Des Cours Très Particuliers, E04

BÊTA PUBLIQUE

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Sans rien dire, la servante se dirigea vers un petit meuble situé à l'autre extrémité de la pièce. Elle ouvrit l'un des tiroirs et sortit une sorte de coussin qu'elle le posa sur l'une des chaises posées prêt du lit.

Venez vous asseoir là, dit-elle simplement. Avec ça vous aurez moins mal et vous pourrez vous reposer. »

Mégane s'exécuta et s'installa sur ce coussin. Il ressemblait à une bouée avec un trou à l'intérieur. Ainsi ses fesses se retrouvaient un peu en suspension sans toucher le support de la chaise ni le coussin lui-même. Si la douleur ne s'estompa pas complètement, elle s'en retrouva bien amoindrie.

Mégane retrouvait un petit peu ses esprits. Elle comprit alors le sens d'une des phrases de la servante.

Vous en êtes une vous aussi, compris alors que la jeune servante se dirigeait vers la porte.

Je l'ai été, répondit la jeune femme. Et d'une certaine façon, je le suis encore.

Pourquoi? Jusqu'où va-t-il? Sommes-nous condamnées?

Non, seulement condamnées par nos propres actions et nos désirs. Je ne suis pas payée par lui. Si je suis là c'est parce que j'en ai envie. Reposez-vous un peu! Il y aura d'autres moments désagréables, ce week-end. Je vais aller vous chercher un thé et, si vous voulez, nous parlerons un petit peu plus tard. Au fait, je m'appelle Sophie. »

Mégane hocha tête mais Sophie était déjà partie sans même se retourner.

CHAPITRE 5

Fernand Dernau n'était donc pas rentré dans sa chambre et s'était dirigé vers ses bureaux. Il n'était nullement énervé par ce qui s'était passé dans le salon, bien au contraire. Mégane s'était révélé une élève assidue et lui avait prodigué une fellation comme peu de ses apprenties en avaient été capables la première fois et la punition était prévisible. La mère de la jeune fille avait connu le même sort la première fois qu'elle avait dû avaler son sexe. Il y avait peu de femmes qui acceptaient volontiers de boire du sperme.

Il s'était montré aussi dur afin de bien montrer qui dirigeait cette relation. Les mots n'étaient pas suffisants, il fallait des actes pour remettre chacun à sa place. Il allait laisser Mégane se remettre de tout ça et ne la verrait que dans la soirée. Il avait des choses importantes à faire avant.

CHAPITRE 6

Michael Miami avait l'habitude de gérer des personnalités complexes. Il était l'un des doyens de l'une des plus prestigieuses universités du pays et surtout lundi faiseur de rois. C'était lui qui avait le choix final dans l'attribution des bourses et l'obtention des places dans les écoles les plus prestigieuses de sa faculté.

Il avait l'habitude de recevoir des dizaines de sollicitations de parents qui espéraient obtenir des places pour leurs enfants mais il n'avait pas l'habitude de rencontrer des personnes comme celui qui s'était littéralement invité dans son bureau.

Il ne connaissait pas ce Fernand Dernau qui avait déboulé dans les locaux de l'université forçant littéralement le passage devant une sécurité bien prise au dépourvu. Pour Miami, c'était une nouveauté. Son service de sécurité était réputé et arrivait toujours à filtrer les personnes les plus récalcitrantes et il s'était littéralement fait dépasser par un homme seul.

L'homme s'installa dans le siège en face de celui de Miami et se contenta de le fixer pendant quelques secondes. Le doyen lui rendit son regard, le défiant de son autorité mais il se sentit rapidement étrangement mal comme si cet homme était capable de voir des choses que personne d'autre ne voyait. Ce sentiment de malaise l'incita alors à un peu de prudence et il renonça à appeler la police, pour l'instant.

Yasmina Marrakech, dit-il simplement Dernau.

Pardon? Demanda Miami qui avait cependant identifié le nom. Je ne vois pas en quoi un dossier recalé me concernerait?

Parce que c'est vous qui l'avez recalé alors que son dossier était excellent.

Les notes, ça va, ça vient. C'est difficile à estimer surtout quand on les obtient dans un lycée de quatrième zone.

