De Mari à Esclave Ch. 22

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De mari à esclave.
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Récit n'a pas de balises

Partie 22 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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A son réveil Robert fut surpris de ne plus voir Maitresse Jennifer prêt de lui c'étais plutôt Maitresse Patricia avec son sourire qui le détache, et lui annonce aller lave toi vite et prépare tes valise tu pars quelque temps avec Maitresse Jennifer tu es prêté a sa Corporation.

Le voyage se fit rapidement avec leur avions priver,

L'avion fut identifié par le contrôle aérien de la Corporation des Maitresse mondiales et autorisé à se poser sur l'aéroport d'Extasia. L'appareil roula sur la piste jusqu'à son aire de parking où l'attendaient deux aérodynes. On ouvrit les portes et on nous fit sortir.

Avec le décalage horaire, il était près de deux heures du matin, Mais vite, ils furent embarqués dans l'aérodyne (Note de l'auteur). L'île ne faisait qu'une trentaine de kilomètres de long, aussi il ne fallut qu'une dizaine de minutes a l'aérodynes pour se rendre à l'autre extrémité de l'île, au Palais des Tourments.

On s'était inspiré des palais des contes de fées, précisément du château de Louis II de Bavière, pour construire le complexe qui ressemblait à un gigantesque château médiéval, en imitation de marbre blanc, d'où s'élevaient plusieurs hautes tours. L'engin se posa dans l'une des nombreuses cours intérieures du palais. La cour était illuminée par des torches et des braseros, ce qui contrastait de façon voulue avec le modernisme de l'appareil aérien qui venaient de se poser.

Note de l'auteur : Aérodyne est enfibie véhicule inventer par votre auteur milou mie avion mie voiture.

Encore une fois, on fit sortir, pour les conduire rapidement à travers un long couloir jusqu'à un grand dortoir. Maitresse Jennifer et deux assistantes qui l'accompagnaient détachèrent Robert, qui avaient toujours les mains attachées dans le dos depuis son départ du Domaine de Maitresse Patricia. Elle prit alors la parole, demanda de se coucher et de boire le verre d'eau qui se trouvait sur la tablette à coté du lit. Elle précisa aussi que le verre contenait un puissant somnifère, ce qui le ferait se caler sur le rythme diurne local. Enfin, elle ajouta qu'au matin, le dressage commencera. Maitresse Jennifer et les deux assistantes veillèrent à ce que Robert se couche après avoir bu le verre, lequel contenait en effet un narcotique, puisque rapidement, malgré son excitation, Robert s'endormi.

Maitresse Jennifer pu alors sortir de la pièce, contente que tout ce soit très bien passé jusque là. Car il arrivait parfois qu'un esclave tente de se rebeller dès le début, soit parce qu'ile était effrayée, soit parce qu'ile ne supportait pas d'être attachée et conduite comme un animal ; toujours est il que cela entraînait une punition avant l'heure, et Maitresse Jennifer avait horreur de ce genre d'imprévus. Mais cette fois, tout s'était déroulé selon le programme, et Maitresse Jennifer sourit avec une réelle satisfaction aux deux esclaves qui l'attendaient dans le couloir en portant ses bagages. Elle leur fit signe de la suivre, ce qu'elles firent, nues, perchées sur des talons de dix centimètres, portant les lourds effets de Maitresse Jennifer.

Elle se rendit dans la partie du château réservée aux appartements des cadres de la corporation, en l'occurrence une tour située pratiquement au bord de la mer. Les appartements étaient vastes, dotés de tout ce que la technologie pouvait apporter en matière de confort et un soin particulier avait été pris pour donner un style médiéval au mobilier et à la décoration. Maitresse Jennifer fit rapidement le tour des lieux, laissant les esclaves porter ses affaires dans la chambre. La salle de bains était de bonne taille, avec une baignoire prévue pour au moins trois personnes, le living vaste, permettant de recevoir une petite dizaine de convives, la large terrasse qui donnait sur la mer, d'où on avait une vue sans pareil sur le château en contrebas, l'île et l'océan.

Pour travailler, il y avait une salle de supplices tout équipée avec table de torture, chevalet et tous les instruments nécessaires et une petite pièce avec quatre lits superposés pour que ses esclaves puissent dormir, se reposer, se préparer. Elle jeta aussi un rapide coup d'œil dans la petite cuisine, la chambre d'amis et les divers espaces de rangement. Pour finir elle se laisser tomber sur le large lit à baldaquin, les bras écartés en croix.

Il devait être trois heures du matin localement, mais seulement treize heures à Montréal. Jennifer savait qu'elle devrait dormir un peu, que des somnifères l'aideraient car elle devait se réveiller à six heures et la journée serait longue. Mais elle n'avait pas sommeil, évidemment, et voir les deux esclaves qui attendaient ses ordres au pied du lit n'était pas pour l'inciter à se coucher.

