mère. Elle me force à m'asseoir dessus, c'est juste une torture, malgré la grande quantité de lubrifiant. Je vais et je viens dessus, pleurant à chaudes larmes, la regardant pour la supplier, mais rien n'y fait, je le sais bien, jamais Mère ne revient en arrière.

Les muscles me tirent dans les jambes, la sensation est horrible, alors même que je viens de le mettre, et Mère de le verrouiller au corset. Sous les rires des deux femmes je me déplace à quatre pattes, incapable de me redresser, j'arrive juste à me tenir à genoux. Je pleure tant, mais cela ne provque que des rires de leur part, et Mère me rappelle sa promesse et que je n'en suis qu'au début.

Elle me demande si je veux partir, comme cela, d'un coup, que tout peu s'arrêter. Elle n'a pas prémédité sa demande, Sandrine semble choquée, les deux femmes regardent ma réaction. Je me jette aux pieds de Mère, puis de Sandrine, comme un chien fou, ce serait le pire qui puisse m'arriver, je suis à Elles. Mère me repousse d'un coup de pied violent, souriant à son amoureuse, et lui disant que je suis bien faite pour cela!

Les deux femmes contemplent l'œuvre de Sandrine. Bien qu'encore trop ferme, cela va évoluer, ma poitrine a poussé comme une folle. Je possède deux obus qui pèsent et pendent sous moi quand je marche. La douleur se calme progressivement, ou alors je m'y suis faite. Les auréoles sont étrangement petites et sombres, tandis que les tétons font la taille d'une phalange. Comme Sandrine l'a prévu, ils sont ultrasensibles et le moindre souffle d'air est douloureux. Je n'ai pas tellement eu le temps de m'habituer à avoir un tel poids, mais devant marcher à quatre pattes, cela n'est pas trop difficile. Les deux femmes me massent souvent les seins, ce qui est pour l'instant très douloureux, mais ne sont pas allées plus loin dans leur utilisation. Le résultat est dingue. Mère décide que nous retournions chez C&A pour trouver une brassière et une blouse qui irait avec.

Avant, elles décident de s'occuper de mon sac fermé depuis 15 jours. L'odeur est épouvantable et l'aspect l'est tout autant. Cela ne ressemble à rien, mon sexe est transpercé de toutes parts, comme mes couilles. Elles m'envoient me nettoyer et mettre tout cela au clair. Déjà je bande sous leurs rires méprisants, tellement heureux de récupérer, même quelques instants, ma queue chérie. Elle n'est pas si blessée, et une fois tout nettoyer, a un aspect presque normal.

Sandrine tient des anneaux en main et me les enfile autour de la peau des couilles. Le premier a une barre séparant chaque couille, les suivants viennent alourdir le poids, mais surtout les tirer en les éloignant de la base de mon sexe. Sandrine fait coulisser ma peau, qui est tendue comme un arc, mes couilles sont très dessinées, écrasées et douloureuses, mais elle continue à ajouter des anneaux qu'elle visse ensuite. La douleur dans mes couilles est très forte, elles sont déjà violettes quand elle s'arrête et admire son travail.

- Chaque semaine, un anneau de plus, cela va être splendide! Et en plus les coups du matin et du soir vont être tellement plus douloureux. Tu as voulu rester, n'est-ce pas?

Elle n'attend pas de réponse, tapote mes couilles doucement, me faisant sauter à chaque fois, et surtout craindre le pire pour mes coups du soir et du matin. Ces femmes sont tellement cruelles avec moi.

