De Mari à Esclave Ch. 08

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De mari à esclave.
2.1k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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Je n'en étais qu'au début de mes tourments avec Angela.

Je fus maintenu suspendu dans l'écurie pendant deux jours entiers et trois nouvelles nuits. Je portais la plupart du temps la cagoule en cuir, et je ne pouvais rien voir et quasiment rien entendre. Je n'étais nourri que d'eau. La femme blonde venait régulièrement changer l'eau de ma bouteille et me masturbait avec rudesse pour obtenir jusqu'à huit éjaculations par jour. C'était l'enfer : je lui hurlais de me laisser tranquille, mais elle ne répondait jamais et effectuait sa besogne en silence. L'eau que je buvais commença à avoir un goût désagréable, puis devint franchement infecte : il m'apparut avec horreur que si cette eau ressemblait maintenant à de l'urine, c'est parce que c'en était probablement.

Angela venait tous les soirs et m'enlevait la cagoule pendant quelques minutes, ce qui lui permettait de me tenir informé des progrès de la relation entre ma femme et son nouvel amant.

Puis le vendredi soir elle arriva et me remit sur le sol. Elle me retira ma cagoule.

Je m'effondrai devant elle.

"Pitié Maîtresse Angela. Je ferai tout ce que vous voudrez, tout! Je vous en supplie, arrêtez ça!" sanglotai-je à ses pieds.

"Mais ce n'est qu'un début, juste un petit aperçu de ce qui t'attend réellement," m'annonça-telle. Elle se tenait debout au-dessus de moi, ses mains sur les hanches, les jambes écartées. Son manteau de cuir noir était déboutonné, laissant apparaître une chemise de satin gris et une jupe assortie. Je l'implorai en baisant ses cuissardes noires, la suppliant de me relâcher. Elle me regarda ainsi faire pendant plusieurs minutes, savourant visiblement le spectacle que je lui offrais, constatant les premiers résultats de son dressage. Elle s'accroupit devant moi, tirant ma tête en arrière par les cheveux.

"Pitié Maîtresse Angela, je ferai n'importe quoi! Tout ce que vous voulez, mais par pitié arrêtez!" dis-je en pleurant.

"Et qu'est-ce que tu pourrais faire pour moi que je ne saurais obtenir de toute manière? Tu n'as pas d'argent, je suis plus forte et plus intelligente que toi, donc tu n'as aucun moyen de m'échapper. Pour moi ta seule utilité est d'être devenue maintenant mon objet de torture et de tourments, jusqu'à ce que je décide qu'il en soit autrement, donc de toute manière tu feras tout ce que je t'ordonnerai. Tu vas souffrir plus que tous les autres esclaves que j'ai pu dresser par le passé."

Elle me fixa du regard : "crois-moi mon petit, tu viens à peine de commencer ton programme. Une obéissance absolue et sans retenue, voilà ce que j'exige, et quand j'en aurai fini avec toi, tu ne te reconnaîtras même pas toi-même. Tu as déjà commencé à boire mon urine, pas encore à l'état pur mais cela va vite venir, et je t'assure que tu me remercieras pour chacune des gouttes que tu auras l'honneur d'avaler. Après nous passerons à quelque chose de plus consistant à avaler pour toi, si tu vois ce que je veux dire..." Elle me sourit puis relâcha mes cheveux.

"Une obéissance totale et absolue, je n'attends rien de moins, et je n'accepterais rien de moins. Tu m'as compris, esclave Robert?"

"Oui Maîtresse Angela je vous obéirai..."

"Oh, bien sûr que tu m'obéiras, mais tu dois subir d'autres souffrances pendant quelques jours avant que j'estime que tu sois parfaitement dressé."

Ayant dit cela, elle me remit ma cagoule, retira sur la corde et me suspendit à nouveau. Comme si cela ne suffisait pas elle me frappa ensuite avec le fouet. Je reçus ainsi dix coups le long de mon dos, sur mes fesses et le haut de mes jambes : je me remis à saigner à plusieurs endroits. Je hurlai sans pouvoir me retenir, c'était plus que ce que j'étais capable d'endurer.

Un peu plus tard, quelqu'un, certainement la silencieuse femme blonde, revint remplir ma bouteille et me masturba avec rudesse de nouveau quatre fois. Le saut attaché à mes testicules était maintenant rempli à moitié : il ne se vidait pas, car Angela le détachait à chaque fois avant de baisser ma corde, et me le remettait avant de partir, lorsque je me retrouvais de nouveau suspendu. Le récipient oscillait entre mes jambes et il commençait à me faire souffrir plus que tout.

