De Maître à Esclave Ch. 04

Informations sur Récit
Confrontation avec ma soumise.
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/27/2022
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Assise sur le fauteuil, elle le regardait souffrir comme un fou, les couilles douloureuses, les tétons déchirés, et avec surprise, le sexe dur essayant d'échapper à la torture des pointes de la cage. Sans succès. Une main dans sa culotte, elle découvrit l'étendue de son excitation. Elle n'avait jamais été trempée ainsi, et se fit jouir en quelques instants. La vie était belle et c'est la vie qui l'attendait maintenant, plus rien ne pourrait l'en empêcher. Les photos qu'elle faisait était horriblement compromettante : même avec la cagoule il était bien reconnaissable avec ses quelques tatouages déjà existants. Il serait bien temps de compléter avec des tatouages autrement plus compromettants et avilissants.

Elle se fit la réflexion que les seins tombaient très fortement avec les pinces et les poids, et naquit à cet instant l'idée de lui faire subir ce qu'elle avait subi, des implants mammaires, sans doute autrement plus imposants pour lui? Cela allait être très amusant. Il était un peu gros et il faudrait le faire maigrir, mais pas par le sport. Elle le voulait mou et faible, simplement par la privation continue. C'était au fond bien plus sadique. Et elle imaginait sa honte avec une très lourde poitrine à gérer. L'image l'a fit hurler de plaisir à nouveau, en quelques attouchements. Quelle vie il allait lui offrir!

Elle mit de la musique pour donner plus de relief à la soirée, il était temps de passer à des choses plus sérieuses. Elle prit l'esclave par la cagoule et l'emmena vers la table basse qu'elle avait repéré le midi. Couché dessus, sans lui enlever les pinces sur lesquelles il s'aplatit, elle défit rapidement les menottes des mains, pour ramener les bras vers l'avant et les attacher aux pieds de la table, faisant de même avec chacune de ses chevilles. Une corde maintint fermement son bassin sur la table, il était ainsi bien offert et étiré, les jambes très écartées offrant une vue unique sur son plug et ses couilles foncées.

Isabelle se saisit d'une cravache avec un large bout et tapota les couilles ainsi offertes à son sadisme. Bien immobilisé je ne pouvais pas bouger, terrorisé par ce qu'elle pourrait faire à mes précieuses bourses. Les coups étaient de plus en plus appuyés, jusqu'à ce qu'Isabelle se décide à taper fort, des coups secs, m'envoyant des décharges de souffrance terribles. Avait-elle l'idée de la souffrance infligée? Les cris étaient étouffés par le bâillon qui remplissait toute ma bouche. Les coups n'arrêtaient pas, Isabelle semblait fascinée par la souffrance infligée, pour son plaisir, une main dans sa culotte baignant dans son excitation et l'autre frappant aussi fort que possible sur les couilles offertes. Seul l'orgasme qui la ravagea réussit à mettre fin à cette torture terrifiante. Bien entendu ce n'était que le hors d'œuvre, Isabelle avait pour objectif de rendre mon corps marqué et lacéré comme sur les photos les plus violentes que je chérissais régulièrement.

Si c'était une première pour Isabelle, son expérience en tant que victime lui avait enseigné l'usage des différents instruments de torture qu'elle avait emmenés. Elle commença par le bâton, sur les fesses et l'arrière des cuisses de son esclave. Et découvrit que ce n'était pas si facile de frapper fort et précisément. Surtout pour faire les marques qu'elle souhaitait, elle devait frapper la chair offerte à toute volée. Il lui fallut quelques minutes pour s'ajuster. Alternant les séries longues, avec des séries courtes, sans compter ni sa peine, ni sa violence, ni le nombre de coups. Seul le résultat l'intéressait.

