Emprise sur la Ville - Acte 03

BÊTA PUBLIQUE

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- Encule-moi! Encule-moi comme une chienne! disait-elle en se cambrant.

Jean Charles était stupéfait par la crudité du langage employé par la petite black. Elle qui lui avait semblé si sage à la messe, ici dans l'hôtel se montrait diabolique. Excité, raide comme un taureau, Jean-Charles présenta son sexe devant l'anus brun qui palpitant et entra d'un coup. Jean-Charles entendait Aiké gémir. Elle semblait excitée. Le Maire estima qu'elle jouissait presque sans arrêt. Elle serrait son cul autour du membre de son amant. Littéralement, elle le pompait avec son cul. Il jouit une nouvelle fois dans un grognement bestial avant de s'effondrer, épuisé sur le dos d'Aiké. Celle-ci, écrasée par le maire, ne bougeait pas. Elle en avait vu d'autres. Il venait de s'endormir sur elle. La nuit vit d'autre séance de baise torride et au matin, quand Aiké le pompa au réveil, Jean Charles avait les couilles totalement vides.

A la mairie, Marie-Christine remarqua son air fatigué.

- C'est Camille qui vous a mis dans cet état? osa-t-elle amusée.

- Non... euh oui, si on veut mais ce n'est pas ce que vous croyez...

- Oh je ne crois rien! Au fait, le dossier de votre rendez-vous de lundi. Il est revenu ce matin. Je n'ai jamais vu un dossier traiter aussi vite par le bureau des logements!

- Il faut croire qu'ils ont trouvé un moyen de travailler plus vite.

Jean Charles s'enferma dans son bureau et se précipita sur son téléphone pour annoncer la bonne nouvelle à Aiké.

Quelques jours plus tard, Aiké lui proposait de passer la voir dans son nouveau logement. Elle voulait tester son nouveau matelas. Quand il frappa à la porte, il la vit, vêtue d'une mini jupe et d'un soutien-gorge en cuir, chaussée d'escarpins vertigineux. Il en resta bouche bée. Elle le tira par la cravate pour le faire entrer et s'empressa de le mettre nu. Si la fois précédente elle avait été plus passive, là elle était beaucoup active. Elle se mit à genoux pour le sucer et lorsqu'il fut raide, au lieu de le finir, elle se releva pour le conduire au petit salon. Sur la table basse, il y avait une bouteille de champagne ouverte dans un seau à glace. Aiké s'assit dans le canapé en écartant bien ses cuisses.

- Et si tu nous servais, demanda-t-elle. Et ensuite, viens me lécher!

Jean-Charles ignorait que Marie avait entraînée Aiké à jouer ce rôle de dominante dans le donjon avec Aurélie Robin. L'homme ne se fit pas prier pour venir à genoux entre les cuisses de la jeune femme. Elle le tenait par les cheveux pour le guider là où elle le voulait.

- Humm lèche moi bien! Lèche bien partout...

Tandis qu'il la léchait, Aiké buvait son champagne. Puis elle attrapa un martinet posé à côté d'elle sur le canapé. Elle commença à caresser le dos et les fesses de l'homme à quatre pattes avec les lanières de cuir. Jean Charles frissonnait. Il n'avait jamais ressenti cela, il était excité, il bandait. Soudain, elle leva son bras ét abattit les lanières sur les fesses de l'homme. Il sursauta mais continua de la lécher.

- Tu aimes cela?

- Oh oui, c'est bon...

Elle releva le bras et abattit une nouvelle fois le martinet. Jean Charles gémissait. Aiké donna plusieurs coups sur la croupe qui commençait à rougir. Aiké coulait aussi abondamment dans la bouche du maire. Plus son excitation montait et plus elle frappait. Et plus elle frappait, plus Jean Charles était excité. Dans un dernier râle, Aiké jouit en inondant le visage de Jean Charles de sa mouille et lui donna un ultime coup de martinet qui fit éjaculer l'homme. Aiké plus habituée que Jean Charles à ces débordements de plaisir repris ses esprits la première.

- Regarde petit cochon, tu as souillé mon parquet! Il va te falloir nettoyer!

Jean Charles la regarda intriguée, il ne savait pas comment réagir.

- Avec ta langue, lèche!

Un peu honteux, il baissa la tête et commença à lécher la flaque de sperme sur le parquet. Malgré la honte qu'il ressentait à faire cela, il en était encore plus excité. Aiké le regardait faire. Elle prit la deuxième flûte de champagne.

