Éducation Maternelle

BÊTA PUBLIQUE

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Rainett
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Il hocha la tête avec empressement, et je me dirigeais vers son lit en ôtant mon pantalon de yoga.

Je me suis assise sur le lit de Camille. Comme une prostituée sans pudeur, j'ouvris largement mes jambes.

«Enlève ton short.»

Il a obéi et j'ai pu admirer sa belle bite raide comme la justice. C'était si grand, si beau, si obscène.

Totalement disproportionné par rapport à sa jeune silhouette maigrichonne.

Comme si toute sa croissance et son énergie étaient absorbées par le développement de son pénis.

Ma chatte s'ouvrait d'envie lorsque je regardais son membre. J'étais toujours impressionnée par sa taille.

Elle était longue, épaisse, avec ses veines saillantes et son gland proéminent.

Cela distendrait probablement la chatte de n'importe quelle gamine.

Je me pourléchais les lèvres à la pensée de la délicieuse douleur que j'allais ressentir quand il plongerait dans mes profondeurs.

Camille s'est approché pour regarder mon pubis de près. Je me suis allongée, jambes écartées.

«Puis-je te toucher?» Il a demandé. J'ai hoché la tête.

Son visage était dangereusement proche de ma chatte enflammée.

Si proche que je pouvais sentir son souffle sur moi. Ma chatte convulsait sous son regard.

Que va-t-il faire? Juste observer pour assouvir sa curiosité? Va-t-il me toucher? Ou ...

Sans avertissement, Camille pressa son visage contre ma chatte.

Immédiatement, je gémis, mes talons s'enfonçant profondément dans son matelas.

Camille était occupé à faire glisser sa langue de haut en bas dans ma fente, poignardant mon ouverture comme s'il me baisait avec. De temps en temps, sa langue frôlait mon clitoris et je poussais mes hanches pour rencontrer sa bouche. Mais il était si maladroit. Trop inexpérimenté pour savoir ce qu'espérait une femme comme caresse.

Son manque d'expérience m'a conquise. Certainement, la première chatte qu'il avait à sa disposition.

Après quelques minutes de clapotis et de léchouilles, il a finalement relevé le museau.

«Ça va, chéri?»

«C'est extraordinaire, maman.»

«Tu es sûr que ça a bon goût?»

J'étais contente d'avoir pris une douche, mais je craignais toujours que ma chatte lui répugne.

C'était comme s'il lisait dans mes pensées.

«Ce goût... Jamais rien de semblable. J'aime ça, maman, j'aime ton goût.»

Il a replongé sa langue et il m'a fait crier. Il allait devenir un amant attentionné.

Mes doigts se faufilèrent dans ses cheveux hérissés, guidant sa bouche vers mon clitoris congestionné.

«C'est ça bébé, oui, lèche-moi bien là!» roucoulais-je.

Camille a compris, mais il était toujours trop impatient pour me laisser aller.

Sa langue léchait mon entrée et tourbillonnait, remontant jusqu'à ce qu'elle cogne mon clitoris dressé.

J'ai regardé entre mes seins, il était fasciné par la tâche à accomplir.

Puis il goba mon clitoris avec sa bouche un peu comme ce qu'il a fait avec mes mamelons.

Il a sucé, tourbillonné. Je me tortillais sous son emprise, serrant mes cuisses épaisses autour de son visage.

Cela l'a poussé à continuer, réalisant en partie qu'il se préparait quelque chose, sans savoir quoi.

Il ne s'est pas arrêté. Cette sensation oubliée, depuis que mon mari me délaissait, s'est précipitée sur moi, un raz-de-marée de plaisir m'a fait chavirer.

J'ai crié, j'ai juré, j'ai appelé Camille. Mon corps tout entier s'agitait, se tendait et s'arc-boutait.

Chaque fibre de mon être se serrait d'un plaisir intense si sublime.

Mes doigts crispés dans la chevelure de mon fils, je pressais son visage contre ma chatte.

Je me fichais de savoir si il avait mal. Je ne voulais pas qu'il s'arrête, putain. J'avais besoin de jouir.

Et j'ai joui, mes hanches se balançant au rythme de l'orgasme m'enflammait.

Camille n'a pas arrêté de téter mon clitoris, il l'a léché doucement lorsque je l'ai libéré de mon emprise, mon orgasme tempétueux s'apaisant aussi vite qu'il était venu.

Effondrée dans le lit de Camille, trempée de sueur, j'essayais de reprendre mon souffle et mes esprits.

J'ai couvert mes yeux avec mon avant-bras, recherchant l'obscurité pour retrouver mon calme.

Puis, j'ai senti le lit bouger.

J'ai jeté un coup d'œil.

Camille rampait sur moi.

«Maman...»

Ses jambes ont écartées les miennes.

«Maman...»

Sa main enroulée autour de sa queue. Instinctivement, il a ouvert ma chatte trempée avec la tête de sa bite.

Mon corps frémit de nouveau. Tellement longtemps que je n'avais pas reçue cette impérieuse caresse.

«Maman, je peux?» Si poli ...

«Sers-toi, chéri, si tu veux me baiser, sers-toi.»

Il n'attendait que ça.

Il a guidé sa verge vers mon ouverture et l'a poussée en moi.

