De Mari à Esclave Ch. 23

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De mari à esclave.
3.2k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 23 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Maitresse Jennifer m'avertie Robert qu'il sera l'esclave de trois de ses amie lesbienne et qui aime les hommes a l'occasion mais qu'il sera seul avec c'est femmes. Bien évidemment, comme moi Robert suis officiel esclave de Maitresse Jennifer et de Corporation des Maitresse mondiales, j'ai répondu merci Maitresse Jennifer sans savoir ce qui m'attend.

Maitresse Jennifer me fait descendre et me guide à l'intérieur du Manoir que je ne connais pas encore tellement c'est immense un réel château mais que j'imagine grande par la résonance de nos pas et la distance que nous parcourons à l'intérieur.

Lorsque nous arrivons dans la salle de bain Natacha est prête et commence par rase les jambes, le torse le dessous des bras et les parties intimes, puis entreprend de maquiller Robert. Elle lui met du fond de teint auquel elle rajoute des paillettes et termine le tout par du rose à lèvres. Elle rajoute une perruque avec de longs cheveux bruns et un serre-tête. Elle tend a Robert alors un body string doré orné de petits brillants, lorsque Robert l'enfile, constate qu'il est ouvert au niveau des seins. Autour de sa taille, elle fixe une large ceinture agrémentée de petits brillants et d'une ribambelle de pastilles métalliques rondes et dorées. Son collier a été changé, lui aussi est doré, ses poignets sont fixés dans son dos aux bracelets, les chaînes sont un peu courtes et l'obligent à remonter ses mains vers mon cou si il ne veut pas s'étrangler.

Natacha lui fait alors allonger sur un pouf, écarte la ficelle du string m'enfile trois suppositoires à la glycérine et en entreprend de m'enfoncer dans l'anus un plug muni d'une plume bleue qui est agrémentée à son extrémité d'un petit grelot.

Lorsqu'elle Maitresse Jennifer et Natacha le guide devant la glace Robert peux enfin se voir, ainsi habillé et maquillé, il ressemble à une danseuse orientale, Natacha a la demande de Maitresse Jennifer rajoute alors une pince décorée à chacun de mes seins, elles sont, elles aussi, agrémentées de grelots.

Maitresse Jennifer et Natacha lui donne un baisé d'encouragement et ouvre une porte qui donne accès à un grand escalier que nous entreprenons de descendre. A chaque marche, les grelots raisonnent et les plaquettes métalliques de sa ceinture s'entrechoquent. Les bras tirent sur mon collier, Robert est obligé de se cambrer ce qui a pour effet de faire ressortir sa poitrine ainsi que les pinces à grelots qui se balancent à chacun de ses pas. Au fur et à mesure que qu'ils descendent l'escalier qui mène à une grande salle, robert est à la fois fier et honteux, Robert est comme dans un état second.

Il l'impression de planer, Robert vis l'ivresse de la soumission physique dans les mains de Maitresse Jennifer, Robert ne veut pas la décevoir ni Corporation des Maitresse mondiales mais robert sais qu'il va possiblement encore déguster et être ridiculisé, mais en même temps Robert commence à aimer l'humiliation.

La descente est lente et périlleuse mais ils arrivent néanmoins dans la pièce où trois femmes vêtues a l'orientale et sont étendues sur de grands coussins. Les murs sont recouverts de tentures colorées, le mobilier est limité, il y a également de petites tables orientales sur lesquelles sont posées des lampes à pétrole qui diffusent une lumière jaune et quelques meuble orientaux.

La seule chose qui cloche dans ce décor, c'est la chaîne qui pend du plafond! Maitresse Jennifer guide Robert sous la chaîne et la fixe à son collier au moyen d'un mousqueton puis annonce aux femmes : « il est à vous, bonne nuit les filles et à demain ».

