Damia? Vous avez dit Damia... 03

BÊTA PUBLIQUE

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Khaled a rapidement visité lieux. Sans aucun préambule, il a commencé à se déshabiller. Torse nu, il s'est assis sur le lit.

- Alors, c'est sur ce lit que tu la baise? T'as raison d'en profiter, c'est un super coup. A mon avis, y-en-a plus pour longtemps. Je suis sûr qu'il lui en faut plus.

Les mots m'ont fait mal par ce qu'ils sous-entendaient. Pas de doute ils avaient couché ensemble. Lui avait-il dit ce qui c'était passé entre eux et moi?

Il a levé sa jambe vers moi en pointant sa chaussure vers moi. Il portait des sandales noires.

- Approche et enlèves moi les sandales.... Allez vite, ne fais pas semblant de vouloir résister.

Je lui ai obéis. Il avait les pieds poussiéreux. J'ai été surpris de la corne qui recouvrait sa voûte plantaire. Certainement les sports de combats, et un entraînement intensif.

Il a ouvert son pantalon. Il portait le même slip noir à maille qui ne cachait rien de sa virilité encore au repos. Complètement hypnotisé par ses mouvements de félin, je l'ai vu se débarrasser de ses vêtements et se recoucher sur le lit.

Pour la première fois, j'ai réellement vu au grand jour son sexe circoncis encore au repos, avec un gland brun et des couilles lourdes plantées au milieu d'une forêt de poils noirs et très frisés. Même au repos, son sexe me semblait imposant et en tout cas bien plus conséquent que le mien.

- Alors, c'est sur ce lit que tu baises avec Sylvie?

Il y avait de la méchanceté dans sa voix, et en même temps, comme un soupçon de jalousie. Ses muscles jouaient souplement sous sa peau brune. Il avait un sourire inquiétant.

- Allez au pieux le francaoui! A poil! Viens me montrer tes progrès.

Tête basse, je suis venu me coucher à plat ventre à ses côtés. C'était cette position de soumission que Mourad me demandait de prendre à chaque début de séance de baise. Je suis resté jambe écartée et derrière relevé, attendant que son corps couvre le mien. Mais Khaled en voulait plus.

- Prends la même position qu'une femme. Sur le dos, jambes écartées et cuisses bien ouvertes.

Je me suis lentement retourné. J'avais une boule dans la gorge. Une boule dans la gorge me bloquait la respiration. Je me sentais encore plus humilié dans cette position. J'ai ouvert mes jambes en les repliant légèrement. Exactement comme une femme qui s'ouvre pour accueillir son mec sur elle.

- Oui comme ça... C'est bien.... Si tu veux pas voir c'est pas grave. Laisse tes yeux fermés. Elle est pas très grosse ta bite. C'est elle qui t'as rasé aujourd'hui? Réponds! C'est Sylvie? Il m'a frappé les couilles m'arrachant un cri de douleur.

- Non. Non... Je me rase tout seul

Il s'est mis à genoux, assit sur ces talons, entre mes jambes repliées et bien écartées. Mais il en voulait encore plus.

- Ecartes tes fesses avec tes mains et montres moi bien ton trou de tapette. Je veux le voir en gros plan.

J'ai pris appui sur mes pieds pour soulever mon bassin et j'ai obéis en passant mes mains sous mes fesses. Je me suis mis l'anus à l'air. Je lui exhibais mon cul.

- Il va falloir que tu te rases aussi la raie. Tu as encore des poils autour de ton trou de salope.

J'avais les yeux humides. Kalhed a saisi sa queue dans sa main droite et s'est rapidement masturbé devant moi en crachant plusieurs fois dans le creux de sa main. J'ai vu son sexe grandir et s'ériger au-dessus de mon ventre.

Quand il a estimé qu'il était prêt, il a lâché son membre tendu devant son ventre plat. Son gland mouillé regardait le ciel. J'étais subjugué par la taille de son pieu. Je ne comprenais pas comment un engin d'une telle taille avait pu entrer dans mon cul. Cela me semblait presque impossible. J'ai compris pourquoi j'avais eu tellement mal la première fois.

J'avais maintenant très peur de la suite. Lui, il s'en foutait complètement. Il m'a relevé les jambes pour les passer au-dessus de ses épaules.

