Domino Ch. 02

Informations sur Récit
Domino se découvre certains penchants lors de son voyage.
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Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 07/03/2023
Créé 04/29/2023
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Ses parents ne rentrant pas le midi, Domino avait déjeuné de bonne heure pour préparer ses affaires tranquillement. Elle avait rendez-vous avec le photographe à treize heures et avait tout son temps pour faire sa valise.

En voyant la pile de vêtements qu'elle avait sortie de son armoire, elle se rendit compte qu'elle avait peut-être prévu trop grand. Si elle emmenait autant de tenues pour les trois jours de reportage, elle risquait de mettre en colère son patron qui lui avait demandé de voyager léger.

Du coup elle changea de stratégie et rangea son gros bagage pour sortir son petit sac à dos. Écartant tout ce qu'elle avait sorti, elle réfléchit à ce qui était indispensable.

Il s'agissait d'une fête de la bière et elle devait y aller décontracter. Du coup elle sortit les trois mini-shorts qu'elle avait achetés la veille ainsi que le lot de quatre t-shirts à fines bretelles qu'elle avait acquis lors des soldes de l'année précédente.

Même si elle ne les avait encore jamais mis ils étaient adaptés pour un tel reportage.

Elle saisit un lot de culottes et trois soutiens-gorge puis alla préparer une petite trousse de toilettes pour les dents et la douche.

Elle avait prévu de n'emmener aucun maquillage pour gagner de la place et irait juste avec une paire de basket qu'elle porterait sans socquette.

Pour alléger son sac à dos, elle porterait pour partir une des tenues qui se trouvaient sur son lit. Après s'être mise en sous-vêtements, elle enfila un mini-short et un t-shirt à bretelles pour voir ce que cela donnait.

Se positionnant devant son grand miroir, elle se trouva très belle, adorant la façon dont son corps était mis en valeur. Le seul problème était que sur ses épaules dénudées, on voyait les bretelles de son soutien-gorge et ça ne faisait pas beau.

Elle décida de rester seins nus sous le top et du coup remit les fautifs dans son armoire.

Se regardant de nouveau dans la glace, elle aima beaucoup l'image renvoyée même si on devinait ses tétons à travers le tissu fin du petit haut. Ses jambes étaient elles aussi mises en valeur et elle se dit que comme ça, Pierre ne pourrait plus lui faire la moindre réflexion.

Elle fut contente de constater que tout le reste des vêtements rentrait dans son petit sac et elle y glissa même son portefeuille plutôt que de prendre un sac à main.

Elle était prête à partir et il ne lui restait plus qu'à enfiler sa paire de basket.

Lorsqu'elle stoppa sa voiture sur le parking, près du magasin, elle fut un peu triste de constater que la boutique étant fermée, elle ne verrait pas Luc avant de partir. Elle n'attendit pas très longtemps avant de voir arriver le véhicule du photographe.

Ce dernier, tout en se garant à côté de la jeune femme, ouvrit de grands yeux en la découvrant. Elle attendait à côté de sa voiture, son petit sac à dos à l'épaule et elle était splendide. Son petit short et son top à bretelles dévoilaient en grande partie son corps et il fut abasourdi qu'elle ose l'accompagner aussi peu vêtue.

- Tu es superbe, montes et mets tes affaires sur la banquette arrière.

Domino, tout sourire, s'installa à côté de son patron après avoir jeté ses affaires derrière elle. Même si elle laissait Luc ici, elle était finalement heureuse d'aller faire ce reportage dans le nord.

- Quand arrivera-t-on?

- On n'est pas encore parti que tu me demandes déjà quand on arrive? Tu es pire que mon fils quand il était petit.

- Je sais que je ne suis pas très grande mais je suis quand même une adulte.

L'homme rigola avant de rajouter.

- S'il n'y a pas de bouchons, on devrait y être d'après le GPS pour 18h00. On dépose nos affaires et après on cherche un endroit pour manger.

- Ça me va, allez... en route chauffeur.

Pour Domino, le trajet lui parut une éternité, surtout avec l'autoroute où tout se ressemblait. Ils firent deux poses dans des aires pour se soulager et à chaque fois la jeune femme fit sensation. Son joli corps ne passait pas inaperçu, surtout habillé aussi court.

