Éducation Maternelle

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Une mère doit s'occuper de son enfant.
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Rainett
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Tous les soirs, lorsque mon mari s'endormait ... je rendais visite à mon fils dans sa chambre.

«Chéri, papa dort.»

Cette odeur poivrée, le parfum d'un corps d'homme, mélangée à l'odeur de la peinture...

Mon fils, Camille, n'était pas un homme, juste un adolescent tardif et nigaud de 19 ans.

Étudiant aux Beaux-Arts, il n'avait que deux hobbys : la peinture et les filles.

Il avait beaucoup de succès auprès des filles.

Ses traits graciles, presque efféminé, doux et délicat, elles adoraient.

Mais c'était un garçon si timide, je me demandais s'il parviendrait un jour à conclure.

Donc le soir, tard dans la nuit, lorsque rien ne nous dérangeait, je l'éduquais.

C'est notre temps privé, rien qu'à nous, entre une mère et son fils.

Camille m'attendait comme d'habitude. Impatient et anxieux. Tendre et amoureux.

Comme tous les soirs. Au début, c'était juste un baiser, pour lui souhaiter une bonne nuit.

Je l'aidais dans ses études, et je le récompensais d'une étreinte et d'un chaste baiser.

Progressivement, l'étreinte s'est prolongée et nos lèvres se sont effleurées.

J'ai été surprise par l'arc électrique qui a crépité lorsque nos lèvres se sont frôlées.

J'ai attribué cette décharge au fait que mon mari me délaissait, négligeait mes besoins de femme, et que mes pulsions devenaient incontrôlables.

C'était un soir semblable à tous les autres.

J'aidais Camille à peaufiner son travail, profitant du moment intime que nous partagions, mais aussi en stimulant mon intellect. Je n'étais pas tellement instruite, je n'ai pas fréquenté l'université dans ma jeunesse, mais j'ai aimé la vie scolaire. Plus nous approchions de l'examen de fin d'année, plus l'atmosphère était tendue.

«Maman...»

«Je sais, mon chéri.»

Et puis quelque chose de plus profond, un sentiment indescriptible s'est adjoint au baiser.

Lorsque Camille a ressenti sa première grosse érection pendant que nous nous embrassions, je me suis dit que je ne devais pas insister. C'était un baiser, comme les autres nuits, léger et merveilleux.

Mais cette nuit-là, dans le feu de l'action, ma main s'est posée sur sa verge tendue et durcie.

Je me suis dit que c'était parfaitement normal, une simple réplique biologique.

Nous nous sommes embrassés plus profondément après cet incident et, progressivement, insidieusement, je me suis sentie plus à l'aise pour toucher son érection.

J'ai pensé que c'était mon rôle de mère responsable, de l'éduquer aussi en ce qui concerne les choses du sexe.

Mon mari, son père, était rarement présent. En tant que mère, je devais me sacrifier pour mon fils.

J'ai donc décidé de commencer sa formation complémentaire aux choses du sexe et de la vie.

Assise au bord du lit, Camille était couché à côté de moi, son short aux genoux.

«Une, deux, une, deux ...»

Nos corps étaient proches. Sa hanche contre la mienne, ma main sur la sienne.

Penchée sur lui, chuchotant mes paroles, je lui insufflais le bon tempo.

«Écoute mes paroles, chéri, suis le rythme de maman, mon amour.»

Je susurrais en cadence des paroles mielleuses, l'encourageant à caresser sa bite dressée au bon rythme.

Je lui demandais de se caresser lentement, sans se précipiter, en prenant le temps de décalotter le prépuce.

Parfois, je le taquinais en lui faisant accélérer le rythme.

«Maman...»

«C'est très bien, Camille, tu fais un excellent travail.»

Nous travaillions en équipe tous les soirs en encourageant ses besoins masturbatoires.

Il avait l'interdiction de se tripoter en mon absence. J'étais son éducatrice, je possédais le savoir.

Camille ne pouvait s'abandonner avec aucune autre personne, surtout pas une gamine de l'université, qui lui aurait fait faire n'importe quoi.

Il était encore terriblement immature. Le regard de sa mère, pendant qu'il se masturbait, l'embarrassait terriblement.

J'étais si proche, penchée sur lui, lui parlant constamment, que je le dominais totalement.