- Tiens tes fesses bien ouvertes. T'as déjà niqué Sylvie dans cette position? Les femmes adorent cette position parce qu'elles sont bien offertes et que ça rentre bien profonds.

Il a pointé son engin devant mon anus dévoilé avant de se coucher sur moi, m'obligeant à relever mes genoux jusqu'aux épaules. Vu ma position, ma raie s'était complètement ouverte. J'ai lâché mes fesses et son sexe bien mouillé a forcé le passage pour s'enfoncer lentement en moi.

Jamais je n'avais senti une telle impression. On aurait dit que mon ventre allait éclater. Je me tortillais de douleur pendant la pénétration. Mais il était bien plus fort et me bloquait bien.

En réalité, je ne pouvais bouger que mon bas ventre et sans que je le veuille, je lui facilitais la pénétration. La douleur est rapidement montée avant de redescendre par palier au fur et à mesure des coups de reins qu'il donnait souplement. J'ai fermé les yeux, visage crispé et souffle haletant. Je devinais qu'il devait me regarder et savourer sa puissance de mâle.

- En quelques séances t'as le cul qui s'ouvre comme les putes de la rue Sidi Guêche. Dès que je t'ai vu la première fois j'ai dit à Mourad que tu devais être une sacrée salope.

J'étais stupéfait que sa bite se soit entièrement logée dans mes entrailles. Cela ne faisait même pas quinze jours que j'étais sodomisé régulièrement par Mourad. Et bien sûr, je n'avais jamais eu de relations de ce type auparavant. Pourtant, une bite aussi grosse que celle de Khaled arrivait à entrer assez facilement et sans trop de douleur.

Les amples mouvements qu'il donnait à son bassin faisaient bouger le matelas. Pratiquement couché sur moi, il m'étouffait. J'étais plié en deux, mes genoux au niveau de mes épaules. Complètement cassé est jambes repliées au maximum.

Jamais le sexe de Mourad n'avait était aussi profondément enfoncé dans mon ventre et j'avais l'impression que mes intestins allaient remonter. Je serrais les dents en gémissant et lui, continuait d'enfoncer son pieux dans mon intimité élargie sans me quitter des yeux.

Il poussait de plus en plus fort. J'étais plié sous lui à la recherche de mon souffle. Quand enfin j'ai sentis son bas ventre contre mes couilles, j'étais à deux doigts de l'évanouissement.

- Mourad t'as bien calibré! Ton cul, il est meilleur que celui d'une femelle. Généralement les fatmas n'arrivent pas à la prendre entièrement dans leurs culs aussi facilement.

Il ne m'a pas quitté des yeux tout le temps qu'il m'a limé, et je gémissais comme une femme à chaque coup de boutoir. Son pubis tapait de plus en plus fort contre mes cuisses. J'ai serré les jambes autour de sa taille. Cela l'a encore plus excité de me voir gémir et bouger sous lui. A ce moment je me suis rendu compte que je n'avais jamais sodomisé Sylvie. Cela ne m'était même pas venu à l'esprit.

Khaled s'est brusquement immobilisé pour se vider en moi. Pour la première fois, j'ai sentis mon cul se remplir d'un liquide chaud. Il a jouis longtemps à grands jets avant de s'immobiliser.

Puis, il s'est brutalement retiré. J'ai enfin pu m'allonger sur le lit complètement pantelant. Je me sentais faible et j'avais mal au cul. Mon anus irrité me brûlait et son sperme sortait lentement de mon trou. J'avais comme la sensation que mon trou restait ouvert. Je n'osais pas le regarder.

- T'es une vraie femelle toi. C'est Damia qu'on va t'appeler. Ça te va mieux que Damien.

Il a ajouté que dorénavant c'est comme cela qu'ils m'appelleraient quand on serait seul car maintenant j'étais leur fatma.

- T'es pire que n'importe qu'elle nymphomane étrangère.

Il est resté à poil pour aller boire un verre d'eau. Son sexe lourd et à moitié tendu ballottait entre ses cuisses viriles. Il avait les jambes couvertes de poils noirs et bouclés.

Il a voulu voir nos bagages. Je l'ai laissé fouiller nos affaires. Il a trouvé les sous-vêtements de Sylvie et il les a tous sortis un à un.