Au réveil Robert est escorté par les deux esclaves justes en string. Maitresse Jennifer se lève, lentement s'approche et viens se placer devant Robert, sa jupe de cuir se rapproche de mon visage. D'une main, une des deux esclaves Natasha la soulève et aperçois la dentelle du haut de ses bas, puis les porte-jarretelles, et enfin la culotte.

- Bonne idée Natasha, j'ai envie qu'il me montre comment il lèche.

- Bien sûr, Natasha sors de la pièce. Pendant ce temps, Maitresse Jennifer frotte son sexe sur le visage de Robert. Elle remonte entièrement sa jupe au-dessus de la taille, et lève légèrement une jambe pour qu'il puisse mieux accéder à cet objet de tous les désirs à travers la soie et les dentelles de sa culotte. Alors que je sors ma langue, Elle recule.

- Non! Attend, et tu vas faire ce qu'on te dit de faire. Et uniquement ce qu'on te dit de faire!

Sur ces mots qui marquent ma première frustration, Natacha revient. Elle tient dans sa main un appareil photo.

- Lèche là.

Ces mots résonnent dans sa tête. Il tire sur ses bras pour approcher son visage le plus possible du sexe encore protégé par le fin tissu. Maitresse Jennifer se recule imperceptiblement, l'obligeant à ouvrir la bouche et lancer sa langue le plus loin possible pour accéder au lieu de tous les plaisirs. Lorsque sa langue entre en contact avec la soie, le premier flash inonde la pièce tel un éclair. Il restera des preuves de ces actions. Peut-être seront-ils nombreux ceux qui le verront ainsi attaché.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, et après de nombreuses photos, sa langue commence à se faire douloureusement sentir. Mais il sent la respiration de Maitresse Jennifer s'accélérer. Le bout de tissu est maintenant trempé, tant par les sécrétions féminines de celle qui me surplombe que par sa salive. Natacha tire sur le tissu pour le laisser enfin accéder à la chair brûlante du sexe de Maitresse Jennifer. Robert envoie sa langue joué avec le bouton de Maitresse Jennifer, puis pénètre ce sexe qui l'aspire. Une dernière photo prise par-dessous, entre les fesses de Maitresse Jennifer, et Natacha s'éloigne.

Natacha revins dit a robert de lever les bras ensuite l'attache, avec un palan électrique il se sent se soulever au bout des orteils.

Natacha nue passe sous lui à quatre pattes et entreprend de lui faire une torride fellation. Volontaires ou non peu m'importe, Robert s'abandonne à sa bouche gourmande.

Une lame de fond l'emporte au paradis des plaisirs. Des salves de sperme fusent, comme des orgasmes en rafale qui l'accablent jusqu'à son total épuisement. Elle boit son plaisir comme un bébé accablé par la faim et qui tête sa mère. Il se meurt!

Lorsque la source est tarie, elle s'approche de lui, sa bouche cherche la sienne et y pose en un baiser brûlant. Leurs haleines se mêlent, leurs langues s'entremêlent. Robert est tellement dans les vapes qu'il partage ce baiser comme sur un nuage.

Lorsque Robert ouvre les yeux, tout autour de lui est sombre. Il a beau quérir le réconfort d'un objet, la pénombre atout effacé et

À seule demeure la réalité de son cauchemar.

Heureusement lui reste-t- il encore l'ouïe comme vaillant serviteur de ses sens.

Et celle-ci lui dicte la présence d'un lac ou d'une mer en bordure de la maison où il est retenu prisonnier dans le sous-sol, maintenu debout par des cordes qui lient ses poignets à une poutre et complètement nu.

Son corps porte des zébrures de coup de fouet et à force de pleurer ses larmes ont creusé un sillon sur son visage. Son épuisement est grand, profond même. Il se remémore Maitresse Jennifer est parti depuis quelque jour et la laisser aux mains de une amie Marie Claude. Bientôt une lueur se dessine à nouveau en haut de l'escalier, une lueur qu'il connaît pour ce qu'elle lui inspire de panique : il entend quelqu'un descendre, les pas se font plus proches et bientôt il voit apparaître Marie-Claude qu'il sait son bourreau depuis un nombre indéterminé de jours. Entre la longueur de ses nuits et la petitesse de ses jours seules ces quelques lueurs coutumières lui permettent de noter le temps.

A chaque fois Marie- Claude recommence le même cinéma : elle arrive devant Robert, allume deux bougies qu'elle repose de chaque coté de lui à équidistance et commence à le caresser ; ensuite elle revient face à lui et l'oblige à la regarder se déshabiller lentement, très lentement même, sous peine de coups de fouet. Elle enlève son chandail pour commencer, permettant à Robert de voir ses seins déborder un peu de son soutien-gorge, fait glisser sa jupe sur le plancher et se retrouve alors en sous-vêtements avec des bas à mi-cuisses. Elle bouge un peu, frétille et se caresse tout en regardant la queue de Robert grandir d'excitation jusqu'à qu'elle soit bien gonflée et pointe vers elle.