Sandrine m'enfonce dans l'urètre un long tuyau métallique, très large, qui a du mal à passer. Il fait peut-être un centimètre de diamètre. Elle force, lubrifie, continue à pousser. Les sensations sont étranges, je sens des valves qui cèdent, jusqu'à ce que seule la pointe du tuyau n'émerge. Je dois en avoir 20 ou 25 centimètres en moi. Elle prend un petit élastique et l'étire au maximum pour le laisser se refermer à la base de mon gland. La tension est très forte, cela brûle, le tuyau ne bouge pas. Elle répète l'opération une dizaine de fois sur tout la longueur de ma queue qui ressemble à un saucisson tordu dans tous les sens. Chaque mouvement est très douloureux. Ma queue est retournée entre mes jambes pour disparaître, attachée à la base du gode qui me déchire. Mère m'a remis le huit centimètres pour sortir, car je ne pourrais pas encore marcher avec l'autre!

Dans la rue, je suis carrément indécente et provoque plusieurs accidents piétonniers. Mère a enlevé le corset, trop provocant, mais ma taille s'est quand même bien réduite. Ma jupette du coup tombe sur mes hanches, me couvrant un peu plus. Cependant, le T-shirt arrive à peine sous les seins, dévoilant mon nombril, et surtout mettant en valeur ma poitrine énorme et ma taille si serrée. Je suis un fantasme masculin. Chez C&A la vendeuse est stupéfaite, se demande comment m'habiller. Elle me fait rentrer dans une cabine, ôte mon T-shirt, et se permet de toucher ma poitrine. Comme je ne dis rien, qu'au contraire je mets les mains dans le dos, elle ne se prive pas de me peloter longuement, et même de m'embrasser. La douleur dans mon sexe est terrible, mais je goutte ce baiser volé. Ces caresses sont sensuelles, je profite pour la première fois de mes nouveaux seins.

Deux solutions, soit un grand sweat sans forme, ce que Mère réfute catégoriquement, soit alors une brassière, très à la mode actuellement, qui est prévue pour arriver sous les seins et laisser le ventre libre. Mère en choisis plusieurs, et je me trouve encore plus affolante ainsi. La vendeuse leur vend une autre jupe en taille 30, celle-ci étant trop grande. Elle me propose de l'essayer, et Mère lui demande de m'accompagner, se doutant bien de l'émoi que je provoque chez elle.

Quand je fais tomber ma jupe, la vendeuse est statufiée. Je suis nue devant elle, qui découvre mes couilles suppliciées, mon sexe nullifié, mon cul dilaté. Mes seins sont vrais, elle en est certaine, elle me trouve affolante. Une main dans sa culotte, elle me caresse les couilles, remarque comme je m'offre, pince les couilles, les écrase violemment, tandis qu'elle murmure son orgasme qui n'en finit pas. Incroyable comme elle jouit longtemps. Sans prévenir elle me gifle, une fois, deux fois, jusqu'à ce que je sois toute rouge, et dans l'incompréhension. Bien entendu je n'ai rien dit, je n'en ai pas le droit. Elle prend des photos de moi sous toutes les coutures.

- Votre fille a beaucoup de trésors cachés en elle

- Vous avez vu?

- Très intéressant en effet. Si vous avez besoin d'une baby Sitter, ne manquez pas de m'appeler.

- C'est une bonne idée, elle semble avoir eu très chaud là-bas, ses joues sont toutes marquées.

- Cela vous ennuie?

- Mais non! Elle est faite pour cela.

- Je vous confirme! La jupe en 30 est serrée, mais je pense que sa taille va s'affiner, cela lui ira très bien.

- J'aurais voulu qu'elle s'arrête à 32

- Pourquoi continuer alors?

- La laisser libre de tous corsets est insupportable comme idée

- Je comprends, il faut accepter la nature.

- D'autant qu'elle doit subir une opération pour lui enlever six cotes.

- Oh ce sera magnifique alors! Peut-être l'habiller sur mesure, ou alors seulement en tenue fétichistes.

- Oui c'est notre projet

- Pas assez d'enfant ont des mères comme vous!

- Merci, je ne manquerai pas de vous recontacter.

Tout le monde me regarde, mes seins sont moulés, on devine le mamelon et le téton est nettement visible. Je crois que je serais moins provocante nue. La jupe en trente marques bien ma taille, je vois le regard des hommes éberlué. Je les comprends, je m'excite moi-même.