Les coups de feu tonnaient sans discontinuer. Les doigts ont quitté ma raie. La main est sortie de mon pantalon qu'il avait remonté, mais mon slip est resté bloqué sous mes fesses. La fantasia battait son plein. Tout le monde avait les yeux tournés vers le centre de la place ou se déroulait le spectacle.

Les mains ont fouillé dans mes cheveux et ôter l'élastique qui les retenait en queue de cheval. Khaled les a étalés sur mes épaules.

- T'es mieux comme ça. Cheveux longs et pantalon de courtisane. Ils vont aimer nos nouveaux amis.

Je n'ai pas eu le temps de réagir quand, d'un mouvement rapide, il m'a baissé le pantalon sous les fesses. Complètement paniqué, j'ai sursauté. J'avais le cul à l'air au milieu de cette foule compacte qui me collait de toute part. C'était complètement dingue.

Même si personne ne faisait attention à nous, on risquait d'être surpris. Les deux arabes les plus proches de nous, ont certainement vu mon cul à l'air. Khaled m'a remonté le pantalon aussi rapidement qu'il l'avait baissé. Le tout avait duré à peine quelques secondes. Je tremblais de peur.

- Je veux qu'ils voient ton petit cul de salope. Même dans le noir on peut voir tes fesses toutes blanches. Tu devrais bronzer à poil. Dommage que c'est interdit chez nous. C'est aussi interdit de montrer son cul en pleine ville. Trop de risques.

Le regret dans sa voix m'a paniqué. Je sais qu'il était capable de tout.

Un des mecs a parlé et l'autre a ajouté quelques mots. Khaled leur a répondu. La discussion s'est engagée entre eux. Je ne savais pas de quoi ils parlaient, mais je me doutais bien que je faisais partie de cette discussion.

Au milieu de la place, les cavaliers se déchaînaient dans des joutes acrobatiques. Je regardais sans rien voir.

- Ils veulent encore voir la marchandise.

- Non Khaled. S'il te plaît arrête! On risque de se faire prendre.

- Ta gueule Damia! Tu décides de rien! On va encore leur monter tes petites fesses bien rondes.

Les autres ont entendu le prénom féminin et on sourit d'un air de connivence. Khaled a de nouveau baissé l'arrière de mon pantalon. Cela duré un peu plus longtemps que la fois précédente. Il a même écarté mes fesses avant de remonter le tissu.

Les deux arabes n'ont bien sur rien perdu du spectacle. Je tremblais de honte et aussi d'envie. Je n'arrivais plus à voir ou étaient Sylvie et Mourad. A nouveau des mains sur mes fesses, mais ce ne sont pas celles de Khaled. Un des mecs parle.

- Il dit que tu as de très belles fesses.... Hautes et musclées.

Je me laisse caresser. Khaled leur parle à nouveau en arabe et je ne sais pas comment les autres peuvent comprendre ce qu'il leur dit vu le vacarme de la foule et des cavaliers. Je ne vois toujours pas Sylvie et Mourad. Khaled me parle a l'oreille

- Ils ont envie de te niquer. Ils disent qu'avec tes cheveux longs et ton petit cul tout blanc, tu dois être un bon coup pour leurs zobs.

Je frémis de peur et de confusion. Je ne veux pas de ce genre de truc. Mon cœur bat la chamade et je tremble. J'ai un mouvement de révolte. Pourtant je n'arrive pas à lui faire part de mon refus. Il me traite comme un objet, comme son objet et c'est cela qui me trouble et me rends aussi passif. Nous nous regardons. Il sourit.

- J'ai bien envie de leur dire que je suis d'accord pour leur prêter ton cul.

- Non! Non Khaled! S'il te plaît....

- Ta gueule! Tu fais ce que je te dis! Et puis d'abord pourquoi je leur refuserai. Je sais que tu aimes ça, je le vois dans tes yeux.

- Non je veux pas. S'il te plaît....

- T'as rien à vouloir.

Les deux autres attendent patiemment et je savais que la partie était perdue d'avance avec Khaled. Pour lui, j'étais sa femme et je devais lui obéir. Pire, j'étais sa pute.

oooOOooo

La deuxième fois que nous nous sommes retrouvés seuls lui et moi dans notre chambre, il avait trouvé un slip dans le linge sale de Sylvie. Ce jour-là, il était de mauvais poil, agressif et dur, le geste brusque et nerveux. Il a pris le slip dans sa main et l'a serré de toutes ses forces.

