Emprise - Histoire de Leila Ch. 03

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- Mohammed, va derrière ta fille. Je vais derrière ta femme.

La position des deux soumises à califourchon sur le chevalet dégageait l'accès à leurs parties intimes. A travers la cagoule en cuir, elles se fixaient. Leurs yeux suintaient la terreur. Elles ne pouvaient pas bouger leur tête mais l'une et l'autre distinguèrent que pour l'une et pour l'autre, un homme se positionnait à l'arrière du chevalet, entre leurs jambes relevées et écartées.

- Vous dire que Leila sera tranquille. Ne faites pas mal à ma fille! gueula Nora

- Maitres, Maitres supplia Leila qui savait au fond d'elle qu'il ne changera pas de plan.

Aïké revint avec plusieurs objets dans ses mains qu'elle déposa sur une desserte. Elle conserva une sorte de double gode. Comme si on avait collé un gode sur un autre formant deux extrémités, deux queues. Sans ménagement, Aïké enfonça la première pointe dans la bouche de Leila puis la seconde dans celle de Nora.

- Comme ça vous allez vous taire! rit Jacque, en vous godant mutuellement la gueule. Maintenant Mohammed, tu vas pouvoir prendre ta fille. Régale-toi de sa chatte. Moi, je vais m'occuper de celle de ta femme un peu trop poilu pour moi.

Le regard du père vrilla mais son corps obtempéra. Il posa son gland sur les petites lèvres de sa fille et poussa. Sa verge dure s'enfonça dans le vagin de Leila. De son côté, Jacques avait déjà envahit sans ménagement le sexe de la mère. Il se régalait des gémissements étouffés des deux femmes. Un martinet dans les mains, Aïké abattait violemment les lanières de cuir sur les dos des deux femmes qui se faisaient prendre comme des bêtes. Leila pleurait de sentir son père la violer. Quant à Nora, elle voyait les yeux dévastés de sa fille et distinguait la silhouette de son mari qui baisait leur propre fille.

- Maintenant, on encule Mohammed! lança Jacques en riant.

Sans peine, la jeune beurette fut envahie par la bite paternelle. Pour l'anus maternelle, l'opération fut plus délicate. Jacques poussait fortement sur l'anus qui ne céda pas tout de suite. Puis, le hurlement étouffé de Nora quand le sphincter céda réjouit l'homme aux cheveux blancs qui peinait encore à s'enfoncer dans le boyau serré.

Dans l'obscurité tamisée du donjon, Leila et sa mère Nora enduraient ces horreurs indescriptibles. Leurs corps meurtris et suppliciés portaient les marques de tortures impitoyables. Des cordes enserraient leurs poignets et leur chevilles ainsi que leur cou et leur taille, tandis que les lanières s'abattaient sur leur chair fragile. La souffrance s'infiltrait dans chaque fibre de leur être, ravageant leurs esprits et brisant leur volonté. Les cris de douleur et les gémissements de désespoir résonnaient dans les sombres dédales du donjon, comme un écho sinistre de leur calvaire. Leurs visages étaient déformés derrière la cagoule de cuir par les larmes et les grimaces de terreur que le double gode déformait, leurs yeux reflétant l'horreur qu'elles enduraient. Jacques sans pitié s'acharnait sur elles, jouissant de leur agonie et infligeant des supplices insoutenables.

Après un bon moment, Aïké tourna les deux chevalets de manière que les culs de la mère et de la fille se touchent presque. Le gode avant dans la bouche, dans leur chatte à chacune maintenant était enfoncé. On posa un anneau en acier, serré par une lanière en cuir dans les bouches des deux suppliciées pour maintenir de force leur bouche ouverte. Sous les ordres de Jacques, Mohammed baisa la bouche de sa fille et éjacula jusqu'au fond du gosier. Le tortionnaire se répandit dans la bouche de la mère qui avait cessé de se révolter.

***

**

*

Les jours qui suivirent, les tortionnaires, avec une cruauté déconcertante, se succédaient dans une danse macabre, chacun prenant plaisir à tourmenter Leila et Nora de manière implacable.

Joséphine Cherline, l'inspectrice autrefois chargée de protéger les innocents, était devenue leur bourreau pour infliger des souffrances inimaginables. Fister la mère et la fille en même temps, un paradis pour Joséphine, pour Nora et Leila, un enfer.

