Emprise sur la Ville - Acte 03

BÊTA PUBLIQUE

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Une esclave d'un certain âge, aux cheveux grisonnants, avança dévoilant un corps maigre. Elle rejoignit le couple au centre qui l'accueillit à bras ouvert. Jacques l'embrassa tandis que ses mains la palpaient avec envie. Marie continuait à se frotter sur son pénis.

Moussa rejoignit Joséphine et la déshabilla. Sa toge au sol, l'inspectrice sourit au black. Elle s'agenouilla devant lui et elle prit sa verge monumentale dans sa bouche et le suça avec une extrême tendresse.

Dans un mouvement quasi instantané, une boule de chaleur monta dans le cœur de chacun, comme s'ils faisaient tous partie du même corps. Ils détachèrent leur regard du centre et se tournèrent vers leur esclave en nombre important. Ils se déshabillèrent mutuellement et s'étreignirent. Un des Maître vint fouetter Aïké sur l'autel. Un autre se retrouva dans les bras d'une vieille femme aux cheveux blancs dont les seins fripés se collèrent à sa peau. De l'autre côté du cercle, une Maîtresse déshabillait Martial qui caressait une jeune Africaine.

Le silence était impressionnant. Quelques hululements extérieurs parvenaient de temps en temps à le percer. L'odeur des victuailles que des soumises apportèrent commençait à monter et à envahir la chapelle dans laquelle l'orgie avait été préparée. La viande cuite embaumait et le poisson grillé agaçait les narines.

Moussa et Joséphine se regardèrent silencieusement un moment en s'embrassant, et comme le black fut accaparé par une magnifique jeune femme aux cheveux blonds, Joséphine se retourna vers le centre et rejoignit Jacques qui s'était agenouillé et caressait lentement les corps de Marie et de la femme aux cheveux grisonnants. Joséphine, au corps si musclé, s'agenouilla également et se blottit contre le corps tout chaud du vieil homme qui ne savait plus qui caresser. Il la regarda un instant en lui souriant gentiment et l'embrassa. Il sentit les petites mains de l'inspectrice se mêler à celles de l'autre femme sur son bas-ventre et dont le tâtonnement n'avait pour but que d'atteindre le sexe en pleine érection.

On mangeait goulûment. On examinait l'enlacement des corps, ces imbrications improbables de jambes, de bras, de seins, de sexes, de mains, de cheveux, de langues, de peaux. On riait à gorge déployée en s'embrassant, en se congratulant. Peu à peu, une clameur sourde et grave montait. Ça et là des amas de chair se formaient, se défaisaient. On caressait. On s'amusait. On donnait. Une communion extatique vibrait et grondait prenant chaque être par les tripes et provoquait des démangeaisons qui laisseraient une cicatrice indélébile sur les sensibilités des membres.

La parole n'est rien, tout est dans l'action. Ce soir-là, la Confrérie connut réellement la communion. Ils se dépouillaient de toutes les hontes dont les années les avaient emmaillotés.

Puis vint les jeux de cordes. On attacha par de subtils et complexes nœuds plusieurs esclaves avant que des cravaches les fouettent. Les hurlements commencèrent à monter. Sur l'autel, Aïké vibrait de douleur. Deux Maîtres la tourmentaient. De la cire blanche coulait sur son corps d'ébène et enrobait ses seins lourds et massifs d'une enveloppe blanche et luisante.

Isabelle Labrosse - S-73

Isabelle Labrosse était une pharmacienne d'une quarantaine d'années. Femme anodine avec des lunettes et des cheveux mi-long châtains, elle avait des hanches larges et son absence de poitrine accentuait un ventre un peu rebondi. Mariée depuis bien longtemps, la pharmacienne avait une prédilection pour le monde du BDSM. Elle s'était offerte à Maîtresse Marie après une rencontre sur un site spécialisé, il y avait déjà cinq ans.

Son besoin impérieux d'être livrée totalement à des Maîtresses et à des Maîtres équilibrait sa vie insignifiante. De son propre chef, elle intégra la confrérie en tant que soumise. Elle savait reconnaître le symbole du double anneau. Chimiste à ses heures, elle tentait de fabriquer une drogue pour ses Maîtres.