- Tu as mérité ton champagne! Approche!

Jean Charles s'approcha et il vit Aiké incliner la flûte sur son bas ventre et fit couler l'alcool sur son corps d'ébène. L'alcool serpentait entre ses seins lourds et ruisselait sur son ventre avant de plonger dans les replis du sexe.

- Bois!

Il comprit rapidement ce qu'il avait à faire et but le liquide qui coulait entre les cuisses de la jeune africaine. Quand la coupe fut vide, elle se leva et entraîna Jean Charles dans la chambre.

- J'ai un matelas à tester, tu n'as pas oublié!

- Oh non! dit-il les yeux brillants.

Sur le lit, il découvrit un objet qu'il n'avait encore jamais vu que dans les films pronos qu'il regardait en cachette : un gode ceinture. Il se demandait ce qu'il faisait là puisqu'ils n'étaient que tous les deux dans cet appartement.

- Tu as vu mon jouet?

- Oui!

- Tu sais à quoi il sert...

- Oui je me doute...

Aiké sourit et enfila le gode. Elle appuya sur les épaules de Jean Charles qui se laissa mettre à genoux. Il avait le visage au niveau du sexe factice.

- Tu as aimé que je te suce avant de m'enculer?

- Oh oui! Ce fut divin!

- Alors, on va voir si tu es aussi capable que moi!

- Comment cela?

- Tu vas sucer ce gode et quand il sera bien lubrifié, je vais t'enculer!

- Mais...

- Quoi mais! Avoue que cela t'intrigue.

- Euh... Oui... répondit-il en baissant les yeux.

Jean Charles devait reconnaître que lorsqu'il faisait l'amour à Camille, il s'était toujours demandé ce qu'elle pouvait ressentir quand il la pénétrait. A genoux, il s'appliqua à lécher le gode, imitant en cela les actrices qu'il avait vu dans les films. Il essaya même de le prendre dans sa bouche mais il dut s'avouer vaincu. Il lui était impossible de le prendre entièrement dans sa gorge. Cela ne passait pas.

Aiké lui dit de se mettre en position sur le lit et elle vint derrière lui. Elle lui cracha sur l'anus et doucement elle fit pénétrer l'extrémité du gode dans son anus. Jean Charles serrait les dents. Il ne voulait pas montrer de faiblesse mais il sentait l'objet de latex lui perforer le cul. Lentement mais sûrement, Aiké entrait dans ses entrailles. Le Maire la sentit se pencher sur son dos. La petite black lui prit le sexe entre les mains et tout en allant et venant dans son cul. Elle le branlait. Rapidement il rebanda comme un âne et avec les aller et retour d'Aiké, il jouit de nouveau. Leur jeu dura de longues minutes pendant lesquelles Aiké se montra tour à tour autoritaire ou câline.

Quand Jean Charles rentra chez lui ce soir-là, il ne cherchait plus à s'approcher de Camille. Il venait de découvrir autre chose et il savait que son épouse ne pourrait pas le lui apporter.

***

Son monde s'écroula le lendemain, quand il découvrit dans une enveloppe déposée sur son bureau des photos de sa soirée de débauche avec Aiké. Avec juste un petit mot : "Appelle ce numéro!"

Ne voulant pas se soumettre à ce chantage, Jean Charles rangea l'enveloppe dans un tiroir de son bureau. Ce ne fut que dans l'après-midi qu'il appela Jacques, son ami, pour qu'il le conseille. Celui-ci lui demanda de passer chez lui le plus vite possible. Quand il arriva chez Jacques et Marie, le vieil homme l'attendait en souriant

- Jacques! Regardez!

Il lui tendit l'enveloppe et les photos.

- On dirait que tu t'es fait rattraper par la patrouille mon ami.

- Oui et pas qu'un peu, que me veulent ils? Qui ose s'en prendre à moi, me faire chanter?

- Je le sais, répondit Jacques calmement.

- Tu le sais?

- Oui!

- Dis moi! Je t'en prie... que je m'en occupe! Le juge saura comment les ramener à la raison...

- Oh sûrement oui, mais pas besoin d'aller voir le juge...

- Pourquoi?

- Car tes maîtres chanteurs c'est Marie et moi!

- Vous?