Assise tout contre lui, la chaleur de ma hanche contre la sienne, la chaleur de ma main sur la sienne, je surveillais sa main qui glissais sur sa jeune bite tendue.

En même temps, je surveillais le gonflement de ses testicules. En les voyant se soulever et se durcir, je savais que l'éjaculation était proche. Mon jeu, c'était de l'arrêter à temps. Le maintenir dans cet état de dépendance envers la femme qui le domine, du fils obéissant au moindre désir de sa maman.

Même si ma chatte désireuse espérait la pénétration, en regardant mon fils accomplir notre rituel intime.

La pièce s'emplissait de nos odeurs de fornication. Si dense et aigrelet, cela montait directement dans mon cerveau.

Cependant, nous avions une règle.

«Maman...»

«Oui, d''accord ... arrête, maintenant.»

Camille pressait sa main autour de la base de sa bite comme dans un étau.

Ma respiration devenait haletante pendant que ses doigts écrasaient douloureusement son urètre, empêchant la montée de la sève, bloquant le torrent de libération qu'il désirait tant.

Juste un mot de sa mère, il obéissait. Farouchement. Même embourbé dans le plaisir.

Sa grosse et belle bite était impatiente, et gorgée de sang. Emplie au point d'éclater.

Il a obéit, refusant de connaître son point culminant le plus intense.

Son corps tremblait et suait, désespéré de se voir refuser une libération si délicieuse.

"Est-ce que ça va, mon chéri?"

Camille hocha la tête, paralysé par l'effort.

«Tu m'as dit d'arrêter maman, alors... je me retiens!»

Incroyable et adorable gamin.

Il a nié son besoin primitif, son corps hurlant de frustration ... pour sa maman chérie.

«Tu es un bon garçon, Camille» ronronnais-je, en tirant sa tête contre ma poitrine, pressant son visage angoissé entre mes grosses loches.

Tout cela me donnait l'envie de lui donner la libération espérée, mais ce n'était que pour l'éduquer.

"Ce soir, nous allons continuer."

Cette fois, Camille s'est allongé contre moi, la tête confortablement calée entre les seins de sa mère.

J'ai enroulé mes doigts autour de sa tige douloureusement turgescente.

J'ai pris un moment pour savourer l'instant, pour sentir sa chaleur, pour sentir vibrer son désir contre ma paume.

Je me suis convaincue que c'était uniquement pour son bien-être.

Je ne le pompais pas. Je le maintenais juste dans l'anneau de mes doigts.

«Tu sais quoi faire, chéri.»

Camille hocha la tête, et il cambra ses hanches dans ma main légère.

Une goutte perlait du méat, coulait le long de sa tige et sur mes doigts.

Ma chatte s'emplissait d'émotion sous le frottement mouillé de sa bite qui baisait ma main.

Camille, le visage tendu par l'effort, bandait alternativement les muscles de son ventre et ceux de son cul dans le mouvement. Les muscles en feu dans l'effort, mais il ne s'arrêtait pas.

«Maman, je vais...»

J'ai imité son action précédente, pressant mes doigt sur son urètre, lui refusant l'orgasme.

Le visage tendu d'angoisse, il levait son beau regard interrogatif vers moi, mais ne me désobéissait pas.

«Bon garçon, là.»

Son père, comme homme et comme amant, était un échec total. Une déception permanente.

Il ne se souciait que d'argent. Travailler, manger, dormir.

Il négligeait les besoins fondamentaux de sa propre femme. Je ne laisserai pas Camille devenir un inutile macho.

Pendant longtemps, presque une éternité, je l'ai maintenu au bord.

Son sexe douloureux s'est teinté d'un rouge profond et agressif.

Il vivait sa propre vie, sans se soucier de son maître.

Il secrétait un liquide clair, huileux, qui lubrifiait la bite compressée dans mon poing serré.

«Tu es tellement incroyable, Camille.»

Son visage angoissé se paraît de bonheur. Heureux de me plaire.

Pour une femme, obtenir d'un homme jeune, au comble de l'excitation, de se retenir de jouir, de céder à ce besoin naturel, quel plaisir! Imaginez mon excitation, devant sa douleur de jeune mâle, à son apogée sexuelle, réussissant, pour plaire à sa maman, de se retenir de jouir, aussi longtemps.

La sueur couvre son front, ses tempes, sa lèvre supérieure. Il tremble, en se serrant contre mon sein.