Ce matin-là, alors que la pharmacie venait juste d'ouvrir, Joséphine Cherline entra avec sa résolution habituelle. Jamais sans son perfecto et ses Dockers, elle fixa Isabelle Labrosse dans les yeux. La pharmacienne lança à sa laborantine :

- Je vais avec madame l'inspectrice dans mon bureau.

A peine la porte du petit bureau verrouillée, Joséphine saisit la soumise par la gorge et la mit à genoux.

- J'ai pas dormi de la nuit. Des complications dans une enquête! Lèche-moi S-73.

La brune toute fine baissa son jean et son string avant de s'installer sur le fauteuil à roulettes. Comme un rituel immuable, inscrit dans sa peau depuis des années, Isabelle Labrosse avança à quatre pattes entre les cuisses de la Maîtresse. Ses mains caressèrent les genoux nus puis lentement les cuisses pour remonter vers le sexe épilé dont les lèvres s'ouvraient doucement. Elle aimait être sollicitée ainsi au débotté. N'être qu'une chose à servir était nécessaire à son équilibre psychique. Sa langue se posa sur la vulve déjà humide. Plaquée par les mains de Joséphine, Isabelle bouffait la chatte. Elle suça longuement le clitoris et quand l'inspectrice jouit, la pharmacienne but tout le jus.

- Tu en es où de la drogue que nous t'avons commandée? demanda la brune en se rhabillant, sans se préoccuper de savoir si S-73 avait pris du plaisir ou non.

Un air satisfait avait remplacé son visage énervé et fatigué.

- J'avance Maîtresse Joséphine. L'adjonction de psychotrope et de vasodilatateur donnent des résultats. De plus, l'ajout d'aphrodisiaques classiques puis d'autres moins conventionnels devraient parfaire le produit que vous voulez. Mais il faut que je le teste pour l'améliorer.

Leila

Quand Leila entra dans la chambre d'hôtel, son angoisse lui tordit l'estomac et elle crut vomir. L'homme était devant elle. Souriant. Il paraissait tranquille. Ce vieil homme aux cheveux blancs lui avait montré la vidéo de ses ébats avec Maëva dans la forêt. La menace de les montrer à sa famille plongea la jeune fille dans une détresse extrême. Son papa ne supporterait ni de la voir nue, ni de comprendre qu'elle était lesbienne.

- Tu vas m'obéir et cette vidéo n'ira pas chez tes parents, lui assura Jacques Mousatir.

- Mais qu'est-ce que vous voulez? demanda naïvement la jeune musulmane sachant pertinemment l'issue de cette rencontre dans cette chambre d'hôtel.

Jacques ne répondit pas. Il installa un ordinateur portable sur la table, en face du grand lit et démarra la vidéo où on distinguait deux femmes s'embrasser puis se doigter. Laissant la vidéo tourner en boucle, l'homme se retourna.

- Déshabille-toi.

- Mais... je...

La vision au second plan sur l'écran de Maëva s'agenouillant pour lui lécher le sexe décida Leila. Elle ôta son chandail noir puis son tee shirt de l'équipe de footbal d'Algérie. Les seins ronds restèrent enfermés dans le soutien gorge blanc. Elle n'avait pas le choix mais ce choix elle ne le faisait pas avec plaisir. Elle leva peureusement son regard sur le vieil homme qui admirait la jeunesse du corps de la maghrébine et sa peau halée.

- Tout, Leila. Tu te mets nue devant le vieux que je suis pour la honte d'avoir couché avant le mariage et de surcroit avec une femme.

Le sentiment de culpabilité habitait la jeune fille depuis son enfance. L'éducation sévère de sa famille instilla se penchant à croire que tout doit être fait en cachette. Une existence de soumission à la colère divine, au jugement paternel avait fait de cette jeune fille la proie à toutes les dominations que seule sa relation avec Maëva avait soulagée.

Qui craint de souffrir, il souffre déjà de ce qu'il craint. Leila baissa son pantalon après s'être déchaussée de ses baskets. Sa respiration tendue gonflait anormalement son ventre nu. Jacques découvrit un corps assez joli. Devant lui, une jeune fille, en sous-vêtement et portant un hijab ; voilà la rançon de sa perversité. Sa perversité irait à partager ce moment avec sa femme lorsqu'il montrerai le film que les caméras cachées dans la chambre d'hôtel tournaient.

- Retire ton soutien-gorge, sale gouine!

Cette première insulte heurta Leila qui obéit et présenta une belle poitrine ronde pas trop grosse. Elle la cacha avec ses mains.