J'étais à l'agonie, avec toutes les zébrures couvrant mon corps à la suite des nombreuses séances de flagellation que j'avais dû endurer, mon sexe irrité jusqu'au sang par les masturbations sauvages de cette maudite blonde. Mes épaules sortaient de leur articulation à force d'être suspendu, et le seau étirait mon scrotum millimètre par millimètre au fur et à mesure que les heures passaient. Je n'avais pas mangé depuis quatre jours, je n'avais bu que de l'urine diluée, je n'avais pas pu dormir non plus durant toute cette période : je ne voyais aucune issue à ma situation, et les tourments que je subissais me semblait ne jamais devoir cesser.

Le samedi matin arriva lentement, et encagoulé je devinai que quelqu'un était entré dans l'écurie. Je n'avais aucune idée de qui cela pouvait être, mais je sentis que l'on détachait le seau de mes testicules, ce qui en soi me causa déjà une douleur considérable. La corde me suspendant fut abaissée, et je tombai à genoux puis à terre, à plat ventre, car la barre d'écartement m'empêchait de rester agenouillé. Je sentis qu'on accrochait une laisse à l'anneau de mon collier, et on me remit sur pied pour me pousser au-dehors.

Je titubai, essayant d'avancer en sautillant : j'étais toujours aveuglé par la cagoule, et il m'était difficile d'avancer sans trébucher avec ma barre d'écartement encore aux pieds. L'air du matin était frais dehors, mais je le respirai avec plaisir après l'odeur de moisi régnant dans l'écurie. Puis on me fit m'arrêter et je restai ainsi vacillant, nu et les poignets menottés.

Tout à coup je reçus un jet d'eau, probablement projeté par un tuyau d'arrosage. L'eau glacée me donna comme un coup de fouet, le jet puissant me faisant trébucher et manquant de me faire tomber. Le jet était dirigé alternativement vers le haut et le bas de mon corps, se concentrant sur mon aine. Puis je fus brossé sans ménagement, ce qui me fit crier de douleur, car mes blessures me faisaient souffrir. Je sentis de nouveau le jet, et je supposai que l'on me rinçait. Enfin on me poussa sur le chemin de gravier, et l'on me fit m'arrêter un peu plus loin. Je sentis que l'on détachait de mes chevilles la barre d'écartement, puis également mes menottes. Je reçus une serviette entre les mains, et je compris que je devais m'essuyer. Une pression sur la tête me fit mettre à genoux, et je restai dans cette position, toujours aveuglé par la cagoule. Après quelques minutes celle-ci me fut retirée : je me retrouvai agenouillé devant Angela.

"Déjà samedi, mon petit," m'informa-telle. Elle était vêtue de façon décontractée, en Jeans et sweat-shirt.

"Nous avons une journée chargée. Il y a une soirée chez moi ce soir. Mélanie viendra avec son nouvel ami, Sandy avec son esclave et quelques autres amies avec leurs esclaves ou leurs amants, suivant l'humeur. Je veux que tu aide mon esclave à préparer la réception. Elle saura te dire ce qu'il y a à faire. Ne me déçois pas, esclave, où bien ce sera ton retour à l'écurie!"

"Je ne vous décevrai pas Maîtresse Angela, je vous le jure!"

Elle sourit. Elle me terrifiait et elle le savait parfaitement.

"C'est bien mon garçon," dit-elle presque gentiment. Puis elle prit la laisse et me conduisit tel un chien vers sa maison.

Elle m'amena dans la cuisine où la femme blonde était occupée à éplucher des pommes de terre au-dessus de l'évier.

"Esclave!" appela Angela, et la mystérieuse blonde se retourna pour se mettre de suite à genoux, ainsi qu'il était requis quand Angela entrait dans une pièce.

"Je veux que l'esclave de Mélanie et toi prépariez ensemble la soirée, partagez la tâche en deux, faites en sorte que tout ce qui doit être fait le soit, et correctement! Je ne veux pas entendre d'excuses pour ne pas être prêt à temps. Me suis-je bien fait comprendre?" demanda-telle. La menace voilée n'échappa à aucun de nous deux.

Nous répondîmes à l'unisson : "Oui Maîtresse Angela,"

"Alors allez-y."

Angela quitta la pièce, et je me retrouvai nu, agenouillé à côté de l'entrée. La femme blonde se remit sur ses pieds et s'approcha de moi, et je m'aperçus que ce n'était pas une femme, mais un homme travesti!

Nous nous regardâmes.

"Tu as besoin de quelques vêtements," dit-il, et il me donna un tablier qui était suspendu derrière la porte. Pendant trois jours cette enfoirée m'avait trait comme une vache, mais le voyant maintenant je comprenais qu'il était autant effrayé par Angela que moi, et si elle m'avait demandé la même chose je suis sûr que j'aurais obéi de la même manière. Il me donna ensuite une liste des choses qu'Angela voulait voir faire avant cinq heures de l'après-midi : cela nous laissait neuf heures devant nous.

