Emprise - Histoire de Leila Ch. 02

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La fuite de la bête.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 07/11/2023
Créé 07/05/2023
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Emprise sur la Ville - Histoire de Leila (chapitre 2)

Après avoir plongé dans les arcanes captivantes de la série "Emprise sur la Ville", coécrite par Verdu et moi-même en huit actes palpitants, je me fais le plaisir de vous offrir une expansion de cet univers fascinant à travers le récit détaillé d'un personnage clé. Préparez-vous à renouer avec certains visages familiers de la série principale, car cette extension s'épanouira en trois petits chapitres :

"Soumission" : Les fils de l'intrigue se tissent avec subtilité alors que notre protagoniste se retrouve pris au piège d'une toile complexe de domination et de secrets inavouables.

"La fuite" : Le suspense s'intensifie à mesure que notre héroïne tente désespérément de s'échapper de cet engrenage infernal, en déjouant les pièges et en bravant les dangers qui jalonnent son chemin.

"Perversité de Jacques" : Les vérités les plus sombres se révèlent dans cette ultime partie, où les enjeux atteignent leur paroxysme et où les actes pervers de Jacques, tel un funeste chef d'orchestre, prennent une dimension effroyable.

Que vous ayez été séduits par la série originale ou que vous soyez de nouveaux arrivants dans cet univers, je vous souhaite une lecture envoûtante et immersive.

Bienvenue dans l'extension palpitante de "Emprise sur la Ville".

Bon voyage!

Résumé du chapitre 1 : La jeune algérienne Leila qui travaille comme agent de nettoyage dans une start up, subit le chantage de Jacques Mousatir. Ce membre d'une société secrète, La Confrérie, la soumet et elle est forcée de donner son corps à des clients qui fréquente l'Uber Sex, un immeuble dévolu aux agissements de la Confrérie et géré par le parrain de la mafia Dom Pietro.

Chapitre 2 : La fuite

Dans l'immuable routine de sa vie confinée plusieurs fois par jour à la chambre 23 de l'immeuble de la Confrérie, Leila vivait au rythme monotone des passes où les clients la baisaient à leur envie. Chaque jour, elle s'astreignait à bouffer des queues toutes différentes les unes des autres, accompagnées de rasades de foutre. Les heures s'étiraient dans une répétition immuable, marquant le passage du temps sans véritable relief. La chambre, aux murs dénudés et aux fenêtres closes, semblait étouffer les aspirations de Leila, emprisonnant ses rêves dans un cocon de résignation. Chaque passe devenait une corvée insipide, dépourvue de plaisir, mais Leila trouvait en cette routine une étrange forme de confort, une sorte d'ordre dans le chaos de sa vie contrôlée par la Confrérie. Derrière ces gestes mécaniques, Leila cherchait en vain une échappatoire, une fenêtre vers un avenir plus radieux, mais pour l'instant, elle était condamnée à cette existence réduite, à ces baises insatisfaisantes. Dans la chambre 23, son horizon se limitait à ces moments sans saveur, tandis que son esprit brûlait d'un désir inassouvi de liberté et de nourriture, à la fois physique et spirituelle.

Les séances avec Maitres Jacques s'espaçaient et le plaisir d'être sa chose, le plaisir d'orgasmes inimaginables également.

Leila se plongeait chaque jour dans l'effervescence de l'entreprise Health Dynamic, vêtue de son uniforme de femme de ménage. Alors que l'équipe de Laura Mucadam, ou plutôt de la nouvelle directrice depuis que Laura avait été internée dans un hôpital psychiatrique, s'affairait à concevoir des dispositifs novateurs de lecture des paramètres physiologiques, Leila naviguait discrètement entre les bureaux et les laboratoires, faisant disparaître les traces de l'agitation quotidienne. Au détour des couloirs, elle croisait souvent Jacques Mousatir, son Maitre, qui collaborait étroitement avec les techniciens de l'entreprise pour développer un collier révolutionnaire basé sur les avancées de Health Dynamic.