Robert rencontre sa soirée avec les trois femmes sa bouge

L'une des femmes se lève, enclenche un CD dans une mini-chaîne qui diffuse aussitôt de la musique orientale. Elle s'approche de Robert avec une cravache qu'elle s'amuse à faire claquer dans la paume de sa main. Elle se colle contre mon dos et laisse glisser sa main sur mon body pour arriver lentement jusqu'à mon sexe. A travers sa robe je sens sa poitrine contre mes mains, elle est ferme et ses seins pointent à travers le tissu. Sa main continue sa visite sur mes cuisses et remonte à nouveau vers mon sexe qui commence à pointer. Elle s'en saisit et me lance dans le creux de l'oreille : « tu vas danser pour nous ce soir, tu vois, l'Afrique s'est mise à la page de l'Europe, aujourd'hui les femmes souhaitent se venger des siècles de Domination masculine, avant les femmes dansaient à moitié nues pour les hommes, ce soir tu vas danser pour nous ».

Elle se recule et me single les fesses d'un coup de cravache. Je me mets aussitôt à bouger et à relever les jambes au rythme de la musique. « Arrête » me dit-elle, « c'est tes fesses qui doivent bouger, je veux une vraie danse de ventre ».

Aussitôt, elle m'abandonne puis revient avec une ceinture à la main. Elle s'agenouille devant moi puis me lie les chevilles entre elles. Comme je suis sans réaction, elle lève le bras et me single à nouveau les fesses plusieurs fois. La douleur est vive mais tolérable, j'essaie de bouger mon ventre et mes fesses de gauche à droite je dois avoir l'air tellement cruche que les femmes éclatent dans un fou rire interminable. Je suis mort de honte.

En guise de réconfort, je reçois quelques coups de cravache sur les fesses et ma fouetteuse rejoint ses amies en me recommandant de continuer à danser. Je me déhanche comme je peux, le plug que j'ai dans le cul dirige la plume dans tous les sens et les grelots grelottent.

Elle me demande de tourner sur moi-même en dansant et continue de se marrer. Pendant que je danse ou presque, elles se vautrent et se caressent mutuellement. L'une d'elles sort un gode ceinture puis se fait aider et câliner pour le passer. C'est un gode double, un gros à l'intérieur un petit à l'extérieur. Elles l'embrassent à pleine bouche et lui caressent sa poitrine tout en introduisant avec précaution le gode dans son ventre.

Soudain, la godée se lève et referme la ceinture puis se dirige vers moi. Elle passe derrière moi et écarte rapidement la ficelle de mon body string, retire le plug et se presse contre mon dos. Je sens alors le gode s'insinuer entre mes fesses puis le gland de caoutchouc venir contre mon petit trou et je me raidis instinctivement. Elle attrape les pinces de mes seins et les tire brutalement. Je pousse un petit cri de douleur.

- Offre-toi, sinon je recommence, allez, ouvre-toi, offre-moi ton cul!

Je mets toute mon énergie à relâcher mon sphincter, le gland dur me perfore lentement. La douleur ne vient réellement qu'au moment où tout son sexe entre en moi distendant mon anus. Je pousse un cri de douleur, mais elle continue à me pénétrer. Elle entreprend alors des vas-et vient et me besogne sans retenue. Elle sort et entre le gode avec une allure régulière. Lorsque celui-ci sort de trop et bute contre mon corps, elle le guide de sa main et me pénètre à fond à chaque fois. Elle se plaque contre sur mon dos, empoigne les pinces de mes seins sans ménagement et m'attire vers elle renforçant ainsi l'effet de la pénétration. Le gode me laboure le fondement mais doit également lui procurer des sensations car je l'entends gémir de plaisir.

Les deux autres femmes se reposent sur les grands coussins et me regardent me faire prendre par leur amie. Je n'entends pas leurs commentaires mais elles ont l'air de bien s'amuser.

« C'est à mon tour de jouer », lance l'une d'elles en se levant. Celle qui me baise se retire alors de mon cul brusquement, mon anus résiste péniblement à cette sortie trop rapide. Elle se rapproche, décroche le mousqueton qui me lie à la chaîne puis sans ménagement attrape mon sexe à travers le body et me tire fermement. Sans me lâcher, elle s'assoit sur le petit lit, et me fait signe de me plier sur ses genoux. Je m'agenouille et me laisse aller comme je peux mais gêné sans mes bras je tombe lourdement sur ces cuisses. Ce moment où je me trouve étendu, presque nu, offert sur ses genoux, est très troublant. Pendant quelques secondes, elle me caresse les jambes, les cuisses et les fesses. Soudain, elle m'applique deux coups brefs, un à gauche, un à droite, je gémis. Les avalanches de coups se succèdent à de courts répits, la plupart des coups visent mes fesses mais certains s'égarent sur les cuisses. Je commence à me débattre sous la douleur qui grandit.