Elle aima assez la façon dont les gens la regardaient, ayant pris goût à se montrer. Depuis qu'elle avait vu les photos d'elle qu'avait prises Pierre, elle avait pris de l'assurance car elle se savait belle.

Avec la période estivale, ils prirent tout de même un peu de retard et lorsque, vers 19h00, ils arrivèrent à Brazon, ils furent étonnés par l'animation qui y régnait. C'était le premier jour de la fête de la bière et déjà énormément de gens arpentaient les trottoirs.

Beaucoup de personnes étaient installées aux très nombreuses buvettes dressées dans la petite ville et de la musique entraînante s'échappait de plein d'endroits.

Pierre dût rouler au pas pour atteindre l'hôtel qui se trouvait au centre de l'agglomération.

Heureusement, un parking privé permit de garer la voiture et c'est, soulagés d'être arrivés à destination, qu'ils sortirent du véhicule avec leurs affaires pour rentrer dans l'établissement.

Le jeune homme à l'accueil leur donna les clefs de leur chambre sans quitter des yeux la jeune femme ce qui fit sourire le photographe. Ce dernier, ne put s'empêcher de souffler à l'oreille de son assistante alors qu'ils s'éloignaient du comptoir.

- J'ai cru que ses yeux allaient sortir de ses orbites lorsqu'il t'a vu.

- Non, je crois plutôt que c'est en te voyant à toi.

- Très drôle.

Le reportage photo commençait bien mais Domino n'eut plus envie de rire lorsque le photographe ouvrit la porte de la chambre.

En voyant le lit de 140 qui trônait au centre de la pièce, elle devint toute blanche. Dans un coin, une cabine douche placée à côté d'un lavabo faisait office de salle de bain et la seule porte visible au fond devait sûrement être pour les WC.

- C'est quoi cette chambre et où sont les deux lits?

- Je crois bien que l'on va devoir partager.

- Non, je ne peux pas dormir avec toi.

- À la guerre comme à la guerre, on va faire avec..

- Pourquoi! À la guerre les officiers dorment avec leurs hommes.

Pierre ne répondit pas mais il était aux anges à l'idée de partager le lit avec la jeune femme alors que pour cette dernière, ce n'était pas la même histoire. Elle venait de se rendre compte que dans les affaires qu'elle avait glissées dans son sac, il n'y avait aucun vêtement de nuit.

En pensant avoir son propre couchage, elle avait envisagé de dormir nue comme à son habitude mais là, ça risquait d'être compliqué.

Voyant l'air dépité de la fille, l'homme lui dit

- On réfléchira à ça plus tard, on pose nos affaires et on trouve un endroit pour manger.

- Ok... mais pour la douche!,

- Je t'ai déjà vu nue mais si ça te rassure, je regarderais ailleurs lorsque tu te laveras.

Elle ne répondit pas, ayant envie de demander de changer d'hôtel. Mais avec la fête de la bière, les chambres devaient avoir été prises d'assaut et ils avaient peut-être eu de la chance d'en avoir au moins une ici.

Se reprenant, la jeune femme répondit.

- D'accord, on va manger, et on verra après.

Elle allait pour prendre de l'argent dans son sac lorsque Pierre l'en empêcha.

- Tu es ici pour le travail et c'est moi qui paye tout, même les boissons.

- Dans ce cas, je suis partante, alcool à volonté.

- Tu vas te calmer jeune fille, tu veux couler ma boîte.

Finalement, c'est en riant qu'ils quittèrent l'hôtel, se retrouvant immédiatement plongée dans la masse des badauds pour certains déjà grisés par quelques verres.

- Il y a là-bas une buvette et j'ai l'impression qu'ils font également des sandwichs.

- Ça me va.

Pierre était fier d'être accompagné par une aussi jolie jeune femme qui faisait tourner la tête de la plupart des gens. Même les femmes la dévisageaient, mais souvent de façons envieuses.

Elle était belle et peu vêtue mais ne s'en rendait pas vraiment compte. Pour elle, c'était surtout une tenue pratique qui collait à la fête de la bière.

Beaucoup fixaient sa poitrine bien visible à travers le t-shirt qui ondulait au rythme de ses pas.

