Deuxième Place 07

Informations sur Récit
Diverses aventures de Terri, en prison, à la plage...
8.5k mots
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1

Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 07/28/2017
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Suite de la traduction de « Second Place » écrite par Terri Madison

Deuxième place - Chapitre 16 : L’enterrement de vie de garçon -------

Terri marchait en maudissant l’horrible journée qu’elle vivait. Elle n’arrivait pas à croire que Danielle ait poussé les choses si loin. Foutre en l’air son mariage ! Elle pensait s’être résignée à l’inévitable, mais cela ne lui avait pas semblé concret jusqu’à maintenant. Aujourd’hui, elle était de nouveau célibataire. Une garce lui avait volé l’homme qu’elle aimait par du chantage, et des mensonges. Le pire était que Danielle avait tout chapeauté et coordonné, et que Terri n’avait droit en retour qu’à s’agenouiller sous le bureau de la maléfique grognasse qui avait détruit sa vie, et de se bourrer le cul avec un godemiché tout en lui broutant servilement la chatte.

Danielle avait "décidé" de garder Terri comme employée pour un autre mois. Et en ce moment, Terri retournait à l’appartement de Danielle où elle était autorisée à résider. Là-bas, elle devrait subir un autre de ces "comptes-rendus" mensuels pour savoir si Danielle acceptait de la garder comme "locataire" pour un autre mois, ou si elle la jetterait à la rue.

Sa "propriétaire" l’y attendait impatiemment.

« Ton "compte-rendu" va être un peu différent ce soir. Je me suis arrangée pour que tu travailles à un enterrement de vie de garçon. Je vais t’aider à te préparer. » Il n’était pas inhabituel que Danielle prostitue Terri pour des occasions de ce genre.

Danielle passa l’heure suivante à jouer à la poupée avec sa salope pour qu’elle ressemble à une call-girl de grande classe. Un string rose était assorti à son soutien-gorge pigeonnant rose, spécialement conçu pour son énorme poitrine 95F en silicone. Le porte-jarretière et les bas étaient assortis. Une stupéfiante et scandaleuse robe rouge accentuait les courbes de Terri. Elle eut droit à une énorme quantité maquillage sur son visage et ses yeux. Un rouge à lèvres brillant pour attirer l’attention sur ses lèvres qui avait déjà, selon les directives de Danielle, servi des centaines de queues. Des escarpins aux talons de quinze centimètres, et une perruque noire comme touche finale.

Quand Danielle la laissa seule, Terri se scruta dans le miroir. Elle avait une étrangère en face d’elle ! L’esclave sexuelle en fut soulagé, personne ne la reconnaîtrait. Cela lui épargnerait une dose d’humiliation supplémentaire.

Elle n’avait pas idée à quel point elle se trompait.

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« Bois ça -- tu vas en avoir besoin. » Sans lever les yeux de la route, Danielle avait sorti une flasque de whisky et en offrait à Terri, qui regarda le flacon avec méfiance.

« Pourquoi ? » demanda-t-elle. C’était bizarre, d’habitude la garce sans cœur voulait que son petit animal de cirque soit complètement sobre, que Terri puisse apprécier et expérimenter dans toute leur horreur les humiliations que Danielle avait concoctées : « Pourquoi vous voulez m’épargner cette humiliation ? d’habitude vous adorez que je me ridiculise en toute conscience…

— Oui chérie, c’est ce que je veux d’habitude. Mais dans ce cas précis, je pense qu’il faut mieux que tu sois un peu engourdi. La représentation de ce soir est très importante pour toi, et je n’ai pas du tout envie que tu te mettes à chialer devant tout le monde.

— Pourquoi je chialerais ? voulut savoir Terri.

— Contente-toi de boire… déclara fermement Danielle.

— Pourquoi je devrais me mettre à chialer ? Qu’est-ce qui va se passer ? demandait anxieusement Terri.

— Oh, autant de le dire tout de suite, pour que tu n’aies plus à t’en faire, soupira Danielle. L’enterrement de vie de garçon où tu vas faire ton show est celui de Steven. Il va se marier avec Carrie le week-end prochain. Tu vas les divertir lui et ses amis, puis tu vas le baiser. » Danielle parlait nonchalamment comme si elle demandait simplement à son assistante d’envoyer un paquet en salle d’expédition. « Et il ne saura même pas que c’était toi... »

Finalement, les pleurs de la malheureuse esclave sexuelle finirent par se réduire jusqu’à Danielle puisse s’entendre penser.