En tant que femme, excitée, je ne peux imaginer à quel point il est douloureux, pour un garçon de son âge, de retenir son besoin de jouir.

«J'ai compté, maman, ça fait 15 fois ce soir» haletait-il d'une fois mourante. "C'est pour te plaire, maman, parce que ça te rend heureuse, alors je fais de mon mieux."

Son amour pour sa mère, sa dévotion, embrasait mon raisonnement.

Mais je ne peux pas céder à mon désir. Je suis sa mère. Ce n'est pas un jouet. C'est mon fils.

Quand ai-je commencé à le considérer non pas comme mon fils, mais comme un homme, un amant potentiel?

Mon esprit s'était embrumé de désir.

«Ça va, maman?» Il a demandé, les yeux pleins d'inquiétude, oubliant sa propre douleur.

J'avais besoin de finir son éducation.

Je lui ai adressé mon plus beau sourire pour le réconforter.

«Tu as fait de ton mieux, mon chéri, je suis fière de toi. Tu mérites une récompense.»

Je l'ai aidé à s'asseoir au bord du lit, à ma place, et je me suis agenouillée entre ses jambes écartées.

«Maman...!»

J'ai soulevé avec précaution sa bite, si épaisse, si lourde de désir.

J'approchais mon visage pour humer son odeur.

Son arôme envahissait mes narines en agissant comme un aphrodisiaque.

«Laisse maman s'occuper de tout» ronronnais-je.

Ma langue a parcouru sa queue, de la base jusqu'au gland, en suivant ses veines gonflées de sang.

Il gémissait d'impatience, un grognement si doux, qui résonnait directement dans ma chatte.

Ma langue, mon nez, étaient assaillis par les goûts sucré salé de son jus, agrémenté d'une journée de sueurs.

J'ai tout léché, désireuse de me pourlécher de sa magnifique bite. J'ai savouré.

Je voulais récompenser mon fils d'être devenu un amant si docile et si prévenant.

J'adorais sa verge. Je n'en ai jamais eu une aussi grande et aussi belle. Parfaite.

Le liquide clair et goûteux continuait de s'échapper de sa bite.

C'était un nectar, produit seulement après avoir subi des heures de tourment.

Il enflammait mes papilles et ma chatte brûlait de désir. Car tout cela m'appartenait.

Mes lèvres ont gobé son gland, après avoir tari son méat avec le bout de ma langue.

Mon regard ne quittait pas ses yeux embarrassés et torturés.

Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. L'excitation augmentait mon trouble.

Une mère à genoux, suçant son fils avec sa bouche de salope.

Que penserait mon mari s'il entrait maintenant? La vigueur de Camille était enivrante.

Je l'ai sucé de plus en plus profondément, essayant d'imiter la vigueur d'une chatte.

Camille a essayé de résister, de se contenir, vraiment.

Bouche grande ouverte, respiration haletante et sifflante, puis ses doigts s'enfilèrent instinctivement dans mes cheveux.

C'était peut-être un réflexe. Le besoin primordial de l'homme qui succombe, sa bite dans une bouche d'une femme.

Je ne lui rendais pas les choses faciles. Je l'ai sucé avec ferveur, avec envie. Une bouche vorace.

Le désir de sentir mon fils s'épancher dans ma bouche.

Ses hanches bougeaient maintenant, un mouvement mécanique synchronisé sur le pompage de ma bouche.

Je ne pense pas qu'il avait conscience de son geste, du plaisir qu'il me communiquait.

Il gémissait, et une partie de mon cerveau s'est enflammée, me prévenant, me demandant de me calmer.

Mais la plus grande partie de mon être s'enflammait, en proie à l'extase, désirant sa jeune vigueur.

«Maman ... non ... je ...»

Oui, bébé. Viens dans la bouche de maman ... Un jaillissement soudain.

Camille poussa sa bite en avant, durement contre ma gorge.

Ses mains agrippèrent mes cheveux, tirant ma tête vers lui, ne me laissant pas la possibilité de m'éloigner.

«Maman ... maman ...!»

Mon petit garçon, épuisé, poussé à bout, s'est délivré dans ma bouche.

Son sexe tressaillait, je ressentais chaque pulsion et chaque secousse. Sa bite a gonflé dans ma bouche.

Son sperme chaud et fertile a coulé dans ma gorge. C'était sirupeux et âcre, mais j'ai avalé chaque goutte.

