Domino Ch. 02

- Je vois que tu ne m'attends pas

- Il y en aura pour nous deux, elle a l'air d'aimer ça

- Si le père savait ce que tu fais à sa fille, il risquerait de ne pas apprécier.

- Je ne lui fais que du bien.

Il cessa de palper la jeune femme pour prendre sa bière. Domino se saisit machinalement de celle qu'on lui tendait et ils burent tous ensemble.

- Comme le salon n'est pas trop confortable, ça ne te dérange pas que l'on t'emmène ensuite dans ma chambre.

La jeune femme ne répondit pas tout de suite, les regardant l'un après l'autre. Même si au début elle avait stressé un petit peu, maintenant elle était bien.

- Peu importe, faites comme vous voulez...

- Génial, tu vas adorer.

Lorsque Domino posa sa bière vide sur la table basse ce fut le signal du début des festivités. Les garçons se levèrent et aidèrent la jeune femme à se mettre debout.

Elle se laissa guider jusque dans la chambre sans un mot et une fois devant le grand lit, un des garçons lui dégrafa son mini-short pour le faire glisser le long de ses jambes

- Putain, regarde, elle ne porte rien dessous et elle est complètement épilée.

- C'est vraiment une belle salope

- En fait elle doit aimer se faire baiser.

Ils n'avaient pas tout à fait tort car maintenant qu'elle était nue, elle était de plus en plus excitée.

Elle ne résista pas lorsqu'ils l'allongèrent sur le lit, la mettant sur le dos, les cuisses bien écartées. Elle adora lorsqu'un des deux hommes vint lui lécher sa chatte alors que l'autre se mit à la téter.

Elle gémit en sentant les quatre mains parcourir chaque centimètre de son corps.

Elle était bien et lorsque la vague de plaisir la submergea, elle se mit à gémir.

Celui qui lui léchait le sexe se régalait avec la mouille qu'elle sécrétait abondamment. Il lui avait écarté en grand ses lèvres et fouillait de sa langue la chatte si accueillante. Elle poussa un gémissement un peu plus fort lorsqu'il s'attarda sur le clito gonflé par le désir.

L'autre homme n'était pas en reste et il mâchait un des tétons tout en pétrissant l'autre sein. Domino aimait la douleur qui se dégageait de son mamelon, n'esquissant aucun geste.

Elle était affalée sur le dos, jambes et bras écartés et les laissait entièrement libre de faire tout ce qu'ils voulaient à son corps.

Ce n'était plus l'alcool qui dictait ses actions mais une excitation sans nom et elle avait envie qu'ils ne s'arrêtent jamais.

Ce fut l'homme qui lui léchait le sexe qui stoppa en premier. Il avait trop envie de la baiser et il quitta le lit pour se déshabiller rapidement alors que son pote continuait à téter le joli petit sein même si rien n'en sortait.

Lorsque le premier fut entièrement nu, il dut interrompe son copain pour s'allonger sur Domino qui trembla de bonheur en sentant le corps venir la recouvrir.

Même si le sexe de l'homme était de taille modeste, pour la jeune femme ce fut un vrai délice en le sentant glisser en elle. Malgré l'alcool qu'il avait bu, il s'avéra être un très bon amant en la prenant un certain temps avant d'éjaculer et inonder sa vulve.

La jeune femme prit un plaisir incroyable intensifié un peu par l'alcool qu'elle avait bu depuis le début de la journée.

Lorsqu'il se retira pour laisser la place à son pote, ce dernier dit alors.

- Retournes-la, j'ai envie de l'enculer.

Domino frémit de tout son être en entendant ces mots. Avec son ex petit ami, elle s'y était toujours refusée ayant peur d'avoir mal. Pourtant elle n'était plus tout à fait dans son état normal et même si cela lui faisait un peu peur, elle était prête à leur offrir son cul.

Lorsque les hommes la mirent sur le ventre, elle se laissa retourner sans rien dire, prête à subir ce qu'elle avait toujours refusé jusqu'à présent.

En sentant le gland se positionner contre son anus, sans aucune préparation, elle se mordit la lèvre inférieure pour ne pas crier.

Tout son corps se crispa sous la douleur lorsqu'il se mit à la forcer mais elle réussit à rester silencieuse, se surprenant elle-même

- Putain, elle est serrée, j'adore

- vas-y explose-lui le cul

Domino s'était mise à haleter alors que le membre, centimètre par centimètre, pénétrer dans ses entrailles. Lorsque son anus céda et que le membre s'enfonça d'un coup, elle ne put retenir un cri de délivrance même si elle avait toujours mal.

L'homme trop heureux de sa victoire commença par la limer lentement avant d'accélérer petit à petit ses coups de reins. Domino, après quelques va-et-vient et malgré les élancements, commença à ressentir un plaisir inconnu qui la décontracta.

Durant de longues minutes elle se fit sodomiser et finalement aima ça.

