Emprise - Histoire de Leila Ch. 03

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La Confrérie sait punir !
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Après avoir plongé dans les arcanes de la série "Emprise sur la Ville", coécrite par Verdu et moi-même en huit actes palpitants, je me fais le plaisir de vous offrir une deuxième expansion de cet univers à travers le récit détaillé d'un personnage clé. J'ai déjà commis une 'Histoire d'Aïké'. A présent, préparez-vous à renouer avec certains visages familiers de la série principale dans ce dernier chapitre de cette 'Histoire de Leila'.

Que vous ayez été séduits par la série originale ou que vous soyez de nouveaux arrivants dans cet univers, je vous souhaite une lecture envoûtante et immersive.

Bienvenue dans l'extension de "Emprise sur la Ville".

Bon voyage!

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Emprise sur la Ville - Histoire de Leila (Chapitre 3)

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Résumé du chapitre 2 : Dans l'Uber Sex, Leila subit le pire outrage de sa vie avec un couple de clients et leur chien. La maghrébine fuit et tente d'échapper à la Confrérie. Son ancienne amante, Maëva la recueille chez elle mais elle est assujettie à Jacques Mousatir qui, entretemps avait corrompu les parents de Leila grâce au collier d'asservissement développé dans la start up. Jacques reprend sa soumise.

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Chapitre 3 : Perversité de Jacques

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L'homme est l'animal dont le plaisir est de faire ce qui ne fait pas plaisir.

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Dans l'obscurité du sous-sol de l'immeuble appartenant la Confrérie, un aménagement singulier évoquait l'atmosphère mystérieuse d'un donjon médiéval. Dans le sous-sol du vaste bâtiment, la pénombre enveloppait les lieux, accentuant le sentiment d'intimité et de secret qui régnait en ces murs. Des bougies LED disséminées ici et là projetaient des reflets vacillants, créant des jeux d'ombres et de lumières dans les recoins sombres. L'odeur envoûtante de l'encens flottait dans l'air, ajoutant une touche d'exotisme à cet espace insolite.

Les murs étaient ornés de tapisseries riches et colorées, dépeignant des scènes d'orgies sexuelles et des sacrifices humains. Leurs fibres douces et épaisses donnaient une texture chaleureuse, créant une atmosphère à la fois raffinée et mystique. Le sol était recouvert de tapis épais et précieux, dont les motifs complexes semblaient raconter des histoires d'un autre temps. Chaque pas résonnait légèrement sur les fibres épaisses, créant un léger bruissement qui se mêlait aux murmures de l'endroit. Au centre de la pièce principale, un autel en bois noble était soigneusement disposé, orné d'objets rituels, de symboles ésotériques et d'un double anneau entrelacé. Des chandeliers en argent poli éclairaient faiblement la scène, projetant des ombres dansantes sur les murs.

Le sous-sol aménagé en mode donjon était à présent le sanctuaire intime, où les membres de la Confrérie se réunissaient pour plonger dans un autre univers. Dans cet espace unique, la pénombre, les senteurs enivrantes, les tapisseries et les tapis riches s'unissaient pour créer une ambiance envoûtante, un refuge pour ceux en quête de perversité, une prison pour les esclaves qui y demeuraient et un enfer pour les soumises traînées ici.

Des coups de fouet résonnaient. Secs et aigües, ils s'accompagnaient de cris inhumains. L'immense sous-sol en mode donjon se composait de différents espaces soigneusement séparés par des murs épais, chacun servant une fonction spécifique. Deux vastes salles s'étendaient majestueusement, chacune avec sa fonction particulière. L'une d'entre elles était aménagée pour accueillir des buffets lors de rassemblements, avec de longues tables en bois massif chargées de mets délicats et de breuvages envoûtants. Les murs étaient ornés de tapisseries somptueuses représentant toutes les positions du kamasutra, ajoutant une touche de grandeur à cet espace de convivialité. C'est dans cette salle qu'une blonde aux seins volumineux subissait les coups de fouet d'une autre esclave, à la couleur noire.