« Bois », répéta-t-elle en passant à nouveau la flasque à Terri.

Terri but.

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Steven buvait aussi. Mais pour faire la fête et s’amuser. Il allait finalement former un couple avec la femme qu’il aimait, son âme-sœur. Carrie était merveilleuse.

Il avait aussi une autre raison pour faire la fête. Aujourd’hui, il refermait un chapitre de sa vie qui avait été une erreur, il le réalisait maintenant. À quoi pensait-il quand il s’était marié à Terri ? Ils étaient de deux mondes différents. Steve se rappela comment ils avaient commencé à s’éloigner l’un de l’autre. Les innombrables nuits d’attentes où il poirotait à la maison pendant qu’elle faisait la bringue ailleurs. Les appels téléphoniques au milieu de la nuit, après lesquels, quand elle pensait Steven s’était endormi, elle s’habillait silencieusement et quittait la maison. Ç’avait été une période de sa vie douloureuse, et frustrante... mais il avait trouvé Carrie. Elle avait commencé comme intérimaire dans sa boîte, et les deux étaient allés déjeuner, puis dîner. Steven trouva en Carrie quelqu’un avec qui il poussait discuter et se lier.

Puis il y eut le jour où Carrie apporta les photos. « Steven, » avait-elle dit aussi gentiment que possible, « il y a quelque chose que tu dois savoir. Ça ne va pas être facile pour toi… mais il faut que tu saches que je suis ton amie et que je serais toujours là pour toi. » Puis elle laissa tomber la nouvelle, à propos des relations sexuelles que Terri avait à son travail. Il s’écroula et pleura dans ses bras, et d’une manière ou d’une autre, ils avaient fini au lit ensemble. La route lui avait alors semblé claire ; avec Carrie à ses côtés, il était allé remplir les papiers nécessaires au tribunal. Carrie avait emménagé avec Steven le même jour ou Terri partait.

Ils avaient alors attendu le jour ou le divorce serait définitif, pour pouvoir rendre leur relation amoureuse officielle. Ç’avait été un chemin chaotique -- Terri téléphonait chez eux au moins une fois par semaine, respirant dans le téléphone sans rien dire quand Steven décrochait. Mais quand Carrie décrochait, sa détraquée de future ex-femme l’abreuvait de menaces de mort. Carrie avait passé plusieurs nuits tremblante de trouille en lui faisant part des détails alors qu’il l’enlaçait.

Mais l’attente allait bientôt prendre fin. Dans quelques jours ils seraient mariés ! Carrie, toujours adorable, lui avait organisé un enterrement de vie de garçon, réservant une salle de bar et allant jusqu’à engager une call-girl. « Je veux te regarder la baiser pendant qu’elle sucera à fond tout tes amis, lui glissa à l’oreille sa coquine future femme. Puis on rentrera à la maison et je te laisserais chevaucher la crinière rouge... » C’était son petit nom pendant l’amour.

La call-girl était une jeune femme plutôt menue, aux cheveux noirs, et avec des courbes aux bons endroits ainsi que d’énormes seins, le tout comprimé dans une robe taille XS. La bite de Steven grossit immédiatement quand elle monta sur l’estrade et se mit à tournoyer séductivement au rythme de la musique. Carrie était assise à ses côtés, et, elle aussi, était excitée par le spectacle. Elle commença à caresser le pantalon de Steven sous la table. Pendant ce temps, ses amis décidèrent qu’ils préféreraient un spectacle plus intime et se mirent à transporter la call-girl sur la grande table où ils étaient tous assis.

« Excusez un instant… », glissa Carrie aux hommes. Elle se mit debout au côté de la danseuse.

« Vous ne trouvez pas que la robe de Lisa jolie ? » Les hommes furent tous d’accord « Mais est-ce qu’elle ne le serait pas encore plus si on la laissait tomber par terre ? » l’approbation des hommes ne fit aucun doute.