Sa chose souffrait terriblement, comme jamais elle n'aurait pensé pouvoir faire souffrir, sans aucune compassion de sa part, voire même l'inverse, une sorte de mépris paradoxal à accepter de subir toute cette violence. Je ne pouvais pourtant rien faire, je subissais un défoulement de violence inouïe, provoquant l'effondrement de mon esprit, passant alors de l'autre côté, dans une euphorie paradoxale, un affaissement de toute volonté, et une poussée d'amour, de désir, d'offrande. Quelque chose de très bizarre prenait place en moi, ne pouvant rien faire pour me protéger, je m'offrais alors psychologiquement à cette inconnue qui me maltraitait comme j'avais écrit que je voulais l'être et comme, en fait, je n'avais aucune idée de la signification. Je n'étais plus rien, elle était tout. C'était curieusement un écho de ce que ressentait Isabelle, d'une toute puissance qui allait cette fois-ci bien au-delà de l'excitation sexuelle. Elle sortait définitivement de sa chrysalide et plus rien ne pourrait lui faire rebrousser chemin.

Pour le dos, elle prit la badine, bien plus difficile de maniement. Le bruit était excitant, et les marques très prononcées, du sang perlant parfois. Là encore elle voulut que le dos soit totalement marqué, et la mèche de la badine mit tout autant les flancs de sa chose en sang. Il ne bougeait guère, semblait abandonné, mais respirait et elle sentait qu'il était totalement offert. Les photos étaient superbes, bien au niveau des pires stockées sur son ordinateur, et Isabelle ressentait une grande fierté à les publier sur le blog.

Epuisée elle s'accorda une pause champagne et orgasme avant de continuer le programme prévu pour la nuit. Par pur sadisme, avant de s'enfoncer dans le siège pour vider sa coupe, elle gonfla deux fois la poire du bâillon, pour sentir la panique reprendre dans le corps ligoté à ses pieds. Cela déclencha en elle une poussée d'adrénaline et prenant la badine elle cingla une vingtaine de coups en quelques secondes et à toute volée sur les fesses offertes. Une sorte d'orgasme dans la violence, quelque chose de fort que de laisser cette rage s'exprimer sans rien pour la contenir. Elle était heureuse de ne pas voir sa figure, elle l'aurait massacrée!

Isabelle sortit de la valise une culotte en coton noire qu'elle enfila. Cette culotte, épaisse et rigide, mais agréable à porter avec un petit côté sexy, était ornée d'un anneau au niveau du pubis permettant de maintenir un gode en place. Avec beaucoup de réflexion Isabelle s'était décidée pour un gode souple et très imposant de 5 centimètres de diamètre. C'était beaucoup pour une première pénétration, mais j'avais pu lui montrer que j'avais l'habitude de me remplir le cul. Il était primordial pour Isabelle que je me souvienne bien de cette première sodomie, que je me sente défoncé, pris, possédé. Elle se regarda dans la glace, son corps féminin contrastant avec le sexe couleur chair qui pendait entre ses jambes, tel un phallus exprimant toute sa puissance.

Elle caressa son corps, appréciant une nouvelle sensualité en elle, se sentant paradoxalement encore plus femme devant sa femelle ainsi offerte. Enlever le gode métallique du cul offert ne fut pas chose facile. Elle réveilla l'esclave qui s'était abîmé dans une douce torpeur, et du pas mal forcer pour le retirer. L'anus resta entrouvert, rouge d'irritation, mais cela ne la préoccupait pas. Elle enduisit le gode entre ses jambes de vaseline, essuya ses mains, posa un coussin entre les jambes écartelées et ligotées et présenta le gland à l'entrée du cul palpitant. Isabelle avait toujours été terriblement excitée par les intromissions d'objets ou de sexe. Elle ne regardait que cela dans les vidéos, obsédée par les objets vraiment gros comme des bouteilles, ou des fists profonds. Mais elle était bien trop douillette pour le subir et se régalait d'avance de tout ce qu'elle allait pouvoir faire avec son nouveau jouet.