Enchassée dans le mur séparant les deux principales salles, la journaliste Larysa Pokirnyy d'origine ukrainienne vivait là en permanence depuis son enlèvement. Dom Pietro, le parrain de la pègre, conçut une vengeance inhumaine pour celle qui tenta de le faire tomber. Dans le vaste donjon principal, percée dans un des murs qui structurait l'espace, un trou d'une trentaine de centimètres de diamètre accueillait la taille de la journaliste blonde. En fait, on avait construit le mur autour du ventre de l'esclave ukrainienne la laissant en permanence dans une position inconfortablement debout et penchée à la fois : nue, perchée sur des talons aiguilles d'un côté du mur de béton et légèrement penchée de l'autre côté. Impossible pour la grande blonde autrefois plantureuse de s'échapper de cette torture.

N'importe qui pouvait la baiser du côté de ses fesses sans qu'elle ne puisse le voir. C'est Aïké, une autre esclave qui se chargeait de la nourrir, de la nettoyer à coup de jet d'eau et de la fouetter chaque jour.

Au fond du donjon, de modestes petites cellules étaient dissimulées, offrant un espace fermé pour les esclaves de la Confrérie. Les murs de pierre brute ajoutaient une touche d'authenticité à ces recoins intimes, tandis que des lueurs tamisées provenant de bougies à LED discrètement placées créaient une ambiance feutrée. C'est dans l'une de ces cellules que Leila, la jeune maghrébine, vivait à présent. Allongée à même le sol en ciment, elle dormait encore après son viol de la veille. Depuis que Maitre Jacques l'avait récupéré avec la complicité de Maëva, la beurette vivait un enfer.

Non loin de là, un espace dédié aux besoins sanitaires comprenait une salle de douche et des toilettes. Des carrelages sombres et luisants recouvraient le sol, donnant une impression de propreté et de modernité dans ce cadre médiéval. Mais il était réservé aux membres de la Confrérie. Les esclaves recevaient des jets d'eau programmés directement dans leur cellule et constituait leur seul aise hygiénique. Des trous dans les sols des cellules permettaient l'évacuation des fluides.

Une salle de dressage intrigante occupait également une partie du sous-sol. Les murs étaient ornés d'ustensiles curieux tels que des cannes de bambous, des fouets, des collections de godemichet et de ceintures gode et d'autres équipements rappelant l'époque révolue de l'Inquisition. C'était un espace propice au dressage des esclaves et des soumises. Des croix de saint André entouraient la pièce et des crochets étaient fixés un peu partout sur le plafond et sur le sol. Dans cette salle, Joséphine Charline, l'inspectrice de police, tenait une sorte de lance terminée par un arc métallique. Toute habillée de cuir, elle faisait face à Laura Macudam suspendue au plafond par un entrelac ingénieux de cordes qui fisselaient son corps de métisse vietnamienne. L'ancienne patronne de Health Dynamic, jouait le rôle d'exutoire à la policière brune qui l'électrocutait avec sa lance avant de la branler violemment.

L'entrée du sous-sol, où arrivait l'ascenseur secret, était un espace impressionnant. Des portes massives en bois sombre s'ouvraient sur un couloir voûté, où des torches LED aux flammes dansantes éclairaient le passage. Les visiteurs étaient accueillis par une ambiance mystérieuse et intrigante dès leur arrivée. L'ascenseur s'ouvrit et un couple menotté suivait Jacques Mousatir.

La femme vêtue d'un abaya et voilée à la mode islamique, marchait péniblement comme un âne têtu refusant la voie proposée. Droit, tel un pique, son mari marchait le long du couloir. Son cou serti du collier de silicone qui contrôlait sa volonté et ses mouvements l'obligeait à obéir au mécréant qui le devançait. Les foudres de l'enfer frappaient la famille de Leila. Ses parents allaient devenir des choses de la Confrérie. Nora et Mohammed avançaient vers un destin funeste.

Jacques dirigea le couple dans la salle de dressage dans laquelle Joséphine Charline avait joué avec Laura suffisamment longtemps. Le vieil homme attacha les deux mains de Nora aux branches supérieures d'une croix de Saint André. Derrière son voile noir, la musulmane gueulait dans un mélange de français et d'arabe. Incapable de se mouvoir et dépouillé de volonté, Mohammed bouillait intérieurement de colère en observant Jacques attacher son épouse.

