Cueillie et Croquée

BÊTA PUBLIQUE

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Jackie saisit le bâillon habituel - c'était un bâillon à corde qui étouffait les braillements de la petite morveuse sans la rendre totalement silencieuse. Jackie adorait entendre Cindy crier alors qu'elle endurait une punition bien méritée, même s'il est vrai que la place d'une esclave aurait plutôt été dans un bon vieux donjon bien profond et pas au 25e étage d'un immeuble résidentiel luxueux.

Car si Jackie se délectait de faire hurler Cindy, elle n'avait aucune envie que les voisins viennent cogner à la porte. Alors pour le moment, elle devait se contenter d'entendre des cris étouffés... elle choisit sa cravache favorite - un instrument en cuir noir fin et effilé. C'était le choix parfait pour arracher de douloureux cris de soumission à son esclave ; dommage qu'elle ne laisse que des scarifications mineures... Elle poussa les pieds nus de Cindy l'un loin de l'autre, afin que son cul soit encore plus haut et plus tentant, ce qui laissait sa chatte nue sans protection. Avec le bout de la cravache, elle toucha et aiguillonna le minou avant de glousser de plaisir -- son esclave était carrément humide.... Une facette de sa personnalité aimait se retrouver humiliée, cette pathétique petite salope ne pouvait s'en empêcher.

Et puis, bien sûr, le fait qu'elle porte un œuf vibreur préprogrammé pendant toute sa journée de travail ne devait pas l'aider à rester sèche - il avait pour minutage de s'activer tous les quarts d'heure pour une durée d'une minute... Assez pour rendre l'esclave en chaleur et hystérique, mais pas assez pour la faire jouir. Car évidemment, elle n'était pas autorisée à avoir un orgasme sans la permission d'une de ses propriétaires ; et la punition si elle enfreignait cette règle était extrêmement sévère - la seule fois où elles avaient découvert sa désobéissance, elles l'avaient battu quotidiennement et sans répit pendant une semaine. Inutile de dire que Cindy savait maintenant qu'avoir un orgasme était un privilège réservé à ses supérieurs et que les esclaves n'avaient droit de jouir que quand leurs propriétaires les y autorisaient.... Ce n'était probablement pas ce qu'elle avait en tête quand elle avait timidement suivi Jackie au « Velours Rose » parce qu'elle avait le feu à la chatte... mais la vie est dure parfois...

Jackie nettoya le jus qui couvait sa cravache en la frottant contre les jambes de Cindy. « Demain, chienne » dit-elle avec assurance, « Tu te débrouilleras pour que ton joli petit cul se fasse viré de ta boite et me fasse gagner ce pari stupide... Ou bien... ce que tu vas recevoir ce soir ressemblera à du gâteau en comparaison. Si tu échoues, je te punirai comme tu n'aurais jamais pu l'imaginer... »

Jackie tapota joyeusement les fesses sans défense de Cindy, jouant avec l'anxiété de la jeune fille - pour une salope perverse avec des fantasmes de soumissions, elle se révélait une vraie poule mouillée quand il s'agissait de douleur. Jackie fléchit le bras et le premier coup atterrit sur le cul galbé de Cindy, ce qui lui arracha un glapissement étouffé. C'était bien, mais il manquait un petit quelque chose... Jackie se dirigea vers le placard qui avait contenu les dossiers et les classeurs de travail de Cindy, mais qui abritait maintenant une réserve inépuisable de jouets et d'instruments sexuels. Jackie fit son choix et revint avec une nouvelle chaîne, elle l'accrocha au collier de Cindy et l'attacha aux menottes -- en conséquence, la tête de Cindy se retrouva tirée vers le haut. Jackie dégagea le visage de la jeune femme de sa chevelure blonde pour qu'elle voie le mur du salon. Celui-ci était couvert d'un grand miroir reflétant cette partie de la pièce. Satisfaite, Jackie revint à sa position initiale, derrière la jeune fille - maintenant elle pourrait voir le visage de Cindy lorsque celle-ci recevrait ses coups.

En voyant son reflet dans le miroir, le minois de la courtière humiliée s'illumina de rouge. Elle se voyait totalement nue, attachée par des chaînes, telle une pathétique et minable esclave, courbée dans une posture de soumise, devant faire face à sa honte. Ses nichons suspendus devant elle lui paraissaient le comble de l'obscénité. La corde qu'elle mordait lui donnait un air incroyablement désespéré. Et puis, il y avait Jackie, sa Maîtresse, une de ses Maîtresses, qui se tenait derrière elle, toute puissante et arrogante, prête à s'amuser aux dépens de Cindy, sans que cela ne la préoccupe ou la gêne le moins du monde... Cindy ferma les yeux de honte... - Mais pourquoi se tourmentait-elle encore ? Cindy n'était plus qu'une chienne, leur chienne. Il y a un peu moins d'un mois, elle était quantité d'autres choses, jeune, belle, en pleine réussite professionnelle... Mais maintenant... elle n'était plus que la chienne de Jackie... Elle attendit les coups avec une peur terrible. Pourtant elle pouvait jurer n'avoir jamais voulu se retrouver dans ce genre situation...

