Deuxième Place 07

BÊTA PUBLIQUE

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« Hey, j’essaie d’être amical, ok ? » malgré les sérieux efforts de Terri pour lui résister, Juan parvint à faire sortir l’un de ses énormes seins hors de son bustier et posa en même temps la main de la jeune femme jusqu’à sa bite raidit. Elle la retira, tourna son corps vers la porte du véhicule de patrouille, le plus loin possible de Juan.

« Hey, c’est quoi ton problème ? Tu n’arrêtes pas de me chauffer, puis tu te tournes de l’autre côté ? PUTAIN NON ! ça va pas se passer comme ça... » Juan attrapa Terri par les épaules et la fit se retourner vers lui.

« Je.. je n’ai rien fait pour te chauffer ! Je veux que tu ME LAISSES TRANQUILLE !! »

Pour toute réponse, le membre du gang lui pelota à nouveau ses nénés ; cette fois elle se tourna complètement vers lui et le gifla en pleine face. Juan sembla étourdi pendant une seconde, puis avec une vitesse surprenante, il lui donna un coup de poing dans l’estomac.

« Tu vas regretter de m’avoir frappé, sale garce ! » déclara Juan d’un air de défi, encore un peu humilié de s’être fait gifler. Terri cherchait à reprendre sa respiration après le coup de poing pendant que le jeune homme faisait descendre son pantalon, libérant de son enfermement son chibre raidi. « Tu vois comme tu m’as chauffé ? Viens là... » Juan attrapa une poignée des cheveux blonds de Terri et la traîna jusqu’à sa bite bien dure. Elle tenta de se dégager la tête d’un mouvement brusque, mais il lui tira les cheveux et la gifla.

Terri savait qu’elle était capable de se défendre contre ce type. Mais elle savait aussi que si les flics revenaient et les trouvaient en train de se battre, il y aurait plus de rapports, plus de charges... plus de problèmes. Et pire que ça... Danielle découvrirait forcément qu’elle s’était battu et les raisons pour lesquelles elle s’était battue. Et elle avait bien précisé à Terry que quelque soit le moment ou les circonstances, sous aucun prétexte elle n’avait le droit de refuser d’accorder des faveurs sexuelles.

Comme Terri entrouvrait ses lèvres et laissait l’inconnu lui glisser sa queue dans la bouche, elle dut amèrement reconnaître que Danielle avait encore réussi à la faire souffrir et à la violer d’une nouvelle façon. Elle essaya de lever la tête plusieurs fois, pour voir si les flics revenaient, ou simplement pour dire – « Ils vont être de retour dans une minute ! » mais Juan ne lui permit pas.

« Continue jusqu’à ce que je crache ma purée, salope ! » insista Juan. Terri savait qu’elle aurait de sérieux ennuis si les flics revenaient et découvraient qu’elle taillait une pipe à un prisonnier. Elle arrêta donc toute résistance et le laissa lui baiser la bouche, ajoutant autant de mouvement de langue que possible et gémissant bruyamment malgré sa bouche remplie de bite. Quand la semence jaillit dans sa bouche et lui coula dans la gorge, elle était honteuse d’être plutôt mouillée. Cependant, ayant tiré son coup, Juan avait déjà remonté son pantalon et se désintéressa de Terri.

Les deux policiers revinrent à ce moment. Terri gênée se contorsionna pour remettre son sein dans son bustier pendant qu’ils montaient dans la voiture. Heureusement, ils étaient trop dévoués à leur amour véritable --les donuts-- pour faire attention à l’exposition massive de nichons sur la banquette arrière.

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« Là-dedans, » ordonna la femme policière, ouvrant la porte d’une cellule de détention. Une douzaine d’autres femmes était déjà cellule, principalement des prostituées. Bien forcée, Terri entra. Choisissant un banc contre le mur, elle s’assit.

« Hey, c’est ma place, » grogna une voix. Elle appartenait à une grande amazone brune qui semblait mi-noire, mi-hispanique. Elle semblait aussi être "en charge" de la cellule. Tout le monde regardait volontairement ailleurs.

« Désolée, » marmonna Terri. Elle se leva, et se dirigea vers un coin éloigné de la cellule et s’assit sur un autre banc.