Ses cuisses galbées mises en valeur par le short minuscule étaient elles aussi admirées tout comme son petit cul souvent fixé lorsqu'elle était de dos.

Elle était adorable et l'homme avait presque envie de lui prendre la main pour la garder juste pour lui.

C'est vrai qu'elle était loin d'être aussi grande qu'un mannequin avec son mètre cinquante cinq et pourtant elle était vraiment parfaite.

Il y avait tellement de monde dans la rue que certains la frôlaient juste pour avoir un contact avec elle mais cela ne dérangea pas le duo qui finit par prendre place à une table encore libre au niveau de la buvette.

Une femme se portant bien arriva pour prendre la commande. Elle avait un visage sympathique et sa voix chaleureuse les mit tout de suite dans le bain.

- Qu'est-ce que ça sera pour vous les jeunes.

- Deux bières et je vois aussi que vous faites des sandwichs

- Les meilleurs de Brazon, voire même de tout le nord.

- Dans ce cas on en prendra deux, peu importe leurs contenus.

- Si vous me faites confiance vous ne serez pas déçus.

Lorsqu'elle revint en tenant deux demi-baguettes bien remplies et deux chopes de 500 ml, Domino ouvrit de grands yeux. Jamais elle ne pourrait ingurgiter tout cela mais elle préféra ne rien dire.

En fait elle finit tout de même par tout manger et tout boire car elle avait plus faim qu'elle ne se l'imaginait.

Lorsqu'une deuxième bière fut posée devant elle, la jeune femme était déjà bien fatiguée mais ne protesta pas. L'ambiance qui régnait autour d'elle était de plus en plus animée et elle n'avait pas envie de rentrer à l'hôtel.

Pierre était vraiment charmant et avait toujours un mot pour rire. Domino commençait juste à boire son deuxième verre lorsqu'un homme ivre vint s'asseoir à côté d'elle. Il devait avoir une quarantaine d'années et avait du mal à s'exprimer.

Tout en posant la main sur la cuisse de la jeune femme il regarda Pierre et lui dit.

- Je regarde ta fille depuis tout à l'heure et elle est vraiment très belle... très très belle... Est-ce que je peux l'embarquer. Promis je te la ramène demain. Hic...dit oui, s'il te plaît...

Dans un premier temps, surpris par le culot de l'homme mais voyant que ce dernier était bourré, le photographe répondit calmement.

- Ce n'est pas ma fille mais ma fiancée et on doit bientôt se marier.

Domino qui n'avait rien dit malgré la main posée sur elle faillit éclater de rire.

- Ta fille, elle! tu es sur... c'est ta fille... Elle est jeune...

- Oui, alors tu comprends que je veuille la garder.

Du coup l'homme retira sa main rapidement et se leva en titubant... une fois qu'il fut suffisamment éloigné, la jeune fille, en riant, lui dit.

- Tu aurais pu m'offrir une bague si on est fiancé...

- Tu ne serais pas un peu vénale.

- Juste un peu.

Ils finirent tranquillement leurs verres puis décidèrent d'aller faire un petit tour. C'est vrai qu'il y avait vraiment beaucoup de monde mais l'atmosphère était vraiment festive. Les gens ne faisaient pas que boire car certains dansaient au rythme des musiques.

Personne d'autre n'embêta la jeune femme car Pierre lui avait finalement pris la main. Elle avait accepté, trouvant cela sécurisant même si la raison était différente pour l'homme.

Il était vingt trois heures lorsqu'ils retournèrent à l'hôtel et le problème du lit allait de nouveau se poser. Mais Domino, qui n'avait pas l'habitude de boire, avait la tête qui tournait un peu et elle était pressée de se coucher.

Finalement elle accepta de partager le lit et lorsqu'elle demanda à l'homme de se retourner pour se déshabiller, ce dernier ne put s'empêcher de répondre.

- Je t'ai vu nue et prise en photo sous toutes les coutures, alors ne sois pas aussi prude et vient te coucher. On restera chacun de son côté du lit, fais-moi confiance.

Et tout en disant ça, il se déshabilla, se dénudant complètement, faisant comme si la jeune femme n'existait pas.

C'est vrai qu'il avait un sacré embonpoint mais lorsqu'il retira son slip, elle fut surprise de constater qu'il possédait un membre massif, encore plus impressionnant que celui de son fils.