C'était le cadeau de Camille pour sa maman. Le nectar de vie.

J'ai attrapé ses bourses, les massant et suçant sa bite comme une paille, aspirant la dernière goutte.

Il frémissait sous moi, sa queue ramollissait, et je le suçais encore.

Puis, je l'ai laissé s'allonger dans son lit, sachant qu'il passera une bonne nuit.

J'embrassais son front, ses yeux, sa bouche, convaincue que Camille m'appartenait.

Pour l'instant, jusqu'au jour où il rencontrera l'amour d'une jeune femme, il était à moi.

«Bonjour, est-ce que Camille est ici? Il m'avait dit qu'il m'aiderait à réviser.»

J'étais dans ma boutique lorsqu'une gamine de l'âge de Camille est entrée.

Ma maison est au-dessus de ma boutique de fleuriste.

«Bonjour, vous êtes Jennifer, n'est-ce pas?»

«Oui, madame.»

Mon ventre s'est contracté de jalousie. Jennifer était si jeune, si belle, si dynamique.

J'étais fleuriste et sa beauté surpassait facilement mes plus belles fleurs.

Son corps était tonique et gracieux, pas enrobé comme le mien.

Ses cheveux étaient soyeux et sa peau était fraîche et lumineuse.

«Il est haut, dans sa chambre, prenez l'escalier ici, pour le rejoindre.»

Elle acquiesça d'un hochement de tête et se dirigea vers l'escalier. Ses mouvements étaient empreints de grâce.

Je me suis demandée si elle était la petite amie de Camille.

J'ai fermé ma boutique plus tôt que d'habitude.

J'ai préparé une orangeade que j'ai apportée à mon fils et à son amie. Je pensais juste remplir mes devoirs d'hôtesse.

En approchant de la porte de sa chambre, j'ai vu qu'elle était légèrement entrouverte.

Une lame de lumière traversait l'écartement, me brisant le cœur.

Entrer, poser les rafraîchissements et partir. Simple.

Mais mon cœur battait fort contre ma poitrine.

J'entendais leurs rires et je savais qu'ils appréciaient le fait d'être ensemble.

Je n'osais pas pousser la porte et voir par moi-même.

Je me suis retirée.

Le crépuscule descendait au moment où Jennifer est partie. Elle était si parfaite, si polie, si mignonne.

Camille m'a fait un câlin par derrière en me racontant combien Jennifer était studieuse.

«Chéri, je pense que nous devrions arrêter nos devoirs nocturnes.»

«Quoi? Pourquoi? Nous n'avons rien fait de mal!» Les yeux de Camille s'embuaient.

«Parce que tu es grand maintenant, et que tu es prêt pour une relation avec une fille de ton âge.»

«Je n'ai pas suffisamment étudié! Je peux faire mieux! Maman!»

Peut-être qu'il pensait à Jennifer quand il était avec moi.

Elle est tellement belle, tellement meilleure qu'une vieille femme bizarre et obsédée comme moi.

«Je pense qu'il est temps que tu t'exerces avec une fille de ton âge. Tu dois en avoir marre de ta mère, non?»

«Non! Je veux encore étudier avec toi!»

«Je ne peux rien t'apprendre de plus ... Je l'ai fait avec ma main... Avec ma bouche...»

Bien sûr, il y avait encore un endroit ...

«As-tu seulement essayé avec Jennifer?»

«Non, mais si elle te déplaît, je ne vais plus la voir, maman, s'il te plaît, n'arrête pas tes leçons!»

Ses yeux remplis de douleur exprimaient une émotion plus intense que les tourments que je lui infligeais.

«Une dernière leçon. Je vais me laver. Si tu ne veux pas, verrouille la porte de ta chambre.»

«Maman, tu veux dire...Maintenant?»

Je l'ai laissé là, planté au milieu de la cuisine.

Je me suis douchée, frottant mon corps sous le torrent d'eau brûlante. Mon esprit était dans le brouillard.

J'avoue avoir fantasmé sur cet instant, dévirginiser mon fils. Mais c'était juste un fantasme.

Jusqu'à présent, j'apprenais à mon fils les gestes simples pour devenir un homme, pas à profiter de nos corps.

Ma main s'est glissée entre mes jambes. J'ai senti ma chatte gonflée de désir.

Malgré l'eau qui ruisselait sur moi, je savais à quel point elle en avait besoin.