- Je vais m'amuser avec vous, commença le membre de la Confrérie. Votre fille a fait une bêtise. Vous allez payer.

- Laisse-nous sale chien, hurlait Nora. La police va arrêter vous.

- Ça m'étonnerait Madame, sourit Jacques.

- Mais tu fais quoi Mohammed! hurla la musulmane. Défends-moi.

Jacques éclata de rire alors qu'il préparait quelques ustensiles sur une petite desserte à roulettes qu'il rapprocha de l'algérienne voilée en colère.

- Mohammed, retire l'abaya de ta femme, commanda-t-il en lui proposant une paire de ciseaux.

Intérieurement, l'homme refusa et, obéit extérieurement. Il découpa les manches de sa femme jusqu'à l'encolure de l'abaya. Nora lui gueulait dessus sans comprendre qu'il n'avait pas le choix. Puis, Mohammed tira sur le tissu au niveau de la taille et le vêtement tomba à ses pieds. Seuls la culotte, le soutien gorge noir et le voile qui tombait sur les épaules nues, habillement encore la mère de Leila.

- Elle a quelle âge ta femme?

- 37 ans, Monsieur.

- Tu t'embêtes pas Mohammed! Tu as 25 ans de plus que ta femme. Elle est encore très belle, remarqua Jacques en contemplant le ventre peu rebondi et les hanches menues.

Nora pleurait d'humiliation. Jamais elle n'avait été aussi dévêtue devant un homme. Seul son mari avec lequel elle s'était mariée à 18 ans l'avait vu nu.

- Enlève sa culotte.

Mohammed baissa le tissu. Un sexe broussailleux noir se démarquant sur la peau halée de la femme. Nora pleurait et tentait de se détacher. Mais les liens fixaient solidement ses poignets.

- Tu aimes baiser ta femme, Mohammed?

- Oui, Monsieur. Tous les soirs.

- Elle est gironde. Montre-moi ses seins.

L'algérien en colère se voyait obéir aux abominations de Jacques. Il dégrafa le soutien-gorge et libéra deux jolis seins en poire.

- Je sais d'où Leila tient sa beauté.

Nora fixa Jacques.

- Oui, Madame. Je baise et viole votre fille depuis des mois et des mois. C'est mon esclave sexuelle.

Le couple se mit à pleurer. L'enfer n'avait pas de fond. Jacques passa devant Mohammed et malaxa les seins.

- Pitié M'sieur. Pitié, suppliait la musulmane n'ayant que son voile pour couvrir sa pudeur.

Le rictus malsain sur le visage de Jacques effraya le couple.

- Mohammed. Tu vas sortir ma queue et la sucer pour me faire bander. Je vais violer ta femme ensuite.

Le silence a des profondeurs que les cris de haine ne parviennent pas à tarir. Nora regarda son époux s'agenouiller aux pieds du tortionnaire. Il baissa la fermeture éclair. Entre ses doigts flétris, Mohammed dégagea la queue déjà presque dure de Jacques. Une nausée infâme s'empara de la musulmane. Le vieux algérien introduisit le sexe dur dans sa bouche.

- Mmmmmhhh, mais tu es bon toi. Mets-y la langue aussi, lança Jacques en jouant avec les tétons de Nora.

Il passait également ses doigts dans la fente poilue. Il sentait la bouche humide de son jouet l'aspirer de mieux en mieux. Jacques se dégagea et saisit les hanches de la mère de Leila. Il se plaça entre ses cuisses et pénétra la musulmane qui hurla comme une bête blessée. Jacques la culbuta de plus en plus fort.

- Eh... suceuse de queue, s'adressa-t-il à Mohammed, retire le voile de ta femme que je vois son visage et ses cheveux.

Le tissu tiré, Jacques eut l'impression de baiser Leila 20 vingt ans plus vieille. Il éjacula dans la chatte de la musulmane qui gueulait de rage.

***

**

*

La détresse de Leila était palpable lorsqu'elle se retrouva à nouveau enfermée dans une cellule exiguë. Les murs froids et austères semblaient se refermer sur elle, amplifiant son sentiment d'oppression. Les rares sorties vers la salle de dressage offraient une brève échappatoire, mais la souffrance expérimentée y était plus crue qu'autrefois. Le retour à sa prison étroite ne faisait qu'accentuer son désespoir.

