Domino Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Désolé pour ma façon de parler, j'ai tendance à être un peu cash.

La jeune femme se trouva ridicule, trouvant finalement la façon de parler de l'homme plus adéquate. Pourquoi prendre des détours pour finalement dire la même chose.

Du coup, obéissante, elle quitta le bras de l'homme pour venir se positionner de sorte à pouvoir s'occuper de son membre. Même au repos il était impressionnant et, le saisissant d'une main, elle tira vers le bas pour faire glisser la peau et décalotter le gland.

Même si du sperme et sa mouille le recouvraient encore, elle le trouva appétissant et, sortant sa langue, elle se mit à le lécher pour bien le nettoyer.

L'homme qui pensait qu'elle allait le prendre directement en bouche, adora sentir cette petite langue parcourir l'extrémité de sa queue et insister sur le méat et même sur le prépuce.

Elle faisait la toilette de son sexe qui prit rapidement du volume.

- Tu es douée, j'adore, vas-y suce moi bien.

En fait, c'était la première fois qu'elle prenait autant de plaisir lors d'une fellation. Elle avait envie de plaire à l'homme et cela l'excitait de le lécher ainsi.

Le photographe gémit involontairement, lorsque la langue glissa le long du pénis, descendant lentement pour venir lécher un testicule qu'elle avait saisi dans une main.

Elle était telle une petite chienne gourmande mais en voyant comment la queue avait retrouvé de sa superbe, elle décida de changer de technique.

Emprisonnant le gland dans sa bouche, elle se mit à le masser entre sa langue et son palais.

L'homme savait qu'a ce rythme, il risquait d'exploser rapidement, aussi, d'une voix un peu rauque, il lui dit.

- Je veux ta chatte, viens sur moi.

Tout le corps de la jeune fille fut parcouru de frissons en entendant l'homme. Elle aussi avait trop envie de sentir de nouveau cette grosse queue dans son ventre.

Elle prit pourtant son temps pour se positionner au-dessus du membre, voulant se faire admirer alors qu'elle se mettait à cheval sur lui.

Lorsqu'elle plaça le gland à l'entrée de sa chatte, elle ferma les yeux pour s'empaler lentement, appréciant chaque centimètre qui pénétrait ses chairs.

C'était vraiment trop bon et l'homme ne put s'empêcher d'admirer à nouveau ce corps magnifique qui glissait lentement sur sa queue. Il était tellement excité que son membre était dur comme du bois pour le plus grand plaisir de la jeune femme.

N'en pouvant plus il lui saisit les hanches et d'un coup sec, il la tira vers le bas. Domino ouvrit en grand la bouche en poussant un petit cri, surprise d'être forcée de la sorte tout en adorant ça.

Empalée complètement, elle ondula du bassin pour mieux le ressentir avant de commencer de très lents va-et-vient. L'homme qui lui tenait toujours les hanches, l'aida dans ses mouvements, lui imposant un rythme.

Le photographe était tellement excité que la prendre de cette façon ne lui suffisait plus. À sa manière toujours très délicate, il lui dît.

- Mets-toi à quatre pattes, j'ai trop envie de te défoncer la chatte.

La jeune femme, en l'entendant, ne fut pas choquée, trop excitée d'obéir à l'homme. Elle aussi avait envie de se faire prendre un peu plus sauvagement aussi s'empressa-t-elle de se libérer du membre pour se positionner dans la position demandée.

Même comme ça elle envoyait du rêve et Pierre se dépêcha de se redresser pour se placer derrière elle.

Si cela n'avait été que de lui, il l'aurait sûrement enculée mais il eut peur de la faire fuir et préféra positionner son gland à l'entrée de sa vulve. La maintenant au niveau de la taille, il la pénétra entièrement d'un coup sec, la faisant crier de plaisir.

Trop excité pour y aller en douceur, il se défoula, donnant des grands coups de reins pour s'enfoncer à chaque fois jusqu'aux couilles. Il n'avait pas menti en lui promettant de la défoncer car il y alla vraiment franc jeu.

Ayant déjà éjaculé, il put la prendre ainsi très longtemps, la faisant hurler de bonheur.

C'était la première fois qu'on la baisait aussi bestialement et elle adora ça. Elle qui avait hésité à se mettre nue devant lui au début de la soirée, se donnait maintenant sans aucune retenue.