- Non, petite salope. Tu retires tes mains tout de suite. Pourquoi es-tu là?

- Je suis là parce que vous me faites chanter, Monsieur.

- Monsieur Jacques, insista-t-il.

- Monsieur Jacques.

- Pourquoi es-tu là?

- ... parce ce que je..., bégayait la jeune fille dont les deux jolis seins pointaient malgré elle.

Le regard dur, Jacques insista :

- Pour quoi es-tu là?

- Pour vous obéir Monsieur Jacques, comprit enfin la beurette.

Le vieil homme aux cheveux blancs sourit et ordonna que la culotte lui soit donnée. Leila obtempéra et se retrouva penaude dans son accoutrement d'Eve. Comme le soixantenaire ne bougeait pas, elle osa demander :

- Je retire mon foulard, Monsieur Jacques?

- Non. ça m'excite que tu le gardes.

Le prédateur avança et prit un sein dans sa main. Leila frissonna. Sentir la main calleuse de cet homme plus vieux que son père la dégoutait. Mais l'horreur pour elle fût de constater que son sexe s'humidifiait comme quand elle était avec Maëva.

- Tes poils de chienne sur ton sexe et sous tes bras, il faudra les raser. C'est immonde! La prochaine fois, je ne veux pas voir ça.

Un coup dans le cœur de Leila. Il y aura une prochaine fois! Les mains de l'homme parcouraient son corps, mais son cœur se fermait au fur et à mesure. Une sombre soumission s'emparait d'elle. Elle occultait ce qu'elle subissait. Jacques mit la jeune beurette à genou et dégrafa son pantalon pour présenter sa verge en érection. C'était la première fois que Leila voyait un sexe d'homme mais elle ne réagit pas.

- Ouvre la bouche et suce bien. Tu vas apprendre à être une bonne suceuse pour racheter tes fautes.

Le gland s'enfonça dans la bouche et, timidement, Leila débuta une fellation des plus maladroite.

- Lèche d'abord, salope. Tu es une vraie gourde!

Les larmes coulant sur ses joues, la jeune maghrébine obéit. L'humiliation de ce viol corrodait ses entrailles mais ses seins durs et son sexe humide la dégoutait.

- Suce le bout comme tu suces une glace.

Jacques guida la fellation de sa proie. Puis, il la fit mettre à quatre pattes.

- Monsieur... vous aviez dit que vous ne prendriez pas ma virginité.

Il claqua les fesses pour faire taire la beurette. Écartant le cul, il cracha sur l'œillet et très rapidement, avant que la gamine ne se cabre, il pénétra violemment l'anus. Leila hurla. Ses yeux semblaient sortir de leur orbite tandis que la bite forait son boyau culier. Jacques enfonça la culotte récupérée pour l'enfoncer dans la bouche de la récalcitrante puis il s'agrippa aux hanches de sa proie pour la fourrer à son envie comme un pervers qu'il était.

La nausée ne quittait pas la beurette. La douleur est éphémère mais la honte est éternelle, la honte est donc la douleur suprême. Le cul déchiré, Leila savait intimement que plus rien ne serait pareil, qu'un volet de sa vie se refermait, qu'un autre volet s'ouvrait sur un horizon de souffrances et de douleurs. Mais le pire c'était que son sexe coulait comme quand Maëva la léchait et que de petits orgasmes se multipliaient pendant que Monsieur Jacques la sodomisait comme une chienne.

- A genoux devant moi salope!

Le violeur retira la culotte de la bouche et se vida.

- Garde mon jus dans ta gueule. Ne crache pas, ne bois pas.

Toute perdue, Leila obtempéra écoeurée du goût âcre du sperme. Jacque lui demanda d'ouvrir la bouche pour lui montrer le liquide.

- Maintenant, avale!

Leila ferma les yeux et repensa à la douceur des mains de Maëva sur son corps, aux baisers qu'elles avaient échangés. Cette délicatesse quand la secrétaire rousse avait posé ses lèvres sur ses tétons. L'amour et la tendresse en forêt, dans cet hôtel, l'humiliation et la violence. En partant, Jacques lança :

- Tu te rases tous les poils et tu continues à voir la rousse. Tu ne dis rien à personne. Au fait, ton papa est sympa. J'ai discuté avec lui au PMU!