« Ça aussi c’est ma place, » la prévint l’amazone. Terri s’appuya contre le mur à la place. « C’est mon mur, lui signala-t-elle fatalement. Et il n’a pas besoin de ton cul en silicone pour tenir.

— D’accord, mais alors où je suis censée-- »

Terri fut abruptement coupée. Avec une vitesse surprenante, l’amazone avait traversé la distance qui les séparait et délivra un résonnant SMACK sur le visage de la bimbo. Puis, d’une main elle attrapa Terri par le cou et la fracassa contre le mur.

« TU n’es pas "censée" faire QUOI QUE CE SOIT à moins que je TE DISE de le faire ! C’est MA maison ! Est-ce que les gens qui viennent dans TA maison font ce qu’ils veulent ? »

Terri pensa aux conditions que lui imposait Danielle pour vivre chez elle, et elle ne put se retenir. Elle rit. Un rire amer et ironique.

« MA MAISON... MES RÈGLES !!!! » hurla l’amazone en relâchant Terri qui s’écroula par terre.

« HEY !!!!! Tu es ENCORE sur mon SIÈGE !!!! April, fais-la se relever. » April était une brune maigrichonne au visage ordinaire qui était resté debout de l’autre côté de la cellule pendant tout ce temps. Une fugueuse de 18 ans reconvertit en pute. Comme l’amazone, elle portait l’uniforme bleu de prisonnière du comté, et semblait être ici depuis un bout de temps. Et à en juger par la façon dont elle se dépêcha d'obéir, de s'agenouiller et de se presser contre Terri, on lui avait déjà montré qui était en charge de la cellule. Tout comme on le montrait en ce moment à la nouvelle arrivant.

« Debout. Hey. Allez. Debout. » Elle ajouta en chuchotant : « T’as pas le choix. » Avec l’aide d’April, Terri se remit debout les jambes tremblantes, s’épaulant sur la jeune fille pour trouver un support.

« VIRE tes mains d’elle, » ordonna l’amazone. « D’abord tu viens me prendre mes chaises, et maintenant tu penses que tu peux me prendre ma CHIENNE ? » maladroitement, se sentant soudainement prise de vertige, Terri lâcha April. Elle réussit à se tenir debout momentanément, puis sentit le sol tourner autour d’elle. Elle se rattrapa la fille tout en s’écroulant, les faisant toutes deux tomber sur le dur sol en pierre.

« Qu’est-ce que tu FOUS avec ma CHIENNE ??

— D-d-désolée... balbutia Terri.

— DÉSOLÉE mon CUL !!! T’as intérêt à présenter tes excuses MAINTENANT ! »

Terri marmonna une excuse à April.

« Quel genre d’excuse de merde C’EST ? tonna l’amazone. Est-ce que tu vas accepter ces excuses de merde ? » demanda-t-elle à April. Celle-ci qui avait déjà commencé a sagement déboutonné son uniforme, secoua la tête NON. Terri avait toujours les mains et les genoux contre le sol quand la fugueuse se débarrassa de son uniforme. April s’allongea sur le dos et écarta les jambes pour Terri, elle geignit un peu quand son dos nu entra en contact avec le sol glacé.

Terri s’agenouilla devant April, et baissa la tête jusqu’à l’entrejambe de la jeune fille, lui mettant sa culotte de côté et lui léchant délicatement son doux bouton d’amour. April roula la tête d’un côté puis de l’autre et se mit à gémir alors que la bimbo blonde trouvait rapidement ses marques. Léchant la fente d’April de bas en haut, envoyant des frissons électriques dans le corps chétif de la petite criminelle. Un des sens de Terri la prévint que sa propre jupe se faisait soulever, suivit par les doigts inquisiteurs de l’amazone dans son cul. Déterminée à ignorer son nouveau bourreau, elle continua à brouter April, comme elle l’avait pour des douzaines de femmes sous la supervision de sa maîtresse, Danielle.

April se concentrait sur les sensations causées par la langue de Terri. Elle savait ce qui attendait la nouvelle venue, et elle voulait désespérément que la langue de la jeune femme la fasse jouir avant que cela n’arrive. En alternant des mouvements de ses fesses, et en tirant sur les cheveux de Terri pour la guider, April fut capable de diriger sa lécheuse de chatte aux bons endroits et en fut récompensée par un délicieux orgasme.