Elle s'arrête brusquement elle dit sur un ton sec: « qui c'est qui commande? » J'éprouve une grande volupté à lui dire « c'est vous madame » Elle me donne quelques claques supplémentaires. Enfin, elle m'intime l'ordre de me relever et de sucer le gode ceinture de sa copine qui s'est approchée de nous. Le sexe de plastique me remplit à présent la bouche et à chaque poussée elle envoie le membre taper le fond de ma gorge. Je le suce avidement, sachant ce qu'elle me le réserve je dépose de grande quantité de salive.

L'une d'entre elles s'approche et m'ordonne de me mettre dans la position de la chienne le cul bien tendu. Je change ma position puis me remets à sucer le gode. L'une d'elles commence à m'enfoncer un, deux puis trois doigts dans le cul. Progressivement, elle parvient à introduire quatre doigts, qu'elle fait tourner dans mon anus. Mon plaisir monte crescendo et ma queue vibre de désir. Je m'offre tout entier à cette femme qui force mon cul sans ménagement. En même temps, que je suce le gode, elles se lèchent, s'embrassent et se caressent mutuellement avec frénésie. Toutes les trois au bord de la jouissance, décident de changer la position.

L'une d'elles me demande de lubrifier l'anus de son amie qui se met aussitôt à quatre pattes devant moi. J'entreprends immédiatement de lui léché l'anus. Je plonge ma langue entre ses fesses, elle s'aide des mains pour s'écarter au maximum et me faciliter le passage, je l'encule avec ma langue, elle écarte son orifice, je m'y enfonce davantage.

L'autre arrive près de nous, elle à elle aussi passé une ceinture d'où dépasse un gode de bonne taille. Elle me demande d'humidifier la queue de caoutchouc qui me paraît énorme. Elle passe derrière moi et positionne le bout gode sur la rondelle de son anus, elle m'écarte les fesses avec ses deux mains. D'un coup sec, elle pousse le gode dans mon intérieur. Puis, avec fermeté, elle me saisit à deux mains par les hanches et elle débute un mouvement de va et vient. Le gode entre en moi avec difficulté, mais au fur et à mesure cela devint plus facile. Je sens glisser le gode dans mon fondement pendant que je suce avec délice le sexe qui se présente devant moi. Peu à peu cela provoque en moi une grande excitation. Elle me pilonne gaillardement puis lorsqu'elle entend sa copine crier son plaisir se retire de son anus qui reste béant.

Elles changent de position, l'une d'elles retire son gode ceinture et se retourne à quatre pattes. L'autre lui prend les hanches à deux mains, investit son ventre et entreprend de labourer puissamment sa copine qui pousse des petits cris de plaisir incontrôlés. L'autre décide de me placer sur le dos sous les seins de sa copine que je déguste avec plaisir, ma langue tourne autour de ses tétons que je mordille de temps en temps. Je sens que l'on écarte mes jambes, pensant avoir droit à une gâterie, j'offre mon entrejambe sans retenue mais elle attrape mes chevilles et me fait plier les genoux. Je suis en appui sur mes bras, c'est inconfortable et douloureux. Elle positionne le gland de son gode sur mon anus. Lentement mais fermement, le gland puis la queue toute entière entre dans mon cul offert. Je me fais encore pénétré le cul sans ménagement. Je délire totalement, je lèche goulûment les seins qui se balancent contre mon visage.