- Oui, nous! Mais pas pour ce que tu crois... nous ne convoitons pas ton poste, nous ne cherchons pas non plus à détruire ta carrière ou ta réputation, Jean Charles!

- Mais alors, pourquoi?

- Pour que tu nous obéisses que tu fasses ce que nous demanderons!

- Mais...

- Reconnais que tu as aimé obéir... Je te montre la vidéo avec Aike?

Jean Charles baissa la tête et rougit. Oui il avait aimé obéir à cette femme. Il avait aimé les lanières de l'artiste sur son cul, son dos, il avait aimé être enculer, devoir lécher son sperme sur le sol. Il ne répondit rien.

- Suis moi!

Jean Charles suivit Jacques derrière une épaisse porte métallique qui s'ouvrait sur un escalier. Au bas des marches, Jean Charles découvrit une immense pièce, sûrement plus grande que la maison, équipée de toutes sortes d'engins dont la destination était évidente. Un donjon! A l'autre bout de la pièce, il voyait Marie en cuissardes, équipée d'un énorme gode ceinture. Devant elle, deux femmes le visage recouvert d'un sac de toile noire, suspendues par les poignets au plafond. Elles poussaient des gémissements étouffés sous le sac, leurs bouches devaient être bâillonnées. Jean Charles regardait hypnotisé le corps de ces femmes couverts de stries rouge du au fouet.

- Tu vois, dit Jacques. Ces femmes sont ici depuis ce matin. Elles sont punies à cause de toi, car tu as attendu avant de venir...

- Déshabille-toi, lui dit Marie.

Jean Charles ôta ses vêtements sans chercher à protester. Quand il fut nu, Marie sortit un objet d'un tiroir et le montra à Jean-Charles. Il déglutit en voyant la cage de chasteté. Marie fixa l'objet sur le pénis ramolli du Maire.

- Je garde la clé. Bien sûr!

- Oui Marie!

- Maîtresse Marie, maintenant!

- Oui Maîtresse Marie.

Jean Charles ne savait plus que penser, il était à la fois effondré et excité. Libre et prisonnier. Il vit Marie détacher la plus mince des deux femmes et la conduire toujours aveuglée vers un pilori où elle l'installa. Elle lui mit une barre entre les chevilles pour la forcer à garder ses pieds bien écartés. Ses seins pendaient sous son torse à l'horizontal.

L'autre femme, très grosse avait les seins et ses grandes lèvres distendus, étirées par de lourds poids qui pendaient en se balançant lentement. Sur le moment, Jean Charles pensa qu'elle ressemblait à Aurélie Robin, l'amie du catéchisme de sa femme. Mais non, ce ne pouvait pas être elle, si pudique, toujours couverte. Il se souvenait d'elle si belle quelques années plus tôt, mais qui en moins d'un an avait grossi au point de devenir presque obèse. En observant attentivement, il se disait que les pinces devaient mordre cruellement dans sa chair car il pouvait voir des perles de sang. De voir cette femme ainsi maltraitée, il en était excité. Mais Jacques le sortit de sa rêverie.

- Ton premier devoir, Jean Charles, dit-il. Va être de lécher les trous de cette salope.

Jean Charles regarda le cul et la chatte de la femme installée sur le pilori. Il pouvait voir des traces de sperme s'en échapper.

- Tu vois, j'ai envie de profiter de ce joli cul mais... je ne veux tremper ma sueur dans le sperme des hommes qui l'ont défoncée depuis ce matin. Peut-être huit, dix, je ne sais plus! Mais pas grave... et je sais que tu aimes le sperme.

Jean Charles ne savait que dire, il ne pouvait pas refuser, mais accepter, était reconnaître qu'il n'était plus qu'un pantin entre leurs mains.

- Tu hésites, je comprends, dit Marie. Mais regarde ce cul! Pense au cul de ta femme! Combien de fois as-tu eu envie de la lécher?

Jean Charles craqua à nouveau. Oui, souvent il avait eu envie de faire cela à Camille. Il pensait à elle, il regardait cette croupe pâle fermé, oui, ça pourrait être le cul de Camille, mais non sa femme la professeure de philosophie, féministe, n'accepterait jamais de se faire baiser et enculer par une dizaine d'hommes. Jean Charles s'agenouilla derrière la captive et approcha son visage des fesses. Il commença à lécher à nettoyer le cul offert, ouvert et dilaté. Il nettoyait toutes les traces de sperme même sur les cuisses. Il appercut un tatouage près de la chatte de la femme, S-123. Il la lécha bien, passant sa langue dans tous les plis, la pointant dans le vagin et l'anus. Il l'entendait gémir au-dessus de lui. Excité, il sentait la cage meurtrir son sexe qui grossissant.

