De Maître à Esclave Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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A vrai dire, Isabelle n'avait pas de souci à se faire, j'avais décidé d'aller au bout de la démarche. Franchement la vie que je menais n'avait pas un grand sens et je devais m'avouer que je m'ennuyais à mourir. Et justement j'avais le sentiment de vivre depuis que j'avais croisé ce pseudo. C'était difficile, stressant, mais je vivais. L'impression était que tout m'avait préparé à vivre cet instant, à entrer dans ce rôle qui me tentait depuis ma plus tendre enfance, que je n'avais ni su, ni pu prendre. J'avais senti qu'Isabelle serait ma dernière soumise, j'étais arrivé au bout de ce que je pouvais donner comme dominant. Je l'aimais tendrement car beaucoup de choses en elle me parlaient, résonnaient, je trouvais sa personnalité fabuleuse et son physique craquant. Mais j'avais besoin d'une poigne, d'une volonté supérieure, de souffrir encore et encore et enfin expier d'être ce que j'étais. C'était mon Karma et curieusement il me procurait énormément d'excitation sexuelle. D'autant que je n'avais pas joui depuis si longtemps. J'étais fier de cela, comme de tenir le coup malgré le sommeil difficile qui m'avait déjà fait perdre pas mal de poids, c'était au moins cela.

Elle connaissait mon physique donc je ne craignais pas trop un rejet, mais je ne savais rien d'elle. Peut-être serait-elle repoussante? L'expérience m'avait appris que je l'aurais senti, à son manque d'assurance, à des précautions oratoires. Là elle ne doutait en rien d'elle-même cela se sentait très bien. Si elle n'était pas dans les canons, il était certain qu'elle devait dégager une aura très forte, je n'en doutais guère.

La suite était superbe, un pincement au cœur en pensant au prix qu'elle avait dû payer avec ma carte bancaire. Je me sentais coupable vis-à-vis d'Isabelle et c'est sans doute à ce moment-là que j'ai hésité le plus. Je n'arrivais pas à me la chasser de la tête. Je pris dans le mini bar une bouteille de vodka, qui me fit du bien et me permis de me détendre. La cagoule noire, menaçante, était sur le lit, comme les deux menottes, ouvertes et sans clé. Une fois les mains attachées, j'étais à sa merci. Ou à celle de la femme de chambre! Quelle situation délicieusement humiliante à laquelle je ne pourrais rien.

Mais j'étais certain que bien pire m'attendait, et mon appréhension était maintenant de ne pas être à la hauteur. J'avais rencontré déjà maintes femmes dominantes, sans jamais vraiment céder, mais le contexte cette fois-ci était bien différent, j'étais sous contrôle et ne voyais pas bien comment m'en sortir si je trouvais la situation désagréable. Mettre la cagoule ne fut pas simple, délacer le système de fermeture, l'enfiler, caler mes oreilles, ma bouche avec le petit plug gonflant que j'enserrai entre mes dents, positionner le nez sur les trous de respiration. J'étais dans le noir complet, et les bruits étaient très fortement assourdis. Je tâtonnais pour serrer le lacet comme un corset autour de ma tête. La tension devenait très forte, tout comme mon excitation. Mon sexe essayait de durcir dans la cage que j'avais posée en arrivant, mais ne pouvait que se faire sur les pointes de dressage que j'avais enfoncées à moitié. C'était à la fois douloureux et très frustrant de ne pouvoir laisser libre court à ma pleine érection. J'avais mis en place également la chaîne de taille qui allait avec la cage et qui la plaquait contre mon pubis, écrasant mes couilles et mon sexe. Si je ne pouvais pas bander, la sensation présente en permanence me rendait encore plus excité. Je crois que j'aurai pu jouir d'un souffle sur mon pénis.

Je me souvins des instructions et serrai bien fort le harnais. Ma tête était totalement moulée, et l'image que je devais renvoyer était très excitante. De toute façon, tout m'excitait. Je n'étais d'un coup plus rien, je le réalisais bien et je comprenais l'intérêt de ce dispositif. Il me restait à gonfler le bâillon gode. J'hésitais tellement cela me paniquait. Je respirais certes bien par le nez, mais être envahi ainsi m'angoissait. Le gode gonflait en volume mais aussi en longueur, me remplissant totalement, ouvrant ma bouche et gonflant mes joues. Je donnais quelques coups de plus pour voir, la douleur et l'angoisse étaient à leur paroxysme, aussi je dégonflais un peu, me disant que la pression était acceptable. Il me restait, en cherchant avec mes mains, à mettre les menottes aux pieds, ce qui fut facile. Bien moins pour attacher mes mains dans le dos. Un instant de réflexion un peu inutile et je refermais les mâchoires d'acier, j'étais pris au piège depuis longtemps déjà. Je n'avais plus qu'à attendre à genoux, dans la chaleur de la suite poussée au maximum, sans trop savoir ce qui m'attendait.

