En Perdition Ch. 04

Informations sur Récit
Je rentre dans les ordres d'Océane
3.2k mots
4.52
2.6k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 03/16/2024
Créé 01/03/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
meo75
meo75
61 Admirateurs

Le temps n'a plus cours dans ma cage nauséabonde. Je me plie à toutes les contraintes et les souffrances qui me sont proposées. Les chocs électriques ont repris pour m'épuiser, comme le sevrage d'urine dont je ne bois plus qu'un biberon par jour. Je ne suis jamais laissé sans supplices sur mes parties génitales ni sur mes tétons ou mon cul dont la souplesse me fascine. Mais tout ceci n'est qu'un détail, concentré que j'essaie d'être sur la voix qui m'inonde les oreilles, la voix de ma propriétaire qui me fait bander en permanence, comme le chien de Pavlov.

Elle m'énonce à longueur de journée la chienne que je suis, l'obéissance que je lui dois, la vénération qu'elle attend, les règles de ma vie future, la violence de son désir de me contraindre plus encore. Cela me remplit de bonheur et de joie de l'entendre, qu'elle se soucie de moi. Parfois j'ai la chance de la voir en vidéo, faisant l'amour avec un ou plusieurs hommes, ou suppliciant Nala que j'envie alors terriblement, tandis qu'avec les autres hommes, je suis comblé pour ma Maîtresse.

Le rituel monotone est interrompu, je suis sorti de ma cage, nettoyé au jet d'eau glacé, fouetté sur ma peau encore mouillée, la brûlure est en plus terrible, les marques visibles en volume. Je suis attaché sur un chariot, à genoux, des sangles liant mes cuisses et mes tibias, les mains retournées dans le dos, la tête soulevée par une minerve bien trop haute, mon gode reposant sur le chariot et s'enfonçant démesurément en mois. Je suis ainsi traîné dans une pièce bien plus chaude. J'attends là, d'une patience infinie, je ne sais quoi. Quand elle rentre. Je tressaille de tout mon corps, cherchant à me prosterner mais sans pouvoir le faire, baissant le regard de crainte de la courroucer, le sexe, laissé libre, déjà dur comme l'acier, prêt à exploser. Ma raison d'être est dans la même pièce que moi. Sublime, puissante comme toujours, dans une robe fleurie, serait-ce l'été? Son opulente poitrine me fascine, mais je baisse les yeux pour découvrir nala à ses pieds.

Elle est nue ou presque, tenue en laisse par un lourd anneau dans son nez. Elle a beaucoup changé, depuis quand suis-je donc ici? Elle a repris du poids, perdant son côté famélique, sauf à sa taille maintenue étranglée. Mais ce qui me frappe ce sont ses seins, qui me semblent plus étirés que jamais, cerclés dorénavant à leur base pas de très larges et lourds anneaux métalliques, les projetant en avant, ou plutôt vers le bas quand elle est à 4 pattes. Les veines sont visibles, et les seins plus étranglés que jamais. Elle ne peut aller travailler ainsi, d'autant que le non moins lourd collier à son cou, muni d'anneaux, est parfaitement explicite de sa position d'esclave.

Océane est triomphante, elle semble plus heureuse que jamais, j'en suis comblé, tandis que Nala tremble de tout son corps, je ne sais pas pourquoi.

- Il est prêt pour la phase 2 (C'est ma tortionnaire que je n'avais pas vu dans l'éclat de ma Maîtresse qui s'exprime). En fait cela fait longtemps qu'il est prêt, mais le renforcement est toujours intéressant.

- Voulez-vous me montrer?

La tortionnaire montre une tablette et les deux femmes devisent tranquillement sans que je ne comprenne exactement ce dont il s'agit. Peu importe, je me remplis de Maîtresse, fou de joie, une souffrance au sexe de ne pouvoir jouir ainsi.

- Et pour sa partie génitale?

- Vous la laissez ainsi!

- Vraiment?

- Oui, je veux qu'il passe sa journée à vouloir jouir et à jouir sans jamais être soulagé.

- Intéressant, donc même pas de cage.