Dans cet environnement lugubre, c'était Aïké qui prenait en charge la nourriture de Leila. Les échanges étaient minimalistes, réduits à de brefs échanges de regards et quelques mots échangés dans le silence pesant de la cellule.

Alors que Leila subissait avec acharnement des coups de canne sous la supervision de Jacques, Marie et Moussa rejoignirent la session. Les échanges verbaux étaient rares, mais la tension était palpable. Le corps recouvert de blessure et de plaies presqu'ouvertes excita Moussa, un grand black qui appartenait à la Confrérie.

- Je n'ai pas le temps aujourd'hui ma puce, dit le grand gaillard noir en giflant les seins de Leila. Je te baiserai le cul une autre fois.

La beurette le vit revenir des cellules avec Laura. L'ancienne patronne de Leila était toute mince et semblait vide de vie. Marie Mousatir tenait en laisse une autre femme. Une vieille vietnamienne.

- Pourquoi vous faites cela? Qu'est-ce que vous voulez de moi? criait Laura Mucadam.

- Tu as désobéi. Suis les ordres et tais-toi, répondit calmement Marie en tirant sur la longe de la mère de Laura qui pleurait.

Ils allèrent dans le second donjon.

Jacques quitta la salle de dressage où Leila goûtait à présent les lanières d'un fouet que la belle Aïké abattait sur ses flancs. La douleur cuisante du cuir sur sa peau fine tirait des cris affreux. Jamais encore, depuis sa soumission, la maghrébine subit une telle torture. Elle en regrettait presque sa condition de soumise à l'Uber-Sex ou les séances pendant lesquelles, le plaisir apparaissait parfois malgré elle.

- Alors ma petite pute, lança Jacques dans son dos en revenant dans la pièce.

Attachée sur le chevalet de bois et de cuir, la tête en bas, les quatre membres solidement attachés à cheval sur la barre centrale, comme une motarde sur sa machine, les fesses vers le haut, la beurette ne pouvait pas le voir. Quand il passa devant elle suivit de deux personnes, elle hurla comme une bête qu'on éviscère vivante.

- J'ai ramené tes parents pour qu'ils te tiennent compagnie.

Leila avait une assez bonne connaissance du niveau de perversité de son Maître pour s'attendre à toutes les abominations. Elle avait cédé sous le joug implacable d'un chantage vicieux, qui avait exploité sa liaison avec Maëva pour manipuler sa peur du jugement de ses parents. Dans l'amère réalité de cette trahison, la belle rousse se révélant être complice de cette mascarade, le dégoût envahissait Leila, noyant son esprit dans une profonde répulsion. L'abjecte punition infligée par le truchement de ses propres parents, sous l'emprise de la manipulation de quelques drogues ou quelques moyens qu'elle ne comprenait pas, amplifiait encore davantage son sentiment de dégoût, transformant son être en une marée sombre d'amertume et de désillusion.

Nora et Mohammed logeaient depuis deux jours dans l'une des cellules du sous-sol. Jacques, Dom Pietro, Martial Bascoul et Joséphine Cherline en avaient largement profité en violant les deux maghrébins. La mère de Leila était dévastée. Violée à de multiples reprises, la femme de trente-sept ans avait subi tous les outrages. L'absence de réaction de son mari et sa complicité étonnante redoublait son désespoir.

Le vieux algérien, lui aussi subissait sans pouvoir réagir les outrages les plus immondes. Le collier d'asservissement développé par Jacques Mousatir avec le concours des moyens de l'entreprise Health Dynamics l'obligeait à obéir alors que son esprit hurlait de s'y soustraire.

- Déshabille-toi Mohammed que tu montres ta belle queue à ta fille, dit Jacques.

- Noonnnn, hurla Leila.

La chemise et le pantalon du vieil homme tombèrent sur le sol. Comme il était pieds nus, seul son slip blanc kangourou d'un autre temps masquait sa nudité. Leila ferma les yeux quand son père le baissa.

- Aïké, tu vas branler tranquillement Mohammed pour le préparer. Il va baiser sa fille.

- Noonnnn, hurla Nora, les bras attachés dans le dos, et les chevilles entravées.