Les orgasmes se succédaient et elle hurlait à chaque fois plus fort, ne se rendant pas compte du bruit qu'elle pouvait faire. Elle ignorait jusqu'à cette nuit qu'elle aimait autant ça et aurait tant voulu que cela ne s'arrête jamais.

L'homme finit tout de même par éjaculer, la remplissant de sperme.

Lorsqu'il se retira en lui lâchant la taille, elle s'écroula complètement épuisée et ivre de jouissance. Elle qui n'avait connu qu'un seul garçon jusqu'à très récemment, venait d'avoir en peu de jours deux amants différents qui n'étaient autres que le père et le fils.

Il était trois heures du matin et la jeune femme n'avait toujours pas dormi. Lorsque Pierre s'allongea sur le dos, elle vint se lover contre lui.

- Tu sais, Luc ne m'avait pas dit que tu criais autant lorsque tu faisais l'amour.

Domino fut surprise, voire même choquée en apprenant que le garçon avait raconté à son père la nuit qu'ils avaient passée ensemble.

Pour justifier ces propos il rajouta.

- J'ai élevé seul mon fils et on ne se cache rien.

- Mais! tu vas lui dire ce qu'on a fait cette nuit!

- Bien sûr

- Mais, il va me haïr

- Non, il m'a même donné sa bénédiction. Avec mon fils on partage tout, même les femmes si ces dernières sont d'accord, bien sûr.

Domino était perplexe, elle qui croyait vivre le début d'une belle histoire d'amour avec le jeune homme ne savait plus quoi penser. Ressentait-il la même chose qu'elle et avait-il prévu dès leur première soirée de la partager avec son père...

Elle ne savait plus trop ce qu'elle devait faire et cela la déstabilisait.

- Mais toi, si tu tombes amoureux d'une femme, tu pourrais la partager avec lui.

- Tu sais pourquoi ma femme m'a quitté lorsque Luc était petit.

- Non

- Parce que j'étais trop soupçonneux et que cela était devenu invivable pour elle. Du coup elle m'a vraiment trompée pour se venger. Depuis, je ne veux plus jamais être jaloux et mon fils à la même philosophie

La femme resta silencieuse une grosse minute, réfléchissant aux propos de l'homme. Lorsqu'elle parla de nouveau, ce fut pour éclaircir un doute qui germait en elle.

- Ça voudrait dire que malgré ce qui vient de se passer cette nuit ou ce qui s'est passé avec Luc l'autre soir, si j'ai envie d'avoir une aventure avec quelqu'un d'autre, je serais libre de le faire.

- Oui, je trouve ça même plutôt excitant de savoir celle qu'on aime prendre du plaisir ailleurs et mon fils a le même avis que moi.

- Ça ne s'appellerait pas de l'échangisme cette façon de faire? demanda la jeune femme en riant.

- Non, ça s'appelle du partage surtout lorsque la petite amie est aussi belle que toi.

- Alors pourquoi tu as empêché le mec ivre de m'emmener lorsque l'on était à la buvette

- Parce que j'avais prévu de te baiser cette nuit et dans ces moments-là, je ne partage pas.

Leur discussion était à la limite de l'irréel. Jamais Domino n'aurait pensé que des gens puissent avoir cette façon de penser et cela la déroutait complètement.

Vu l'heure, ils décidèrent tout de même d'essayer de dormir même s'ils avaient plus envie de baiser que de fermer les yeux. Pourtant le sommeil les gagna tous les deux alors qu'ils restaient blottis l'un contre l'autre.

En fait, la conversation qu'elle avait eue avec le photographe l'avait étrangement excitée et elle ne comprenait pas pourquoi.

Il n'était pas loin de dix heures lorsqu'elle ouvrit les yeux. Finalement elle avait réussi à récupérer un peu et en bougeant pour aller aux toilettes, elle réveilla son patron.

- Quelle belle vision au réveil, dit-il en voyant le joli corps de la jeune femme sortir du lit.

- Tu ne dirais pas ça si tu avais senti mon haleine.

- Viens m'embrasser pour savoir si c'est vrai.

La jeune femme qui était partie pour aller uriner interrompit sa course pour sauter sur le lit en riant. Lorsqu'elle fut sur l'homme, elle l'embrassa goulûment, le faisant exprès pour qu'il se rende compte qu'elle ne sentait pas bon.