Elle n'eut pas à attendre longtemps - un coup, suivit d'un autre atterrirent sur ses fesses sans protection, elle poussa des cris de plus en plus désespérés... ses seins ballotaient de tout côté à chaque frappe, son visage devenait rouge, puis encore plus rouge, parvenant presque à la même couleur que son cul recevant raclée après raclée. Jackie aimait prendre son temps, jouant avec la fille, lui donnant des coups de force variables pour qu'elle ne sache pas à quoi s'attendre et reste sur ses gardes. Jackie aimait chacun des petits cris qu'elle obtenait de son esclave sexuelle...

Après presque 20 coups de cravache, Jackie s'arrêta - son bras commençait à fatiguer et la fille était devenu une épave, elle geignait et pleurait. Ses fesses étaient complètement rouges et elle suait comme si elle se faisait prendre dans une tournante... Et plus important encore Jackie était incroyablement excitée... Ç'avait été le parfait moyen pour se relaxer et se relâcher de ses frustrations. Elle se rappela avec morgue toutes ces faces de craies qu'elle devait se coltiner au travail. Mais un jour, elle avait cueilli une jeune fille blanche immaculée dans un bar, et regardez ce que Jackie avait fait d'elle... un point partout balle au centre... Non en fait, Jackie était en tête et elle comptait continuer à mener au score grâce à Cindy...

Elle retourna encore une fois au placard et revint en tenant à la main un énorme gode-ceinture noire, couvert de gros boutons moches - elle alla devant Cindy et lui retira son bâillon.

« Tu vas me remercier, esclave ? » demanda-t-elle gravement, mais avec un sourire moqueur sur son visage robuste.

« Merci de m'avoir punie Maitresse, » répondit Cindy avec ses mirettes pleines de larmes, et essayant de lever les yeux vers Jackie. On aurait presque pu croire à un remerciement sincère pour sa punition - son entrainement avait été une belle réussite, et la règle numéro 1 était qu'elle devait toujours avoir l'air d'aimer ce qu'on lui infligeait...

« Embrasse-le salope, » ordonna Jackie, en lui plaçant le gode-ceinture en face du visage. La jeune fille n'hésita qu'un court instant, mais elle avait été brisée et ouvrit obligeamment la bouche pour poser un long baisé sur l'horrible instrument.

« Bien, » sourit Jackie. Elle retira ses bottes et son pantalon puis fit glisser son tanga noir pour enfiler le gode-ceinture géant. « Il est temps pour ma petite esclave d'être baisée comme elle mérite... comme une putain couinante...! »

Jackie enleva son chemisier et son soutien-gorge - elle était maintenant aussi nue que Cindy, si l'on exceptait le colossal gode-ceinture dépassant de sous son ventre. Elle se positionna derrière Cindy, et admira son propre reflet et celui de Cindy dans le miroir - le contraste entre son corps noir d'ébène, élégant mais dégageant une puissance brutale et le corps faible, doux, et d'un blanc crémeux de Cindy exaltait ses envies de dominatrice lesbienne. Elle percuta Cindy d'un mouvement rapide, de toute sa force, obtenant une plainte puissante de la pauvre fille. Rapidement, le salon fut rempli des cris et des gémissements de Cindy. Elle ne parvenait pas à contrôler la douleur causée par l'assaut de la bite en plastique géante, ni à contrôler le plaisir lié à son humiliation - Cindy ne voulait pourtant pas prendre de plaisir ainsi, attachée, rabaissée, humiliée, abusée, un simple jouet et une chienne pour ses propriétaires... Mais alors que Jackie l'enfilait comme un étalon puissant et furieux, elle ne pouvait pas nier aimer un peu ça...

« Tu peux jouir, esclave... » annonça finalement Jackie, et Cindy n'eut alors plus d'autre choix - un puissant orgasme inonda son cerveau et elle hurla comme si elle brulait de l'intérieur...

La dernière fois qu'elle avait été autorisée à jouir remontait à presque deux semaines...