- Qu'est que tu attends pour te foutre à poil.

Je me suis lentement déshabillé pour rester nu devant lui attendant son bon vouloir. D'un air méchant, et m'a jeté le slip au visage.

- De dos avec son slip j'aurai l'impression de la baiser elle. Tu lui ressembles avec tes cheveux longs et ta taille fine.

J'ai compris qu'il se passait quelque chose entre ma copine et lui et qu'il voulait se venger avec moi. Il m'était impossible d'accepter ce qu'il me demandait et j'ai osé refuser et lui tenir tête. Il est entré dans une rage folle et m'a giflé violemment avant de se jeter sur moi.

Nous nous sommes battu, mais je ne faisais pas le poids. J'ai appris à mes dépends qu'il pratiquait couramment les arts martiaux. D'une clef très douloureuse, il m'a rapidement immobilisé sur le sol, face contre terre et bras tordu dans le dos, à la limite de la cassure.

- Je vais te faire obéir moi. On ne discute pas avec moi. Tu n'es qu'une poule mouillée qui mérite une bonne punition. Je ne sais vraiment ce que ta copine te trouve...

Il m'a alors donné une fessée magistrale. Il avait une force redoutable et il m'a assené une volée de claques sur les fesses qui m'a fait pleurer de douleur et il a continué jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. On devait entendre mes cris dans tout l'immeuble. Je m'en fichais. J'avais trop mal aux fesses.

- C'est pas fini le français. Il faut que tu le demandes poliment.

Les claques résonnaient durement sur ma peau rougie. Je me tortillais pour échapper aux battoirs qui tombaient à intervalles réguliers. J'ai crié, puis l'ai supplié. Je lui ai dit que je ferais tout ce qu'il voulait. Il m'a frappé les couilles. La douleur a irradié dans mon cerveau. Me bloquant la respiration.

- La prochaine fois que tu refuses de faire ce qu'on te dit. Voilà ce qu'on te fera. Les fatmas; elles n'ont pas besoin de couilles.

Un autre coup sur mes couilles. La douleur était intolérable. Il m'a lâché. J'ai mis de longues secondes à récupérer. J'avais du mal à récupérer mon souffle.

- Allez, Tu le mets ou je recommence.

En pleurant et reniflant, j'ai mis le slip de dentelle. Mes fesses me brûlaient. Je titubais et mes couilles douloureuses n'arrivaient pas à se loger dans l'empiècement.

- Penches toi et tends bien ton cul.

Je lui ai présenté mes fesses rougies enserrées dans la dentelle noire. Mes fesses me cuisaient. Je me suis cambré au maximum en appui sur le lavabo.

- Chez nous, les femmes elles obéissent en se taisant.

Il a écarté le fonds du slip, dévoilant ma raie.

- Mets-toi de la salive sinon je te niques à sec

J'ai craché dans ma main pour m'enduire la raie. Je l'ai fait plusieurs fois de suite jusqu'à ce que je n'aie plus de salive.

Avec ses pouces, Il a ouvert largement mes fesses au niveau de mon anus et son gland s'est collé contre mon trou mouillé.

- Je t'ai déjà dit de te raser la raie. T'as intérêt à le faire. Et la prochaine fois, tu t'essuieras mieux quand tu chies. On n'aime pas les gens sales chez nous. Il faut que tu sois absolument propre avec nous compris.

Cette humiliation de plus a été un nouveau coup de poignard pour moi. J'ai pleuré comme un gamin. Cela l'a fait rire.

- Allez Damia, recule, c'est toi qui va te niquer tout seul... Toute seule

J'ai dû tortiller mon cul pour m'empaler sur son sexe tendu. Il m'a laissé faire et j'ai lentement reculé. Mon anus s'est ouvert sans trop de difficultés. La douleur était supportable. Je sentais son sexe écarter ma corolle. Le gland est passé sans problème. Puis la tige épaisse est entrée. Mon ventre se gonflait. Je continuais de reculer malgré la douleur qui se réveillait.

- Continues. je veux que tu te la plante jusqu'aux couilles.