L'homme trouva au contraire ce baiser fantastique et il adora même l'haleine de la jeune femme. Lui saisissant un sein qu'il serra fortement, il l'empêcha ainsi de le quitter pour aller se soulager.

- Lâches moi, je vais me pisser dessus

- Seulement si tu me laisses t'essuyer après la douche

- Oui, oui, oui, tu pourras m'essuyer, maintenant lâches mon sein,

Pierre la relâcha et Domino fonça pour se soulager tout en rigolant. Elle était nue et était bien ainsi maintenant qu'elle était devenue plus intime avec l'homme.

Elle aimait lorsqu'il la regardait ou la touchait, ressentant des sentiments aussi fort pour le père que pour le fils.

Avant de prendre sa douche, elle prépara sa serviette en la donnant avec un air coquin à l'homme.

- C'est pour toi, pour que tu essuies mon corps comme il faut.

- Va te laver et fais-moi confiance. Tu seras aussi sèche que le Sahara lorsque j'en aurais fini avec toi

- On verra

Lorsqu'elle rentra dans la cabine pour se nettoyer, elle se mit face au photographe qui la regardait assis sur le lit. Elle décida de faire un show pour s'amuser et, après avoir ouvert légèrement le mitigeur, elle commença à enduire son corps de gel douche alors que l'eau ruisselait doucement sur son corps.

Lentement, elle se frotta les seins puis le ventre alors que l'homme commençait à bander.

Lorsqu'elle se savonna le sexe, les jambes bien écartées, Pierre était à deux doigts d'entrer de force dans la douche pour la violer. La jeune femme adorait s'exhiber de cette façon, se rappelant comment elle s'était caressée au studio alors qu'il la photographiait.

Juste pour le narguer encore un peu, elle se retourna pour se savonner les fesses, riant toute seule sous la douche.

Lorsqu'elle coupa l'eau et sortit toute mouillée, elle se dirigea vers l'homme en lui disant.

- Ça y est, je me suis lavée et mon corps est à toi.

- Tu ne vas pas être déçue

Laissant la serviette sur le lit, il se leva et se dressa devant la jeune femme. La soulevant comme un fétu de paille, il la jeta toute mouillée sur le lit, tombant sur le matelas en riant.

- Tu vas payer pour m'avoir autant excité. Attends-toi à gémir de plaisir.

Domino ne se le fit pas dire deux fois et se mettant sur le dos, elle écarta en grand les cuisses, invitant ainsi l'homme à venir se servir. Elle était toute trempée mais cela ne gêna pas le photographe qui s'allongea sur elle.

Il ne chercha même pas à faire quelques préliminaires, plongeant d'un coup en elle juste pour la faire gémir comme il avait promis.

Elle poussa un petit cri, se cambrant de plaisir. Elle adorait être prise ainsi et lorsque l'homme se déchaîna en elle, elle jouit de façon intense.

En deux jours elle s'était découvert un goût immodéré pour le sexe ainsi qu'un côté exhibe qui pouvait l'effrayer.

L'homme était trop excité pour durer bien longtemps mais cela ne gêna pas Domino qui adora recevoir les jets de spermes en elle.

- Je crois que si on veut manger, il faudrait qu'on bouge finit par dire le photographe.

- Je crois aussi,

Il était 11h00 passés et ils étaient toujours nus. Pierre alla prendre une douche rapidement alors que Domino se nettoya juste le sexe. Elle allait enfiler sa culotte lorsque l'homme l'interrompit.

- Vu que tu ne portes pas de soutien-gorge, laisses ta culotte ici et porte juste le mini-short et ta brassière.

- Et demain j'irais manger toute nue

- Pourquoi pas...

La jeune femme sourit tout en obéissant, ne mettant aucun sous-vêtement. De toute façon personne ne s'en rendrait compte mais cela l'excitait tout de même.

Dans le hall de l'hôtel, ils virent le même jeune homme que lors de leur arrivée. Ce dernier, en les apercevant leur fit un petit signe de la main.

Pierre dit alors à la jeune femme

- Je crois que tu as un ticket avec le réceptionniste, je ne pense pas que tu aies besoin d'insister beaucoup pour qu'il t'emmène dans son lit.