De façon malhabile elle avança son bassin, et le gode commença à se frayer un chemin. C'était enivrant, elle était extatique. Se rapprochant, elle du appuyer de tout son corps pour faire avancer le membre dilatant le cul de sa proie. Voir le latex disparaître au fond des fesses lui faisait tourner la tête, tandis qu'il se débattait en vain pour échapper à la torture subie. Elle ressortit et attendis quelques secondes pour le laisser respirer, puis replongea d'un coup de rein violent bien plus profondément, répétant le manège une dizaine de fois. Les cris étouffés étaient variés, mélange de plaisir, de surprise mais surtout de douleur. Elle poussait, poussait pour que tout le membre trouve sa place, que son pubis soit collé contre les fesses de son ancien Maître. La vaseline jouait parfaitement son rôle et le cul coulait de lubrifiant, lui permettant de coulisser sans plus d'effort, une fois le cul bien cassé. Pris d'une frénésie incontrôlable, Isabelle se mit à faire des allers et retours de plus en plus rapides et profonds, souvent désordonnés, s'enfonçant au plus profond possible à chaque fois, s'agrippant aux hanches de sa victime et à la chaîne maintenant la case en place, écrasant les couilles lorsque son pubis tapait contre les fesses, perdant son souffle mais continuant dans une folie Incroyable. Elle aurait dû penser à se filmer, jamais elle n'avait connu une telle euphorie, c'était carrément dingue. Elle se mit à griffer le dos offert, arrachant les boursouflures de la badine et créant de nombreuses rigoles de sang. Elle sentait la chaleur intense des fesses suppliciées contre son pubis, et se démenait pour arriver à jouir ainsi, sans succès. Après dix minutes d'une cavalcade folle, elle s'effondra épuisée, le gode profondément fiché dans le cul de sa femelle. Ce plaisir de la prise de possession était aussi inouï qu'inattendu.

Isabelle était épuisée, pourtant la soirée n'était pas encore finie. Elle se releva doucement, le gode sortant du fondement de sa femelle, laissant le cul bien ouvert et dégoulinant de lubrifiant. Elle sortit de la valise la surprise qu'elle lui avait préparé : une poire métallique, s'ouvrant en fleur à l'intérieur du cul et cadenassée. Il ne pourrait ainsi pas se libérer sans la clé et ne pourrait pas même s'asseoir puisque la tige dépassant entre ses fesses le lui interdirait. Elle avait hâte de voir sa réaction en se découvrant ainsi contraint. Il lui fallut beaucoup de force pour déployer l'engin qui prenait un diamètre de 10 centimètres une fois bien ouvert. Son esclave se sentit à la fois envahi et fortement dilaté sans bien sur comprendre ce qui lui arrivait. Il ne perçu pas le clic du cadenas, scellant l'objet en place.

Isabelle le détacha et le mis à genoux. La douleur dans ses tétons était paroxystique et il en chancelait au bord de l'évanouissement. Délicatement, Isabelle détacha l'une après l'autre les deux pinces, dont les marques étaient bien visibles et des croutes s'étaient déjà formées. Isabelle nota sur son calepin d'investir dans un aspirateur à tétons pour bien les développer. Là ils feraient un peu ridicule avec la poitrine qu'elle projetait de lui faire implanter. Elle notait toutes ses pensées dans ce carnet, ne voulant rien perdre de ce qu'elle découvrait au gré de ses lectures, échanges ou même expériences comme à cet instant.

A 4 pattes je me dirigeai dans la partie nuit, guidé par sa pression sur la cagoule. J'étais complètement groggy, incapable d'avoir la moindre pensée cohérente, sinon un désir fou de me jeter à ses pieds que je n'envisageais que comme divins. Et surtout dormir, j'étais épuisé, assoiffé aussi par le bâillon et les cris que j'avais poussé toute la nuit. Le contact du lit me fit du bien, même si je me retrouvais attaché en croix sur le dos, les membres bien étirés. Je ne songeais même pas à ce qui pouvait m'attendre, je vivais chaque seconde de façon incroyablement intense, me disant que j'avais attendu toute ma vie pour vivre enfin à ma juste place, aux pieds d'une Déesse dont l'odeur me ravissait, la douceur des mains m'envoûtait, mais surtout la violence et le sadisme me comblaient. La tête me tournait, j'étais sans doute dans un état avancé de perte de contrôle.

Le premier coup me pris par surprise. Non que je ne m'y attendais pas, mais je flottais bienheureux. Isabelle avait le projet de mettre mon recto dans le même état que le verso, sans tenir compte de l'extrême sensibilité de mes tétons, de mon ventre ou de mon pubis. Isabelle prenait connaissance de la canne, et décida que c'était finalement son outil préféré. Plus facile et léger à manier, les marques étaient superbes et la douleur devait être intense aux bonds que je faisais malgré les liens. L'adrénaline lui donna la force de me marquer encore et encore, scrutant les surfaces pas encore martyrisées pour les battre au sang. Je suffoquais de douleur, elle coulait d'excitation, surprise de ne pas être saturée de tout cela, bien au contraire. De nouveaux plans s'échafaudaient dans sa tête, laissant libre court à ses désirs les plus sombres qu'elle avait toujours refoulés. Elle voulait d'autres marques, d'autres transformations sur moi, que je ne sois plus rien de ce que je prétendais être auparavant.