Se rendant compte qu'elle fixait l'homme et que ça ne se faisait pas, elle regarda ailleurs et se déshabilla à son tour. Ne portant qu'un t-shirt, un mini-short et une petite culotte, elle fut rapidement nue et se dépêcha d'aller se réfugier sous le drap.

Cela était étrange de partager le même lit que son patron mais elle aimait bien l'homme et lui faisait confiance même si elle voyait bien qu'il adorait la regarder.

- Bonne nuit Domino

- Bonne nuit Pierre, J'ai adoré la soirée

- Moi aussi.

Et tout en disant ça, il éteignit la lampe de chevet, plongeant la chambre dans une totale obscurité.

La jeune femme avait trop mangé mais également trop bu et elle avait finalement du mal à trouver le sommeil. Elle s'était mise sur le dos et essayait de penser à Luc pour s'endormir mais cela ne suffisait pas.

Elle, qui avait eu sommeil avant de se coucher était dans l'incapacité de dormir. Elle ignorait pourquoi elle restait éveillée et cela l'énervait en pensant à la journée à venir.

Il devait être pas loin de deux heures lorsque l'homme se retourna, cherchant une meilleure position. Tout le corps de la jeune femme tressaillit lorsqu'il vint se coller à elle, posant sa main sur sa poitrine.

Elle qui n'arrivait déjà pas a trouvé le sommeil se retrouva avec le photographe contre elle, ne sachant pas quoi faire. Elle n'osa pas le réveiller, ne voulant pas l'irriter et se prendre des réflexions.

Elle se sentait bizarre en sentant le corps nu de l'homme plaqué contre elle avec un de ses seins emprisonné dans sa main. Elle décida de rester immobile, espérant que l'homme se retourne de nouveau afin de la libérer.

Au bout d'un quart d'heure et malgré sa position peu confortable, Domino commençait finalement à dormir lorsque la main posée sur elle bougea. Elle se crispa en se rendant compte que l'homme, tout en dormant, s'était mis à lui caresser le sein.

Elle ignorait quel rêve il devait faire mais c'est avec une extrême douceur qu'il se mit à la masser, lui procurant un étrange plaisir.

Elle ne savait pas si elle devait le réveiller ou le laisser faire et opta pour la deuxième option. Après tout, il n'y était pour rien si son rêve lui faisait faire ce genre de chose et en plus elle trouvait ça agréable.

Elle se dit que peut-être, elle était dans son rêve très légèrement vêtue et elle trouva l'idée flatteuse.

Lorsque la main quitta sa poitrine pour descendre lentement sur son ventre, elle eut d'un coup des doutes concernant le sommeil de l'homme. Et s'il ne dormait pas et voulait juste la caresser en pensant que c'était elle qui était dans les bras de Morphée.

L'autre jour, il lui avait déjà posé la main sur la cuisse mais jamais encore il n'avait été aussi loin. Et pourtant la jeune femme ne bougeait pas, excitée par ce qui se passait.

Les doigts de l'homme stoppèrent lorsqu'ils atteignirent son nombril qu'il caressa longuement, ce qui surprit et excita encore plus Domino.

C'est alors que Pierre remua, se décollant de son corps comme pour se retourner. La jeune femme, excitée par les petites caresses qu'il avait prodiguées en fut presque frustrée.

Elle faillit pousser un petit cri lorsque la bouche de l'homme se posa sur son sein, l'embrassant avec une infinie douceur. Elle ne pensa plus du tout à Luc, appréciant juste le moment.

Lorsque les lèvres glissèrent sur son mamelon, la jeune femme dût faire un effort pour rester immobile surtout lorsqu'une main se posa à nouveau sur elle.

Avec une lenteur incroyable cette dernière glissa vers son mont de vénus, rendant la jeune femme de plus en plus fébrile.

Malgré son embonpoint et sa force naturelle, il faisait preuve d'une douceur stupéfiante. Domino retint in extremis un petit cri lorsqu'il emprisonna dans sa bouche son téton durci par le plaisir.

Elle faillit se cambrer lorsque les doigts de l'homme glissèrent sur sa chatte, lui entrouvrant les lèvres. Tout en lui butinant le sein, il se mit à titiller son clito qui n'en demandait pas tant.