Soudain cette magnifique poitrine se retire, les deux filles changent de place et l'une d'elles s'assoit alors sur mon visage et m'ordonne de lui sucer le cul puis pendant ce temps elle se branle comme une furie. Mon nez entre de plus en plus dans son sexe Ses gémissements sont bruyants, elle s'appuie sur mon visage et éclate d'un seul coup dans un grand cri lâchant un flot de cyprine sur mon nez toujours enfoncé dans son vagin. Celle qui m'enculait se relève et m'ordonne de me mettre maintenant au service de son désir et de la faire jouir elle aussi de ma langue. Aussitôt, elle retire le gode ceinture, s'allonge sur le dos et écarte les jambes. J'enfouis ma langue dans sa fente qui bave tout son jus. Elle me saisit la tête et frotte mon visage contre son sexe. Ivre de désir, je lèche frénétiquement. Mon nez frotte son clitoris, la faisait frissonner de plaisir. Je sens deux mains, m'ouvrir les fesses et un gode entrer en moi.

Celle qui me baise m'ordonne de m'occuper maintenant du petit trou de son amie qui relève aussitôt ses jambes. J'y plonge aussitôt ma langue, que je fais entrer et sortir comme une petite bite. Rendue folle d'excitation par cette caresse anale, elle entre trois doigts dans sa chatte béante tandis que son autre main caresse son petit bout sensible. La jouissance la submerge toute entière, elle pouce de grands gémissements, les vas-et vient entre mes fesses s'arrêtent aussitôt, la femme finit de jouir laissant se répandre sa jouissance sur ma langue.

Elle met quelque temps à retrouver ses esprits mais lorsque qu'elle se relève je comprends à son regard que la soirée ne fait que commencer. Elles vont m'utiliser toute la nuit, alors que j'ai déjà l'anus en feu et mal de mâchoire.

Celle qui n'a pas encore joui s'allonge sur le dos et m'ordonne de venir m'occuper d'elle. Je me déplace à genoux et me penche vers elle pour lui grignoter la pointe des seins pour les lui téter avec passion. Je la dévore, les seins, le cou, le ventre, j'ai envie qu'elle soit tellement excitée qu'elle en perde toute notion. Elle se retourne et m'ordonne de faire de même avec son dos et ses jambes. Lorsque ma langue passe près de ses fesses, elle se cambre, ses mains écartent ses lobes fessiers, je comprends qu'elle veut elle aussi que je la lèche dans son anus.

Sa main s'insinue entre ses cuisses et caresse son petit bouton. Elle se tord dans tous les sens, tandis que moi, vicieusement, je continue à la branler de la langue allant de ses lèvres à son petit anneau brun. Elle n'en peut plus, elle est trempée : « viens » me dit-elle. Je lui grimpe dessus comme je peux et présente ma queue bien dure contre ses fesses. Elle s'en saisit et se l'enfourne à moitié dans son sexe brûlant d'envie. Je vais et viens en elle comme dans du beurre tellement elle est trempée alors j'y vais de bon cœur à grands coups de queue dans sa chatte en feu, cette cochonne adore les grands coups de queue.

Ses copines se rapprochent et m'arrêtent dans ma chevauchée, elles m'enduisent le sexe de vaseline et le guident entre les fesses de leur amie. Très lentement pour ne pas lui faire mal mais fermement malgré tout, je m'enfonce en elle, ma queue rentre dans son cul bien à fond jusqu'aux couilles, ma grosse queue dure toute entière dans son petit trou. J'entreprends une lente sodomie. Humm quel pied, je sens la sève monter lentement. « Oh oui! Continue comme ça! C'est trop bon! Pénètre-moi le cul! Défonce-moi la rondelle! » Je la prends à grands coups de queue, elle crie de plaisir ou de douleur je ne saurai le dire mais je ne m'arrête pas.

La plus grande passe devant mes yeux le gode ceinture qu'elle va utiliser. Deux pénis de latex, un petit qu'elle s'est introduit, et un que je trouve énorme, qu'elle me fait sucer après avoir serré les sangles sur ses hanches. Elle enduit le gode de vaseline. Il est vraiment énorme j'implore sa pitié mais elle rigole et me répond qu'elle escompte me dilater le rectum pour m'apprendre à enculer avec douceur. Elle présente le gland du gode contre mon anus et force avec acharnement mais rien ne passe, sa copine se lève et vient l'aider à m'enculer, je les supplie mais rien n'y fait elles ont décidé!