Lorsque l'homme se fut vidé bien au fond de son cul, ils l'abandonnèrent pour aller boire quelques bières, la laissant récupérer.

Une fois la soif bien étanchée, ils revinrent dans la chambre pour s'amuser de nouveau

- Et si on la prenait en même temps?

- On lui fait une double pénétration! je suis partant.

- Super, elle va adorer

*****

Durant deux heures Pierre prit toutes les photos nécessaires pour son reportage tout en pensant à la jeune femme. Il avait des remords, ne comprenant pas pourquoi il avait été aussi con

C'est vrai qu'elle l'avait narguée en lui disant qu'il n'avait que la gueule mais maintenant il s'inquiétait. Jamais il n'aurait dû la livrer à ces deux alcooliques et vers 23 heures, lorsqu'il revint à la buvette où il l'avait laissé, il paniqua un peu en ne la voyant plus.

C'est vrai que c'était normal qu'ils l'aient emmené ailleurs mais il avait espéré qu'ils ne soient pas encore partis.

Il déambula parmi les gens à la recherche de sa petite assistante, regrettant d'avoir fait une telle chose.

Il se rendit alors compte que même s'il s'en défendait, il était un peu jaloux de la savoir avec eux.

À minuit, il décida de retourner à l'hôtel des fois qu'elle soit rentrée.

Mais pourquoi l'avait-il fait boire et offert à ces hommes.

Pourquoi ne l'avait-il pas gardé avec lui pour la câliner une fois les photos finies.

Lorsqu'il rentra dans la chambre et qu'il ne vit personne, son inquiétude monta d'un cran. Il alla tout de même se coucher en sachant qu'il ne dormirait pas tant il était anxieux.

Avec la fatigue il s'endormit tout de même, faisant pas mal de cauchemars en pensant à la jeune femme. C'est vers 6h00 qu'il se réveilla, croyant entendre des bruits sourds dans la chambre. Allumant sa lampe de chevet, il prêta l'oreille et entendit frapper.

Il y avait quelqu'un derrière la porte qui tapait contre le bois.

Se levant d'un coup, c'est nu qu'il alla ouvrir la porte, à la fois paniqué et plein d'espoir.

Elle était là, un sourire aux lèvres, le regardant avec des yeux fatigués.

- Je n'ai pas mes clefs, lui dit-elle avec une petite voix.

L'homme, soulagé, la saisit contre lui, la serrant très fort.

- Excuse-moi ma petite Domino, je n'aurais jamais dû faire ça. Pardonne-moi s'il te plaît.

- Oui.... Tu me sers trop, si je meurs étouffée je ne te pardonnerais pas.

L'homme la relâcha et l'embrassa longuement

- Tu n'as rien? ça va.. ils ne t'ont pas fait de mal?

- Non, c'était des gentlemans et j'ai même eu le droit à une bière

- Mais, qu'est-ce que tu as fait jusqu'à maintenant

- J'ai dû m'endormir.

Au regard coquin qu'elle eut en répondant, l'homme sut très bien qu'elle lui mentait mais il était tellement heureux de la retrouver qu'il ne lui en voulut pas.

- Je vais aller me laver et dormir un peu lui dit-elle.

- Oui, bien sur... et plus jamais tu ne me fais peur comme ça.

- On verra...

Domino prit une très longue douche pour effacer ses frasques de la nuit avant de rejoindre le photographe qui s'était recouché. Se lovant contre lui ; elle lui dit.

- Tu n'as pas à culpabiliser, j'ai passé une très bonne soirée

- Si tu le dis. Comme j'ai toutes les photos nécessaires, si tu veux on rentre à la maison après le repas de midi.

- Dommage, j'aimais bien cette ville mais ok, je suis d'accord pour retourner chez moi.

C'est vers onze heures qu'ils se réveillèrent et après avoir préparé leurs affaires, l'homme, hésita un peu avant de demander.

- Tu sais Domino, mon fils et moi nous t'aimons beaucoup et nous en avons un peu parlé ensemble ce matin pendant que tu dormais encore et...

- Et?

- Et on s'était dit que ça nous ferait plaisir si tu venais habiter chez nous.

Domino ne s'attendait pas du tout à ça et ne sut quoi répondre. C'est vrai qu'elle aimait bien Pierre et son fils mais elle aimait aussi sa liberté surtout depuis que les deux alcooliques s'étaient amusés avec son corps.

Elle avait envie d'expérimenter plein de choses et avait peur de ne pouvoir le faire en habitant chez eux.

- Tu me prends au dépourvu et j'avoue que j'aimerais avoir du temps pour te répondre.

- Je comprends répondit l'homme déçu. Saches que quelle que soit ta décision, on la respectera

À suivre

Dans le prochain épisode

Domino acceptera-t-elle l'offre pour être près de ses amants ou la refusera-t-elle pour vivre d'autres aventures.

On verra bien...