En Thérapie Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Vous aimeriez me voir nue?

- Vous aimez vous exhiber? (mais oui bien entendu que je veux la voir nue, que je ferais tout pour la voir nue, la caresser, la baiser, la faire jouir. Oui, oui, mille fois oui).

- J'aime être regardée oui, mais je trouve que c'est plus intéressant habillée, cela laisse deviner sans tout dévoiler. En fait, c'est drôle je n'y avais jamais pensé, c'est comme faire l'amour sans jouir, du coup le désir reste intact. Alors qu'une fois nue, on ne peut pas aller plus loin.

- Pourquoi aimez-vous ainsi susciter le désir?

- Parce que je suis très narcissique, et parce que j'aime frustrer les hommes, les punir de leur libido. Et mesurer mon pouvoir.

- Les punir?

- Vous vous souvenez de votre discours sur il ne faut pas que cela recommence?

- Oui

- Eh bien ce n'est que de l'hypocrisie, vous rêvez nuit et jour que cela recommence

- Mais alors pourquoi je vous aurais demandé d'arrêter de me provoquer

- Votre surmoi professionnel, et parce que vous êtes un putain de phallocrate et que vous n'admettez pas être soumis à une femme

- Tous les hommes sont des phallocrates? (elle se trompe, je ne rêve que de cela, mais je n'ose pas!)

- Normal, notre société est phallocrate, pourquoi ne pas assumer. Vous voyez au moins Jean il assume. C'est ma petite femelle, pas une femme, une femelle, soumise, obéissante, ouverte, disponible et bien dressée.

- Vous êtes tous les deux satisfaits de la relation?

- Lui oui complètement, moi j'ai envie de plus.

- Plus de quoi?

- Plus d'émotions et de transgression. Vous savez j'adore revoir la vidéo quand vous m'avez prise sur votre bureau? C'est tellement érotique et en même tant transgressif! Un thérapeute réputé qui baise sa jolie patiente à la fin d'une séance, cela ferait les grands titres non?

- Quoi?!? Quelle vidéo (mais non de dieu!)

- Ben oui j'ai mis mon portable pour nous filmer, j'adore garder des souvenirs des moments si forts. Se faire baiser par son thérapeute dans son bureau, cela n'arrive pas tous les jours quand même. (sa voix faussement naïve et sensuelle me rend dingue)

- Mais, mais vous ne pouvez pas faire cela!

- Oh rassurez-vous je n'en parlerai pas à votre superviseur ni même à votre société psychanalytique. C'est entre nous deux, vous ne croyez pas? Cela vous ferait tellement de tort, et je n'ai pas envie de vous faire du tort, enfin pas comme cela!

Effondré je la vois se caresser plus fébrilement à cette idée et se mettre à jouir alors que je me prends la tête dans les mains. Cette fille tient ma réputation entre ses mains. Sans même me menacer directement. Je regrette tellement. Je savais avoir fait une grosse connerie, je suis grand je vais assumer, ce n'est pas grave car pas passible de prison. Je m'en remettrai. Ou pas d'ailleurs. Parce qu'elle aurait bien d'autres choses à raconter. Mais en fait je ne regrette pas. Je suis pris dans sa toile et j'en suis content. Un peu comme sa femelle comme elle dit.

- Vous avez vu ma bague? (Elle reprend comme si rien ne s'était passé, comme si elle ne me sentait pas dans un état de destruction avancé à ses côtés. Cette femme est un poison, un poison auquel je veux encore goûter jusqu'à disparaître)

- Oui elle est magnifique!

- C'est ma petite chienne qui me l'a offerte. Un diamant de qualité D. Quand j'ai appris cela, j'ai été vexée, je veux que tu A voire du AAA mais en fait D c'est la qualité la plus claire, je ne savais pas. Vous le saviez-vous?

- Non en effet. Et pourquoi ce cadeau?

- Il m'a demandée en mariage pour les deux ans de notre première fois!

- Deux... deux ans!!!

- Mais oui c'était samedi dernier! Vous ne me demandez pas si j'ai accepté? Oui j'ai accepté. J'ai beaucoup d'affection pour lui.

- Mais vous m'aviez dit l'avoir rencontré après notre première séance il y a trois mois? (Tout allait tellement vite, je comprends du coup pourquoi et cela ne me rassure pas du tout. Qu'est-ce qui est vrai et faux dans ce qu'elle me dit?)

- Ah oui c'est vrai. Je voulais vous emmener avec moi dans l'histoire, c'était plus drôle. Vous ne trouvez pas que tout était très rapide! Moi je suis super rapide, mais lui un peu moins. Accepter d'être ainsi une petite femelle esclave de sa Maîtresse, ce n'est pas facile en trois mois. En deux ans, il a parfaitement intégré.

- Mon Dieu Katia.