Sandrine nous rejoint, pour fêter ces 15 jours, elles vont me poser mon collier d'esclave. C'est une boutique de piercing vendant de nombreux articles en métal, en particulier des colliers. La taille est vite prise, nous avons de la chance, c'est la plus petite disponible. Le collier est large, peut-être cinq centimètre, épais, et du coup très lourd. Mère choisit une fermeture définitive. Un ressort se ferme et ne peut plus être retiré. Bien entendu je confirme au vendeur mon accord, et Mère sort ma carte d'identité. Il s'y reprend à plusieurs fois pour faire le lien entre ma carte et mon apparence, il hésite, puis prend la carte de Mère.

- Vous êtes sa Mère?

- Eh oui, je ne suis pas parfaite!

- C'est fou comme histoire, j'ai déjà vu plein de choses, mais là cela dépasse mon entendement.

- Cela vous pose un problème

- Oh non, bien au contraire, c'est parfait.

Il laisse Mère et Sandrine fermer le collier qui vient appuyer sur les clavicules. Il est néanmoins bien serré et compresse légèrement mon cou. Un anneau au centre permet d'y attacher une laisse que le vendeur vend avec, une chaîne très courte et une poignée en cuir. Un autre anneau à l'arrière, permet de me tenir en laisse à 4 pattes, ce qui semble bien plus pratique. Je suis aux anges, les miroirs me renvoient une image de folie. Là aussi, tout le monde nous regarde dans le magasin. Nous reviendrons pour des tatouages ou piercing promet Mère. Le vendeur semble impatient. Mère ne veut pas trop provoquer dans la rue, et ne met pas la laisse pour me sortir, mais les réactions sont quand même très explicites, à la grande joie des deux femmes. Je baisse la tête, heureuse malgré tout de provoquer cette excitation.

Je suis mise à nue dès rentrée à la maison, enculée avec le gode de neuf centimètres et la laisse en place sur l'anneau du cou. Comme je n'ai pas encore remis mon corset, Mère décide d'une séance de flagellation sur tout le corps. Je suis suspendue par les mains, les jambes écartelées, c'est douloureux avec le gode qui appuie sur mes organes. Evidemment elles s'en moquent, et je pense qu'elles ne le savent même pas. Les coups de badine pleuvent sur mes magnifiques seins, les striant profondément, me faisant hurler dans le bâillon quand mes tétons sont effleurés. Le ventre n'est pas épargné et je m'évanouis quand une mèche fini sur mes couilles. Réveillé par les deux furies qui n'ont pas arrêté pour autant de me marquer, d'un côté comme de l'autre. Je suis fiévreux, je souffre tant, je me demande comment mon cœur fait pour tenir. Le pire c'est que je les aime chaque fois un peu plus, et je ne sais comment les remercier quand enfin elles arrêtent le supplice.

Mère veut attacher mes seins, mais Sandrine lui demande quelques jours de patience, que tout le produit soit bien intégré, se demandant si mes seins vont continuer à grossir ou non, le résultat dépassant ses espérances les plus folles. Mais mes tétons leur sont offerts. Les deux femmes sont prises d'une violence folle et passent l'heure suivante à me faire hurler par le biais de mes tétons. Mère prend deux pinces crantées, et les écrase le plus fort possible, avant de les tirer autant que possible. Je gigote en vain, la douleur est fulgurante, tellement pointue, mais me provoque une excitation folle dans le sexe! Il bande malgré ses contraintes, ce qui ne fait que renforcer la furie des filles.

