Deuxième Place 07

— Ummmm... c’était tout ce que la bimbo humiliée au visage rouge tomate parvenait à dire.

— Ma chérie, est-ce que ça t’aiderait si on te faisait te déshabiller entièrement ? »

Cela permit à Terri de bafouiller quelques mots. « E-en... en, um... en tant que s-s-salope de l’e-e l’entreprise... um » elle prit une inspiration profonde, sachant que la seule façon de traverser cette épreuve était... eh bien, de la traverser. « En tant que salope de l’e-entrprise..je... d-do-dois.... » elle s’effondrait « J’ai b-besoin de... comme… comme... » elle craquait maintenant complètement, laissant éclater de gigantesques sanglots. « Ohhhh PITIIIIIEEEEE...Danielle....PITIEEEEEE !!!!!!!!!! »

Sans ciller, la cruelle patronne ordonna, « Continue Terri. Ou as-tu déjà oublié les fondamentaux d’une présentation dont on parlait hier ? » L’horrible patronne de Terri insistait à nouveau sur le "hier".

Se ressaisissant un petit peu elle pensa : "dis-toi qu’il s’agit d’une présentation normale, et que tu parles de l’amélioration d’un morceau de machinerie inanimé" -- Terri continua. « M-mon TRAVAIL... est de servir... les hommes... et les femmes... »

Danielle l’interrompit. « J’ai une question pour l’expo-pute.

— O-oui, Danielle... Madame...?

— D’abord, retire ton haut. »

Terri chercha de l’aide silencieusement. Elle regarda tous ceux qui étaient assis dans la salle de conférence, cherchant de la pitié. Elle n’en trouva nulle part. Elle passa lentement ses mains dans son dos où ses mains tremblantes défirent le soutien-gorge. Ses yeux rencontrent ceux de Danielle, l’implorant de mettre fin à tout ça.

« Nom d’un chien, Terri... C’est pas comme si on n’avait pas déjà tout vu de ce que tu avais à offrir des centaines de fois. FAIS-LE ! » ordonna-t-elle.

Les mains de Terri tâtonnèrent encore un peu, puis le soutien-gorge en dentelle tomba au sol. Tous les yeux étaient maintenant posés sur les gros nichons nus de la bimbo.

« Joue avec eux, Terri. Prends-les et porte-les à ta bouche... lèche tes tétons... Taquine-les de ta langue. »

Terri obéit, soulevant ses énormes loches pendant que sa langue pointait vers ses nibards pour les caresser.

« Où en étions-nous ? » Danielle commençait à devenir chaude à regarder l’humiliation de l’autre femme. « Ah..oui. Ma question… » Terri combien d’hommes peux-tu prendre en une fois ?

Ne cherchant pas à regarder ailleurs que ses nichons qu’elle léchait, Terri répondit : « S-s-six.

— Développe.

— Un dans ma bouche... un en-en-entre mes seins… »

Danielle leva la main, l’interrompant à nouveau. Cette fois, elle demanda à Terri d’utiliser les adjectifs corrects pour décrire son corps.

Ne regardant que le téléphone sur la table de conférence, Terri recommença. « Je peux en prendre une dans... d-dans ma bouche de salope...

— Une quoi ? demanda Danielle.

— Une b-bite dans ma bouche de salope...

— Je ne peux pas t’entendre, persista Danielle. Et *regarde* ton public, Terri.

