De Mari à Esclave Ch. 24

Informations sur Récit
De mari à esclave.
2.1k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 24 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Robert est amené le soir suivant par les trois filles de la veille dans un donjon immense un club public. Il se retrouve attaché en coulisses, jambes très écarté par une barre, ligoté et bâillonné en string en velours. On lui place une électrode sur le gland et une autre à la base du sexe et on remet le tout dans son string.

Le micro annonce cet esclave va être punie pour faute commise il est a vous tous amusez vous.

Soudain il entend le public bruyant qui l'attend. Il se débat, il ne veut plus mais il ne peut plus rien arrêter.

Il a très peur du public qui l'attend. Il voudrait stopper tout...trop tard!

La poulie le lève et il se retrouve au-dessus du public, trop haut pour qu'il le touche. Il découvre un large public enthousiaste, sadique et pro-actif. Surtout des filles. Il est exhibé en string au-dessus du monde.

Il descend lentement vers les mains tendues armées de fouets, de martinets, de cravaches. Les filles hurlent pendant la descente. Il veut se libérer, crier stop mais impossible.

Dès que ses jambes très écartées sont à portée, les martinets claquent surtout entre ses cuisses et à ras du string. Tous les instruments y passent: coups de cravaches très violents et très douloureux. Il a beau se contorsionner, Il reste à la merci de ces filles en folie. C'est insupportable et très humiliant.

Puis on le retourne: suspendu par les jambes, très écartées, mains ligotées dans le dos, la tête trois pieds au-dessus du sol. Il a beau essayer de se libérer, le public s'en donne à cœur joie: fouet très violent dans l'entrejambe présenté à tous. Pendant quinze minutes. Son string, ne protège que petit peu le sexe des coups.

Mais, à ras du string, c'est entrecuisses sont écarlates, striées et très sensibles...

Ensuite, on met en route le stimulateur au niveau cinq: la vibration ondulatoire tout au long du sexe est déjà très gênante. Cinq secondes de décharges électrique et cinq secondes de repos. C'est le public qui décide les montées de niveau.

De six à huit, les vibrations semblent arracher le sexe.

Plus Robert gesticule, plus les filles s'amusent et redoublent le fouet pendant les cinq secondes de repos.

À partir de dix, la douleur est très forte. La cadence est toujours de cinq secondes de décharge électrique et cinq secondes de repos pendant lequel le public peut caresser ou fouetter les jambes.

Onze, il voudrait hurler stop, puis douze, la douleur est très violente. Il essaie par toutes sortes de contorsions de se libérer. Le micro annonce que le niveau treize passe un cap et double quasi la puissance. Le public réclame le niveau treize et l'obtient.

La douleur aigüe qui cogne le gland en longues vibrations est quasi insupportable mais solidement ligoté et bâillonné, il ne peut rien faire pour stopper tout. Le public rit de ses contorsions de douleur en tous sens. C'est femmes sont frustré sadique un peut malade.

L'érection est énorme et le sexe sort alors spontanément du string à la grande joie du public. Les fouets et cravaches redoublent alors sur le sexe et les testicules. Il hurle toujours, du moins Il essaye.

Il ne sait plus ce qui est le plus douloureux: les cinq secondes de décharges électrique à treize ou les violents coups sur son sexe dilaté, énorme, rouge de coups et très sensible.

Au niveau quatorze, les cinq secondes de douleur provoquent une réaction de tout le corps. La cravache qui frappe toujours exactement au même endroit, très haut entre les cuisses, provoquent une douleur aigüe.

Enfin, le dessert, après au moins trente minutes de niveau quatorze en cinq, deux et une secondes, entrecoupés de coups de fouets et de cravache de plus en plus forts, le public, en hurlant d'excitation, veut lancer le niveau quinze!

Non! Un peu de repos cris Robert s v p! Non!

C'est fait!

La douleur est extraordinaire, insupportable, les vibrations profondes secouent violemment son sexe compressé dans une énorme érection réflexe... Il gesticule dans tous les sens, mais bâillonné et ligoté, rien ne peut arrêter le public! Les décharges à quinze donnent en plus des sensations très piquantes, comme si on perforait son sexe!

Les filles réclament de se faire pénétrer par lui, de force.