- C'est vrai que tu n'es pas jaloux.

- Pas si je te récupère ensuite, dit-il en rigolant

Pour midi, ils cherchèrent une autre buvette et en trouvèrent une spécialisée dans les moules frites. Toujours accompagnés d'une bière d'un demi-litre, ils mangèrent de bon appétit.

À cette heure de la journée il y avait beaucoup moins de monde que le soir et c'était plutôt reposant. Même si la jeune femme faisait toujours autant d'effets sur les passants, ils n'y prêtaient plus attention, faisant comme si de rien était.

- Je vais essayer de prendre des photos de la fête ce soir, on est un peu là pour ça. Je ne vais pas t'obliger de me suivre car tu risquerais de t'ennuyer.

- Tu ne veux pas que je t'accompagne?

- Non, tu n'as qu'à t'amuser ou aller te coucher de bonne heure.

- Je vais aller draguer pour vérifier si vraiment tu n'es pas jaloux.

L'homme lui sourit

- Je peux même choisir ton prétendant pour toi si tu veux.

- Pas chiche

- Tu verras.

Domino savait pertinemment qu'il ne le ferait pas mais elle aimait bien taquiner son patron.

- Tu as qu'à m'en trouver plusieurs, bien alcoolisés, histoire que je m'amuse bien.

L'homme la regarda bizarrement

- Si c'est vraiment ce que tu veux, je te les trouverais.

- Que la gueule, dit-elle en rigolant.

- Non, ne dit jamais que je n'ai que la gueule. Répondit-il un peu irrité.

En voyant comment le photographe réagissait, elle préféra changer de sujet. Pour s'occuper l'après-midi, ils décidèrent d'aller se promener dans Brazon et rechercher des endroits sympas pour les photos de ce soir.

À plusieurs reprises, Pierre paya une bière à Domino en insistant même lorsqu'elle hésitait à boire. Plus les heures passaient et plus elle se sentait pompette alors que la soirée n'était pas encore commencée.

L'homme la regardait étrangement, voire même tristement et cela aurait sûrement intrigué la jeune femme si elle avait été un peu plus lucide.

Lorsque le soir arriva ils retournèrent à l'hôtel pour que Pierre prenne ses appareils photo.

- Je crois que je vais rester ici et dormir, je ne suis pas très bien.

- Hors de question, tu viens avec moi. N'oublie pas que j'ai une mission te concernant.

- Hein?

Domino était vraiment fatiguée mais accepta tout de même de l'accompagner.

Ils allèrent à la même buvette que la veille pour manger un sandwich mais la jeune femme n'ayant pas faim, le photographe lui fit servir uniquement une bière.

L'homme n'arrêtait pas de regarder autour, cherchant quelque chose. Il n'avait pas trop apprécié que sa jeune assistante lui dise qu'il n'avait que la gueule et il mettait un point d'honneur à tenir sa parole même si cela lui ne lui plaisait pas trop.

C'est alors qu'il le vit mais il n'était pas seul. L'homme de la veille qui avait voulu lui prendre domino était en train de boire avec un copain.

- Excuse-moi, je t'abandonne quelques secondes car j'ai une parole à tenir.

- Hein?

Pierre se leva, laissant temporairement la jeune femme pour aller parler aux deux hommes.

- Bonsoir, vous me reconnaissez demanda-t-il à celui qui les avait abordé la veille.

- Hé, oui. Tu es celui qui était avec sa fiancée. J'ai cru que c'était ta fille.

- En fait c'était bien ma fille et j'ai besoin d'un service.

- Hein, ta fille? heu, oui... c'est quoi le service.

- Je dois aller travailler et comme elle a trop bu, je n'ai pas envie de la laisser sans surveillance.

- Tu veux que l'on s'occupe de ta fille, interrogea le deuxième homme.

- Si ça ne vous dérange pas. Elle est assise à la table là-bas

Les deux hommes regardèrent Domino et acceptèrent tout de suite. C'est vrai qu'elle avait l'air fatiguée et ils lui promirent de prendre bien soin d'elle.

- Je vais aller lui dire au revoir et ensuite vous pourrez la rejoindre pour vous en occuper.

- Ok.