« Tu as entendu. Retire-la, » commanda Carrie. Lentement la call-girl déboutonna sa robe et la laissa glisser au sol. Dessous elle portait un soutien-gorge pigeonnant en dentelle rose, un string assorti ainsi qu’un porte-jarretelles et des bas. Dirigée par Carrie, la fille pirouetta lentement sur elle-même pour que tous les hommes puissent avoir une vue complète de son plantureux corps aux courbes sexy. « Mmmmm, n’est-elle pas belle les gars ? Mais ne vous contentez pas de regarder. Lisa est payée, et pour toute la nuit ! Premiers arrivés, premiers servis. .. » Carrie retourna à son siège, se frottant contre Steven et regardant la pute se faire entourer par six des amis de son futur-mari.

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À l’exception de Steven, Terri avait baisé chaque homme une fois, et ils profitaient maintenant d’une deuxième tournée juteuse. TRÈS juteuse, puisque les gars qui avaient utilisé sa chatte et son cul s’étaient retirés pour arroser la salope déguisée de leur foutre. Elle essayait de les garder bandés, pour qu’ils continuent de la baiser, et que Steven ne participe pas. Terri ne pensait pas pouvoir le faire avec lui. Mais les types s’épuisaient peu à peu. Après en avoir fini avec l’homme qui lui baisait la bouche, personne ne bougea pour prendre sa place, et Terri réalisa avec horreur que Carrie était debout devant elle.

« Mon futur époux veut une pipe, exigea doucement la femme.

— Carrie... S’il te plaît, non. Je vous souhaite tout le bonheur du monde, mais... je t’en prie..
.
— MAINTENANT, ordonna Carrie d’un ton sans réplique. Ou tu veux que, moi et Danielle on ait une petite causerie ? »

Résignée, repoussant ses larmes, Terri se mit à genoux devant l’homme qui lui avait été si cruellement volé.

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Fermant les yeux Steven se pencha en arrière, et apprécia la pipe que lui donnait la call-girl. Elle savait vraiment utiliser sa bouche, pensa Steven. La façon dont elle arrivait à prendre son chibre tout entier dans sa gorge, et en même temps à tortiller sa langue autour...

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Humiliée et bafouée au-delà de tout, Terri travaillait en mode automatique. Elle servait mécaniquement Steven, comme elle avait eu l’occasion de le faire des centaines de fois durant leur mariage. Et il y réagissait bien -- après toutes ces années, elle savait ce qu’il aimait et comment le faire.

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La call-girl faisait un excellent travail à sucer la bite de Steven. Il n’avait pas eu le droit à une gâterie pareille depuis qu’il s’était séparé avec Terri. Carrie était une femme formidable, mais elle avait encore beaucoup à apprendre en matière de fellation.

La façon dont la langue lui donnait du plaisir, dont les mains jouaient délicatement avec ses couilles… il pouvait presque s’imaginer être encore avec Terri, avant qu’elle ne devienne une traînée. Dans son esprit, Steven s’imagina son ex-femme agenouillée là, ses cheveux blonds chatouillant ses cuisses alors qu’elle hochait la tête sur sa bite, déterminée à offrir à son homme la pipe de sa vie.

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Carrie regardait nerveusement. Terri jouait son rôle un petit peu *trop* intensément.

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C’était la dernière fois qu’on est ensemble, pensa Terri, et je vais faire en sorte que tu t’en souviennes Steven. Gémissant bruyamment, elle doubla la cadence, salivant sur son délicieux chibre avec frénésie, comme la fois où...

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...ils s’étaient rendus à la rivière, emportant avec eux un panier à pique-nique qu’ils ne finirent jamais. Optant à la place pour se déguster l’un l’autre sur la couverture. Steven se rappelait comme il avait attendu ce moment, et comme la bouche de sa jeune épouse était chaude et humide, puis comme elle avait arrêté les préliminaires et s’était mise au travail. Comme sa langue avait paisiblement fait monter son plaisir, avant d’aller à l’attaque, bougeant la tête d’avant en arrière poussant des gémissements étouffés par sa bouche pleine de chibre...
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« MMMMMMMMMMMMMMMM..... »

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« Oh oui.... avale ça, Terri... » Steven ne se rendait même plus compte de ce qu’il disait. Il n’avait conscience que de son membre palpitant, il ne pouvait plus se contenir, et il déchargea dans la bouche de la call-girl, qui goba jusqu’à la moindre goutte avec appétit...