Puis elle s'approche de Robert et lui murmure à l'oreille:

- Je t'ai déjà averti, je te Détacherai quand ton sexe arrêtera de pointer impoliment sur moi lorsque je me mets nue devant toi, pas avant. Alors apprend à le contrôler. Tu mérite maintenant d'être puni!

Robert a un bâillon dans la bouche, il peut seulement bouger la tête pour signaler son approbation. Marie-Claude adore tant exciter les hommes : de savoir que leur pénis se dresse à sa vue, à la vue de ses fesses, à la vue de ses jambes et de ses seins qui pendouillent, ça la met dans un de ces états! « Hm! Combien ont dû se masturber en rêvant de mon cul », ne peut-elle s'empêcher de penser. A ce stade la jeune femme n'est pas encore nue mais çà vient.

Bientôt elle recule un peu puis détache son soutien-gorge. Robert voit alors ses seins pendre librement avec leurs tétines bien dures et qui pointent. Marie-Claude les caresse tout en regardant

Robert un petit rictus pendu aux lèvres:

"Tu aimerais les sucer, hein, pervers!"

Ensuite Marie-Claude fait glisser sa culotte sur le plancher là où l'attendait sa jupe et commence à se frotter elle-même savamment les fesses avant de rejoindre Robert dans son excitation et de se frotter tout contre lui pour qu'il la sente toute chaude et excitée. Elle se met alors à genoux devant lui et vient toucher le bout de son gland avec une langue autant avide qu'experte. Langue qu'elle fait descendre le long de sa queue jusqu'à ses couilles et ensuite remonter tout le long jusqu'à rejoindre à nouveau son gland qu'elle prend cette fois au complet dans sa bouche.

Marie-Claude est une suceuse hors-paire!! Malheureusement, elle le sait et joue de son savoir...

Depuis le début Marie-Claude Branle et suce Robert sans lui permettre d'arriver à l'éjaculation. Lorsqu'elle le sent sur le point de venir en elle, elle tient fermement son sexe de manière à ce que rien n'en sorte et elle se masturbe en même temps de façons à augmenter encore son supplice. Normalement Marie-Claude regarde sa victime satisfaite tout en se rhabillant avant de la plonger à nouveau dans le noir. Mais cette fois sa chance a tourné.

Maitresse Jennifer arrive et cris Marie-Claude que fais tu avec robert prise sur le fait dans une position indécente avec une queue dans la bouche, Marie-Claude est trop surprise pour réagir.

Je t'avais demandé de prendre soin de lui pas de le faire souffrir, alors comme ca tu veux t'amuser attend tu va voir tu a jamais fais l'amour a une femme on va y voir.

- Aidez-moi Maitresse Jennifer, je vous en prie!!

Marie-Claude répond par le mutisme et quelques traits de mépris émergent de son fort plaisant visage qui demeure cependant plus fermé que jamais. Maitresse Jennifer libère alors Robert qui, toujours nu et excité, lui murmure à l'oreille :

Robert se lève alors et vient se placer près de Marie-Claude qui est étendue nue par terre, face contre terre, offrant une fois encore ses fesses en primeur au regard. Il la relève à genoux et lui fait lever les bras au-dessus de la tête.

- Salaud, tu vas le payer! S'énerve Marie-Claude

Maitresse Jennifer amusée de trouver sa proie enfin au milieu de ses filets s'excite de la situation et se déshabille à son tour. Tous maintenant sont nus.

Maitresse Jennifer se couche sur le dos afin de poser sa tête entre les cuisses de Marie-Claude.

- Qu'est-ce que tu fais Jennifer! Non pas ça non... pas avec les femmes.

Mais les refus de Marie-Claude se transforment bientôt en soupirs et des petits grognements de plaisir fusent de sa bouche comme autant de chatouillements internes. Marie-Claude oublie totalement dans quelle position grotesque elle se trouve, le septième ciel l'accueille au milieu des nuages roses de l'extase.

Robert la regarde alors du fiel dans les yeux et lui prend la tête à deux mains :

- Suce-moi!

Marie-Claude refuse dans un premier temps mais sous l'effet du plaisir elle délie la bouche et Robert en profite pour y placer son sexe en rut, tout en lui tenant le nez pour l'obliger à s'activer.

Marie-Claude lance des cris de jouissance étouffés par le sexe de Robert qui très vite part en extase dans un grognement ravi.

Tous trois remonte Maitresse Jennifer m'ordonne de aller me reposer va Robert.

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