Cependant, la présence de Jacques ne faisait qu'accentuer l'état d'esprit troublé de Leila. Elle se souvenait des moments passés avec Maëva, son ex-petite amie, dans lesquels leur connexion était intense et passionnée. Mais à présent, Maëva ne lui accordait plus qu'un regard froid et distant, portant elle-même l'un de ces colliers, fruits des travaux auxquels Jacques contribuait. Les sentiments se mêlaient en Leila, entre la douleur de voir Maëva s'éloigner et la curiosité face aux mystérieux projets de Jacques.

Entre les étincelles des laboratoires et les échos lointains de souvenirs, Leila cherchait un moyen de se frayer un chemin à travers ce labyrinthe d'émotions complexes, espérant découvrir la vérité derrière ces colliers et peut-être, retrouver une once de bonheur dans ce monde en perpétuelle transformation.

***

Leila était paisiblement installée dans sa chambre 23 de l'immeuble de la Confrérie lorsqu'elle entendit un léger toc à la porte. Elle se leva et ouvrit, découvrant un vieux couple africain devant elle. Ils étaient vêtus de tenues colorées, reflétant la richesse de leur culture. Leila les accueillit chaleureusement.

Le couple, accompagné de leur majestueux chien Braque de Weimar à la robe grise, se présenta comme M. et Mme Diop. Ils avaient un air digne et souriant, malgré les rides qui marquaient leur visage. Leur chien, imposant et élégant, semblait calme et bien élevé.

- Bonjour, ma chère. Nous sommes M. et Mme Diop, ravis de faire votre connaissance, annonça gentiment la dame.

- En effet, nous avons entendu parler de vous et de cette mystérieuse chambre 23. Regardez notre smartphone, le numéro en rouge, comme indiqué.

Leila sourit, touchée par la naïveté du couple qui ne devait pas souvent utiliser les outils électroniques. Elle était toutefois intriguée. Il arrivait que des couples viennent pour des passes. Il arrivait également que les personnes soient très âgées. Mais, il lui sembla que le couple n'avait pas pu faire garder leur beau chien gris et que de le laisser attacher dans la rue n'était pas souhaitable.

- C'est très gentil de votre part, M. et Mme Diop. Veuillez entrer, je vous en prie.

Le couple entra dans la chambre, le chien les suivant docilement. Leila les invita à s'installer sur le petit canapé près de la fenêtre, offrant une vue magnifique sur la ville.

- Puis-je vous offrir quelque chose à boire?

- Oh, vous êtes bien aimable, ma chère. Un peu d'eau fraîche serait parfaite.

Leila se dirigea vers le frigo situé en dessous de la tablette et revint avec un plateau contenant des verres d'eau. Pendant qu'ils discutaient, le chien se coucha paisiblement à leurs pieds, la langue pendante. D'environ 65 centimètres au garrot, l'animal prenait de la place dans la chambre.

- Nous avons entendu parler de vos compétences.

Leila les regarda touchée par leur approche bienveillante.

- Merci infiniment, M. et Mme Diop, dit la maghrébine en souriant de toutes ses dents.

Mme Diop observa attentivement Leila, détailla sa silhouette et prit la parole avec bienveillance.

- Ma chère, j'ai remarqué que vos épaules semblaient tendues, dit-elle doucement. Permettez-moi de vous soulager de cette douleur.

Leila lui sourit timidement.

- C'est très aimable à vous, répondit-elle en jouant le jeu qu'elle crut deviner. Je me suis en effet sentie un peu tendue ces derniers jours.

Pendant ce temps, M. Diop s'occupait du chien agité qui commençait à s'impatienter. Il lui versa de l'eau dans un bol.

- Ne vous inquiétez pas pour le chien, intervint Babacar Diop en souriant. Je vais m'assurer que Kalb reste calme pendant que vous profitez de ce massage bien mérité.

Leila acquiesça, se sentant de plus en plus à l'aise en présence du couple Diop qui semblait bien gentil et dont le jeu d'approche lui semblait charmant. C'était quoi leur truc? se demanda la beurette. C'est elle qui va me baiser et lui va regarder ou alors, elle va me préparer pour que son mari me prenne?

Mme Diop posa délicatement ses mains sur les épaules de Leila tandis que M. Diop apaisait le chien avec douceur. La vieille africaine commença le massage en appliquant des pressions douces sur les épaules de Leila. Ses mains expertes glissèrent ensuite vers le cou, où elle effectua de légères rotations pour détendre les muscles.