*****

Une heure plus tard, Sarah et Liz entrèrent dans l'appartement de Cindy. Jackie était encore nue, assise sur un gros sofa en cuir - devant elle, Cindy était agenouillée sur le sol et elle alternait entre lécher la chatte et le trou du cul de sa Maîtresse. Elle était encore menottée - il n'y en avait pas besoin, puisque Cindy n'avait quasiment jamais fait preuve de désobéissance. Mais Jackie aimait la garder enchaînée, presque autant que Cindy détestait ça. C'était un constant rappel du statut d'esclave de Cindy - et puis, s'était dit Jackie, elle n'avait pas besoin de ses mains pour la tâche qu'elle était en train d'accomplir... En plus des menottes, deux chaînettes renforçaient sa captivité - elles étaient attachées par des pinces à tétons à sa poitrine, et non seulement les pinces lui infligeaient une morsure constante, mais la jeune fille tressaillait de surprise et de douleur lorsque Jackie tirait sur les chaînettes... Ce qui se réalisait immanquablement dès que la policière sentait le plus minuscule fléchissement dans les efforts de broutage de Cindy. La jeune fille s'appliquait avec vigueur à cette tâche depuis une heure, ayant déjà fourni à sa Maîtresse deux orgasmes fracassants. Jackie en voulait un troisième...

« Mais dites donc, certaines ont l'air de bien s'amuser ici... » ricana Liz.

« oh, ouuuuuii ! » répliqua Jackie, en grognant de plaisir alors que la vague de son troisième orgasme se déchaînait en elle - Elle abandonna sa prise sur les chaînettes et agrippa une mèche de cheveux blonds de Cindy pour lui frotter le visage contre sa chatte... Quand Jackie relâcha les cheveux, la face de Cindy était trempée du jus de la dominatrice noire.

« Va saluer tes autres Maîtresses, » ordonna Jackie.

Essayant de marcher sur ses genoux, Cindy tenta de se déplacer de la façon la plus servile qui soit avec les mains menottées. Mais Sarah y coupa court : « Rampe jusqu'à moi, salope » aboya-t-elle.

Cindy se jeta à plat ventre et rampa vers les deux femmes qui avaient pris place dans de grandes chaises à côté des fenêtres. Sa poitrine la brulait alors qu'elle frottait ses seins contre le sol en bois dur, ce qui diminua encore plus sa vitesse, mais elle finit par parvenir jusqu'aux pieds de Sarah. Elle entreprit alors de lécher les chaussures de la grosse comptable -- puis, une fois qu'elle en eut fini avec ces godasses, elle se déplaça jusqu'a ceux de Liz, et se mit à nouveau donner un lavage à coup de langue sur les pompes. Elle leva finalement la tête et se mit à genoux devant les deux lesbiennes. Elle les implora d'être utilisées et baisées par elles, en prenant soin de paraitre la plus demandeuse et fayotte possible... Les chaînettes qui étaient toujours suspendues entre ses nichons s'agitaient et cliquetaient alors qu'elle suppliait pour se faire abuser...

Les deux femmes la toisèrent avec des sourires dédaigneux - elles savaient que Cindy n'avait plus aucune envie de jouer à ce petit jeu ou de servir des lesbiennes. Mais Jackie avait parfaitement entrainé la petite salope ; elle parvenait toujours à paraitre vraiment désespérée de recevoir une bonne baise de la part de ses Maîtresses. En surface, elle avait l'air de mourir d'envie d'enterrer sa jolie tête entre leurs cuisses, de leur donner du plaisir et d'aimer tout ce qu'elles feraient d'elle - même les humiliations et les punitions qui ne semblaient jamais devoir finir. Elle paraissait trouver normal que des propriétaires d'esclaves aient un droit naturel à lui infliger tous les abus et dégradations qu'elle méritait.

Mais on pouvait voir à travers son jeu -- et ce spectacle faisait frémir la chatte de Sarah. C'était tellement plus drôle de cette façon... « Chut salope » l'arrêta la comptable. « Tu vas bientôt servir au plaisir de tes supérieures... » Elle sortit une clope. « On a quelques voyages de prévus pour toi... » dit-elle après une bouffée de cigarette.

D'une manière presque irréelle, Cindy se rappela le temps où elle n'autorisait pas que quiconque fume dans son appartement. C'était l'époque où ses amies - intelligentes, éduquées et classes, des filles comme elle - venaient lui rendre visite. Où elle envisageait divers petits copains potentiels, qui étaient beaux et riches... Maintenant elle était agenouillée, au milieu de son salon, dans un appartement pour lequel son père remboursait encore le prêt, et elle devait supplier à genoux pour se faire violer par de sales lesbiennes tout en paraissant mourir d'envie d'être leur petit jouet sexuel...

« Demain, retour à Brooklyn », intervint Liz. C'était celle avec des tatouages tout autour de ses bras musculeux - celle qui connaissait le tatoueur obèse situé à une rue de son garage « On va faire un peu de décoration sur notre propriété...! »

Cindy eut bien du mal à cacher sa terreur.