Elle a passé tous vos examens, tous vos tests et je sais qu'elle les a tous réussi haut la main. Elle a même fini première de la plupart d'entre eux. »

Miami se crispa en se demandant comment cet homme pouvait avoir eu ces résultats. Oui, il avait raison. Cette Marrakech avait obtenu des résultats bien au-dessus de la moyenne. Bien supérieurs à l'immense majorité des élèves qui allaient étudier dans son université l'année suivante mais là n'était pas le problème.

Je vais vous laisser une chance, reprit Dernau. Je voulais vous voir et vous juger avant de lancer la machine mais, franchement, vous êtes minable »

Miami s'empourpra devant cette insulte et se redressa pour dominer cet homme de toute sa colère outragée. Dernau resta assis, levant juste la tête pour porter sur son interlocuteur un regard ironique. Tout ce décorum ne l'avait nullement impressionné, bien au contraire.

Je sais. Dit-il simplement. Le pire dans tout cela c'est que vous n'êtes même pas capable de le cacher. Elle n'a pas la bonne couleur de peau, pas la bonne origine et cela choque votre jolie petite pensée. Le pire c'est que c'est vous êtes la seule personne à être choquée. Le seul qui s'est opposé.

Et alors? C'est ma prérogative de choisir qui vient et qui ne vient pas.

Et c'est la mienne de faire en sorte que la justice soit respectée. »

Cette fois, c'en était trop pour Miami. Il se rassit et prit son téléphone pour contacter les autorités. Ce Dernau allait dormir en prison.

Angela Bogota, énonça Dernau toujours aussi calme. Solange Santiago. Annabella Roma. »

Miami se crispa sur son téléphone et dévisagea l'homme en essayant de faire bonne figure.

Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, mentit-il. Qui sont...

Honora Chicago, Leila Casablanca. Ce sont les plus récentes. Et j'en ai bien d'autres à vous citer mais, surtout, la police a leurs noms et leurs témoignages. Le Conseil d'administration est déjà au courant de vos pratiques et de la pression que vous faites peser sur ces jeunes femmes. Votre carrière est terminée et croyez-moi ça va aller très vite. Yasmina Marrakech étudiera dans cette université, l'an prochain, et vous vous appartiendrez déjà au passé. »

CHAPITRE 7

Mégane avait encore pleuré quelques minutes, allongée dans le grand lit qu'elle avait partagé la nuit précédente avec Fernand Dernau. La douleur s'était atténuée mais il restait l'humiliation d'avoir été ainsi punie comme une enfant malpolie.

Les souvenirs si plaisant de la nuit précédente avaient laissé la place à des sentiments beaucoup plus négatifs et, de nouveau, elle se sentit comme une prisonnière. Dernau ne lui avait pas laissé le choix, contrairement à la veille. Il l'avait punie car elle n'avait pas obéi. Elle réalisa toute la signification des paroles qu'il avait prononcées depuis qu'elle était montée avec lui dans la voiture.

Elle avait eu deux fois l'occasion de renoncer et avait, à deux reprises, prit la décision de continuer. Désormais et pour tout le temps du week-end, il ne lui accorderait plus d'alternative à l'obéissance. Elle ferait ce qu'il voulait ou il ferait en sorte qu'elle se pliât.

On tapa doucement à la porte et la personne qui se trouvait derrière n'attendit pas l'autorisation pour entrer. Sophie avait tenu parole et était revenue.

La jeune servante portait un plateau contenant un repas et Mégane se rendit compte qu'elles étaient au début de l'après-midi. Elle n'était donc pas restée quelques minutes à pleurer dans le lit mais plusieurs heures.

Elle déposa le plateau sur le petit bureau situé à l'opposé du lit. Elle s'approcha alors de la jeune femme qui était resté allongée sous le drap lui tournant ostensiblement le dos, et s'assit sur le lit a quelques centimètres. Elle posa sa main sur son épaule comme elle l'avait fait quelques heures auparavant alors que la jeune fille tentait de se remettre de l'humiliation qu'on venait de lui infliger.

Allongez-vous sur le ventre, dit-elle simplement. Je vais vous donner quelque chose pour vous soulager. »

Mégane se retourna et fixa cette jeune femme de son regard vert. Elle ne lut aucune perversité dans son dans son expression mais se demanda ce qu'elle comptait vraiment faire. Dernau avait déjà émis l'hypothèse de lui faire partager le lit d'une autre femme et elle savait désormais qu'il n'avait aucune limite.