L’amazone changea légèrement sa position derrière Terri. Sachant ce qui allait arriver, April agrippa les cheveux blonds de Terri et fourra sa tête contre sa chatte, étouffant les hurlements de Terri alors que l’amazone plongeait son poing tout entier dans le cul de la salope...


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Deuxième place – Chapitre 18 : Un jour à la plage

« Alors les gars, vous vous amusez ? » s’enquit Danielle, levant la tête de son bouquin.

Les deux types sourirent en grand « Oui... » répondit le premier type. C’était Daniel de la compta, et il soupirait d’aise. Ce n’était pas la première fois qu’il participait à un des "évènements" organisés par Danielle.

« Ouais... C’est une idée géniale cette sortie d’entreprise à la plage… » confia son pote du département des ventes. Tout en parlant, aucun des deux hommes ne quittait des yeux la partie de volley-ball qui avait lieu quelques mètres plus loin.

Le spectacle était presque comique. Une des équipes consistait en dix joueurs. De l’autre côté du filet, il y avait Terri, la salope de l’entreprise, seule.

Ils virent Terri courir pour essayer de sauver désespérément une balle qui était passée deux mètres au-dessus de sa tête. En courant, un de ces gargantuesques nichons en silicone sortie de son bikini pour la dixième fois. Elle plongea sur la balle, mais la loupa complètement.

Embarrassée, la bimbo replaça son sein dans son haut de bikini bien trop petit, elle savait pourtant bien que c’était inutile. Après avoir dû se refaire les seins, Terri faisait maintenant du 95F. Et le bikini minuscule qu’elle portait avait appartenu à Danielle et taillait du 90B. (Car avant le début de la fête, Terri avait supplié Danielle pour avoir le "privilège" de porter un maillot de bain.)

La jeune et jolie salope du bureau réalisait que son futur était inévitable. Danielle ayant donné des règles très claires pour la partie de volleyball. La première équipe à arriver à quinze points serait déclarée gagnante. L’équipe perdante devrait servir les gagnants (Danielle avait souligné fortement le pluriel, alors que Terri écoutait debout, débordant de son maillot, et arborait comme d’habitude son sourire artificiel de bimbo.) Il n’y avait pas "limite" de terrain du côté de Terri. En d’autres termes, le planning de l’après-match consisterait en Terri se faisant exploiter et violenter par les dix hommes. Et ils étaient bien partis pour y parvenir... les hommes menaient 7-1 au score.

FOOF !!! L’auto-apitoiement dans lequel Terri se vautrait fut brutalement interrompu quand le ballon de volley la frappa en plein visage... un autre point contre Terri.

« Ummmm... Désolé... » l’excuse vint du type qui avait lancé le ballon sur elle. Mark, croyait-elle se souvenir. Un nouvel arrivant dans l’entreprise, qui à l’évidence n’avait pas encore appris que Terri, la pute de l’entreprise, existait uniquement pour le plaisir des autres et qu’il n’était nullement nécessaire de s’abaisser à s’excuser juste pour l’avoir profondément humiliée. Ce fut d’ailleurs ce que constata Terri amèrement quand plusieurs des collègues plus expérimentés de Mark lui précisaient ces faits.

Comme elle se pliait pour ramasser le ballon (faisant attention de pencher sa taille en deux, selon les "règles" établies par Danielle) son nichon sortit à nouveau de son haut. Sans s’ennuyer à le remettre en place, elle renvoya la balle à la cuillère au-dessus du filet... où elle atterrit en plein sur la tête de Mark.

Mark ne le remarqua même pas -- il était trop occupé à fixer la poitrine de Terri. "Elle était incroyable ! pensa-t-il. À mon dernier poste, un gars s’était fait virer pour avoir simplement regardé une secrétaire un peu trop longtemps... mais... ça, c’était DINGUE !!!! "

De l’autre côté du filet, Terri réfléchissait. Se préparant pour le prochain ballon, elle laissa volontairement son sein hors du bikini. Et quand la balle parvint au-dessus du filet, elle la renvoya en direction de Mark. Elle le toucha en plein délire lucide et la balle ricocha inoffensivement sur son épaule.