Marie Mousatir se délectait de leur détresse avec un sourire pervers. Martial Bascoul, dépourvu de toute empathie, prenait un malin plaisir à baiser l'une et faire souffrir l'autre.

Moussa avait choisi le chemin de la cruauté en forçant finalement Leila à lécher sa maman.

Le juge Brémont, détenteur de la justice, pervertissait son pouvoir en devenant le geôlier des innocentes.

Isabelle Labrosse, la pharmacienne devenue Maîtresse dans la Confrérie après avoir été soumise, s'était révélée être un monstre déguisé, utilisant son savoir médical pour prolonger leurs souffrances. Sa drogue obligea Nora à baiser sa fille avec une ceinture gode.

Chacun d'eux, à tour de rôle, se présentait dans cette salle des horreurs, s'abreuvant de l'agonie de leurs victimes avec une jouissance malsaine. Leur présence, chargée d'une aura maléfique, imprégnait l'atmosphère de terreur et de désespoir.

***

**

*

Les sévices infligés à sa fille avaient brisé l'âme de Nora, lui arrachant toute volonté et tout espoir. Son regard, autrefois empreint de détermination et de force, était désormais voilé par la résignation et la douleur. Les larmes incessantes qui sillonnaient son visage témoignaient de sa détresse profonde. Sa voix autrefois vibrante était réduite à de faibles murmures, comme si le poids insoutenable de l'injustice avait étouffé ses paroles. La mère désespérée semblait s'éteindre peu à peu, incapable de faire face à l'outrage infligé à sa fille bien-aimée. Nora, épuisée et résignée, avait abandonné toute lutte, incapable de trouver une lueur d'espoir au milieu de cet abîme de cruauté.

Le jour où Marie et Jacques apprirent aux parents que leur fille avait été vendue comme esclave sexuelle à un Émir, Nora devint folle. Elle ne fut qu'une poupée de chiffon abandonnée de la force vitale de la vie.

***

**

*

L'Émir Arkab se promenait lentement dans les allées majestueuses de son Haras d'Al Munarif, laissant son regard se perdre parmi les merveilles équestres qui l'entouraient. Le parfum enivrant des fleurs exotiques se mêlait à l'odeur familière de la cire et de l'écurie, créant une atmosphère envoûtante.

Le soleil du désert se reflétait sur les toits de verre des écuries, créant un kaléidoscope de couleurs chatoyantes qui dansaient avec grâce sur les murs en marbre. Les stalles immaculées abritaient des chevaux dont la beauté dépassait l'entendement : robes d'ébène et de lait, crinières flottant dans le vent telles des étendards de noblesse. Leurs yeux étincelaient d'une intelligence et d'une fierté incomparables, témoignant de leur héritage millénaire.

Arkab était fasciné par la symphonie silencieuse qui régnait en ces lieux. Les murmures des sabots résonnaient en douceur, ponctués par le chant des oiseaux qui semblaient eux aussi apprécier la présence de ces créatures majestueuses. Les jardins soigneusement entretenus offraient une toile de fond idyllique, invitant à la contemplation et à l'évasion.

Alors qu'il avançait suivi de deux sublimes créatures vêtues d'un abaya transparent qui exposait la plastique impressionnante des deux blondes aux hanches et à la poitrine imposantes, Arkab croisa des palefreniers habillés de vestes brodées d'or, s'affairant avec une grâce délicate à préparer les étalons pour leur entraînement. Il pouvait sentir l'énergie vibrante qui émanait de chaque animal, la puissance contenue dans leur corps musclé, prêt à se lancer dans une danse de liberté et de puissance.

L'émir Arkab, nanti de ses innombrables richesses, entretenait une passion insatiable pour les collections de luxes extravagants. Sa fascination pour les voitures se manifestait à travers une impressionnante collection de bolides rutilants, des bolides de course aux voitures de collection les plus raffinées. Mais les voitures n'étaient qu'une partie de son empire de possessions. Il possédait également une flotte de majestueux bateaux, allant des yachts luxueux aux voiliers élégants, lui permettant de naviguer dans les eaux cristallines du monde entier avec les plus belles escort-girls du monde. Les chevaux, symboles de puissance et de noblesse, ne faisaient pas exception à sa collection, avec des écuries remplies de magnifiques pur-sang aux allures gracieuses. Et puis, il y avait les femmes, belles et envoûtantes, sélectionnées avec soin pour leur charme et leur exotisme. Elles vivaient dans son somptueux harem, entourées de luxes et de confort, pour satisfaire les désirs les plus secrets de l'émir.