Quand il eut fini, il se releva. Jacques bandait. Il vit le vieil homme enculer la femme attachée sur le pilori et jouir sur les fesses striées par le fouet. Jean Charles lécha à nouveau pour nettoyer les fesses de tout le sperme de Jacques. Le couple le raccompagna dans le salon.

- Bien, tu as compris. Les photos et les vidéos, on les garde. Mais tu fais tout ce que l'on te demande, dit Jacques.

- Maintenant tu peux rentrer chez toi, dit Marie. Mais, une dernière chose. Interdiction de coucher avec Camille... tu te débrouilles pour lui expliquer, mais dès ce soir, vous faites chambre à part.

Moussa

Nue sur le fauteuil du tatoueur, Camille de Charette attendait depuis un moment. Elle n'avait gardé que le plug que Madame Marie lui imposait constamment. Moussa avait remarqué l'appréhension de la grande blonde quand elle était entrée dans la boutique. Il s'occupait de client pendant que la soumise attendait et, malicieusement, il laissa la porte de la cabine de tatouage entrouverte. Le gros biker qui choisissait un motif pour un futur projet lorgnait sur la blonde qui tentait de s'enfoncer dans le fond du fauteuil pour échapper aux regards.

Moussa adorait exhiber ses soumises. C'était son truc à lui. Il n'aimait pas la méthode de Joséphine Cherline. L'inspectrice envahissait ses victimes dans le vagin ou dans le cul jusqu'à ce qu'ils implorent sa clémence. Lui... il les exhibait et avec son engin, il les rendait accro.

- Vous regardez ma cliente qui attend Monsieur?

- Euh... oui un peu, avoua timidement le biker en rougissant.

- Elle ne sait pas ce qu'elle veut... Elle attend. Vous auriez une idée pour elle?

- Ben, non pas vraiment... bégaya le biker qui reluquait la plus belle femme qu'il avait vu de sa vie.

- Vous savez... lança Moussa, c'est une garce qui aime se montrer.

Quand Moussa entra finalement dans la cabine, la femme du Maire appréhendait que le biker ne le suive. Mais il était sorti.

- Tends ton bras, salope.

Rapidement, le grand black tatoua S-123 sur l'intérieur du poignet.

- Tu mouilles?

- Euh... oui un peu Maître.

- C'est normal. Tu deviens une vraie salope. On t'éduque pour cela.

La grande blonde regarda stupéfaite le tatoueur qui arborait sa chevalière aux deux anneaux.

- C'est terminé. Tu dois me payer maintenant.

Camille posa sa main sur la verge à travers le pantalon sans qu'aucun ordre ne soit énoncé. La braguette descendue, elle saisit le reptile encore mou pour le sortir à l'air libre. Moussa la regardait agir en bonne soumise. Quand la bouche lui prit son sexe, le black trésaillit de plaisir et sentit sa verge durcir rapidement jusqu'à remplir le gosier de la blonde qui l'enfonçait tout au fond. Jacques et Marie l'ont bien éduquée.

- A quatre pattes!

La professeure obtempéra tandis que Moussa admirait cette superbe silhouette. Il posa une caméra juste en face du visage de la soumise et une autre sur le côté.

- C'est pour un souvenir salope...

Il passa derrière elle et enduit sa monstrueuse verge toute veineuse de vaseline. Quand il ôta le plug, Camille se retourna vers Moussa.

Sois une bonne soumise. Fais pas chier sinon je vais te balancer à poil dehors... peut-être que des élèves te verront. Déjà qu'ils ont vu tes seins à la plage...