L'une écarte mes fesses à deux mains, l'autre s'agrippe à mes hanches. Comprenant que je n'y échapperai pas, je pousse mon anus comme si je souhaitai déféquer, cela aide le passage et limite la douleur. Dès que le gland passe mon anus, je me sens terriblement dilaté, pour les aider, celle que j'étais en train d'enculer projette ses fesses contre moi faisant entrer ma queue dans son fondement. Tant bien que mal je finis par me décontracter et le gode par entrer. Elle m'oblige à faire des va-et-vient dans le cul de sa copine et ainsi elle me baise pendant que je baise sa copine. Je suis enculé jusqu'à l'orgasme de sa copine qui se caresse en léchant le sexe de la troisième.

Celle qui me baise attrape mes pinces à seins et tire dessus puis décide de les retirer. Mon dieu que c'est douloureux lorsque les pinces que l'on porte aux seins longtemps sont retirées. Ses mains caresse ma poitrine, en me faisant aller dans le cul de sa copine, elle m'oblige à faire de même sur le gode qui me pourfend. Ce qui doit arriver doit arriver, je sens mon plaisir monter, monter, monter et d'un seul coup, je jouis et me répands dans ce cul doux et chaud. Lorsqu'elles s'en rendent compte, elles sont folles de rage je comprends alors qu'il n'était pas prévu que j'éprouve du plaisir.

Celle que j'enculais se retourne aussitôt et me colle une gifle en me criant : « tu vas me le payer! » « Tu m'as souillée salaud », pour commencer tu vas nettoyer, joignant le geste à la parole, elle m'empoigne par les cheveux et me force à m'allonger sur le sol. Brusquement elle vient poser son cul sur mon visage, avec ses mains écarte ses fesses et pousse son anus contre ma bouche. Comme je ne comprends pas si je dois lécher ou me préparer à absorber autre chose, je résiste et tente d'échapper à une horrible séance scato que je ne veux pas vivre. De violents coups de cravache tombent sur mes cuisses et se rapprochent de mon sexe. Les filles écartent mes jambes par surprise et glissent quelque chose entre m'obligeant à garder les cuisses ouvertes. « Lèche » me hurle celle qui m'étouffe de son cul dégoulinant de sperme.

Les coups de cravache remontent lentement mais dangereusement vers mon sexe. Terrorisé, je lance ma langue dans son cul et le lèche en espérant que cela me permettra d'éviter la cravache sur les couilles et la queue. Elle s'arrête de frapper lorsque le lape mon sperme fortement parfumé et dégueulasse mais dépourvu de matière. Son cul est maintenant propre et très souple, au bout d'un moment elle se relève le regard toujours furieux.

"Comment tu as eu cette audace? Comment tu as eu cette AUDACE? T'ais-je donné la permission de jouir on va te faire gouter par une punition extrême mon chère Robert.

Je reçu une série de chaque des trois des claques sur mon visage étourdie ma tête balançais de tous coté, de vrais furie.

Prépare-toi mentalement car demain on t'amène à une soirée vraiment spéciale.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Bonjour, cette histoire est un calvaire à lire, tant de fautes d’orthographe, de grammaire, et de cohérence dans l’histoire. Au début, c’était bien, à présent le travail de relecture suite à la traduction n’est plus fait.

Bref, j’abandonne ce récit.

trouchardtrouchardil y a 6 mois

Je n'ai pas lu cette histoire, car le sujet ne m'intéresse pas.

Mais j'ai voulu connaître un peu le récit qui pouvait faire 23 chapitres en si peu de temps.

C'est une catastrophe, c'est bourré de fautes d'orthographes et de ponctuations. Je pense que ce n'est même pas relu étant donné que certaines phrases ne veulent rien dire.

Exemple : "Maitresse Jennifer m'avertie Robert qu'il sera l'esclave de trois de ses amie lesbienne et qui aime les hommes a l'occasion mais qu'il sera seul avec c'est femmes". Cette phrase est tellement mal construite qu'elle ne veut rien dire ( Jennifer avertiT qui ? Toi ou Robert ? qui aime les hommes ? Robert ou les trois amieS). Et puis, sept fautes d'orthographe dans une seule phrase c'est trop non ?

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