Carrie toutefois, l’avait entendu clairement, et était trop assommée pour bouger. Terri regardait Steven, avec un genre de tristesse, sachant que tout était fini entre eux.

La fiancée finit par retrouver la force de bouger. Saisissant la perruque de Terri, elle la lui enleva de la tête et la jeta au loin. « Sale CHIENNE !!!!! QU’EST-CE QUE TU AS FAIT LISA ?? Tu ne nous LAISSERAS JAMAIS TRANQUILLES ???? » Elle attrapa Steven, le tirant vers elle, puis elle se retourna et gifla Terri au visage. « FOUS-NOUS LA PAIX, SALE CONNE !!!!!!! »

Tout le monde ignora Terri alors qu’elle se rhabillait, éprouvant une honte absolue. Les gars entouraient Carrie et Steven. La garce sanglotait : « Elle nous suit partout et elle appelle chez nous tout le temps... elle a dû savoir pour la soirée de ce soir et arranger... ÇA... » D’autres fausses larmes de crocodile puis : « Qu’est-ce que tu as fait, Terri ? Tu as mis notre téléphone sur écoute ? Tu as entendu quand on a appelé le service d’escortes ? Où est Lisa, la fille qui devait venir ? Elle est quelque part étendue morte dans un fossé ? Tu veux notre mort à nous aussi ? C’est ça que tu veux ? VIENS !!! JE SUIS LÀ !!!! » Elle revint vers Terri, agrippant une poignée de cheveux de la femme humiliée, la secouant jusqu’à ce que Steven et d’autres gars lui fassent lâcher prise. Mais ce qui blessa le plus Terri, ce furent les mots que prononça Steven.

« Allez, Carrie. Elle n’en vaut pas la peine. »

Alors qu’on accompagnait Carrie dehors, elle se retourna et déclara : « Reste loin de MON HOMME. » Puis aux amis de Steven : « Faites ce que vous voulez d’elle. Amusez-vous. »

Et ils s’amusèrent.

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Deuxième place : Chapitre 17

Assise au fond d’une voiture de police banalisée, les larmes coulaient le long du visage de Terri. Elle était seule -- l’officier qui l’avait arrêtée et son partenaire étaient dehors en train de parler à un gang d’ados. Elle observait les deux flics qui parlaient au groupe de gamin pendant qu’un graffiti obscène séchait sur le mur derrière eux.

Ç’avait commencé comme une nuit ordinaire pour Terri. Carrie était venue chez Danielle et les deux femmes s’étaient assises pour planifier de nouveaux moyens d’humilier leur salope, le tout pendant que Terri allait de l’une à l’autre sous la table.

Les deux amies bavardaient gaiement. Danielle se vantait du contrat qu’elle avait conclu aujourd’hui et de la façon dont les nichons et le cul de Terri avaient été essentiels pour finaliser la vente. Puis elle interrogea sa camarade sur Steven, l’ex-mari de Terri (et l’actuel époux de Carrie, après qu’elle lui ait purement et simplement volé.) La nouvelle mariée jacassa interminablement sur sa vie merveilleuse avec Steven, prenant soin de décrire explicitement leur vie sexuelle, et remercia profusément Danielle de lui avoir "présenté" Steven. Au même moment, Terri sanglotait misérablement, ses larmes mouillant les cuisses d’une des deux femmes qu’elle broutait. Ses deux tortionnaires se plaisaient à raconter les fois où elles allaient chez Terri et Steven, baisaient le mari pendant son sommeil et forçaient Terri à regarder.

« En tout cas... Steven est un mec génial. C’est formidable qu’il se soit enfin trouvé une vraie femme, » dit Danielle. Un petit reniflement d’écœurement se fit entendre de sous la table, qui fit réagir immédiatement Danielle. « Terri, y a un problème là-dessous ? » demanda-t-elle clairement, se penchant sous la table et tordant cruellement un téton de son esclave.

« AIIIIIIIEEEE ! Non, Madame.

— C’est bon à entendre. Carrie vient de faire l’amour à son mari, et elle a eu la générosité de venir ici pour te permettre de lui lécher le foutre hors de sa chatte. J’espère que tu lui seras reconnaissante.

— O-oui Madame.