J'ai reculé d'un coup. Tout est entré et mes fesses se sont collées contre son pubis. J'ai serré les dents. Il était gros et dur dans mes entrailles.

- Tu vois quand tu veux. Vas y, Damia bouges bien ton cul. Plus vite! Vas-y ma salope française, tortille ton cul de poufiasse sur mon zob.

Mon cul s'est ouvert autour de son sexe très épais. C'est moi qui m'enculais et j'allais de plus en plus vite. J'ai redressais mon visage vers le plafonds en gémissant doucement. Mais pas de douleur.

Son sexe occupait tout mon ventre et tapait tout au fonds de mes intestins. Mon trou béant l'avalait sans difficulté et la salive jouait parfaitement son rôle de lubrifiant.

J'ai reculé vers sa bite jusqu'à ce que ses couilles frappent les miennes. Je me cambrais au mieux pour lui tendre mes fesses toujours enveloppées du slip de Sylvie. Je sentais parfaitement le sexe coulisser en moi.

- Allez encules toi mieux que ça. Vas plus vite! Plus vite, sinon c'est encore une fessée. C'est dommage que tu peux pas voir la taille de ton trou autour de mon zob. Plus vite salope! Ca vient.... Vas-y Kahba.

Il parlait fort comme pour être entendu de l'extérieur. Il m'a tiré de toutes ses forces contre son bas ventre et a jouis dans mes entrailles dévastées. Mon cul s'est rempli de son jus chaud. Il m'a caressé les fesses.

- C'est bien t'es devenu une bonne putain.

Il a pratiquement crié la phrase et j'ai entendu des voix dans la cour intérieure de l'immeuble.

Son pieux a libéré mon trou gluant. Il l'a essuyé contre le slip de Sylvie que je portais toujours. Je me suis redressé en ayant encore l'impression d'avoir son sexe en moi.

Il m'a regardé méchamment. Il a lentement remonté son pantalon. Sa bite toujours tendue, sortait de sa braguette ouverte. Il a ôté sa ceinture de pantalon qu'il a brandit vers moi.

- La prochaine fois que tu nous désobéis, c'est avec la ceinture que je te corrige et on raconte tout à Sylvie. Baisse les yeux quand je te parle.

J'ai obéis. Je me sentais misérable, sale dans la tête et ridicule, uniquement accoutré du slip de ma copine, le cul ouvert et dégoulinant. En plus je savais qu'il y avait du monde dans l'immeuble et qu'ils avaient dû entendre et comprendre ce qui se passait.

Kalhed s'est approché de moi pour mettre son ceinturon autour de mon cou. Il a tiré vers le bas.

- D'après Mourad, tu fais très bien la fellation. C'est un plaisir rare. A genoux! Tu vas me montrer comment tu te débrouilles... Vite! Sinon gares à tes fesses.

Des exclamations étouffées devant la porte de la chambre. Je suis tombé a genoux devant lui. Son sexe maculé de traces luisait devant mes yeux. Une très forte odeur s'en dégageait et me soulevait le cœur. La peau brune tendue et luisante, était couverte de taches brunes ou blanches.

- Ouvres ta bouche. Bien grande. Nettoie, j'aime pas avoir le zob sale. Allez nettoies ta merde. Et la prochaine fois tu devras avoir le cul bien propre et rasé.

On parlait à voix basse derrière la porte. J'ai ouvert la bouche, pour sucer la bite sale de ce jeune arabe. J'étais en train de bouffer ma merde et son sperme, alors que des inconnus derrière une porte devinaient ce qui se passait dans la chambre. J'avais envie de vomir ou de disparaître de la surface de la terre.

Et pourtant, je bandais et je ne pouvais pas le lui cacher puisque le slip de ma copine était trop petit pour cacher mon sexe dur. J'ai découvert l'odeur et le goût de mon intimité en léchant le gland baveux et la hampe tachée.

- Rappelle-toi. La prochaine fois, le cul propre à l'intérieur et à l'extérieur et la raie bien rasée. Sinon on te fait bouffer ta merde. Allez bois jusqu'au la dernière goutte. Allez Damia avales bien toute la jute de ton mâle.

A partir de ce jour, je ne me suis plus rebellé et ai exécuté toutes leurs envies de plus en plus dominatrices.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Hmmmm excellent je parle du récit

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