- Non, j'aime son sexe ainsi, il sera encore plus... anachronique.

Les deux femmes rient, je n'ai pas compris, je m'en moque.

- Pour elle vous souhaitez quoi?

- Vous enlevez tout (Un cri rauque s'échappe de nala en pleurs)

- Les grandes lèvres?

- Vous les laissez, les petites vous les enlevez.

- Les seins?

- Ils sont très bien comme cela.

- D'accord alors c'est assez simple, quels sont vos projets?

- Je ne sais pas encore. Il y a trois semaines je l'ai laissée avec un simple imperméable sur un parking de routier, avec un panneau pute à routier!

- Oups! Cela a dû être l'orgie!

- Comme elle exècre les hommes oui elle a dégusté. Elle avait et a toujours d'ailleurs un tatouage demandant de la rapporter avec mon numéro de téléphone. Je ne l'ai récupérée que trois jours plus tard!

- Dans quel état?

- Un peu hagarde, n'ayant pas dormi ces trois jours étant passée de camions en camions. Une expérience à renouveler.

- D'où le désir d'ablation?

- Non cela c'est parce qu'elle m'a fait une réflexion sur le fait qu'elle était une femme, je veux qu'elle comprenne qu'elle n'est qu'une chienne, un animal de compagnie.

- Parfait, elle vous pourrez la récupérer jeudi matin, lui ce sera un peu plus long évidemment.

- Pendant que vous y êtes faites lui une électrocoagulation sur le cuir chevelu et sur les sourcils, elle sera parfaite ainsi et je pense comprendra définitivement sa place.

Nala est en pleurs, je ne sais pas ce qui m'attend moi, mais elle, c'est vraiment tellement sadique.

- Ne pleure pas, c'est inutile, et en plus tu devrais glapir de joie puisque j'ai décidé de te garder en animal de compagnie. Elle n'est pas belle la vie?

Océane donne la laisse à ma tortionnaire, et disparaît, je suis extatique. Ma tortionnaire applique sa matraque électrique sur mon sexe et mes couilles, mais rien n'y fait, je bande, ce qui la fait beaucoup rire. Elle l'enfonce dans le sexe coulant de nala qui se tord de douleur, la décharge n'en finit pas. Je suis fasciné par les obus maltraités de la chienne, source de souffrance inépuisable.

- Moi j'aurais coupé tout cela à vif...

***

Un mois plus tôt

Océane m'a fait dormir dans son lit, nous sommes tombés tous les deux épuisés par ces émotions et cette violence chez elle. A sept heures je l'entends se lever, aller détacher sa suppliciée qui hurle de souffrance, et ne reçoit que des remontrances. Elle vient se recoucher contre moi, nue tout comme je le suis. Ses mains me caressent, me réveillent tout à fait, je me retourne, nous nous embrassons passionnément. Mes mains s'égarent sur son corps doux et rond, découvrant chaque centimètre carré comme je ne l'ai jamais fait. Ses seins sont fermes malgré leur volume, le plaisir de les caresser est ineffable, je pourrais y passer des heures, mais elle me demande de lui faire l'amour. Cela me semble naturel à cet instant, quoique incongru avec la femme que j'ai pu découvrir hier.

Mes doigts descendent vers son sexe rebondi, s'insinue entre ses grandes lèvres, entourent son clitoris, je la sens se tendre, soupirer, je descends un peu plus, insinue un puis deux droits dans son sexe tendre et doux, je suis au paradis. Mon sexe est tendu comme un arc, et je pivote pour m'allonger sur elle, la pénétrer presque sans faire exprès tant elle est béante. Son soupir me comble, je sens son col buter contre mon gland, je vais et je viens doucement, m'appuyant sur mes coudes, guettant ses réactions, ses désirs.

Quand je la sens moins réactive, je la fais pivoter sur le ventre, elle se laisse faire, totalement passive, pense que je veux l'enculer, tendant ses fesses, mais non, je souhaite la prendre ainsi allongée, par le sexe, j'adore cette position qui donne toujours beaucoup de sensations aux deux partenaires. Son soupir confirme mon expérience, et je la prends longuement ainsi, retenant sans cesse mon plaisir, sans attendre non plus le sien qui, je le pense, est bien plus complexe à obtenir.