- Madame! Je vous interdis de m'appeler par mon prénom! Vous vous prenez pour qui?

- Je vous demande pardon Madame, vous avez raison. (d'un coup j'ai eu très peur, je ne sais pas de quoi)

- Je voulais partager avec un thérapeute mes émotions, mieux les comprendre. A qui d'autre pourrais je en parler. Et qui est mieux placé que vous? J'ai trouvé cela plus amusant de revenir au point de départ et de revivre cela avec vous. Mais tout est vrai, pour répondre à votre interrogation. Je vous montre tout à l'heure, votre vidéo aussi, elle m'excite tant. Dommage que nous ne recommencions pas.

Je la sens très en colère, mais je suis abasourdi. Moi qui m'ennuie tellement dans la lenteur des séances, je suis servi. Je me suis fait manipuler bien au-delà de ce que je croyais. Je n'ai rien vu venir, rien maîtrisé. Mais pourquoi? Je ne suis plus capable de penser. Madame, donc, se lève et me montre la vidéo sur son portable, elle me l'envoie comme cela je pourrais me masturber dessus. Je me sens humilié, par la remarque, mais aussi parce que la vue de quelques secondes m'a en effet donné envie de jouir. Je la regarde de façon misérable mais avec une flamme qu'elle perçoit très bien. Je la sens se calmer et elle me traite de good boy en souriant. J'ai envie de pleurer.

Se doutant que je ne suis pas convaincu par tous ses récits, d'autant qu'elle m'a menti sur tellement de choses, elle m'envoie également de nombreuses photos de sa petite chienne. Des gros plans avec les tatouages dont elle m'a parlé, les piercings, les marques de fouets, les photos de pegging. Si je ne vois pas son soumis, elle est elle facilement reconnaissable, et achève de me convaincre. Comment autant de perversité se concentrent dans une si fascinante personne.

Je n'ai pas le temps de réaliser, elle me couche sur le divan, me dit qu'elle a envie de baiser, et sort mon sexe déjà dur comme une barre de fer et s'empale à califourchon sur moi. Son sexe est chaud et doux, mais elle m'avertit que si je joui, elle me coupe les couilles et envoie la vidéo à tout le monde. Je vois qu'elle a posé son portable et qu'elle nous filme à nouveau. Peu importe, je suis au paradis. Je la crois sur parole et contrôle mon plaisir en ne pensant qu'à des choses désagréables. Et pas à la réaction de mon superviseur, car je sais que cette image humiliante me ferait jouir instantanément. Timidement, sans savoir si j'ai le droit, je passe une main puis deux sous son corsage. Le contact de ses seins m'électrise, c'est au-delà de ce que j'imaginais comme sensation. Oh comme je comprends sa petite chienne pathétique, je ferais tout pour cette femme. Même si sa perversion sadique l'a amenée à interdire à sa chienne de la toucher et même de la regarder!

Je sors ses seins du corsage qui vole au-dessus de sa tête.. J'ai le souffle coupé par la cue de ses seins magnifiques. Mes doigts caressent ses tétons qui font tout petit par rapport à la taille de ses globes. Elle semble sensible des seins car elle se met à gémir plus fort et me demande de les serrer. Ils sont lourds, tout à fait naturel, c'est femme est un objet sexuel extrême. Je caresse son petit ventre, doux et souple.

Elle est en sueur mais semble insatiable, elle change de position et d'orifice pour s'enculer d'un coup, me faisant mal au sexe, sans égard évidemment. Mais sa douleur à elle est toute aussi forte, je la sens gémir de plus en plus jusqu'à exploser dans des cris stridents. Elle s'effondre sur moi et nous nous endormons ainsi. Trop d'émotions m'ont tué, je ne sais plus où j'en suis. J'ai juste une envie folle de jouir, encore et encore, tout en étant comblé de ce désir qui m'emporte totalement. Katia est la chose la plus incroyable, et de très loin, qui me soit arrivé dans la vie. Rien d'autre ne compte plus.

Quand je me réveille, la nuit est très avancée. Mon bureau est sens dessus dessous. Mon sexe est tellement dur, qu'il me gêne. Je vais me soulager aux toilettes. Ce n'est que par morceau que la situation me revient en tête. Je me demande ce qui va se passer maintenant. Sur mon téléphone j'ai plein de photos, je ne regarde qu'elle, tout comme la vidéo. Elle a raison, je me masturbe à nouveau dessus. Et puis un sms sibyllin, me disant à très bientôt. Je sais bien que je n'en ai pas fini. Et heureusement. Je dois avouer que la thérapie a été bien plus pour moi que pour elle. Elle n'a besoin de rien.

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Anonymous
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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

J'ai vraiment adoré... que dire d'autre ? Merci et une autre j'espère !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Toutes vos histoires sont vraiment incroyables... Bravo et merci!

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