Cependant, Sophie ne semblait pas du tout venue dans cet objectif et la jolie lycéenne eut envie de la croire. Elle obtempéra alors ce mettant bien sur le ventre. La servante releva un peu le drap et le bas de la robe de la jeune femme pour dénuder ses fesses. Dernau avait frappé fort et la peau était légèrement rouge. Sophie ne parut pas spécialement catastrophée devant le spectacle. Elle sortit alors d'une de ses poches un petit tube de pommade. Elle s'enduisit les doigts du produit et commença à doucement à l'étaler sur les fesses rouges. Son mouvement était assuré et efficace et rapidement une douce chaleur envahit le fessier endolori.

Mégane profitait de cette nouvelle sensation. Si elle ne pouvait pas faire disparaître le sentiment d'humiliation qu'elle ressentait toujours au moins il fit disparaître définitivement la douleur.

La première fois moi aussi j'ai pleuré, raconta Sophie sur un ton doux. C'est un sentiment détestable que de réaliser qu'on est devenu l'objet de quelqu'un. »

Mégane se redressa et dévisagea encore une fois la jeune femme. Elle était clairement plus âgée qu'elle mais ne semblait pas encore avoir atteint les trente ans. Une chose lui apparaissait certaine était qu'elle ne pouvait plus être étudiante.

Il vous a réduite à ce statut? Fit-elle sans réaliser la condescendance de son propos. Devoir le servir?

Non, nia Sophie tout en gardant un sourire complice. Il ne m'a pas réduite en esclavage si c'est cela que vous pensez et non, il ne m'a pas condamnée à rester avec lui. Il a rempli sa part du marché. J'ai eu ce que je voulais. Seulement, je n'ai pas pu m'arrêter. Ca peut arriver aussi, vous verrez. On peut finir par aimer ça. »

Sophie lui raconta alors une partie de sa vie et comment elle avait rencontré Fernand Dernau au hasard d'une discussion avec une de ces amies. Elle lui assura être médecin. Cela parut totalement incroyable à la jeune fille.

J'ai fini mon internat l'an dernier, expliqua la jeune femme. Je travaille actuellement à l'hôpital municipal. Service chirurgie. »

Elle vit à l'expression de Mégane que cette dernière ne le croyait aucunement. Une médecin, non, une chirurgienne installée qui devait déjà avoir un salaire supérieur à celui de sa mère et qui décidait de venir jouer à la soubrette soumise lors de ses moments de repos avec un homme qui avait peut-être presque le double de son âge. Ce n'était pas juste un ridicule, c'était impensable presque fantasmagorique.

Pourtant, il y avait une sincérité confondante dans cette jeune femme. Quelque chose qui se conjuguait à l'impression d'irréel autour de cet homme capable de modifier complètement le comportement d'une jeune femme avant de la conduire sur des chemins de perversité. Cet ensemble était tel que même le plus improbable pouvait paraître possible.

La douleur avait définitivement disparu et Mégane pouvait s'asseoir tout à fait normalement. Elle voulut demander plus de détails à Sophie et qu'elle lui expliqua comment elle était arrivée jusqu'à cette situation mais Fernande Dernau était revenu.

CHAPITRE 8

Le professeur milliardaire était entré dans la chambre sans s'annoncer. Après tout, il était chez lui et c'était Mégane qui dormait dans son lit et pas l'inverse.

En réalisant sa présence, Sophie se tourna vers lui, l'expression souriante. Mégane ne connaissait pas grand-chose aux relations amoureuses mais elle lisait dans le regard de la jeune femme quelque chose qu'on pouvait qualifier d'affection si ce n'était de l'amour mais l'homme ne lui renvoya que de l'indifférence.

Il se contenta de faire un geste en indiquant la porte située derrière lui et la jeune fausse servante hocha la tête avant de se lever. Elle les laissa seuls tous les deux.

Mégane s'était redressée dans le lit. Le drap qui la recouvrait était tombé sur ses genoux couvrant ses jambes. Elle portait toujours cette robe blanche en dentelle qui la moulait si parfaitement.

Dernau vint s'asseoir sur le bord du lit à peu près au même endroit où Sophie s'était installée moins de dix minutes auparavant. Il gardait cette expression indéchiffrable qu'elle ne lui connaissait que trop bien. Bien différente de celle, empourprée, qu'il avait affichée juste avant de la punir.