C'est elle qui dans des soupirs et cris plus forts me demande de jouir en elle, qu'elle veut sentir mon sperme remplir son vagin comme jamais, ses mots m'excitent et il ne me fait que quelques secondes pour jouir, dans un râle inouï, le sperme jaillit presque douloureusement d'avoir été aussi longuement retenu. Je m'écroule, épuisé. En synchronisation parfaite, la porte s'ouvre et une nala épuisée porte un plateau avec de quoi manger pour deux. Elle garde les yeux baissés, humiliés de voir l'amour de sa vie s'éclater avec moi tandis qu'elle a souffert toute la nuit. Océane lui fait nettoyer son sexe de la langue avant de la renvoyer.

Nous nous embrassons longuement, passionnément, jamais je n'ai autant aimé une femme.

- Je t'aime trop (La déclaration d'Océane me stupéfie et me ravit).

- C'est pour cela que tu es si sadique avec moi?

- Tu as pu voir que je suis très douce avec toi comparée à nala. Pour l'instant.

- Pour l'instant?

- J'ai envie de te dévorer

- Mmmhhh

- Pas certaine que tu apprécies autant que moi!

- Qui sait?

- Tu as raison, tu as des dispositions c'est très clair. J'ai envie de te prendre, te posséder complètement, te briser, t'annihiler, te posséder au creux de ma main, que tu sois en pleine dévotion, ne vivant que par et pour moi, dans la terreur de me déplaire, dans la contrainte et la sexualisation permanente.

- Mon Dieu! (Je suis tellement excité par la violence de son désir, même si j'ai une bonne idée au fond de ce qu'elle peut faire!)

- Cela semble te plaire, tu es dur que le fer

- J'avoue, cela m'excite terriblement.

- Tu sais, je ne veux pas te mentir, ce serait pire que Nala, elle c'est juste un déclencheur qui m'a ouvert la voie à ma vraie sexualité.

- Pire? Je n'ose imaginer.

- Oh toi tu n'as rien à imaginer, juste obéir.

- Et si je ne suis pas d'accord?

- Si tu n'es pas pleinement et fondamentalement d'accord, alors c'est le plus simple, je ne veux plus jamais te voir, t'entendre, savoir que tu existes!

- Mais! Mais pourquoi?

- Ce sont mes règles. Tu as tout le temps de réfléchir, toute ta vie même, aucune importance. Le jour où tu penses que tu es prêt et pleinement d'accord...

- Mais d'accord avec quoi exactement?

- Être brisé e détruit par moi, sans aucune limite, m'appartenir corps et âme et entrer dans mes ordres en pleine dévotion.

- Oui et bien?

- Le jour donc où tu te sens prêt, tu viens alors me voir et à l'instant où tu t'engages, je dis bien à l'instant, alors tu ne contrôles plus rien et tu es ma chose pour le restant de ta vie.

- Je... (Je suis éberlué, il y a un tel absolu, quelque chose de pur dans sa démarche. De complètement cinglée cela dit...)

- Fini ton café, quand je sors de la douche, tu seras parti, et tu reviens le jour om tu te décides.

- Et si je ne reviens jamais

- Eh bien voilà!

Océane se lève, je me remplis le regard de son corps voluptueux avant qu'il ne disparaisse dans la salle de bain. J'ai la tête qui tourne, envie de dormir, encore trop d'émotions. Nala est effondrée dans le salon, la poitrine salement abimée, les chevilles marquées, elle ne réagit même pas à ma présence. Quelle scène étrange. Je ne sais pas ce qui me prend, je la saisi par les hanches, la met à quatre pattes, et introduit mon sexe bandé dans le trou de son gode anal. Je m'enfonce sans résistance tant le trou est large, elle ne sent rien, c'est fou! Moi non plus je ne ressens rien, je plonge alors dans son sexe comprimé par le plug et je jouis très vite. Cela me soulage. Mécaniquement elle se retourne, me lèche le sexe, tandis que je m'habille.