On le détache et il est de nouveau attaché sur un banc très large, mains et bras attachés au sol, très écartés, le sexe pointant exposé à tous. Une fille verse du vinaigre sur toutes ses rougeurs et ses stries une douleur fulgurante le fait hurler des muffff sorte du bâillon.

Le micro propose alors une nouveauté (pas prévue!) pour corser la suite en autorisant le public à planter cinq aiguilles dans le gland et deux dans chaque testicule. On ajoute deux électrodes à chaque testicule.

Les longues aiguilles de deux-a trois pouces de long sont tirées au sort dans le public et distribuées!

Il veut bouger, il cris arrêter cela: ouf c'est horrible de voir ces filles surexcitées, l'aiguille à la main.

La première se dirige vers lui, le sourire aux lèvres. Bien attacher serer il ne peut bouger.

La lente pénétration de la première aiguille est très longue et très douloureuse: pire encore que les plus fortes décharges électriques! Les filles se battent pour être la suivante. La deuxième aiguille dans le gland est encore plus profonde. La troisième ne parvient pas à pénétrer puis traverse très lentement un testicule.

La quatrième troue le prépuce et provoque une nouvelle forme de douleur, très piquante, fulgurante, puis traverse le sexe en diagonale. La cinquième troue de part en part l'autre testicule. La sixième est piquée par en-dessous et remonte jusqu'au gland. Enfin, la dernière, beaucoup plus grosse et plus longue, entre difficilement dans le gland dilaté et traverse toute la verge: Robert ses secousses sont très violentes, on resserre ses liens.

Il pense que tout se termine enfin mais surprise une fille enfile un préservatif au-dessus des aiguilles et les fait pénétrer un peu plus.

Le micro annonce alors que ce n'est pas fini et que la douleur électrique est beaucoup plus «piquante" par la conductivité des aiguilles!

Pour mieux en juger, on retire son bâillon. IL hurle alors toute sa douleur, il implore, il veut tout arrêter, mais la fille sur qui il a éjaculé entre ses fesses la veille dit ta punition loin d'être terminer avec un sourire sadique.

On annonce le niveau huit: Robert hurle de douleur, c'est insupportable. Plus il hurle, plus les filles rient.

Il a l'impression qu'on le pique avec des milliers d'aiguilles à chaque décharge. La douleur aux testicules est violente et fait vibrer tout son corps.

Les filles découpent et arrachent son string, montent sur lui et se font pénétrer à la cadence qui leur plait en savourant les violentes secousses de douleur. Ponctuées de ses hurlements.

Elles règlent la cadence à cinq, trois ou une seconde. Chaque fille reste environ quinze minutes.

A chaque changement de fille (et de préservatif), on augmente la puissance d'une unité.

Plus la pénétration est profonde, puis les aiguilles s'enfoncent dans le gland ou dans la verge et plus l'électricité va loin. Ses cris de douleur sont très longs, stop, stop!

Il se tord pour se libérer en hurlant mais ça excite encore plus les filles.

Leur jouissance ne lui laisse aucune chance de répit. Ses hurlements les amusent!

Toutes les filles inactives se régalent de sa douleur et font de nombreuses photos de son sexe, de son visage défiguré par la douleur ou quand il hurle.

Entre deux filles, d'autres le fouettent avec une violence inouïe: plus aucune limite.

Robert n'a jamais eu une aussi grande érection et les filles s'empalent tour à tour sur son sexe truffé d'aiguilles et secoué de décharges électriques qui suivent les aiguilles en brûlant!

Le passage au fameux treize lui a arraché des hurlements ininterrompus pendant que plusieurs filles en profitent. Réglé à une seconde de violente douleur toutes les deux secondes, les filles se régalent des pénétrations répétées. Ses hurlements sont toutes les secondes et bientôt soutenu par un applaudissement à chaque seconde!

Plus il ressent la douleur, plus il hurle, plus elles s'amusent et prennent leur plaisir.

C'est impossible, stop, il hurle, il crie, il gesticule: il reste au moins dix filles insatisfaites!

On monte de puissance jusqu'au quinze!

Outre le sexe qui semble arraché, la douleur des testicules est extraordinaire! Les aiguilles brûlent à chaque décharge, Robert n'en finis pas de hurler. Elles en ont marre et remettent le bâillon.