Je reçois ainsi un pic à brochette dans chaque téton, m'arrachant un cri de douleur inouï, ainsi qu'un flot de sang, provoquant leur colère. Mère allume une bougie pour chauffer les pics qui me brûlent de l'intérieur, portés au rouge, cela les fait beaucoup rire, et le supplice dure longtemps. Enfin Mère décide d'attacher mes pieds à mes tétons, qui sont totalement étirés, sans que je n'arrive à les soulager. Elles me regardent ainsi, avant d'aller se doucher et se reposer, tandis que je vis un calvaire, ma vie de tous les jours. Avant de me laisser, Sandrine m'annonce que demain je fais ma première visite à la clinique, sans m'en dire plus. Je n'ai pas le temps de cogiter, j'essaie de sauver mes tétons de l'arrachement!

***

Je suis un peu dans le brouillard, mais la douleur à mon visage me réveille brutalement. J'essaie d'ouvrir les yeux, mais j'ai un bandage qui couvre toute la tête, et je ne vois rien.

- Ne bouge pas petite chienne, tu es à la clinique, et tu vas y rester deux jours avant de finir ta convalescence à la maison. Tu vas voir, tu vas être gâtée par le résultat, mais aussi par la douleur, j'ai supprime tout antalgique, c'est bien plus intéressant.

La voix de Sandrine me rassure, et je me souviens ce matin être venue à la clinique très tôt, avant que le personnel ne soit là. Et puis plus rien. Contrairement à ce qu'elle m'a dit, Sandrine m'a totalement anesthésiée pour ... pour je ne sais pas quoi, elle ne me dit rien, elle est sortie, je le sens, il n'y a personne dans la pièce.

J'ai les bras et les cuisses attachés, la tête maintenue en place, mes mouvements sont impossibles. Sans doute pour m'éviter de me blesser. Cependant, si j'ai été anesthésiée, je comprends que je n'ai pas d'antalgique effectivement, tant je souffre de partout dans mon corps. C'est difficile de penser à autre chose. Certaines de ces douleurs me sont bien connues, comme le gode dans le cul, très inconfortable dans cette position, le corset trop serré, mes couilles étirées (Ouf, je les ai encore), et mon sexe contraint. Non cela s'est passé ailleurs.

Au niveau des pieds ou des chevilles, je sens comme un plâtre, une douleur sourde que je ne sais pas bien analyser. Il s'est passé quelque chose au niveau de mes pieds, mais je n'arrive pas à imaginer quoi. Le reste c'est au niveau du visage, j'ai mal à peu près partout de la gorge aux oreilles, en passant par la bouche ou le nez. Je sens une paille insérée dans mon palais, je peux boire. J'aspire, et, rassurée, je sens le champagne de mes Maîtresses remplir ma gorge. En avalant j'essaie de crier tant la brûlure est vive, mais rien ne sort.

En fait dès le lendemain, je suis déplacée, et je reconnais l'appartement de Mère. Je suis placée dans la chambre d'ami, sur le sommier métallique sans même un matelas. Rien ne m'est épargné. A nouveau attachée, je ne dois pas bouger pendant deux semaines! Cela me paraît fou, presque des vacances. Evidemment, Mère a pensé à tout, et ce ne sont pas des vacances.

Le sommier métallique permet d'installer une machine dessous, à laquelle est lié le gode, et je me fais enculer en permanence, à des rythmes très variables, avec comme seule respiration, quand je dois subir le nettoyage en profondeur de mes intestins. Je me demande ce qu'il doit rester de mon cul après ces quinze jours de sodomie en continue. J'avoue que j'adore cette sensation, c'est épuisant, mais je m'y habitue et je dors très bien avec. Je me demande si cela ne va pas me manquer terriblement ensuite!

Mère invente d'autres jeux bien moins drôles, comme les aiguilles enfoncées dans mes couilles de plus en plus étirées, et reliées à une centrale électrique, qui délivre des décharges variables, mais toujours très fortes, me faisant sauter de douleur. Mon gland a droit au même traitement, mes organes sont électrocutés sans cesse, quand ils ne sont pas battus avec une cuillère en bois.

