Emprise - Histoire de Leila Ch. 01

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- Est-ce que tu veux bien t'allonger sur le dos ma puce, demanda l'homme en posant la ceinture de cuir sur la tablette. Je vois bien que tu as mal, mon amour.

Le regard de l'homme se posa sur Leila tel un fauve captivé par sa proie, un mélange dérangeant de feinte compassion et de fascination perverse. Ses yeux brillaient d'une lueur inquiétante, telles les flammes dansantes d'un brasier malfaisant. Son visage ; une toile macabre, dévoilait un sourire ambigu, évoquant à la fois la cruauté d'un bourreau et la satisfaction perverse d'un spectateur devant un sinistre spectacle. Dans son regard, on pouvait lire la fusion morbide de l'empathie feinte et du plaisir insidieux, comme si la souffrance de Leila était pour lui une douce mélodie à savourer. Dans son pantalon, la barre forçait le tissu. Son expression jouait avec les ombres et les lumières, oscillant entre un masque de bienveillance et une infime lueur de perversion dissimulée. Tel un manipulateur diabolique, il tirait un plaisir malsain de la détresse de Leila, dansant avec sadisme sur les frontières de la compassion et de la cruauté.

- Tu veux que je te soulage mon cœur, dit-il en s'allongeant au côté de sa proie.

- euh... oui tonton, murmura peureusement Leila.

L'homme caressa doucement la marque rouge sur le pubis et lécha les stries sur les seins. Leila se trouvait plongée dans un abîme de confusion, submergée par la folie qui semblait émaner de l'homme blond. Ses changements d'attitude frénétiques, oscillant entre la torture et la compassion, défiaient toute logique et semaient le chaos dans son esprit tourmenté. Il suça plus précisément un téton qui, malgré la douleur des coups, se dressa de plaisir. Chaque fois que la beurette pensait avoir saisi une parcelle de sa véritable nature, il basculait dans une autre facette de sa personnalité déconcertante. Cette danse macabre entre cruauté et empathie était une véritable torture mentale pour Leila, la plongeant dans un abîme de perplexité et d'angoisse.

Le blond pénétra des doigts dans la vulve humide et chercha une zone sur la partie antérieure du pubis.

Leila se demandait si elle était confrontée à un être humain dérangé ou à un démon habile à dissimuler ses véritables intentions. La maghrébine se trouvait prisonnière d'un tourbillon d'extravagance, emportée dans les méandres insaisissables de l'homme blond. Tel un funambule égaré entre deux mondes, il jonglait avec les masques de sa personnalité, transformant la scène en un spectacle énigmatique et déconcertant. Ses regards se faisaient funestes énigmes, oscillant entre les ténèbres du sadisme et les éclairs de compassion hypocrite. Leur danse, entre cruauté perverse et compassion factice, lançait des éclairs sinistres dans les yeux de Leila, faisant naître en elle un sentiment de folie grandissante.

Il posa délicatement ses lèvres sur la bouche de la jeune femme et l'embrassa avec toute la tendresse qu'un mari peut avoir pour son épouse.

Leila cria intérieurement. Les contours de sa propre réalité semblaient s'effacer devant ce jeu de dupes, alors qu'elle tentait désespérément de déchiffrer les intentions voilées de cet être déconcertant, qui jouait avec sa douleur comme un maître manipulateur.

- Tu vas mieux mon cœur? demanda l'homme en insistant sa caresse dans la vulve trempée.

- oui tonton Victor.

- C'est bien mon amour. Je veux que tu te sentes bien. Où as-tu mal?

- euh... partout tonton, avoua peureusement la beurette qui sentait les doigts dans sa chatte humide.

- Ma pauvre chérie, tu veux que tonton utilise son bâton magique pour te soulager?

Sans attendre de réponse, Victor déballa sa verge raide.

- Mets-là dans ta bouche. Ça va commencer à te soulager.

Leila, telle une exploratrice émerveillée, succomba à la tige. L'écrin de peau veiné durcit sur sa langue, libérant une symphonie sucrée qui caressa ses papilles avec délice. Les arômes envoûtants se mêlèrent harmonieusement, emplissant ses sens d'une extase gourmande. Chaque succion était un voyage exquis, éveillant des sensations divines dans son palais. Leila savoura chaque instant, laissant la tige glisser sur sa langue avec une lenteur voluptueuse. L'homme gémissait et caressait les marques rouges sur le dos et les seins.

- Allonge-toi ma puce. Tonton va te soigner.

Il se déshabilla entièrement et se cala entre les cuisses écartées. Le moment tant attendu arriva, lorsque la verge trempée de salive pénétra lentement dans le sexe de Leila, un soupir de soulagement s'échappa de ses lèvres, car elle savait qu'elle parvenait à satisfaire les exigences de l'homme. Un mélange d'anxiété et de curiosité l'envahit alors qu'elle observait Victor pénétrer son intimité avec une satisfaction évidente. Ses yeux bleus s'illuminèrent d'une lueur intense, ses doigts parcoururent avec délectation les seins en érection. Il coulissait tranquillement en prenant son temps tandis que sa bouche parcourait maintenant les stigmates rouges.

- Tu vas mieux mon amour, questionna-t-il en passant ses mains sur les cuisses relevées de Leila.

- Oui tonton. Je suis bien. C'est bon ce que tu me fais.

Le blond accéléra un peu ses mouvements tout en parcourant les jambes et les cuisses meurtries. Il embrassait la beurette avec tendresse.

- Je vais continuer à te soigner mon cœur. Allonge- toi sur le ventre.

Il plaça un oreiller sous le bassin de la jeune femme et admira le joli fessier musclé légèrement surélevé. Du bout des doigts, il frôlait les marques de sang qui striaient le cul. La verge tendue, il se dirigea entre les fesses et força l'orifice étoilé en chuchotant des mots d'amour à l'oreille de la maghrébine. Leila grimaçait un peu, mais elle aimait se faire sodomiser. Les entraînements de Maitres Jacques avaient produit leurs effets.

Victor fourragea longuement l'anus tout en embrassant et caressant les blessures rouges qui marquaient tout le corps de la jeune femme. Puis il se raidit et se déversa dans les intestins de la beurette.

Après un moment, il décula et, dans un souffle de satisfaction, il dit :

- Tu dois être guérie maintenant mon amour?

- Oui Tonton. Je suis bien, répondit Leila en sentant le sperme couler de son anus.

(à suivre)

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2 Commentaires
Alexandre1965Alexandre1965il y a 10 mois

Très beau texte, bien écrit comme toujours. La soumission de cette beurette est délicieuse !

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