En s'éloignant des paddocks, l'Émir pouvait observer encore les pur-sang arabes galoper avec une grâce céleste, leurs crins flottant dans l'air comme des écharpes de soie. Leurs foulées élégantes et puissantes semblaient caresser le sol, telle une danse de légèreté et de puissance.

Au fur et à mesure que l'Émir avançait, son cœur s'emplit d'une profonde gratitude pour la beauté de ces créatures et pour l'immense travail accompli par les hommes qui veillaient sur eux. Le Haras d'Al Munarif était un lieu où la tradition ancestrale et la passion équestre se côtoyaient, donnant naissance à une alchimie unique.

L'Émir Arkab entra dans l'écurie n°99, un peu à l'écart des autres et il entendit le frottement d'un balai brosse et le ruissellement de l'eau. Dans le troisième box, suspendue à 1m50 du sol, à moitié allongée dans un sling en cuir, Leila recevait sa toilette matinale. Un palefrenier aux habits de lumière frottait le corps nu de l'algérienne avec un balai brosse plein de mousse de savon tandis que de l'eau coulait sur le corps de la jeune esclave.

- Comment va-t-elle ce matin?

- Elle sera prête, Amìr, répondit le jeune palefrenier plein d'obséquiosité.

Laissant ses deux escortes blondes à l'entrée du box, le milliardaire arabe approcha de sa dernière acquisition. Son harem était pourtant rempli de courtisanes et d'escort-girls, mais l'insatiable Émir succombait à son besoin compulsif de se procurer telle ou telle pièce pour des besoins particuliers. Les deux escortes qui le suivaient partout depuis un mois étaient ses dernières acquisitions. Il ne les baisait pas. Non, juste elles l'accompagnaient partout dans leur nudité à peine masquée dévoilant leur beauté sculpturale.

- Tu vas m'honorer tout à l'heure ma petite pouliche, dit Arkab en passant doucement sa main sur la cuisse humide de Leila. Tu as intérêt à ne pas défaillir car Jahannam sera ta seule demeure. Punitions et châtiments rempliront tes journées. Tourments et souffrances éternelles tomberont sur toi. Je te maintiendrai en vie juste pour que tu souffres à chaque souffle.

Leila, allongée sur son sling de cuir trempé par l'eau et le savon, regarda effrayée l'Émir qui caressait maintenant son sein avec beaucoup de délicatesse.

- Tu as bien compris?

- Oui mon Seigneur, souffla la maghrébine terrorisée.

- Tu es une bonne pouliche, sourit le milliardaire en flattant la croupe de la jeune femme.

Les deux grandes blondes suivirent l'homme quand il sortit du box.

Depuis son arrivée, Leila subissait un entraînement spécial pour la préparer à la séance qui aura lieu une heure plus tard. Sa vie allait se jouer. Les lointains souvenirs de Maëva, son amante rousse, les perversions de Jacques qu'elle avait fini par apprécier, les passes dans l'Uber-Sex qui finalement lui donnaient parfois du plaisir, tout ça, tous ces souvenirs s'étaient évaporés.

Escorté par les deux blondes, l'Émir pénétra dans son harem par la porte de ses appartements. Il entra dans son bureau où seule une table en chêne massif décorait la pièce sans fenêtre. La porte fermée par l'une des escortes, les deux femmes s'agenouillèrent à l'entrée. Arkab s'installa à la table sur laquelle était posée uniquement un clavier et une souris. Au premier mouvement de cette dernière le mur, face au bureau, s'illumina et l'écran de l'ordinateur se projeta 3m sur 2m. Le milliardaire cliqua sur l'icône d'un logiciel et fit défiler une liste de nationalités et d'ethnies. Il s'arrêta sur Amérique Sud. Puis, il double cliqua sur Pérou. Trois beaux visages de femme apparurent sur le mur immense.