— Une dans ma... ummmm... une bite dans ma bouche de s-salope... une entre mes... mes gros nichons refaits... une d-dans ma chatte... humide... » Terri fit une pause essayant de retenir ses sanglots, comme elle arrivait à la partie qui l’humiliait le plus. « E-et... une d-dans m-mon c-cul de p-pu-pute. »

Danielle était ravie. Elle se leva et se plaça près de la bimbo sanglotante et humiliée. « Oui, tu es très efficace avec de multiple partenaires. » Il y eut un murmure d'approbation général autour de la table. « Mais concentrons-nous sur la façon de t'améliorer. » elle fit une pause, puis reprit : « Ceux et celles qui ont posé leur gobelet, leurs lunettes, ou leurs documents sur la table, veuillez les retirer. Nous allons avoir besoin de beaucoup de place pour l'aide visuelle, » Danielle souligna ces deux mots, les sifflant presque pour la bimbo « pour la prochaine partie de l'exposé. » Terri qui s'était considérablement calmée, éclata de nouveaux en sanglots frais jusqu'à ce que Danielle finisse par la gifler.

Terri fut menée jusqu’à la table de conférence. Hésitante, elle grimpa dessus, et "assuma la position" à quatre pattes.

Se penchant sur sa sacoche, Danielle en sortit deux godemichés. Elle les tendit à la salope et ordonna : « mets-les à leur place. »

Terri, disciplinée, écarta son string et glissa un des deux godes dans sa chatte et l’autre dans son cul. Danielle sortit encore deux autres godes : « Place ceux-là aussi. »

Terri sembla choquée. « C-comment ?

— Mets-les avec les autres. FAIS-LE. »

Terri savait que supplier serait inutile. Elle prit l’un des godes supplémentaires et commença à l’insérer dans sa chatte en compagnie de celui qui était déjà enfoncé jusqu’au bout. Elle grimaça en sentant son con s’élargir pour loger le second jouet. Mais Terri parvint à l’y mettre sans que la douleur ne soit trop atroce, cependant elle savait où tout cela menait. Et Danielle fit un geste vers l’autre gode, Terri supplia pour un geste de bonté... mais n’en eut aucun.

« Mets-le Terri. »

Terri essaya, mais l’autre jouet remplissait déjà entièrement son cul. Elle soupira de soulagement... Après tout, même Danielle ne pouvait la contraindre à l’impossible ! Terri regarda sa patronne dans l’attente d’instructions supplémentaires.

« Pourquoi tu me regardes ? demanda Danielle dédaigneusement. Fourre-moi ce jouet dans ton cul.

— Mais.. mais... Danielle, il ne peut pas rentr.... »

Danielle chuchota, « Tu veux qu’on le fasse à ta place ?

— Madame... s’il vous plaît, il NE RENTRE PAS !!! C’est impossible... »

Danielle ignora la petite salope suppliante, et fit appel à Carrie à place. « Tu veux bien venir m’assister ?

— Mmmmmmm J’ADORERAIS... » répondit la briseuse de ménage, en prenant le gode des mains de Terri. Danielle pendant ce temps poussait la secrétaire à plat ventre sur la table et extrayait brutalement le gode du cul de Terri.

« Faisons-le en même temps... », expliqua Danielle à Carrie. Elles placèrent le sommet de leur jouet respectif contre l’entrée du cul de Terri, les deux appliquant une pression au même moment jusqu’à ce que le bout de chaque gode pénètre l’employée de bureau. « Bien... il ne faut pas se relâcher ou ils vont ressortir... » les muscles de Terri se contractaient involontairement, essayant de chasser les intrus jumeaux.

« Avec moi... pousse...
— OHHHHHHHHHHHHHH !!!!! » Le hurlement Terri vira dans les aiguës alors que chaque fausse bite s’enfonçait dans son cul, les sommets furent engloutis et se s’enfonçaient de huit bons centimètres... « OHHHHHHHHH ohhhhhhhn pitié SORTEZ LES !! PITIÉ... » la bimbo se débattait sur la table de conférence, essayant de déloger les godes malgré la punition qu’elle savait encourir dans ce cas. Son visage était trempé de sueur.

« Au fait, chérie, » Danielle ignorait les implorations de Terri et s’adressait à Carrie, « mets bien tes deux mains dessus... » elle montra à sa jolie amie comment avoir une prise solide sur le gode... « Et comment va ton mari ? » En posant la question, Danielle regarda Terri, prenant son pied à la voir honteuse et blessée.