Maintenant il devait se douter qu'elle était réveillée car elle s'était mise à respirer très fort.

Elle poussa un petit cri lorsqu'il mordilla son téton tout en lui enfonçant un doigt dans son vagin complètement détrempé.

Libérant le mamelon, il lui dit à voix basse.

- J'adore ton corps, tu es la plus belle femme que j'ai jamais rencontrée et j'ai eu envie de toi à la minute où je t'ai vue.

Domino frémit en entendant les paroles de l'homme qui continuait à la doigter de plus en plus fort.

- J'ai envie de te baiser, d'enfoncer ma queue dans ta vulve, de te faire hurler de plaisir.

- O.... oui......

Le petit mot qu'avait réussi à prononcer la jeune femme fut le signal pour l'homme qui vint immédiatement s'allonger sur elle. Malgré son poids, il savait bien s'y prendre car il ne l'écrasa pas.

Elle poussa un cri qu'elle ne put maîtriser lorsque le membre, grossi par le désir, s'enfonça dans sa chair.

Pour la jeune femme, ce fut du pur bonheur que de sentir ce pieu gonflé de sang glisser dans sa vulve qui ne demandait que ça.

Il l'avait tellement excitée que le plaisir fût immédiat et les cris qu'elle poussa furent proportionnels à ce qu'elle ressentait.

L'homme l'embrassa pour la faire taire et lentement il commença à la prendre. Faisant de très amples va-et-vient au début, il sentit le plaisir l'envahir rapidement tant ce corps l'avait fait rêver.

Inconsciemment il se mit à accélérer ses coups de reins, piochant de plus en plus fort dans cette chatte incroyable.

Pendant de longues minutes, il la laboura comme un forcené, prenant un pied des plus monumentaux. Il avait souvent baisé ses mannequins mais jamais il n'avait ressenti autant de jouissance.

Cette petite femme était comme une drogue pour le sexe et lorsqu'il éjacula enfin, il constata qu'elle était déjà à son deuxième orgasme.

Ils restèrent immobiles de très longues minutes, reprenant tous les deux leurs esprits. Même si son sexe avait un peu rétréci, il était toujours bien au chaud dans la vulve de la fille qui voulait le garder en elle..

Elle était sur un petit nuage lorsque tout d'un coup elle pensa à Luc, qui l'attendait là-bas.

D'un coup, elle se sentit coupable, même si pour sa défense, rien n'avait été prémédité.

L'homme devait avoir un sixième sens car il ne put s'empêcher de demander.

- Tu as l'air songeuse, il y a quelque chose qui ne va pas?

- heuuu.. oui....Luc.

L'homme ne répondit pas tout de suite, se retirant d'elle pour s'allonger sur le dos.

- Oui, je suis au courant pour Luc, il m'a tout raconté. Mais mon fils n'est pas là et rien ne nous empêche de prendre du bon temps ici. On improvisera lorsqu'on sera de retour là-bas.

C'est vrai que le père et le fils se racontaient tout et cela la rassura tout en l'inquiétant un peu. Il avait raison, ils étaient à Brazon et ils avaient bien le temps de voir ensuite.

- Viens contre moi, je vais te réconforter.

Domino n'en demandait pas tant et vint se blottir contre le corps massif de l'homme qui l'enlaça pour la serrer contre lui.

- Tu vois, avec ton Pierrot, tu vas tout de suite aller mieux

De sa main libre, il lui caressa la joue, la faisant sourire alors qu'il la plaquait fortement contre lui.

Retrouvant son entrain elle lui dit.

- Si tu me sers encore plus fort contre toi, je risque d'éclater.

C'est vrai que l'homme y allait un peu fort et en s'en rendant compte, il se mit à rire.

- Excuses-moi, tu es trop bandante et je ne sais plus ce que je fais.

- Merci, je prends ça comme un compliment.

Il resta silencieux quelques secondes avant de demander.

- Tu sais ce qui me ferait plaisir

- Non, quoi?

- Que tu me suces.

Domino faillit s'étouffer en entendant l'homme aussi direct. C'est vrai qu'elle avait déjà fait quelques fellations avec son ex petit copain mais jamais il ne lui avait demandé de cette manière.

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