Dans l'ascenseur, je suis toujours excité, un peu effaré de ce qui m'arrive. Dégrisé d'un coup, comme si un sortilège se rompait en sortant de cet appartement pervers. La rue me semble morte, les gens que je croise, vides, le bruit assourdi, la vie ralentie, inutile, grise. La sensation est étrange. Je pense à mon appartement. Je ne me vois pas y retourner là, comme revenir dans une vie antérieure. Je m'arrête abasourdi, perdu. Un banc et je m'assois, mes pensées sont confuses, est-ce que je fais un avec? Je regarde l'immeuble d'Océane, je pense à elle, au vide qu'elle laisse intentionnellement en m'abandonnant. Je me sens vide et seul, abandonné. Je m'allonge sur le banc, le sommeil vient vite.

La nuit est tombée à mon réveil, j'ai mal partout, j'ai dû dormir presque douze heures sans que personne ne vienne s'inquiéter de moi! Mon érection est phénoménale, cela me fait rire, c'est souvent le cas au réveil, comme si mon sexe gonflait pendant la nuit. La lumière est allumée à l'appartement. J'ai une boule au ventre, je voudrais réfléchir, mais je n'arrive pas à dépasser la pensée de me présenter à Océane. J'ai tellement envie de ce moment, envie d'entrer en totale dévotion à ses pieds. Le reste me fait peur, très peur, envie aussi, je sais que j'y ai pris du plaisir, de la densité, et si c'est le prix à payer, peu importe.

Je n'arrive pas à dépasser cette idée, cette scène, comme si mon esprit boguait. Sans le réaliser je me suis levé et je marche vers la porte d'entrée. Je m'annonce, je monte l'escalier, la porte s'ouvre, c'est Nala qui me précède, Océane est dans le canapé, elle me regarde venir, ses yeux sont étincelants, la tension est palpable. Je sais ce que je dois faire même si je me sens intimidé.

Je me mets à genoux devant elle, tête baissée :

- Je suis prêt à être tout à toi.

En réponse je reçois une claque magistrale qui me renverse.

- A qui penses-tu t'adresser? Je suis ta Déesse, je veux sentir ta dévotion, ton absolu désir.

Je me redresse groggy, comprenant évidemment ma bêtise.

- Déesse toute puissante, je sollicite l'honneur de Vous appartenir corps et âme comme Vous le désirez, ne vivre que par et pour Vous, ramper à chaque instant et vivre dans un désir infini de Vous servir, de Vous combler, de Vous obéir.

- C'est un peu mieux! Tu as mis du temps à venir te présenter à moi!

Je suis estomaqué, elle m'attendait donc.

- A partir de maintenant tu m'appartiens absolument. Pas question de rentrer un jour chez toi, d'aller un jour à ton travail, ni de donner des nouvelles à qui que ce soit, famille, connaissances ou autre. Ton téléphone ne t'est plus d'aucune utilité, comme ton cerveau, ne pense que par moi, ne réfléchis plus jamais, cela occasionnerait une punition à chaque fois. Est-ce compris?

- Oui Maîtresse

- Bien, tu ne prends aucune initiative, tu ne parles jamais le premier et seulement pour répondre à une de mes demandes. C'est compris?

- Oui Maîtresse.

- Bien, Nala sort la voiture nous avons un rendez-vous.

Aussitôt l'esclave bondit s'habiller, sort de l'appartement et nous charge devant l'immeuble dans une sublime limousine. Nous montons à l'arrière, Océane me fait me tenir à genoux sans rien me dire de plus. Je reconnais le Moulin Rouge en descendant de la voiture. Nous prenons une ruelle et entrons dans une échoppe de tatouage! J'ai le tournis, mais je ne dis rien.