Cela semble anodin, mais c'est absolument redoutable. Je n'ai pas de bâillon, et je remarque que je ne peux pas crier, aucun son ne sort. J'ai essayé de parler, rien non plus, pas même un souffle rauque, juste de l'air. Je dois bien réaliser que je ne pourrais plus jamais parler. Telle est la volonté de Mère et de Sandrine. De toute façon, ces dernières semaines, à part crier, je n'ai pas dit un seul mot, et je ne vois pas ce que j'aurais pu dire!

Mère adore jouer avec mon opulente poitrine, et j'adore les sensations qu'elle me renvoit, c'est tellement, tellement excitant. Mais parfois douloureux aussi, surtout au niveau des tétons. Mère me susurre qu'elle va me percer les tétons, et qu'avec Sandrine elles ont décidé de procéder de façon originale, elles ont acheté une perceuse avec des mèches à bois, pour me percer directement en un très gros diamètre. Avec une perceuse! C'est un nouveau plaisir qu'Elle découvre, que de m'annoncer les choses, sentir ma terreur, puis mon acceptation ensuite. Je les sens qui s'embrassent et jouissent de me voir ainsi sauter avec des décharges d'une rare violence, je me demande si elles ne m'ont pas branché sur du 220 volts.

***

Tous mes bandages ont été enlevés, mes yeux restent fermés par du scotch. Mère me fait une nouvelle couleur pour rétablir une harmonie dans mes cheveux, qu'elle lisse avec application ensuite. Les yeux toujours fermés, je passe les quelques jours suivant à récupérer mes chevilles et mes pieds. Stupéfait je réalise que je ne peux plus poser le talon par terre au risque de tomber en arrière.

- J'ai réduit ton tendon d'achille de 90% de sa longueur, tu ne peux plus marcher, sinon qu'avec des chaussures à très haut talon. Tu vas t'entraîner ces prochains jours, et tu ne porteras plus que cela, parfois un peu plus, mais jamais moins. Comme ton pied, bien que faisant un petit 36, était trop large, je t'ai brisé quelques os, pour le réduire, et maintenant tu entres très bien dans un 36 pour femme. Nous t'avons pris quelques paires, cela va te plaire, tu seras moins petite.

Le grand jour arrive enfin où mes yeux vont pouvoir être décollés. J'ai eu un peu peur qu'elles aient décidé aussi de me maintenir dans le noir! Je me suis entraîné à marcher avec les stilettos, et franchement, j'ai l'impression que c'est comme mes ballerines, puisque le talon vient naturellement suppléer mon tendon d'achille réduit. Je dois encore apprendre à me déhancher un peu, mais le poids de mes seins m'y incite naturellement. Je me suis déjà habituée à eux, à leur poids, à leur balancement, au plaisir et à la douleur induits.

Il me faut du temps pour m'habituer à la lumière, vive en cet été. Je suis debout sur mes escarpins, face à une grande glace, que je n'ose pas regarder tout de suite. Mère est assise dans le canapé, la jupe retroussée, sans culotte, une main enfoncée dans sa chatte, c'est très excitant. Sandrine semble plus tendue, comme si elle était inquiète de ma réaction, ce qui n' pas de sens, je suis une esclave. Et contrairement à ce que pensais Mère, j'en suis pleinement heureuse.

Je ne leur dit pas, je crois que cela les mettrait en fureur!

Une inconnue me fait face, me sourit, fait des grimaces, se touche, se contemple. Je ne me ressemble plus, tout a été retouché, souvent subtilement comme le nez ou les oreilles, parfois plus fortement comme les pommettes, les yeux de biche que j'ai maintenant, ou la bouche rose profond et un peu gonflée. Avec les cheveux blonds lissés, je ressemble à une jeune fille fraîche et naïve. Le collier est en totale contradiction avec cette image, ce qui la rend très érotique, surtout avec de si gros seins et le crorset rose. Mes jambes semblent interminables avec ces chaussures, je me trouve incroyablement belle. A un détail près évidemment.

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