- Respirez profondément ma petite et laissez-vous aller, murmura Mme Diop d'une voix apaisante. Sentez la tension se dissiper au fur et à mesure que je travaille sur vos épaules et votre cou.

Leila obéit à ses consignes, laissant ses préoccupations s'évaporer un moment. Elle ressentait un véritable soulagement à mesure que les mains bienveillantes de la femme glissaient avec précision sur son dos.

- Vous avez une telle grâce naturelle, complimenta Mme Diop. Il est important de prendre soin de vous, ma chère. Votre bien-être est essentiel.

Leila sourit et, en même temps, se sentait enveloppée d'une douce chaleur tandis que Mme Diop poursuivait son massage et ses caresses, utilisant des mouvements fluides pour apaiser chaque tension dans son dos. Elle passa le chemisier par-dessus la tête de la maghrébine. La peau caramel de la beurette contrastait avec celle beaucoup plus sombre de sa masseuse. Ses jolis seins ronds bravaient la gravité avec une effronterie qui fit rire Mme Diop.

- A votre âge, j'avais aussi de jolis seins. Vous avez vingt ans?

- Oui madame.

Les gestes attentifs et précis de Mme Diop semblaient effacer toutes les douleurs accumulées. Le temps semblait s'écouler au ralenti alors que Mme Diop offrait à Leila un moment de pure détente. Chaque pression, chaque effleurement était empreint d'attention et de soin.

- Vous méritez d'être choyée, ma chère, murmura Mme Diop avec bienveillance. Laissez cette séance de massage vous aider à vous ressourcer et à vous reconnecter avec votre propre sérénité intérieure.

Leila ferma les yeux en s'amusant de cette séance de détente improvisée, se laissant bercer par les mouvements apaisants de Mme Diop. C'était un véritable moment de grâce où elle pouvait enfin se laisser aller et trouver un précieux répit dans le toucher bienfaisant de Mme Diop.

Des mains calleuses emprisonnèrent sa poitrine ferme. Les tétons déjà durs, frottaient dans le creux des deux pognes qui malaxaient les deux rondeurs. Leila n'ouvrit pas les yeux pour vérifier que M. Diop entrait dans la danse. Babacar, le mari de Mme Diop, s'approcha de sa femme pour lui prêter main forte. Son regard reflétait une solide complicité avec sa femme.

- Chérie, je viens t'aider à la soulager, dit Babacar d'une voix douce à sa femme. Kalb sera sage.

Mme Diop sourit à son mari et acquiesça d'un léger mouvement de tête avant de l'embrasser. Ensemble, ils se placèrent de chaque côté de Leila, leurs mains expertes se coordonnant pour parcourir tout le corps. Le pantalon de la jeune femme fut retirer et la culotte noire également.

- Respirez profondément, ma chère, dit Mme Diop avec tendresse, tandis que Babacar commençait effleurer les cuisses de Leila avec des mouvements lents et profonds.

Leila ressentait une sensation agréable alors que les mains de Babacar se rapprochaient de son sexe. Leurs gestes étaient parfaitement synchronisés, créant une symphonie apaisante entre les seins et le sexe de Leila.

- Vous êtes entre de bonnes mains, murmura Babacar avec un sourire encourageant. Nous sommes là pour vous aider à vous libérer.

Leila se sentait enveloppée dans une bulle de douceur.

- Laissez-nous vous soulager, ma chère. Permettez à votre corps de se détendre complètement, ajouta Mme Diop d'une voix réconfortante en se plaçant derrière Leila qui était allongée.

Leila se laissa porter par la présence du couple Diop, savourant chaque mouvement, chaque contact. Elle pouvait sentir les tensions se dissoudre progressivement, remplacées par un sentiment de légèreté. La jeune maghrébine sentit un corps la chevaucher au-dessus de son visage et, quand un sexe de femme, noir se plaqua sur sa bouche, elle sut que Mme Diop passait à l'étape suivante. Leila commença à lécher les grandes lèvres rosées qui pendaient. Le goût était épicé et fort. Tournée vers son mari qui enfonçait ses doigts dans la chatte de la beurette, l'africaine dégageait ses seins de la robe colorée qu'elle portait. La langue de la petite pute sondait en profondeur sa vulve poisseuse qui plaquait la tête sur le lit.