« Pas de tatouage cette fois... » expliqua obligeamment Liz... « Mais des piercings - un anneau sur chaque téton, pour qu'on puisse y attacher tous les trucs qu'on aura envie... et puis bien sûr quelques-uns sur ta langue - j'adore me faire brouter par une salope avec la langue piercée... C'est siiii bon...! Je suis encore hésitante pour ta chatte... et puis Billy souhaite vraiment travailler à nouveau sur toi ! »

Ceci fit rire trois femmes alors que Cindy se mit à trembler au sol.

Jackie avait renfilé ses vêtements et se promenait dans l'appart. « Tu es heureuse d'être décorée par tes propriétaires, esclave ? » demanda-t-elle fermement.

« Oui, Maîtresse » répondit Cindy désespérée, elle ne voulait pas risquer une nouvelle punition, pas encore... « Tout ce qui vous semble approprié, Maîtresse. Je suis toujours heureuse de faire plaisir à mes Propriétaires, Maîtresse... » dit-elle anxieusement, essayant de paraitre une participante enthousiaste à sa propre déformation...

« Bonne fifille ! » Répliqua Jackie en prenant un siège.

« Mais d'abord, pour ce soir... » intervint à nouveau Sarah, expulsant de la fumée de sa cigarette - elle n'avait pas trouvé de cendrier alors elle laissait simplement tomber les cendres par terre. « On va aller au "Velours Rose" - on est impatiente d'exhiber notre esclave à toutes les sales gouines qui trainent là-bas ! »

Sarah sortit un paquet et prit un vêtement placé à l'intérieur...

« Et ça, c'est ce que tu vas porter... »

Elle le tint en hauteur et le fit tourner pour que tous puissent voir : c'était une toute petite robe en satin, blanche, presque-transparente, ressemblant aux tenues que portaient les filles-esclaves dans la Rome antique. Elle descendait à peine à mi-cuisse et était grande ouverte sur les côtés, elle ne tenait que grâce à quelques boucles sur les bords. Il y avait aussi une gigantesque échancrure dans le dos... Cindy vit immédiatement à quel point ce minuscule tissu qui la couvrirait était fin et fragile. Porter ça n'était pas une tentative pour être sexy - mais une excuse pour aguicher tout le monde en s'affichant comme une salope et s'offrir en spectacle.

Mais le pire était sur le devant, car bien que la toge soit plate et pas décolletée, il y avait une inscription scintillante en grosses lettres d'un rouge intense et pailleté d'or :

Esclave Lesbienne

-

Votre Désir Est Mon Ordre

« C'est tout ce que tu porteras, rien d'autre, salope... Enfin, à part ton collier d'esclave et ta paire de talons la plus haute... » dit Sarah en étant hilare.

Cindy les regarda, elles et le costume, n'arrivant pas vraiment à cacher sa consternation - l'idée de retourner au "Velours Rose" lui semblait déjà une mauvaise idée - mais aller dans cet endroit, qui n'était après tout qu'un bar normal, même si les clientes étaient des lesbiennes, en étant publiquement marketée comme une esclave sexuelle, c'était trop horrible et humiliant à envisager... En plus, elle était sûre qu'elle devrait quitter l'appartement en portant cette chose, puis qu'elle entrerait dans un taxi, ferait la queue pour entrer, commanderait des boissons au bar... le tout en portant ce bout d'étoffe dégradant avec cette inscription mortifiante dessus... elle souhaitait mourir et disparaitre de la surface de la Terre.

Sarah et Liz souriaient toutes deux de joie mauvaise... Liz reprit gaiement la parole : « Chérie, ce soir tu vas brouter plus de minous que tu n'en as jamais imaginé... Je suis sûre que toutes nos amies vont être très impressionnées par notre acquisition ! »

« Mais commence par nous » dit Sarah, dézippant bruyamment la fermeture de son pantalon.

« Au travail esclave, » ordonna Sarah, alors qu'elle faisait glisser son froc.

Liz retirait le sien aussi - elle serait la suivante.

Et Jackie s'interrogeait déjà pour savoir si elle désirait un quatrième orgasme avant que le groupe ne parte pour le "Velours Rose"... Mais elle décida qu'avoir son minou brouté au fond du bar serait sans doute bien plus marrant... Et peut-être qu'elle mettrait la main sur une autre petite salope blanche voulant se faire dominer par une grande gouine noire...!

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Anonymous
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4 Commentaires
mecdualmecdualil y a plus d’un an

une histoire one shot, dommage

normand1normand1il y a plus de 2 ans

félicitation je souhaite une souhaite une suite a cette histoire est vraiment interéssant a suivre bravo.

normand1normand1il y a plus de 2 ans

félicitation j'éspère qu'il aura une suite vraiment merci

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Excellent cette descente en esclavage !

En plus j'adore les transformations physiques, donc les 3 tatouages me ravissent et la perspective de ces piercings m'enchante.

Pourquoi pas une augmentation mammaire ?

Rudy

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