Tout le public est autour de lui et se délecte. Impossible de hurler ou de se libérer. Il est ligoté, les jambes de plus en plus écartées, l'entrejambe et le haut des cuisses rouges vif, irrités par les centaines de coups de fouet, de martinet et de cravache. Et, quand il pense que tout est fini, le Maître accorde encore trente minutes au public qui a trouvé un scion de canne à pêche: en l'arquant très fort et le lâchant, le scion claque sur le sexe ou les testicules.

Cinq secondes de fouet, puis cinq secondes de violentes décharges électriques.

Non! Non! Non! Il reste trente minutes: le plaisir sadique des filles en contemplation est à son comble! Elles fouettent à présent violemment le sexe et les testicules.

Ensuite, robert est retourné, toujours suspendu, mais sexe vers le bas.

Tout au long de la nuit, de nouvelles filles rentrent dans la salle et viennent le caresser partout, le sodomiser avec un bois, le fouetter à nouveau. Certaines lui offre quinze ou tente minutes d'électricité.

Il restera suspendu toute la nuit, exhibition forcée de tous ses organes aux manipulations de centaines de mains expertes et sadiques: coups de fouets, de cravaches, de lattes, de martinets, suspension aux testicules, pénétrations et bien-sûr décharges électriques.

L'une d'elle a une idée: elle arrache les électrodes du sexe et les remplacent par un long fil à souder, plié en deux, et présentant une extrémité ronde donc.

L'une est entrée dans le gland très profondément (dix pouces) et l'autre est insérée entre ses fesses et remonte loin, loin (douze pouces.) Il n'ose pas comprendre. On retire son bâillon.

Robert proteste, il hurle, il les injurie, il se débat dans tous les sens: personne n'en tient compte.

Avec horreur, Robert vois une fille coller les électrodes aux extrémités des fils insérés si loin.

Elle commence par le niveau cinq à tout hasard: c'est horrible, plus fort que le quinze avec aiguilles, la douleur aigüe traverse le gland, toute la verge, les testicules et remonte au plus profond jusqu'en mes entre ses deux fesses.

Elles lui ordonnent de se taire mais il continu a hurler et elles montent d'un niveau chaque fois.

Comme il est pendu par les bras et jambes, il ne peut bouger, gesticuler, se soulever en hurlant mais ne parviens pas à se libérer.

Chaque nouvel arrivant lui donne droit à une nouvelle séance. Mais ses hurlements n'arrêteront personne jusqu'au petit matin...

Cette nuit mémorable lui a provoqué une jouissance extraordinaire, la plus puissante de toute ma vie, même si parfois la douleur est très violente, insupportable et surtout si on ne peut rien arrêter malgré ses hurlements.

L'humiliation de dizaines d'yeux se délectant est insupportable. Les photos sont humiliantes.

La soirée est imprévisible, à la merci de chaque nouveau participant. (Sous contrôle)

Le stress, l'exhibition forcée, la violente douleur: un cocktail qu'il voudrait bien subir lors d'une prochaine soirée pour le plaisir de la Corporation des Maitresse Mondiales!

Lorsque il se réveille, Robert est allongé dans sa chambre, les poignets attachés avec des menottes de nuit, Maitresse Jennifer le lave au moyen d'un gant puis lui donne à boire directement au goulot d'une bouteille. Elle lui sourit, et lui dit bravo pour les deux soirées quelle bon esclave tu es Robert incroyable ta résistance me fascine, la tu va te reposer quelque jours mes deux esclaves vont prendre soin de toi quelque jours, ensuite quand tu seras remis je voudrais te parler voila bon repos robert, Maitresse Jennifer parti.

Il ferme ses yeux relaxe sont corps endolorie, soudait il sent des Mains le frotter partout même sur sa queue, il ouvre ses yeux il voit Natacha et Lyza les deux esclaves personnelles de Maitresse Jennifer. Elles son nus lui sourie, sans dire un mot elle ajoute sur le corps de robert une crème apaisante, Robert se laisse aller mes il sent les mains de la jolie et sensuelle Natacha qui le masturbe tranquillement, il jouie en douceur sa bouche de Natacha liche tout liche sa queue elle aime le gout du sperme, ensuite lui offre à boire ainsi que deux pilule.

Puis elle lui souhaite bonne nuit et parte doucement en éteignant la lumière Robert ferme les yeux il part dans les rêves.

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