Les deux blondes agenouillées derrière l'homme observaient la recherche sur le logiciel du harem. Arkab revint en arrière et choisit 'Brésil' : 2 visages. Il cliqua sur l'une des photos et une nouvelle page s'ouvrit sur la femme à la peau mate et aux longs cheveux noirs. Sa bouche charnue et son nez légèrement épaté s'inscrivaient sur un visage souriant et harmonieux. Une autre photo montrait Paloma, la brésilienne nue posant debout de face et d'arrière. Elle avait des seins en poire pas petits mais pas énormes non plus. Par contre, les aréoles recouvraient une grande partie de la mamelle. Taille fine avec des hanches larges, Paloma devait avoir moins de 25 ans. Quelques photos suivantes l'exposaient à quatre pattes. L'Émir lança à ses deux escortes derrière lui, que celle-ci serait parfaite prise en levrette. Il cliqua sur le bouton 'Commander'.

On détacha Leila du sling et on l'amena dans un immense box situé à l'extrémité Est de l'écurie. Il était sur deux niveaux. En bas, elle, seule sur le sol en ciment avec une sorte de large banquette au centre. Plus haut, une passerelle séparée par une large baie vitrée. Une sorte de poste d'observation qui surplombait le box où Leila attendait sa fameuse épreuve.

Soudain, L'Émir apparut en haut avec ses deux escortes blondes à sa droite et à sa gauche. Puis, une femme nue à la peau très mate fut mise devant le milliardaire.

- Maintenant, c'est ton épreuve. Réussit et ça sera ton salut. Échoue et l'enfer s'abattra sur toi.

La voix d'Arkab sortait de hauts parleurs situés aux quatre coins du box.

Seule en bas, Leila cachait légèrement sa nudité avec ses bras. Elle levait les yeux sur son Seigneur qui embrassait Paloma en serrant sa longue chevelure brune dans une main.

Enfin, l'attente prit fin. La porte coulissante du box grinça. Et les sabots d'un grand étalon blanc claquèrent sur le sol en ciment. Tiré par deux palefreniers en habits d'or qui tenaient le licol, l'immense cheval entra dans le box effrayant Leila qui recula en levant la tête pour regarder les grands yeux noirs de la bête. Un caméraman suivit le cheval et filma le box.

- Dahyl est mon étalon préféré. C'est le plus noble de mes chevaux. Je veux le mieux pour lui, lança l'Émir en haut sur la passerelle alors qu'il tournait Paloma vers la vitre.

Après quelques minutes, les palefreniers parvinrent à calmer le grand cheval blanc. Ils se tournèrent vers la jeune femme, réfugiée dans un coin du box. La caméra filmait son appréhension.

Leila leva les yeux et vit la femme à la peau mate poser ses deux mains sur la vitre. Arkab derrière elle, semblait la sodomiser. L'Émir regardait en bas. L'étalon blanc et Leila nue.

***

**

*

*** FIN ***

Avez-vous aimé cette deuxième extension de Emprise sur la Ville?

Je suppose que certains lecteurs auraient voulu savoir ce qu'il advenait du nouveau rôle de Leila... Vous retrouverez cela certainement dans une prochaine extension... peut-être...

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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7 Commentaires
APVapvAPVapvil y a 10 moisAuteur

Merci pour vos commentaires.

Je vais publier dans quelques temps une autre extension. Dans un autre genre... vous verrez. Mais peut-être découvrirons les compétences de Leila.... ;)

Ces extensions sont de plus en plus complexes pour moi à rédiger car vu l'ampleur du nombre de personnages, j'essaye de les faire apparaître de temps en temps ici et là....

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Merci pour ces suites, domage pour cette fin, j'aurai aimer savoir.

AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Mais quand une histoire nous emporte loin dans l'humiliation, la contrainte, l'inceste et... le plaisir il est toujours risqué de vouloir que cela continue !

stephanois62stephanois62il y a 10 mois

l emir nouveaux personnage esperant des suites avec lui

AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Une perversion très imaginative et très bien déroulée jusqu'à cette... fin ? On reste un peu sur la notre ! Bien sûr que l'on aimerait découvrir la vie dans ces haras ! Mais je suis preneur d'un nouveau chapitre quel qu'il soit ! Un grand merci

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