Le photographe revint vers la jeune femme pour prendre les appareils posés sur la table. Il lui caressa la joue avant de lui dire qu'il allait y aller.

- Tu me laisses?

- Oui mais comme je te l'ai promis, deux hommes vont venir pour s'occuper de toi. Passe une bonne soirée.

Étrangement les paroles de l'homme la dégrisèrent un peu. Elle avait du mal à croire qu'il l'avait vraiment fait et elle le regarda partir en se disant qu'elle devait rêver.

Lorsque les deux hommes vinrent s'asseoir de chaque côté d'elle, elle réalisa que ce n'était nullement un songe et que ce qui allait suivre allait être bien réel.

- Putain qu'elle est belle

- Oui, et regarde son t-shirt, elle n'a pas de soutifs

- On va où?

- On l'emmène chez moi.

Lorsque les deux hommes l'aidèrent à se lever, elle ne fit rien pour les en empêcher. Elle réalisa que c'était de sa faute si elle en était là, n'en voulant pas du tout à Pierre. L'homme n'avait que réalisé ce qu'elle avait demandé même si elle l'avait dit en plaisantant.

Même si elle était capable de marcher toute seule, les deux hommes l'encadrèrent la tenant pas les bras comme s'ils avaient peur qu'elle se sauve.

- Regarde-moi comme son corps est beau

- Il le sera bien plus lorsqu'on lui aura enlevé ses vêtements, ricana un des hommes.

Étrangement, Domino sentit l'excitation la gagner. D'aller avec ces deux inconnus tout en sachant ce qui l'attendait la mettait dans un drôle d'état.

Lorsque Pierre l'avait laissé à la buvette, inconsciemment elle avait accepté son sort et maintenant, elle avait vraiment envie de leur offrir son corps.

Même si la fébrilité d'être entre leurs mains l'avait un peu dessoulée, elle essaya de ne pas le montrer, faisant semblant d'être ivre. Elle avait l'autorisation du photographe et de son fils et n'était pas inquiète.

Les gens autour d'eux s'écartaient tout en regardant les deux hommes de façon envieuse. La beauté qu'ils encadraient paraissait ivre et le peu de vêtements qu'elle portait pouvait laisser supposer qu'elle allait se faire baiser. Surtout en voyant la façon dont ils la touchaient alors qu'ils se déplaçaient.

Souvent ils lui mettaient une main au cul sans qu'elle ne réagisse le moins du monde.

Domino frissonna lorsqu'ils pénétrèrent dans un immeuble pas très récent.

- Tu vas aimer ma garçonnière au dernier étage, dit en rigolant l'un des hommes.

Lorsqu'elle se retrouva plaquée contre la paroi d'un ascenseur tout en se faisant malaxer la poitrine à travers son t-shirt, elle sentit une bouffée de plaisir monter en elle. Cela ne dura que le temps qu'ils arrivent au dernier étage mais c'était les prémices de ce qui l'attendait.

L'homme mit un peu de temps pour ouvrir la porte. Entre l'alcool et l'excitation, il avait du mal à viser la serrure mais cela ne dérangea pas son copain qui pelotait la jeune femme en attendant.

- C'est une vraie salope, je peux tout lui faire, elle ne réagit pas

- C'est qu'elle est bourrée mon pote, un peu comme nous.

Lorsque enfin, la porte d'entrée s'ouvrit, la jeune femme constata que la garçonnière était plutôt bien rangée.

- On va boire un coup avant, fais-la asseoir sur le canapé.

- J'avais comme une petite soif. Et toi, poupée, tu bois une bière?

- Heu... oui

Vu l'état où elle était même si elle était toujours lucide, elle n'en était plus à une bière près. Pendant que le copain alla dans sa cuisine, le deuxième essaya de retirer le t-shirt de la jeune femme en le tirant vers le haut. Docile et pour ne pas qu'il le déchire, Domino leva les bras en l'air pour faciliter son déshabillage.

Lorsqu'elle se retrouva topless, l'homme admira un instant sa poitrine avant de se saisir d'un sein qu'il malaxa avec avidité. Cette super créature était à eux pour la nuit et ils allaient en profiter.

En revenant de la cuisine avec ses trois bières, il ne put s'empêcher de siffler en voyant son pote en train de tripoter la poitrine de la fille qui se laissait faire sans rien dire.