Il y avait tout un tas de plats à préparer, beaucoup de ménage, et il fallait aménager les pièces en modifiant la disposition des meubles. Nous avions du pain sur la planche. Cependant j'étais affamé et j'avais besoin de manger avant de commencer.

Nous n'aperçûmes pratiquement pas Angela pendant la matinée, pendant que son esclave et moi pelions les pommes de terre, préparions les légumes, cuisinions différents ingrédients. Nous enlevâmes les meubles d'une pièce, et réorganisâmes d'autres pièces, nous fîmes les lits, cirâmes les parquets et passâmes l'aspirateur de fond en comble. Nous préparâmes les desserts, et essuyâmes les bouteilles de vin après les avoir prises dans le cellier.

Après un rapide déjeuner nous préparâmes différentes salades : aux pommes de terre, à la grecque, composées. La viande pour le barbecue fut mise à décongeler puis assaisonnée, nous fîmes des sandwiches, puis nous préparâmes les tables. Nous coupâmes le bois pour les différentes cheminées de la maison et le barbecue.

Vers size heures et trente Angela réapparut alors que nous mettions la touche finale en décorant les tables de la salle à manger. Je me mis instantanément à genoux.

"Vous vous êtes très bien débrouillés tous les deux, je suis très impressionnée!" dit-elle pendant que je restais agenouillé devant elle, fixant le sol devant ses pieds.

"Merci Maîtresse Angela." En toute honnêteté j'avais apprécié le défi, et bien que nous n'ayons que rarement parlé entre son esclave et moi, je sentais qu'il en avait également retiré de la satisfaction. Elle nous conduisit autour de la maison, où nous devions suspendre des luminaires, et cela nous prit encore quelques minutes avant que tout ne soit fini.

"Bien, esclave Robert, viens avec moi, je vais finir de te préparer. Toi!" dit-elle en s'adressant à son mari, "vas te préparer et sois en bas à dix huit heures et trente. Tu m'as comprise, espèce d'abruti?"

"Oui Maîtresse Angela," répondit-il craintivement.

Elle m'emmena vers sa chambre et m'ordonna d'aller prendre une douche.

Elle me donna ensuite une crème épilatoire que je dus passer sur tout le corps, ce qui fit partir tous les poils qui avaient repoussé ces derniers jours. Je m'essuyai et Angela me parfuma avec un spray, puis elle s'installa pour me maquiller : elle commença par m'épiler mes sourcils, et m'appliqua un masque sur le visage qui me donna rapidement un teint bronzé.

Elle passa un peu plus de temps sur mes yeux, remplaçant mes sourcils disparus par de fines lignes de maquillage, m'appliqua du mascara sur les cils et souligna mes yeux avec un eyeliner. Elle poudra mes joues et me passa du rouge à lèvres : elle paraissait satisfaite du résultat d'ensemble. Elle me posa enfin une perruque châtain foncé et me brossa. Quand elle en eut fini avec moi elle tourna la chaise vers le miroir : j'étais incapable de me reconnaître.

Elle me tendit ensuite ma ceinture de chasteté, que j'avais presque finie par oublier, et je dus l'enfiler. Elle me donna ensuite une petite culotte noire, lacée sur les côtés, un soutien-gorge et un porte-jarretelles assortis. Une fois que j'eus mis le soutien-gorge, elle bourra les balconnets avec quelques chaussettes.

"Un petit traitement aux hormones te permettra bientôt de remplir tout ça," me dit-elle comme si cela me posait un problème d'avoir des seins plats. Elle me passa une paire de bas en nylon noir, ainsi qu'une jupe noire très simple, avec un tablier blanc. Je me retrouvai debout devant le grand miroir et secouai la tête : j'étais devenu très sexy!

"Et c'est ainsi que tu dois toujours paraître quand tu es chez moi, toute autre tenue te mènera directement à l'écurie. On se comprend bien?"

"Oui Maîtresse Angela," répondis-je, abasourdi par les transformations qu'elle était en train de m'imposer. Elle me mit enfin du vernis sur les ongles et une petite coiffe sur la tête, et je fus prêt à commencer mon service.

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3 Commentaires
meo75meo75il y a 6 mois

Une réécriture aux détails près de l'esclave de Marie... Plagiat ?

ChrisstefChrisstefil y a 6 mois

La série devient de plus en plus pressante quand à la suite à donner à Robert.. je suis totalement addicte à ce qui ça lui arriver ..braco

Assas78Assas78il y a 6 mois

Vous devriez finir votre texte par :

et je fus prête ...

à la place de "je fus prêt"

puisque elle est devenue une esclave soumise

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