- En fait, madame, murmura Jacques, j'ai très envie de voir du sexe. Donc....

- Non... c'est fille à nous...

Le petit rictus au coin de la bouche de Jacques fit frissonner Nora. La belle esclave noire, nue, les fesses divinement rebondies, la poitrine fière, referma doucement ses doigts sur la verge molle de Mohammed. Le lent mouvement fit gonfler la tige. Leila gardait toujours les yeux fermés.

- Ma petite pute chérie, dit Jacques en caressant les plaies de la jeune maghrébine, si tu n'ouvres pas les yeux, je vais torturer ta mère, l'électrocuter, la fouetter, la frapper, lui tordre les seins à les arracher, lui percer le sexe...

Leila découvrit la queue de son père dressée devant ses yeux dans la main noire d'Aïké.

- ...Bien, ma bonne pute, rit Jacques en enfonçant un doigt dans son cul. Maintenant Nora, si vous ne voulez pas que son papa la baise, vous allez me donner votre corps.

Une boule serrée étrangla la gorge de la mère. Alors que l'esclave noire continuait à masturber tranquillement le maghrébin et que Jacques branlait le cul de Leila avec deux doigts, Nora acquiesça.

- Je veux que tout le monde l'entende, insista l'homme aux cheveux blancs.

- Je vais offrir mon corps à vous, m'sieur, dit-elle en pleurant. Mohammed pas sexe avec ma fille, je vous en supplie.

- Déshabillez-vous madame.

Nora regarda son mari nu se faisant branler par une grande black chauve. La mère de Leila ôta son abaya déjà bien sale de son séjour dans la cellule. Elle retira son voile pour dégager une longue chevelure noire.

- Tes sous-vêtements également!

Mohammed, Aïké, Leila et Jacques la regardèrent se mettre complètement nue.

- Viens-là. Tu vas me sucer si tu ne veux pas que papa baise sa fille, lança méchamment le vieil homme en continuant de doigter le cul de Leila.

Nora s'agenouilla devant son tortionnaire. Rapidement, sans réfléchir, soumise aux ordres, elle enfonça la verge molle dans sa bouche. Le goût de ce blanc la dégoûtait mais, obéissante, elle le suçait.

- C'est bien! Tu ne suces pas aussi bien que ta fille mais c'est pas mal.

Les cœurs de Nora et Leila se serrèrent. L'humiliation était le moteur de Jacques et il était bien rodé. Continuant d'enfoncer ses deux doigts dans le fondement de la jeune algérienne, il pénétra au fond de la gorge de la mère.

- Mohammed approche que ta femme nous suce tous les deux. Aïké, viens me remplacer.

Le vieil homme soumis et Jacques entouraient Nora qui, une verge dans chaque main, gobait alternativement les deux queues bien raides. L'esclave noire passa derrière Leila qui était toujours entravée sur le chevalet. Elle enfonça un gode dans l'anus.

- Mets-les deux queues dans ta bouche!

Nora s'exécuta comme elle pût. Soumise, la trentenaire suçait les deux bites comme une sale pute.

- Aïké, va chercher un autre chevalet. Tu sais ce que je veux?

- Oui Maitre. J'y vais, répondit l'esclave noire.

La grande black installa un chevalet juste en face du visage de Leila. Elle enfonça une cagoule de cuir noir sur la tête de la beurette. Trois trous : les deux yeux et la bouche. La fermeture éclair empêchait la cagoule de glisser. Sur le haut, au niveau du crâne, un crochet d'acier était fixé. Aïké tendit une cordelette entre ce crochet et les pieds arrière du chevalet. Cela imposait à la tête de Leila de rester relevée.

Jacques et son esclave noire installèrent Nora dans l'exacte position symétrique de Leila. Mère et fille, l'une en face de l'autre, contrainte à quatre pattes sur un chevalet, la même cagoule, les têtes relevées, comme l'envers d'un miroir.

- Maintenant Mesdames, lança Jacques en se branlant pour conserver son érection, nous allons nous amuser. Aïké va revenir avec un petit objet que j'aime bien. Sur la base du chevalet sur lequel vous êtes confortablement installée...

Le ton ironique et sadique de Jacques irrita la mère et la fille qui avaient du mal à respirer dans cette position humiliante.

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