Leila appréciait le scénario du couple qui avait joué les masseurs pour glisser vers des rapports intimes. Les doigts de l'homme crochetaient son vagin et frottaient une zone précise qui l'électrisait. Les fluides de madame Diop coulait dans sa bouche comme un élixir mystérieux excitant son propre sexe comme par une connexion magique. Les doigts de Babacar abandonnèrent sa chatte mais la vieille femme avait saisit ses deux tétons et les roulaient sous ses index et ses pouces. Les doigts de Mme Diop jouaient avec grâce, telles des plumes célestes effleurant un tableau vivant. Chaque mouvement était une promesse de plaisirs, un murmure tendre susurrant des paroles de bonheurs.

Les mots ou les gémissements de Leila semblaient inutiles, car les gestes parlaient le langage universel de la sensualité. Leila se sentait transportée dans un monde où les limites du temps et de l'espace se dissolvaient. Elle était submergée par une sensation d'euphorie, comme si chaque toucher révélait un éclat de bonheur insoupçonné. Elle concourait à cette symphonie avec sa langue qui explorait chaque replis du sexe de la femme noire. Chaque instant était une poésie vivante, où les mots étaient remplacés par des murmures de plaisirs.

- Vas-y ma petite. Continue avec ta langue. C'est merveilleux. Chacun doit concourir à la détente de chacun, déclara Mme Diop.

Leila redoubla d'attentions linguales pour la vieille femme qui lui prodiguait tant de gentillesses. La beurette sentit une humidité se poser sur ses cuisses puis sur son sexe. Des coups de langues puissants et trempés attaquaient sa vulve. Son état d'excitation avancé décupla mais son attention fut ramené sur le sexe de Mme Diop qui jouissait littéralement sur son visage l'inondant de son jus de plaisir. La vieille africaine gémissait bruyamment et Leila, malgré l'habitude de servir de pute pour l'Uber-Sex, en conçut une satisfaction.

Mme Diop glissa le long du corps de la beurette, du visage vers la poitrine puis le ventre en restant à califourchon. Leila vit la queue veineuse de Babacar se présentait à sa bouche. Un instant de stupeur saisit tout son corps.

- Si l'homme était là et sa femme à cheval sur moi. Qui me lèche la chatte? se demanda-t-elle.

Dans un mouvement soudain teinté d'appréhension, Leila s'inclina vivement sur le côté, captant du regard la présence inattendue du chien, qui se tenait silencieusement au pied du lit, entre ses cuisses ouvertes. Son cœur se serra d'inquiétude et son esprit s'embrouilla face à cette apparition déconcertante, cherchant à comprendre le sens de sa présence. La langue du canidé léchait avidement sa chatte glabre.

- Mais vous êtes tarés, gueula la maghrébine en tentant de se relever.

Sur le lit, les deux africains agirent avec une rapidité saisissante pour leur âge, immobilisant fermement Leila et lui liant les mains pour lui ôter toute possibilité de mouvement. Les liens étroits enserrèrent ses poignets, restreignant sa liberté et lui signifiant clairement leur intention. Dans cet état de contrainte, l'impuissance s'empara d'elle, accentuant sa vulnérabilité et faisant naître en elle une angoisse grandissante face à ce qui allait se dérouler.

Toutes les chambres de l'Uber Sex étaient insonorisées. Celles des deux derniers étages où les passes se déroulaient mais également les chambres d'étudiantes du premier étage ainsi que l'immense sous-sol qui servait de donjon à la Confrérie. Les hurlements de Leila ne trouvèrent pas d'écho compatissant à l'extérieur.

Babacar enfonça de force sa queue dans la bouche tandis que Mme Diop frottait son sexe sur le ventre plat de la pute tandis qu'elle encourageait Kalb à lécher.

- Vas-y mon toutou. Occupe-toi bien de la petite Leila. Elle a tellement besoin qu'on s'occupe d'elle. Elle m'a fait jouir une fois déjà et je pense que papa va bientôt éjaculer dans sa bouche.