Isabelle s'arrêta sans même s'en rendre compte, le corps qui gisait à ses côtés exprimait la souffrance à l'état brut. Elle avait recomposé le tableau des photos de femmes qui m'excitaient, mais là j'étais devenu la victime. Pas si consentante, mais résolue. Je fus à nouveau mitraillé pour le blog, mais je n'en avais pas conscience. Je m'enfonçais dans un sommeil profond que j'espérais réparateur. Lorsqu'Isabelle fut certaine que j'étais bien endormi, elle se releva, enleva sa culotte gode, se rhabilla, rangea tous les accessoires dans la valise en faisant le tour de la suite. Très doucement, pour ne pas me réveiller, elle défit les liens aux 4 coins du lit, dégonfla le bâillon puis l'enleva, le faisant glisser entre mes lèvres restées ouvertes. Il me faudra plusieurs jours pour refermer la bouche normalement. Je n'avais plus que la cagoule, ma cage de chasteté verrouillée définitivement et la poire d'angoisse ouverte au fond de mon cul. Il était temps de partir, toujours sans faire de bruit et de rentrer à la maison.

Epuisée mais sans arriver à dormir, elle rédigea plusieurs posts du blog illustrés des photos pour ses interlocuteurs qui devenaient nombreux. Plusieurs dizaines de curieux attendaient d'avoir des nouvelles. Elle mit un mot à sa chienne pour qu'elle la prévienne quand elle se réveillerait et lui donne des nouvelles. Prenant son womanizer, elle enchaîna sans reprendre son souffle 6 orgasmes qui lui permirent enfin de se détendre et de s'endormir. Une nouvelle vie commençait le lendemain.

3.

Je me réveille en panique, rêvant que j'avais la gorge remplie de sable. En fait je suis atrocement assoiffé. Je suis complètement perdu, toujours cagoulé, je fais un effort pour trouver dans le noir la salle de bain, faire couler de l'eau au lavabo avant de revenir m'effondrer à nouveau sur le lit. Les pensées sont confuses, j'ai une gueule de bois et je choisis de me rendormir. Quelques heures plus tard j'émerge un peu plus. Je réalise que je ne suis pas attaché, je sens la pression maintenant insupportable de la cagoule que je me dépêche maladroitement d'enlever.

J'ai l'impression de revivre, que l'air peut à nouveau rentrer dans mon corps, c'est jouissif. Je prends quelques minutes pour savourer cet instant et laisser les souvenirs de la veille revenir petit à petit. Une tentative d'érection accompagne cet effort de souvenir, illustrant si besoin était la profonde excitation qui était la mienne dans une situation pourtant terrifiante. La cage se rappelle à moi et je découvre, affolé, que le cadenas qui la ferme n'est pas celui que j'ai apporté. Une certaine panique m'emporte, me demandant comment faire par rapport à Isabelle. Je ne suis pas au bout de mes mauvaises surprises, tâtonnant, je découvre l'engin métallique qui me défonce le cul depuis des heures. Je le reconnais, j'en ai acheté un mais sans jamais l'avoir encore essayé. Je tire sur la tige mais rien ne bouge, il est profondément et solidement ancré dans mon fondement. Et la pression dans mon cul est bien plus importante que le plug que j'avais en arrivant, j'ai mal, cela sourd.

Le cadenas qui le ferme me rend impossible toute perspective de l'enlever, et même de m'asseoir. Je suis effondré. Je me masse la mâchoire douloureuse, j'ai mal partout. Mon corps n'est qu'un énorme bleu strié de marques rouges et de nombreuses rigoles de sang séché. J'ai vraiment dégusté, et si j'ai souffert comme un damné, j'avoue que cela m'excite terriblement après. Jamais je n'ai ressenti un tel déchaînement de violence. Même si mes couilles sont gonflées et très douloureuses, je me dis qu'enfin j'ai vécu une expérience digne de mes pires désirs. Maintenant il faut que je m'en sorte et récupère ma vie d'avant.