Océane discute longuement avec le tatoueur qui semble bien la connaître, ce dernier ne me demande rien, me fait déshabiller et me colle sur le pubis un dessin qu'il décalque avant de commencer son travail. Il se marre de me voir bander en permanence malgré la douleur à cette zone très sensible. Je n'ai jamais bandé ainsi, c'est fou, je dois être drogué, mais c'est évidemment impossible. C'est douloureux, très douloureux, mais je ne dis rien. Océane est partie manger avec Nala. Lorsque le tatoueur a fini, il m'installe différemment et commence un second tatouage sur le côté du cou cette fois-ci, visible de tous en permanence. Je n'ose rien dire, fou que je suis, une fois commencé, que puis-je faire? Océane revient enfin, inspecte les deux tatouages et semble particulièrement satisfaite.

J'ai enfin le droit de les découvrir. Sur le cou, un cercle formé d'un fouet et au centre le signe d'appartenance en mathématiques avec les initiales de ma Propriétaire. Le tatouage est bleu, très fin, bien réalisé je dois l'avouer. Je ne sais trop quoi en penser, je sais que c'est définitif, en fait cela m'excite que la femme que je désire le plus au monde me possède ainsi! Au vu et au su de tous, c'est quand même très fort. Sur le pubis, c'est plus sombre, un homme enchaîné qui me ressemble, se fait sodomiser par une femme qui ressemble à Océane, et le mot en gras et grandes lettres : esclave. Les dés sont jetés, je ne peux plus rien faire. Il n'y a que cinq heures que je me suis livré à ma Maîtresse.

Maîtresse me demande si j'ai soif, et demande alors à Nala de me servir. Dans une ruelle sombre, il est deux heures du matin, la chienne écarte simplement sa robe, dévoilant son sexe nu et annelé. Je suis humilié de devoir boire son urine et non celle de ma divine Déesse, mais j'obtempère et même je m'applique sous le regard d'Océane qui contemple ma déchéance avec plaisir. Il est temps que ma pisseuse nous ramène à ma nouvelle maison. Dans la voiture je dois me faire jouir deux fois coup sur coup, nettoyer mes mains de ma langue, à genoux sur le tapis, c'est sordide, et cela ne me soulage en rien. Cela satisfaire Océane de me voir toujours aussi tendu vers elle. Plus que jamais. Je la désire tant et plus. Je ne sais pas pourquoi j'en suis dingue chaque seconde un peu plus.

Quand nous rentrons, Océane se déclare trop fatiguée pour quoi que ce soit. Elle ordonne à Nala d'aller dans sa cage, située dans sa chambre de torture, et décide de m'enfermer avec elle, tous les deux nus. Satisfaite de notre inconfort et certaine que la nuit sera longue pour nous, à peu de frais pour elle, nous la voyons disparaître. Les tatouages me brûlent, je suis particulièrement mal, le nez dans le trou béant de Nala, tandis que mon sexe est juste devant sa bouche, toujours aussi bandé, sinon encore plus dans cette proximité obligatoire et contraignante. Pourvu que je n'aie pas trop envie d'uriner. Je décide de pactiser avec elle, je lèche ses fesses, ce que je peux de son trou. Elle me rend la pareille et me fait jouir trois ou quatre fois dans la nuit. J'ai mal partout, je suis au paradis.

***

Les jours défilent, je ne les compte pas, je comprends que cela n'a aucun intérêt. Je ne vis aucune projection, mais chaque seconde qui passe, je suis incroyablement ancré dans le présent.

Cela fait trente jours que tu es enfermé ici. Nala s'est occupé de tout de ton ancienne vie, personne ne te cherche ni t'attend. Une voiture va venir te prendre, j'ai découvert un centre de dressage, Nala t'offre un traitement complet! 5Océane rit de sa blague puisqu'elle dépense l'argent de son objet de souffrance

meo75
meo75
61 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Superbe, je suis fan de vos histoires. La vie rêve de soumis. Merci

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Extra super

Rudy

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

En Perdition Ch. 03 Partie Précédente
En Perdition Info Série

Histoires SIMILAIRES

Véro Devient Pro (Chapitre 3) Véro découvre un nouvel aspect de ce métier.
A Genoux A submissive crossdresser story.
Self Domination Ch. 01 Deux amies d'enfance font la fête et se découvrent.