Sophie t'a passé de la crème? Demanda-t-il sur un ton neutre. C'est bien, ajouta-t-il alors qu'elle hochait la tête. As-tu compris la leçon? Les deux? »

Elle le détailla fixement, à la recherche d'un quelconque signe pouvant lui indiquer ce qu'il attendait comme réponse. Durant toute l'après-midi, alors qu'elle était allongée dans ce lit à pleurer, elle s'était juré qu'elle le défierait à son retour et qu'elle lui montrerait son refus de lui servir de défouloir. Mais à ce moment-là, alors qu'elle était en face de lui, elle fut incapable de tenir toutes ses résolutions.

Je t'ai posé une question, répéta-t-il sans pour autant élever la voix. »

Elle ne sentait aucune colère en lui mais une grande détermination. Elle savait que de sa réponse dépendrait non seulement la suite de ce week-end mais aussi ce qui se passerait ensuite. Il lui avait finalement menti pour la première fois car il lui offrait une nouvelle porte de sortie.

Cette certitude suffit à la faire réagir. Elle fit alors quelque chose dont elle se serait crue incapable. Elle se pencha en avant, posant sa tête au niveau de son entrejambe et commença à défaire les boutons de son pantalon.

Elle écarta le vêtement et sortit son sexe à l'air libre. Elle recommença la même méthode que celle qu'il lui avait expliquée quelques heures auparavant. Elle montrait ainsi qu'elle avait bien retenu la première leçon.

Il s'allongea alors à moitié sur le lit alors qu'elle prenait son sexe en bouche et commençait ses va-et-vient.

Elle respecta à la lettre toutes les consignes tu lui avais donné. Humidifia le membre, utilisa le bout de ses dents pour exciter le gland et commença même à jouer avec ses bourses.

Il releva la tête pour la regarder. Voilà une chose qu'il ne lui avait pas expliquée et il doutait qu'elle ne l'eût jamais faite auparavant. Il sourit alors. Il aimait ce genre d'initiative. Il reprit sa position avant de s'allonger totalement. Elle-même dut se mettre quasiment à plat ventre pour continuer sa fellation.

Il ne fit rien pour la contrôler, cette fois-ci, et lui laissa le choix du rythme à adopter. Les premières fois, alors qu'elle n'était encore qu'une jeune collégienne qui cherchait à plaire à des petits amis commandés par leurs hormones, elle avait regardé quelques films pornographiques avec certaines de ses copines, dans le dos de ses parents bien entendu, et observé les pratiques de fellatrices de ces actrices professionnelles. Etrangement, alors que cela faisait des années qu'elle n'avait plus vu ce genre de scène, les images de ces films remontaient à sa mémoire et elle se servait de ses souvenirs pour parfaire encore sa fellation.

Dernau, en tout cas, ne boudait pas son plaisir. Elle était évidemment encore bien inexpérimentée et ses techniques auraient besoin de nombre de perfections mais elle montrait un potentiel certain et, surtout, énormément de bonne volonté. Il se mit à respirer plus lourdement, poussant même quelques petites sons rauques quand elle enfonçait totalement son membre au fond de sa gorge.

L'humidification du membre n'avait pas uniquement pour fonction de favoriser une pénétration ultérieure mais procurait aussi certaines sensations à celui qui profitait du travail de la bouche de la femme.

Elle n'avait pas l'habitude de tout cela et il savait qu'elle n'aurait pas l'endurance pour supporter une fellation trop longue. En conséquence, il se relâcha encore plus vite que la première fois.

Elle identifia cette fois-ci les soubresauts de son sexe qui présageaient de l'éjaculation et déglutit bruyamment mais ne retira pas le membre de sa bouche. Une première rasade gicla dans son gosier puis rapidement une seconde la suivit. Elle ferma les yeux en faisant une petite grimace mais réussit à garder la bouche fermée.

Elle libéra alors le membre et se redressa un petit peu, serrant les dents pour déglutir et avaler définitivement le liquide séminal.

Il se posa alors ses coudes et observa son expression alors que le sperme coulait dans son œsophage. Il fut satisfait de son comportement.

C'est très bien, dit-il en utilisant ce ton qu'il utilise parfois quand elle ramenait des résultats scolaires excellents. Tu as bien retenu l'autre leçon aussi. »

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 6 mois

Encore une excellente histoire AgentChelateur, curieux de découvrir l'évolution des choses. Merci

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