Ayant goûté à ces fantasmes extrêmes, je me sens prêt pour quelques années de vie tranquille. C'est quelque chose d'assez étonnant, comme si après un énorme repas, je me sentais rassasié pour longtemps. Même si à cet instant je ne sais pas trop combien de temps le longtemps durera, je sais que je ne suis pas prêt à reprendre autant de risques. D'autant que je suis loin d'être sorti d'affaires : il me faut me libérer de cette cage, de ce plug qui me bouche le cul et de cette tortionnaire qui effectivement ne semble pas plaisanter.

Mon téléphone me rappelle à la réalité. Deux courts messages de ma Maîtresse. Le premier pour me rappeler mes messages horaires après que j'ai pu dormir à loisir. Le second pour me mettre le lien du blog. Je découvre mi-horrifié, mi-fasciné toutes les photos et les textes qu'elle a pu poster. Je ne crois pas avoir jamais vu une séance aussi hard dans un blog, et j'en suis bêtement fier. Je l'ai rêvé et j'ai été capable de le supporter. Même si les dizaines de commentaires me font froid dans le dos.

D'abord par la violence de leurs suggestions, mais aussi parce que je suis bien reconnaissable malgré la cagoule, avec mon portrait pour illustrer le blog. Je crains de ne pas en avoir fini avec elle, et je suis admiratif qu'elle ait pris le temps de mettre à jour le blog juste après notre soirée. Je me sens valorisé par elle, elle me fait vivre, c'est indéniable. Mais il faut que je mette un terme à la relation. Ce n'est pas la première fois, j'ai l'habitude ce cela avec toutes les soumises que j'ai pu avoir, c'est pénible mais je n'ai pas le choix. Cette séance m'a vidé, apaisé, je me sens vraiment bien. Je sens alors mon amour pour Isabelle, paradoxalement cette séance me fait l'aimer encore d'avantage même si j'ai senti une passion folle pour cette inconnue. Isabelle c'est la sécurité, et là j'ai peur de mes penchants. En même temps je me sens si bien brisé ainsi. Un peu dessoulé le prends mon courage à deux mains :

« Madame,

Merci pour cette soirée unique et inoubliable, d'avoir consacré ainsi autant d'énergie et de violence sur la misérable personne que je suis. Je me réveille brisé mais apaisé, honoré d'avoir eu la chance de croiser votre chemin.

Vous m'avez beaucoup donné, et je me sens vide de tout, en particulier de continuer ce chemin qui m'emmène je ne sais où. J'ai bien compris vos menaces et vos envies, et nous savons que ce n'était qu'une façon de me mettre en condition. Au pire je suis prêt à assumer, le sm est mode en ce moment, et je pourrais toujours arguer d'un pari ou d'une envie passagère. Ce qui n'est pas le cas, ne vous méprenez pas, mais je ne suis pas prêt à ce jour, j'ai tellement à perdre en particulier l'amour et la dévotion de ma soumise.

Je serais heureux de vous revoir peut-être dans d'autres occasions, peut-être pour dominer ensemble Isabelle?

Je baise vos pieds avec ferveur »

J'envoyais le message, un peu stressé de la réponse, profitant pour prendre une douche bien brûlante qui me fit mal sur tout le corps mais détendit mes muscles. D'un seul coup, la globalité de la situation me revint en tête, en particulier le contrôle de mes comptes en banque. Je me ruais hors de la douche, enfilait le peignoir pour aller changer les mots de passe de mes comptes en banque et bloquer ma carte de crédit. Hébété, je ne pu me connecter à mon compte et au bout de trois essais il fut bloqué. Mon email lui-même ne répondit plus, je ne su donc jamais si elle m'avait ou pas répondu. Nous étions dimanche, la banque fermée, j'appelais et faisais bloquer mes différentes cartes bancaires, au moins limiter la casse de ce côté-là. Pour les comptes, je m'en occuperai lundi à la première heure, elle ne pourrait rien faire d'ici là.

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