— Enfin peu importe, je crois que tu as besoin d’être puni. »

Elles finirent par trouver une tache pour Terri. Elle devrait s’habiller dans une de ses tenues les plus vulgaires : une mini-jupe en cuir noir avec un top rouge qui arrivait à peine à contenir ses faux nichons 95 F. Elle dut se repeindre le visage de maquillage et de rouge à lèvres brillant. Pas de maquillage pour les yeux -- la bimbo avait encore tendance à se lancer dans des pleurnicheries quand elle était au milieu d’une session d’humiliation. « Tu dois arrêter de prétendre que n’aime pas faire la pute, » s’était cruellement moquée Danielle à plusieurs occasions.

Après l’avoir habillée, les deux femmes la conduisirent dans la partie nord de la ville, où se trouvaient les quartiers sordides bien connus pour leur trafic de drogue, de prostitution, et d’autres crimes mafieux. Là-bas, Terri fut poussée hors de la voiture, et on lui ordonna de "ne pas revenir avant d’avoir gagné 600 dollars !" Elle fut effrayée plus qu’elle ne pensait pouvoir l’être. Danielle l’avait déjà prostituée avant – en fait c’était toute un business, la plantureuse bimbo passait d’habitude quatre nuits par semaine à baiser et à sucer la clientèle que sa patronne lui envoyait. Mais jusqu’à maintenant elle était utilisée comme une call-girl, et n’avait pas à faire le trottoir.

La mort dans l’âme, elle sollicita trois types pour leur faire des pipes – les hommes dans le quartier étaient tous si crasseux que Terri n’avait pas l’estomac suffisamment accroché pour leur proposer autre chose. Puis un gars d’allure décente arriva. Terri mit son prix à 300 dollars.

« Qu’est-ce que j’ai pour 300 dollars ? » avait demandé le type.

Terri avait nommé tous les actes sexuels dont elle se rappelait, et avant qu’elle ne comprenne ce qui lui arrive, l’homme, un policier en civil, lui avait passé les menottes. Elle était arrêtée pour prostitution sur la voie publique.

Levant le nez, elle vit les gamins se faire disperser par les deux policiers à l’exception de l’un d’eux qui fut escorté jusqu’au véhicule de police. Terri regarda le gosse vider ses poches sur le capot de la voiture et être fouillé. Fouille qui débouche sur un couteau à cran d’arrêt et une petite pochette transparente qui devait être remplie de drogue. Terri écouta le policier lire ses droits au jeune homme. Comme il l’avait fait pour Terri une petite éternité plus tôt, ignorant alors ses offres cochonnes et désespérées pour : "s’arranger autrement."

La portière s’ouvrit. « Allez, Juan, tu connais le chemin, » lui dit l’un des deux officiers en lui montrant une place sur la banquette arrière. Terri bougea furtivement son cul de l’autre côté.

« Bueno, poulet au moins cette fois tu me donnes de la compagnie, ça valait presque le coup de--

— Ta gueule et entre dedans Juan, » ordonna un des policiers, lui saisissant le crâne et le projetant dans la voiture. Il atterrit directement sur les genoux de Terri, et y resta jusqu’à ce qu’elle l’en chasse. Juan fixa alors l’impressionnant décolleté de la bimbo tout en faisant tourner sa langue de façon obscène.

« Yo, purée, je retire tout ce que j’ai dit sur vous autres les poulets ! Je devrais me faire arrêter plus souvent !!! » Le jeune homme caressait la cuisse de Terri.

« HEY ! hurla Terri. Il... il me touche ! Éloignez-le de moi !

— Une pute qui ne veut pas se faire toucher, s’amusa le policier, on ne me l’avait jamais faite encore.

— En fait, dit le second officier, ils forment un beau couple, tu trouves pas ?

— Ouais, » le premier officier se renfrogna « et ils seront probablement sortis de prison à temps pour qu’elle lui fasse le tarif nuit.

— Je ne suis PAS UNE PUTE !!!! » protesta à nouveau Terri.

Sur le chemin de retour à la station de police, les flics s’arrêtèrent pour acheter des donuts, laissant Terri terrifiée dans la voiture alors que Juan commença immédiatement à lui peloter les nichons.

« ARRÊTE ÇA !!! » cria Terri en lui repoussant les mains, mais il était très persistant.