C’était au tour de Terri de servir... mais elle garda son nichon exposé. Elle passa en revue l’équipe adverse cherchant un adversaire occupé à baver à la vue de ses mamelles plutôt que de se concentrer sur la partie. Ce ne fut pas bien dur à trouver, puisque l’équipe presque tout entière ne pouvait détourner leurs yeux de ses énormes loches. La bimbo forte de cet avantage marqua facilement un point.

Terri remonta de cinq points consécutifs, et elle se mit même à avoir l’espoir fou qu’elle parviendrait à éviter de se faire violer en tournante. Jusqu’à ce que Danielle réalisant ce qui se passait, finisse par se lever.

« Terri... vient ici, » demanda d’un ton sévère.

Tremblante, Terri marcha jusqu’à Danielle, qui balaya de son regard la poitrine de son petit animal apprivoisé.

« Terri, Terri, Terri... Il n’y a donc pas de limites jusqu’où tu ne puisses tomber, hein ? Regarde la façon dont tu utilises ton corps pour obtenir ce que tu veux. Tu n’es vraiment pas différente d’une sale pute... »

Terri garda le silence.

« Moi, personnellement, je ne pense pas que ce soit juste. Montrer ces beautés pour distraire l’autre équipe. » Danielle débordait presque de joie, c’était mauvais signe pour Terri.

« Je ne pense pas que ce soit équitable... et toi ? »

Terri ne pensait pas que ce soit moins équitable que de jouer à dix contre une. Mais elle se contenta de secouer la tête.

Danielle sourit perversement. « Eh bien... Alors il faut faire quelque chose pour égaliser les chances, non ?? On ne doit pas laisser Terri disposer d’un avantage injuste ? » Le langage de Danielle se traduisait pour Terri par : "On doit faire quelque chose pour rendre la partie astronomiquement injuste et écœurante pour notre bimbo stupide." Et "On ne voudrait pas que Terri ait la plus minuscule chance d’éviter de se faire violer et humilier, non ?"

Danielle expliqua à Terri ce qu’elle attendait d’elle. Résignée au sort qui l’attendait, les yeux baissés et les nichons sortis du haut de son bikini (Danielle lui avait gracieusement extrait l’autre sein du maillot), Terri prit le ballon d’une main.

Et selon les instructions de Danielle, elle glissa l’autre main sous le tissu de son maillot de bain et commença à jouer avec sa chatte.

Le service de Terri rebondit de son côté du filet. Son occasion en or était gaspillée, alors que ses dix adversaires étaient concentrés sur la plantureuse bimbo aux seins nus, à peine vêtue qui se baisait elle-même.

« Plus vite, » chuchota Danielle derrière elle. Terri s’enfonçait méthodiquement ses doigts pendant que le reste des joueurs la regardaient.

Finalement, un des joueurs réussit à remettre sa langue dans sa bouche suffisamment longtemps pour servir. Terri essaya de faire marche arrière jusqu’à la balle, mais c’était trop incommode étant donné ce qu’elle faisait de son autre main. Elle trébucha, ne parvenant qu’à renvoyer la balle derrière elle, et à concéder le point.

« Plus vite... plus fort ! » insistait Danielle quelque part derrière elle. La malheureuse salope augmenta le tempo selon la consigne. L’autre équipe avait récupéré la balle et servit directement sur Terri. Elle battit l’air grotesquement de son bras libre et loupa de beaucoup le ballon…

« Fais-toi jouir... » Les instructions de sa patronne ne laissaient pas de place au doute. Et Terri savait d’expérience que Danielle n’accepterait pas qu’elle feigne. Elle commença à se caresser son clito d’un mouvement circulaire avec son pouce, pendant que deux doigts glissaient en va-et-vient dans sa chatte. Impatiente de suivre l’ordre de Danielle, elle se concentra pour faire le vide mentalement autour d’elle. Elle se doigtait furieusement. La partie de volley complètement oubliée, les hommes regardaient la bimbo se masturber.