Ma chatte gorgée de sang s'est ouverte trop facilement.

Malgré sa taille, il s'est inséré en moi d'une seule poussée, me traversant jusqu'en butée.

J'ai gémi, plaisir et douleur mélangés, écartelée et comblée, ravie.

«Maman...C'est tellement chaud et serré, ça n'a rien de commun avec la masturbation.»

«Est-ce tu aimes, bébé?»

«...»

Son sexe heurtait le fond de mon vagin, comme s'il voulait retourner à l'endroit d'où il venait.

Un frisson sombre et tordu m'a agité. J'ai miaulé lorsque sa queue a heurté mon col.

«Tellement bon, bébé, continue» Je grognais pour le conforter.

Camille appréciait l'intégralité de sa queue à l'intérieur de moi. Je sentais son sexe palpiter dans mon ventre.

Son visage à quelques centimètres du mien. Enduit de mon propre jus.

Je me poussais en avant pour l'embrasser, enveloppant sa tête avec mes bras.

Je goûtais la saveur acidulée de ma cyprine sur ses lèvres.

Puis il a commencé à aller et venir en moi.

J'ai senti les parois intérieures de ma chatte s'étirer et sucer sa bite lorsqu'il me labourait. La grosseur exubérante de son gland déclenchait à chaque passage, un feu d'artifice d'émotions dans mes terminaisons nerveuses.

J'embrassais mon fils à pleine bouche, en m'accrochant fermement à ses maigres épaules.

Le tempo de Camille augmentait. Il continuait de me fouiller en m'épinglant au lit.

«Chéri, ralentis, pas besoin de te précipiter.»

Mais Camille ne pouvait plus m'entendre ni me comprendre.

Possédé par l'exubérance de sa jeunesse, ivre de plaisirs et de sensations qu'il découvrait.

Le corps d'une femme sous lui. Plonger pour la première fois dans la chaleur moite d'une femme.

Son premier véritable émoi d'homme, c'est sa mère qui lui donnerait.

Je me préparais, sachant ce qui m'attendait. Je savourais cet instant précieux.

Camille me tamponnais de plus en plus fort, les dents serrées, en sueur.

En plein effort, aucun mot ne sortait de sa bouche, juste des grognements gutturaux.

Il respirait fort en gémissant, je pouvais sentir son haleine, sa bouche contre la mienne.

Le besoin désespéré d'une libération primaire enflait en lui. Ses mouvements ont perdu toute fluidité.

Brusquement, des spasmes l'ont empêché de continuer. J'ai senti sa bite se contracter en moi.

Il s'est blotti tout au fond de la vulve, s'est enfoui, et j'ai senti les convulsions de son sexe.

«Maman...»

J'ai refermé mes jambes autour de ses reins, mes talons sur son cul, et je l'ai pressé contre moi.

Camille a crié, et j'ai senti son sperme chaud envahir ma chatte.

Les doigts de Camille se sont enfoncés dans mes flancs.

Il a grogné tout le temps que sa bite se déversait en moi.

J'ai attrapé son visage et l'ai embrassé passionnément, la bouche vorace.

Son orgasme a déclenché le mien et j'ai gémi dans sa bouche, ivre de bonheur.

Mon corps s'arquait et se tendait lorsque j'exultais.

Les parois intérieures de ma chatte, durement sollicitées, envoyaient des déflagrations dans tout mon corps.

L'instant merveilleux achevé, anéantie, amorphe, j'ai dû supporter le poids de Camille effondré sur moi.

«Maman... c'était incroyable.»

J'ai caressé ses cheveux en souriant. Je ne pouvais rien lui dire.

Vautré sur moi, il utilisait mes seins comme oreiller et mon corps comme matelas.

Aucun mot ne peut décrire l'euphorie, la chaleur et l'épanouissement que j'ai ressentis à ce moment-là.

Mon fils chéri, mon fils adoré, l'amour de ma vie, m'a fait l'amour.

«Tu es merveilleuse, maman. Je t'aime!»

«Moi aussi, je t'aime, mon chéri!»

Je savais que ça ne durerait pas éternellement.

Finalement, il rencontrera une jeune fille dont il tombera amoureux.

En attendant, sa bite m'appartient.

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 mois

L'être humain est ce qu'il est , et je ne peut m'empêcher d'eprouver un mépris àu fait de rendre immorale un amour passionné entre personne de même famille !

mafemafeil y a 4 mois

Bonjour Rainett, je découvre les textes que tu t'es mis à nous offrir depuis le confinement et j'ai le plaisir de me délecter de ta plume. Celle-ci m'a particulièrement fait frissonner au fur et à mesure qu'elle m'envoûtait. Plus particulièrement, je salue le point de vue maternel qui est ici exploré, offre une perspective plus inhabituelle et laisse un goût amer quand on s'éveille et se rend compte que notre bite n'a pas la chance d'appartenir à cette mère.

Vivement la suite :')

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Aux contraire des autres lecteurs je dis que cest le résultat qui compte et pas les mise en ligne. J’aurai fais la même chose a sa place. Et pour maman j’aimerai lui parlé 😘

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

super mais je les aime plus long

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

La mise en page est nulle avec tous ces retours à la ligne et double interligne.

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