Enfin elle y était! Isabelle était rentrée dans la suite, et son esclave avait sans doute senti le courant d'air puisqu'il s'était redressé. La vision de son ancien Maître ainsi offert était délicieuse, cela faisait des jours qu'elle l'imaginait ainsi, à sa merci. Il n'avait pas eu de culpabilité à la tromper, il le paierait tellement cher! Elle poussa la valise remplie d'accessoires dans la suite, puis s'approcha de sa victime, sans tendresse, mais avec impatience. Méthodique elle avait écrit le programme de la soirée pour ne rien oublier et que tout soit parfait. Elle l'avait soumis à un forum et avait intégré quelques idées et suggestions faites par des Maîtresses ou des esclaves qui espéraient s'attirer ses bonnes grâces!

Vicieusement elle avait acheté un parfum qu'il ne connaissait pas pour masquer son odeur naturelle, au cas où. Elle s'approcha de lui, laissa un ongle glisser sur son épaule et son dos, le faisant tressaillir. D'un mouvement de pied elle lui fit écarter les cuisses au maximum. Pas un mot ne devait être prononcé, elle espérait qu'il serait assez coopératif. La cage était bien là, le cadenas appelant à être fermé. Elle commencerait par cela. Non pas fermer ce cadenas, elle n'était pas naïve, mais le remplacer par un autre et le fermer. L'esclave n'entendit pas mais sentit le clic du cadenas qui le fermait. Il pensait être enfermé pour quelques heures, elle voulait que cela soit pour la vie. Et c'est elle qui avait le pouvoir.

D'une pression de la main, elle le fit se pencher en avant, jusqu'à ce que sa tête touche la moquette. Elle inspecta le plug, le fit jouer, provoquant des sursauts. La peau était certes irritée, mais rien de bien méchant, et elle constata qu'il s'était enduit de crème, donc cela devait être bien supportable. Son cul allait connaître une nuit grandiose. Elle se prépara, car pour elle cette nuit était bien entendu une première, mais ce moment était clé. Bien entendu il lui avait obéi, mais maintenant il allait devoir se soumettre totalement. Elle prit de nouvelles photos de lui dans cette position d'équilibre, posa l'appareil, se concentra.

Sans bien se maîtriser, ce n'était pas une grande adepte de football, elle envoya un formidable coup de pied dans les attributs qui s'offraient à sa vision par derrière, attributs compressés dans la cage de chasteté. Elle entendit le hurlement étouffé par le bâillon, tandis qu'il s'effondrait sur la moquette. C'était le moment fatidique, devrait-elle le forcer ou bien comprendrait-il tout seul? Après une minute, elle eut la joie de le voir se redresser tant bien que mal et reprendre la même position. Cette idée d'entrée en matière lui avait été suggérée par une Maîtresse très sadique. Elle recommença une seconde fois, puis une troisième fois, ajustant de mieux en mieux son coup de pied, écrasant rageusement les couilles offertes. C'était... extatique. Le voir hurler ainsi, se rouler et venir s'offrir à nouveau.

Sa soumission ne provoquait qu'une onde de mépris chez Isabelle, vraiment c'était un chien fait pour cela. Ses couilles étaient bleues, cela rendait bien en photo pour le reportage qu'elle publierait le lendemain. Le tenant par la cagoule, elle le redressa, le remettant à genoux. Elle prit la poire, la gonfla 5 fois, provoquant à la troisième des cris d'effroi inutiles. Elle sentait la panique et la douleur chez cette chose à sa merci, mais sa capacité d'empathie était nulle ce soir-là. Le bâillon était sans doute trop gonflé mais tant qu'il ne s'évanouissait pas, il n'y avait pas de souci.

Heureuse de ce premier cap passé avec succès, Isabelle sorti une bouteille de champagne du frigidaire de l'hôtel. Elle s'amusa à faire sauter le bouchon contre les couilles meurtries de son infortuné Maître qui ne du rien comprendre à ce qui se passait et à ce coup sur ses parties déjà bien sensibles. Avant de déguster sa coupe, elle posa sur chacun des mamelons une pince crocodile lestée de 500 grammes. Cela lui semblait beaucoup, mais pourquoi pas. Elle se souvenait comme il adorait lui supplicier les tétons. La douleur le fit crier de façon très sourde avec le gode gonflé dans sa bouche, et le poids libéré sembla le rendre fou. La douleur n'était pas prête de s'éteindre et il savait que le second téton allait subir le même sort. Une souffrance continue sourdait de lui et Isabelle réalisa qu'elle était trempée.

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Anonymous
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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Autant cruel et sadique qu'excitant ! Bravo

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