De Mari à Esclave Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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"Non, pas encore, tes boules peuvent encore servir, mais crois-moi je te les prendrai quand j'en aurai envie. Elles sont à moi, comme tu es à moi. Tu m'as comprise?" hurla-telle.

"Oui Maîtresse Angela," dis-je en tremblant.

"Debout," ordonna-telle. Je me remis difficilement sur mes pieds en titubant, et me tint debout devant elle.

"Tes mains," commanda-telle. Je lui tendis mes poignets et elle y passa des menottes. Puis elle défit la corde de mes testicules et en lança une extrémité autour de la poutre au-dessus de moi. Elle fit ensuite un nœud autour de la chaîne reliant mes deux menottes, tira sur l'autre extrémité de la corde, ce qui me fit lever les bras pour finalement me retrouver sur la pointe des pieds.

Elle attacha le bout de la corde qu'elle tenait en main autour de l'anneau fixé au sol, prit une barre qu'elle fixa autour de mes pieds, me forçant à les écarter de presque deux pieds. Je me retrouvai alors pendu par les bras, ne touchant maintenant plus terre avec mes jambes écartées. Enfin elle attacha une ficelle autour de mes testicules, puis à l'autre bout accrocha un seau, qui se mit à pendre en oscillant entre mes jambes. Quand Angela en eut terminé, elle remit son manteau.

"Une amie viendra te voir quelques fois dans la journée, elle te donnera de l'eau, et elle commencera à guérir ton problème d'éjaculation précoce. Je dois aller au boulot, on ne peut pas rester à s'amuser comme ça tous les deux pendant toute la journée, il faut bien que quelqu'un aille gagner sa croûte ici. Je te verrai ce soir," puis elle me lança un baiser et sortit de l'écurie dans la fraîcheur de cette matinée de printemps.

Pendant une heure je me balançai ainsi dans le froid et l'obscurité, respirant l'odeur de moisi qui régnait dans l'écurie. De la douleur irradiait de toutes les parties de mon corps. Mais, à travers cette épreuve, je gardais ancrée en moi l'image de Mélanie dans sa tenue bleu marine sortant avec un autre homme, et cette pensée me faisait mal plus que tout le reste.

J'entendis arriver la femme avant de la voir, entendant ses talons claquer sur le ciment de l'allée puis sur le gravier. Il faisait sombre dans l'écurie, mais mes yeux s'étaient accoutumés à la pénombre : elle avait une allure semblable à Angela, quoique plus petite et moins forte, mais quelque chose clochait dans son apparence, même si je n'aurais pu dire quoi. Elle m'apporta de l'eau et me la fit couler le long de ma gorge. Elle ne dit pas un mot. Elle portait de longs cheveux très blonds, tombant sur ses épaules et couvrant en partie son visage. J'avais si soif, que je bus plus d'un litre avant que je sois désaltéré.

"Merci," murmurai-je, mais elle ne répondit pas. Puis elle prit une de ces ignobles cagoules en cuir et me l'enfila de force sur la tête. Elle ferma les ouvertures prévues pour les yeux, de façon à ce que je n'ai plus que mes oreilles et ma bouche en contact avec l'extérieur. Elle me mit une paille dans la bouche, et installa une bouteille dans un sac qu'elle me passa autour de l'épaule : avec la paille je pus enfin complètement étancher ma soif en buvant à mon rythme. Puis elle se mit à inspecter mes blessures, en portant une attention particulière à mon sexe meurtri.

Elle le manipula avec douceur et bientôt, malgré tout ce qui était en train de m'arriver, je commençai à avoir une érection. J'avais des coupures sur le pénis, et au fur et à mesure qu'elle me masturbait, la douleur s'amplifiait. Je me mis à éjaculer après quelques minutes de ce traitement, mais elle ne s'arrêta pas pour autant. Mon membre était redevenu flasque, cependant son travail de masturbation ne tarda pas à me procurer une nouvelle érection et petit à petit elle m'amena à une nouvelle éjaculation. Elle ne s'arrêtait toujours pas! Elle me masturba quatre fois en tout avant de s'arrêter enfin et partir de l'écurie sans un mot, me laissant seul à nouveau.

Je me retrouvai pendu par les bras, me balançant dans l'obscurité pendant ce qui me sembla être une éternité, mais malgré toute la douleur physique que je pouvais éprouver, je ne pouvais m'empêcher de penser à cette image de Mélanie fréquentant un autre homme. Je bus beaucoup d'eau afin de calmer ma faim grandissante, ce qui me donna envie d'uriner : je dus me résoudre à le faire dans le seau qui pendait en-dessous de moi. Plus tard, sans que je puisse dire au bout de combien de temps, la mystérieuse femme blonde revint pour remplir d'eau ma bouteille et me masturber à nouveau. Par contre elle ne vida pas le seau entre mes jambes, qui commençait à devenir assez lourd.

De nouveau elle me masturba sans ménagement, m'amenant à une nouvelle érection. Mon pénis et mes testicules me faisaient souffrir plus que tout maintenant, mais la femme ne s'arrêta pas dans son labeur, me provoquant d'intenses douleurs. Je me mis à crier si fort qu'elle ferma l'ouverture de ma bouche, puis continua de plus belle. Encore une fois elle m'amena à quatre éjaculations. Elle me Trayas ainsi puis me laissa à nouveau dans le noir, mais heureusement avant de partir elle me libéra la bouche et me remit la paille.

Je restais suspendu ainsi pendant des heures. Le seau entre mes jambes s'alourdissait au fur et à mesure que j'urinais dedans, et la douleur lancinante que ce poids entraînait occupait tout mon esprit à présent. Je voulais que tout cela s'arrête, je voulais rentrer chez moi.

Puis Angela revint et me retira ma cagoule.

"Pitié Maîtresse Angela, pitié, arrêtez ça, je vous en supplie."

"Mais je n'ai même pas commencé! On est mercredi soir, et tu vas rester ici dans cette écurie jusqu'à samedi où tu m'aideras à préparer la soirée. Ensuite, Mélanie veut que je te garde encore quelques jours. Tu pourrais bien rester encore une semaine ou même plus."

Elle libéra la corde qui me maintenait en l'air, et je me retrouvai ainsi debout, mais mes pieds entravés par la barre d'écartement me firent tomber à plat ventre. Je me remis à pleurer.

"Épargne-moi tes larmes, ça ne marche pas avec moi et de toute manière j'espère te voir pleurer réellement un paquet de fois avant la fin de la semaine."

"Avez-vous vu Mélanie?" lui demandai-je.

"Bien sûr que je l'ai vue, je bosse avec elle. La dernière fois que je l'ai aperçue, elle montait dans la voiture de son collègue Stéphane, et je pense qu'ils étaient partis pour une soirée très chaude."

"Arrêtez, je vous en prie."

Elle se tint debout devant moi et éclata de rire.

"Tu pourrais bien rester avec moi pour plus de temps que tu ne le croies!"

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1 Commentaires
ChrisstefChrisstefil y a 7 mois

L arrivée d angela amène un core encore plus noire pour l homme qui devient meem plus une chose..le supplice du seau est assurément pervers et exceptionnel à lire

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