Leila resta seule dans cette chambre. Enfermée dans sa prison, elle pleura longtemps. Il avait tenu sa promesse, il ne lui avait pas pris sa virginité.

Jean Charles De Charette

Debout dans les locaux de la paroisse, Jean Charles De Charette attendait sa femme. Elle devait encore être en train de discuter avec Aurélie pour l'organisation de leur séance de catéchisme avec les enfants. Il saluait les paroissiens, et accessoirement ses électeurs qui venait à sa rencontre. C'était souvent pour lui l'occasion de sonder les habitants pour avoir une idée de leur réaction aux décisions prises ou à prendre en conseil municipal. Il la vit enfin. Elle s'approchait accompagnée d'une petite femme noire qui semblait frèle.

- Mon chéri, je te présente Aiké... Elle est dans l'embarras... elle cherche un logement, tu ne crois pas que tu pourrais faire quelque chose... C'est Aurélie et le père Stéphane qui viennent de m'en parler!

Jean Charles regardait la petite black qui baissait les yeux. La peau lisse et ébène, les cheveux rasés et une grande bouche souriante qui laissait voir de belles dents blanches. Il observa Camille. Comment pouvait-il refuser ce genre de chose à sa femme? D'un autre côté, avec les gens autour de lui, il ne pouvait pas donner sa réponse de suite. S'il acceptait, on aurait considéré qu'il accordait un passe-droit, s'il refusait, il risquait d'être accusé de racisme. Déjà que son nom était associé à des personnes considérées comme réactionnaires et parfois racistes, il ne pouvait pas en rajouter.

- Madame, pouvez-vous passer me voir demain à la mairie, je vous recevrai et nous examinerons votre dossier.

- Oh merci! Monsieur le maire, dit la femme en se jettant presque à ses genoux.

Camille sourit. Elle n'avait même pas eu à forcer la main de son mari. Il avait accepté sans difficulté de recevoir Aiké. Elle se demandait bien pourquoi Marie s'intéressait à cette femme. Que lui trouvait-elle?

Jean Charles espérait que cette faveur qu'il accordait à Camille lui vaudrait un remerciement dans la chambre maritale. Mais il dut encore une fois déchanter aussi bien le soir dans le lit que le matin dans la salle de bain. Camille se refusa à lui malgré ou peut-être à cause de son insistance. Il faudrait vraiment qu'il en reparle à Jacques. Une lutte entre ses pulsions et son éducation, deux faces de la réalité qu'était sa vie : l'un pour l'irrépressible besoin de forniquer, de dégorger son poireau, de s'enivrer du corps nu de sa femme, l'autre de se conformer aux us et coutumes de son rang, de respecter le consentement de son épouse, de se complaire dans idée de soi-même en accord avec les valeurs qu'il promouvait.

C'est donc un Jean Charles frustré et un brin agacé qui prit le chemin de la Mairie le lendemain matin.

- Monsieur le Maire, votre rendez-vous est là, annonça Marie-Christine sa secrétaire.

- Quel rendez-vous?

- La petite dame que vous avez croisée hier à la sortie de la messe...

- Ah oui! j'avais oublié. Faites la entrer!

Le maire vit Aiké entrer, souriante, un dossier sous le bras. Il la regardait, elle portait une robe courte à fine bretelle qui ne laissait aucun doute sur le fait que sa poitrine assez opulente était libre dessous. De petits tétons pointaient à travers le tissu. Malgré lui, son sexe réagit.

- Je vous remercie de me recevoir Monsieur le Maire! Voici mon dossier de demande de logement.

Jean Charles ouvrit le dossier et le consulta tranquillement et consciencieusement. Il était complet, il ne manquait aucune pièce. En face de lui, Aiké, le regardait avec un air de chien battu.

- Eh bien Madame, je crois que votre dossier est complet, je vais en parler avec la personne en charge du logement et on vous contactera rapidement...

Quel beau parleur quand il s'y mettait. Le dossier de cette femme comme tous les autres finirait sur une pile et serait examiné dans quelques mois, au mieux dans quelques semaines. Il se leva de son bureau pour raccompagner la jeune femme à la porte du bureau.

- Merci, oh Merci! Comment vous remercier?