C’était difficile de s’exciter au milieu d’une situation aussi dégradante et humiliante, mais Terri était devenue une experte pour ça. Ses doigts étaient capables de trouver et de stimuler les bons endroits. « Mmmmmmmm... » soupira la jeune femme en tombant à genoux. « Ohhhhhhh... » Elle rejeta sa tête en arrière alors qu’elle était au point culminant.
« OhhhhhMONDIEEEEUUUUUU.....OHHHHHHHHHHH... MMMMMMFFF ! » Terri fut brutalement interrompue dans son cri par une bite de dix-huit centimètres qu’on lui fourra dans sa bouche ouverte. Puis elle sentit des mains sur tout son corps... sur ses seins, sur ses jambes, on lui enfonçait des doigts dans sa chatte. Des mains puissantes la saisirent et l’étendirent sur le sable… Alors une longue procession de bites bien dure prirent leur tour avec sa bouche, sa chatte et son cul... des larmes de honte ruisselait sur son visage alors qu’elle succombait un orgasme après l’autre.


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Deuxième Place - Chapitre 19 : La présentation

« Est-ce que ta présentation est prête cette fois, Terri ? » demanda Danielle. La jeune cadre exécutive était assise dans la salle de conférence avec Jeanie, Daniel, Carrie, Scott, Angela et de nombreux autres employés de l’entreprise.

« O-oui... vitre... votre.... expo-pute est p-prête, Madame... » Terri bafouillait mal à l’aise. Danielle se félicita à nouveau pour sa brillante invention du terme décrivant une exposante et une pute, l’expo-pute.

« Bien. Je voulais m’assurer que tu ne comptais pas de nous faire perdre notre temps en arrivant les mains dans les poches, comme HIER. » Danielle souligna le dernier mot, elle ne voulait pas que son jouet sexuel vivant oublie.

C’était une tâche très simple, vraiment, pensa Danielle. Analyser un des éléments clefs de l’entreprise, et identifier les façons de l’utiliser le plus efficacement possible. Le genre de mission qui serait normalement facilement réglée par un stagiaire, après quelques jours de recherche.

Et étant donné que le corps de Terri était l’élément clef en question... eh bien, les recherches ne devaient même pas être nécessaires.

Mais hier, la fille ne s’était même pas donnée la peine de préparer quelque sorte de présentation que ce soit. Pas d’aide visuel... pas d’accessoires... rien. Une simple phrase : « Je peux e-être plus efficace... e-e-en... e-en... l-laissant.... plus de personnes me baiser... »

Ce à quoi toute la salle avait rugi de rire. « Mais Terri... » avait commencé par demander Danielle en s’essuyant les yeux. « Est-ce que tu as l’impression que quiconque ici te baise parce que tu le LAISSES faire ? » Tout le monde était reparti d’un fou rire. « Ils te baisent parce que *je* les laisse faire ! » la bimbo avait éclaté en larmes et avait regardé ses chaussures. « Je vois que tu as glandé et n’as même réfléchi à ta mission. Je vais t’expliquer à nouveau ce que j’attends de toi. »

Danielle avait alors pris grand soin de tout réexpliquer à sa malheureuse assistante, pendant que Scott lui défonçait son trou du cul à sec au milieu de la table de conférence. (La femme de Scott, Angela avait participé aux souffrances de Terri en lui fouettant le dos à l’aide d’une ceinture.)

Terri avait dû répéter les objectifs de sa mission à sa patronne -- entre des hurlements incohérents et des cris aigus de douleur. Carrie s’était portée volontaire pour être la prochaine à abuser du cul déjà bien vriller de la secrétaire, cette fois avec un strap-on. Ça n’aurait pas été si horrible si Danielle ne l’avait pas couvert de sauce piquante. Terri avait alors eu l’impression que son trou du cul prenait feu.

La plantureuse beauté était donc de nouveau seule en face de la table de conférence, tous les yeux posés sur elle, et seul un pupitre la dissimulait partialement. À cause de son échec de la veille, son privilège consistant à porter des vêtements pour faire sa présentation avait été révoqué. Elle n’avait sur elle qu’un soutien-gorge pigeonnant rose (d’un peu près trois tailles trop petites pour ses melons 95F) assorti à son string rose et d’escarpins de 15 centimètres de talons.

Danielle hocha la tête. « Tu peux commencer...

— Ummm... » tenta Terri comme début.

Sa patronne leva la main. « Attends une minute, Terri. » Elle se leva pour marcher jusqu’à son esclave et lui retirer le pupitre. Après tout, quel sens ça avait de cacher l’accessoire principal de la présentation ! « C’est bon, tu peux y aller.