En tant que mère, je n'aurais jamais dû m'engager dans cette démarche.

En tant que femme, il m'était impossible de résister à l'attrait de ce jeune corps.

Je me suis vêtue légèrement. J'ai envisagé de mettre quelque chose de sexy, de la lingerie affriolante.

Mais cela m'a semblé présomptueux. Je n'avais aucune garantie qu'il voudrait de moi.

J'ai marché jusqu'à sa chambre comme je l'ai fait mille fois. Mais cette fois, c'était différent.

Cela me semblait long et difficile, chaque pas me rapprochait de conséquences que je pourrais regretter.

Ma main tremblait en saisissant la poignée de la porte.

J'ai retenu ma respiration avant de tourner la poignée, je ne savais pas si j'étais heureuse ou non qu'elle s'ouvre.

Il n'a pas verrouillé sa porte... Il m'accepte ... Il m'attends ... Me désire!

Camille m'attendait là, debout au milieu de la pièce, le rouge aux joues.

Je n'avais pas les mots pour décrire ce que j'allais faire.

Je me suis simplement approchée de lui, mon fils, et j'ai pris son visage dans mes mains.

«Maman? Qu'est-ce que tu ...?»

«Désolée, chéri, pardonne-moi. Maman ne peut plus se contrôler.»

J'ai mangé sa bouche dans un baiser meurtrier. Pas le baiser d'une mère à son fils, mais d'une femme à son amant.

Mon fils a répondu fiévreusement, sa langue luttant fébrilement avec la mienne.

J'ai goûté sa salive sucrée pendant que sa langue caressait la mienne.

J'ai lutté avec la même ferveur, ne voulant pas être vaincue par un gamin de son âge.

Ses mains étaient aventureuses, soulevant mon sweat-shirt, agrippant mes mamelons.

J'ai toujours été déraisonnablement sensible, ma peau rendue amoureuse par l'anticipation et le désir.

Pas seulement à cause de son baiser impudique, mais aussi de nos nombreuses séances ensemble.

Plusieurs fois, après avoir quitté sa chambre, j'ai dû me soulager avec mes doigts.

Taquiner mon clitoris, manipuler subrepticement ma chatte à côté de mon mari endormi.

Camille remarqua l'effet qu'il me procurait et il sourit.

«Tu es merveilleuse sans soutien-gorge maman.»

Ses mains pressaient mes seins, ses doigts malaxaient et étiraient mes tétons, sa bouche luttait avec la mienne.

Comme un enfant avec un nouveau jouet, il examinait, caressait et tripotait mes seins.

Une pointe d'embarras traversa mon esprit, réalisant que je ne contrôlais plus la situation.

«Quelque chose ne va pas, maman?»

«Rien. Tout va bien, mon chéri. Je suis juste vieille et moche.»

«Maman! Tu es si belle. Merveilleuse. Personne ne peut se comparer à toi!»

Mon cœur a bondi dans ma poitrine, comme celui d'une gamine immature.

Ce n'était sûrement pas vrai, mais c'était si doux à entendre.

Il a soulevé mon sweat-shirt et l'a passé par-dessus ma tête.

Il a soulevé mes seins avec ses mains en coupe pour les admirer.

Bouche ouverte, les yeux écarquillés, il admirait sincèrement mes trésors.

«Tu es magnifique, maman.»

J'ai rougi de plaisir. Cet enfant est un don du ciel.

Jamais aucun homme ne m'avait regardée avec des yeux comme ça.

Il me dévorait des yeux, comme s'il découvrait une merveille de la nature.

Il s'est penché, avançant sa bouche en cœur pour sucer mon téton.

J'ai gémi au contact de sa bouche gobant mon mamelon.

Je n'étais pas habituée à cette sensation. Je me tortillais contre lui, sentant la situation m'échapper.

Il m'a torturé les seins, alternativement, longtemps, mû par un instinct ancestral.

Je pressais mon ventre contre le sien, éperdue de lasciveté.

Camille portait un short et sa bite était tendue contre moi.

Ma chatte me picotait d'exigence, s'ouvrait et s'humidifiait en espérant la saillie.

«Maman...» gémit-il, fléchissant ses hanches, frottant instinctivement son arbre contre moi.

«Tu me veux nue?» Ai-je soupiré d'une voix enrouée.

Rainett
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