Docile, la professeure reprit sa place. Le black pénétra son index dans l'anus. Alors qu'il jouait avec l'orifice, il constatait les frissons parcourir le dos de la blonde. Finalement, il posa son gland dur sur la rondelle bien assouplie par le port du plug depuis des semaines et son traitement digital. Moussa poussa. Lentement l'orifice s'élargit sous les gémissements bruyants de Camille qui pleurait. Le cul céda enfin et l'épais mandrin commença sa pénétration. Le tatoueur envahissait lentement le ventre de la professeure de philosophie qui tremblait et suait. À peine arrivé à la moitié du pénis, la blonde commença à crier, à gémir, à hurler. Moussa n'avait cure des multiples orgasmes dans un océan de douleurs et d'humiliations qui secouaient la bourgeoise. Une fois enfoncé entièrement, le tatoueur commença un puissant va-et-vient mais, rapidement, la femme du Maire s'écroula. Malgré que le tatoueur la fessa durement, le corps évanoui ne bougeait pas. Moussa baisa d'autant plus fort sa proie et envahit son ventre de son jus.

Moussa s'affaira dans son magasin et attendit que la blonde se réveille.

- Alors salope de bourgeoise. Tu te réveilles enfin...

- Pardon Maître, fit Camille le visage défait, le mascara ayant coulé sur ses joues, ses longs cheveux blonds.

- Regarde salope. J'ai mis ta photo à ma collection de tatoués.

Moussa venait d'ouvrir la petite armoire où, à chaque numéro, correspondait une photo de soumise et une petite culotte. La professeure de philosophie vit un cliché d'elle associé au numéro 123. Elle était effarée du nombre de femmes et de quelques hommes sur ce tableau. Elle sursauta quand elle tomba sur la photo d'Aurélie Robin, son acolyte du catéchisme du mercredi après-midi. La secrétaire médicale était facilement reconnaissable avec son visage rond d'obèse.

Eléonore Bascoul - S-51

Eléonore suçait consciencement le sexe de son beau-père quand ce dernier annonça

- S-51, il est temps de parler sérieusement de l'avenir des deux vagins sur pattes que tu as pondu...

Comment peut-il parler de mes filles chéries, se dit la proviseure du lycée. Malgré sa profonde soumission à Martial et qu'elle éduqua Clémence et Cassandre comme lui ordonnait son Maître, son instinct maternel souffrait encore un peu du futur de ses filles qu'elle avait anticipé depuis longtemps. La femme avait cessé sa caresse buccale.

- Qui t'a autorisé à arrêter S-51? Si tu ne te ressaisis pas rapidement, ce sera la cave du foyer, et pas que pour un week-end...

Eléonore se remit à sucer le membre en érection.

- Bien donc pour les deux jolis culs. J'ai vu avec mon ami Bernard de Francouleur... Il va les prendre à son service! Elles commenceront dès la fin de l'année universitaire...

Le beau-père finit par éjaculer dans la bouche d'Eléonore.

- Montre que tu es contente! Souris! Et sert le dîner!

- Oui Maître, merci de prendre soin des filles!

***

Plus tard, la principale croisa Camille De Charette dans les escaliers du bâtiment B. Sur la rambarde, la main de la professeure de philosophie dévoila son poignet récemment tatoué. Éléonore aperçut le S-123.

- Oui, moi aussi je suis leur objet, nous sommes sœur maintenant, dit la proviseure en s'approchant de la professeure.

Eléonore réalisa alors qu'elle devait être responsable du statut de sa jeune collègue. Camille comprit l'étendue de son enfer. Il y a quelques mois, lors d'une soirée au lycée, Camille de Charette avait par jeu accepté le défi d'une de ses élèves, l'embrasser sur la bouche avec la langue, lui rouler une pelle. La boisson avait un peu trop coulé. Les dernières années, les BTS et les élèves de classe préparatoire restèrent avec les derniers profs encore debout. Ca et là on dansait encore. Ailleurs, on buvait en inventant des jeux débiles. Mais, lorsque la prof de philo embrassa l'élève en BTS Action Commerciale, Eléonore avait discrètement pris une photo de la scène amusée, ignorant que dès le lendemain, cette photo arriverait sur le téléphone de Marie et que deux jours plus tard, Camille serait à genoux entre les cuisses de sa Maîtresse, léchant une chatte pour la première fois de sa vie.

Alors qu'elles repartaient, Camille vers sa classe et Eléonore vers son bureau, une notification sur leur téléphone sonna l'arrivée d'un message. En le lisant, leur visage reflèta la peur. Elles se regardèrent toutes les deux un instant. Puis, Eléonore approcha son visage de celui de Camille qui fermait les yeux . Elle posa ses lèvres sur celle de la blonde pour un baiser qui commença doucement avant que leur langues ne se mélangent.