« Il va très bien. Nous sommes *très* heureux ensemble !

— Ça ne me surprend pas, avec une belle queue comme celle de Steve... rêvassa Danielle

— Oui, soupira Carrie. On a baisé pendant QUATRE HEURES sans s’arrêter hier soir ! » Toute cette conversation était destinée à Terri, pour se moquer d’elle et de lui avoir volé son mari.

— Punaise, c’est fou l’effet que peut avoir une *vraie femme* sur un homme ! » Danielle reporta son attention sur le sujet du jour. « Maintenant, à tour de rôle... pousse le tien...

— AAAAAAAAGGGGGHHHHHH !!! geignit Terri comme le jouet s’enfonçait dans ses boyaux.

— Bien... et maintenant... c’est mon tour de pousser... tu sors le tien... mais pas entièrement !!! » comme le gode de Carrie ressortait un peu du cul de Terri, Danielle y poussa le sien. « Que quelqu’un lui tienne les mains, s’il vous plaît... » En plein délire, les mains de la secrétaire essayaient de toucher le bas de son dos pour extraire les godes, tout en poussant des cris aigus et incohérents.

« À toi, encore... c’est ça... » bien synchronisées, les deux filles prenaient chacune leur tour pour enfoncer leur gode dans le cul de Terri.

« Mmmmm c’est VRAIMENT chouette... frissonna Carrie.

— C’est comme les pistons dans un moteur de voiture... » confirma Danielle. « Et maintenant que le cul de cette salope est bien lâche... il est temps d’aller jusqu’au bout ! » elle ressortit son gode de quelques centimètres pour être au niveau de celui de Carrie un peu près huit centimètres de profondeur dans le cul de Terri. « À la "trois"... UNE...

— Danielle... PITIÉ... gémit Terri. Je ne le supporterais pas... ça va me déchirer...

— DEUX...

— OhmonDieuPITIÉ... Danielle, je suis désolée pour TOUT ce que j’ai pu te faire... S’IL TE PLAÎT JE FERAIS N’IMPORTE QUOI PITIÉ NE... »

Danielle s’arrêta. La dernière fois que la salope avait reconnu tout le mal qu’elle lui avait fait remontait déjà à un moment. Et c’est ce qui avait motivé la jeune femme à trouver un nouveau but à sa vie : détruire celle de Terri.

Elle haussa les épaules. « TROIS !!! » Carrie et Danielle poussèrent toutes deux de toute leur force.
« OH MON DIEU AAAAAAGGGGGHHHHHHH.... » Terri convulsait désespérément alors que plusieurs hommes la maintenaient fermement. « OH PITIÉE UHHH SORTEZ-LES... »

« Tenez-lui les jambes, » ordonna Danielle à quelques hommes supplémentaires.

Puis, elle fit des gestes pour que le public se rapproche de Terri. Celle-ci avait le visage baignant de sueur contre la table de conférence. « Comme vous pouvez le voir, » Danielle attrapa les godes jumeaux qui saillaient obscènement du cul de la secrétaire, « Il est possible de maximiser l’efficacité de notre salope. Même si je comprends que la plupart des hommes puissent être hésitant à mettre leur bite dans un trou déjà remplit par une autre queue. » Terri de fait sembla soulagée. « Mais c’est tout de même marrant de voir de quoi notre salope est capable... »

Danielle retira les queues en plastique hors de Terri, une par une, et les posa en face de l’employé de bureau. Quand ses mains furent libérées, on n’eut même pas besoin de lui dire de les mettre dans sa bouche pour les nettoyer.

Mais il fallut tout de même lui rappeler de regarder son public dans les yeux. Danielle se fit une note mentale d’organiser plus d’évènements de ce genre. Il fallait aider la pauvre fille à explorer ses talents d’expo-pute.