Aiké s'était levée et s'approcha de lui. Elle était tout contre lui. Il pouvait sentir la chaleur de son corps et l'odeur épicée de sa peau d'ébène. Soudain, une main vint palper son entrejambe. Toute son éducation, ses valeurs s'envolèrent par le vent de cette douceur excitante. Il céda. De toute manière, Camille n'en saurait jamais rien et c'est un peu de sa faute! Si elle ne se refusait pas à lui, il n'en serait pas réduit à cette éxtrémité, baiser une négresse!

Aiké, bien entraînée, lui massait les couilles à travers le pantalon. Il ne pouvait pas résister à une telle caresse, pas avec tous ces mois de frustrations. Il la contempla se mettre à genoux devant lui et sortir sa queue de sa braguette. Rapidement, la grande bouche de la petite noire enveloppa son membre maintenant dur. Aiké lui massait les couilles et le suçait. Jamais, Camille ne lui ferait cela, elle si pudique, si coincée quand il s'agissait de sexe. L'expérience et la dextérité orale d'Aiké eut raison de sa résistance et il jouit dans la bouche offerte. Il n'en revenait pas. Elle venait de le faire jouir avec sa bouche et en plus elle avait tout avalé. Elle lui remit le matériel en place avant d'essuyer ses lèvres.

- A bientôt monsieur le Maire dit elle en sortant, son sourire éclatant illuminait son visage.

- A bientôt, bafouilla Jean Charles.

Il la regarda s'éloigner dans le couloir de la mairie. Il regardait surtout ce petit cul bombé qui faisait remuer la petite robe dévoilant très haut ses cuisses.

Toute la journée, il ne put s'empêcher de penser à la surprenante conclusion de cette étrange rencontre. Surtout, dès qu'il fut dans le bureau, il appela son adjoint chargé du logement, Patrick Mortal pour lui dire de s'occuper en priorité de ce dossier.

Chez lui, il ne pensait plus à sauter son épouse. Il pensait à Aiké, à sa bouche, à ses seins, à son cul. Alors que Camille prenait sa douche, il ne résista pas à l'envie d'appeler la petite noire. Il tomba sur son répondeur mais il lui laissa un message ; lui disant qu'il espérait la revoir bientôt pour lui donner des nouvelles de l'état d'avancement de son dossier. Il reçut une réponse quelques minutes plus tard. : "Moi aussi j'aimerais vous revoir pour vous déguster à nouveau" Jean Charles réfléchit toute la nuit à la manière de revoir Aiké discrètement. Il ne pouvait pas la voir de nouveau à la mairie, dans son bureau.

Au matin, il envoya un texto à la belle ébène, il voulait être sûr qu'elle serait toujours d'accord pour le revoir. "J'ai hâte de sentir ta queue entre mes cuisses" fut la réponse qu'il obtint. Il eut juste le temps de fermer son téléphone avant que Camille ne vint près de lui pour l'embrasser avant de partir au lycée.

- A qui écris tu? lui demanda-t-elle.

- Un problème à la mairie, mentit-il.

Le message d'Aiké le conforta dans son désir. Sans hésiter, il réserva un hôtel pour le surlendemain et donna rendez-vous à sa nouvelle maîtresse. Le Maire passa plusieurs coups de fil, pour faire avancer le dossier de logement. Il inventa une histoire de deplacement imprevu qu'il raconta à sa femme et à l'heure prévu, il rejoignit Aiké sur un parking non loin de la gare. Il prirent ensuite la direction d'un petit hôtel en bord de mer que Jacques lui avait conseillé il y a quelques années. Il savait que cet hôtel était discret et qu'il ne serait pas reconnu.

Dans la chambre, Aiké lui montra l'étendue de ses talents. Après une nouvelle fellation mémorable ou elle prit son sexe au fond de sa gorge, elle sut réveiller sa vigueur avant de lui offrir sa chatte brûlante. Il pensait en avoir fini après cette seconde éjaculation, mais c'était sans compter avec l'appétit d'Aiké. Celle-ci ne laissa pas Jean-Charles souffler. Après qu'elle eut fait raidir à nouveau le membre viril trop longtemps mis au repos, elle se mit à quatre pattes sur le lit. Jean Charles était un peu étonné. Avec Camille, c'est une position qu'ils n'avaient dû pratiquer que deux ou trois fois en dix ans de vie commune. Il vint se mettre à genou derrière la croupe offerte et d'un coup de rein, il pénétra les lèvres brunes luisantes de cyprine et de sperme qui coulaient. Il fit quelques aller et retour avant qu'Aiké ne lui demande de la sodomiser.