L'algérienne écoutait les atrocités que Mme Diop énonçait. La nausée montait en elle comme des relents nauséabonds que les marées charrient parfois. Le gland gonflé de Babacar butait violemment sur la partie supérieure du pharynx manquant d'étouffer la petite Leila qui avait pourtant bien l'habitude des traitements de Maitre Jacques. Le sperme jaillit en plusieurs jets directement dans l'œsophage de la maghrébine qui toussa violemment.

- Continue Kalb. Tu vois, la fifille a été gentille avec papa. Elle l'a libérée de son jus d'amour. On va s'occuper d'elle maintenant.

Leila sentait la puissance de la langue du chien sur ses lèvres et sur clitoris. Babacar s'occupait déjà de ses tétons avec adresse et Mme Diop, du bout de son index, complétait l'action du chien en titillant le bouton de plaisir.

Entraînée à jouir même en souffrant par les séances de Maitre Jacques et de Maitresse Marie, Leila sentit malgré elle le plaisir l'envahir et de partout dans son corps, des frissons la submergèrent.

- Arrrggggg, gémit l'algérienne assaillie par un puissant orgasme entraîné par la langue du chien.

Le Braque de Weimar à la robe grise continuait à lécher les lèvres de la pute qui pleurait de plaisir. Caressée à l'excès, elle aspirait à d'autres orgasmes.

- C'est bien Kalb.Tu es un bon chien. Continue encore, lança l'africaine devenue folle toujours chevauchant la beurette attachée.

Babacar observait l'épaisse langue de son chien tapisser la vulve ouverte. La bave canine coulait entre les petites lèvres et les grandes, telle une rivière gluante, s'écoulant entre deux crevasses, glissant avec fluidité dans ce mince espace.

Les nombreuses séances d'étirement du clitoris que Maîtresse Marie affectionnait, avait rendu le bouton érectile extrêmement sensible et surtout extensible. Marie Mousatir, une femme à l'âge vénérable, maniait avec une précision étonnante ses petites pompes d'un autre temps, telles des reliques médicales. Comme un art ancestral, elle les disposait avec habileté sur les tétons et le clitoris de Leila, leurs tuyaux tendus vers les veines de sa chair délicate. Comme une macabre symphonie, les ampoules se vidaient de l'air, aspirant les chairs avec une douceur trompeuse.

La langue râpeuse de Kalb frottait le bouton érigé comme un pénis et Leila repartit pour un second orgasme puissant.

Le couple détacha la beurette qui chancelait. Le chien sauta sur le lit. Etourdie par la puissance des deux orgasmes, la jeune femme ne tenait pas très bien assise au bord du lit alors que Babacar la soutenait en jouant avec ses tétons.

- Tout le monde a été apaisé et soulagé. C'est bien n'est-ce pas? sourit Mme Diop en tenant tendrement les mains de Leila. Maintenant, il ne reste plus que notre petit qui a été sage jusqu'à maintenant.

Alors qu'elle flottait entre la réalité et le néant, une ombre funeste s'insinuait lentement dans la conscience embrumée de l'algérienne. Comme un spectre glacial, le message sinistre se déployait avec une lenteur implacable, s'étirant dans le dédale de ses pensées affaiblies. Chaque mot résonnait comme un écho lugubre, pénétrant son esprit engourdi et éveillant en elle une terreur indicible. Les syllabes s'étiraient en filaments d'angoisse, tissant une toile sombre qui emprisonnait son esprit vacillant. La révélation imminente, bien qu'entremêlée de brumes, prenait une forme insidieuse, telle une lame suspendue au-dessus d'elle, prête à s'abattre avec une cruauté inéluctable.

- Hein? réussit-elle à articuler la beurette tandis que Baracar tenait le Braque de Weimar debout sur le lit, à côté de la pute.

- Je dis qu'il serait normal, ajouta Mme Diop en dirigeant la main droite de Leila sous le chien, que Kalb soit également soulagé, comme nous tous ici!

Maîtrisant la main de Leila d'une puissance étonnante pour l'âge de l'africaine, Mme Diop referma de force les doigts autour du pénis qui sortait déjà du fourreau. Habitué à partager les ébats sexuels de ses propriétaires, l'animal bandait ferme. Forcée, l'algérienne tenait le sexe long d'au moins 20 centimètres. Sur toute la partie extrême du gland, la tige était plutôt fine et Leila sentait un liquide légèrement visqueux.

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