Confession 01

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Confession d'une épouse exhibitionniste.
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CONFESSION

Ce texte est la traduction française adaptée du premier chapitre de « Confessions of an English housewife », de Quin.

À l'époque, ma femme et moi avions emménagé dans une maison située dans une zone qui faisait l'objet d'un vaste programme de rénovation. Sophie avait 27 ans et nos deux filles venaient d'entrer à l'école primaire. Toute de suite ma femme avait attiré l'attention des ouvriers qui travaillaient dans la zone. Un jour, alors que j'étais en arrêt de travail pour cause de grippe, je me suis levé tard. J'étais dans la salle de bain lorsque j'ai entendu les ouvriers d'à côté parler à ma femme qui étendait le linge dans le jardin. Je l'ai tout à coup entendu dire :

« J'ai mon mari à la maison aujourd'hui. »

Un des hommes a alors dit : « Oh, je vois ». C'était très suspect, pas une conversation normale. Elle les prévenait. Pourquoi? Ma tête tournait. Qu'avait-elle fait pendant que j'étais au travail? A ce moment j'ai ressenti à la fois de la colère et de la jalousie.

Je suis descendu et je lui ai demandé une explication. Elle m'a dit que j'étais paranoïaque, que cela ne signifiait rien. Nous avons alors eu une violente dispute, et les jours suivants nous ne nous sommes pratiquement pas adressé la parole. Au bout d'une semaine, cependant, j'ai réussi à avoir avec elle une discussion relativement apaisée. Elle a fini par admettre qu'elle ne m'avait pas tout dit, que ces hommes étaient déjà venus à la maison pour prendre un café. Je lui ai dit qu'ils ne s'étaient sûrement pas contenté d'un café, mais elle a recommencé à se mettre en colère et à pleurer. Alors j'ai laissé tomber. Quelques mois plus tard cependant, après le départ du chantier des ouvriers, j'ai à nouveau abordé le sujet : pendant tous ces mois, la pensée de ce qui avait pu se passer ne m'avait pas quitté. En prenant le ton de la plaisanterie, j'ai dit à ma femme:

« Je parie qu'ils ont apprécié l'attention. Ce n'est certainement pas toutes les femmes qui leur offraient ainsi le café. Mais vous avez fait connaissance comment? »

En me voyant détendu, elle a cru qu'elle pouvait se laisser aller à me le dire.

"Eh bien... Quand j'étais dans le jardin, en train d'étendre le linge (avec les petites je n'arrête pas de faire des lessives) ils m'ont sifflé depuis la fenêtre de la maison voisine ».

L'image de ma femme dans le jardin m'a fait immédiatement bander. À l'époque, les jupes courtes étaient à la mode et ma femme se penchait parfois un peu négligemment. Pas étonnant qu'ils aient sifflé.

"As-tu montré ta culotte? " lui ai-je demandé. Elle a paru choquée et j'ai craint qu'elle ne se mettre à nouveau en colère.

« C'est bon, ai dit aussitôt, après tout l'idée que tu flirtes quand je suis au travail est très excitante... Et tu dois t'ennuyer maintenant que les filles sont à l'école. »

En vérité, à ce moment-là, je me sentais à la fois jaloux... et prodigieusement excité!...

"Eh bien, je suppose qu'ils ont parfois vu ma culotte." a-t-elle repris.

*"Tu veux dire que tu le sais "lui ai-je dit. Je voulais à tout prix la rassurer sur le fait que je trouvais son récit vraiment excitant.

" Tu as fait exprès de les exciter?" lui ai-je demandé. Elle a rougi, m'a regardé et s'est finalement décidé à acquiescer.

"Parle-moi de ça" lui ai-je dit

"Quand... quand j'allais dans le jardin pour étendre le linge, je savais qu'ils me regardaient depuis la fenêtre à l'étage de la maison à côté. Alors je me suis penchée... plus que nécessaire sur le panier à linge pour que ma robe remonte. Parfois, je m'étirais pour atteindre la corde à linge... et pour que mes robes d'été finissenr presque jusqu'à ma taille. Je pouvais les entendre chuchoter à voix basse. »

Ma bite était plus raide que jamais et mon cœur battait la chamade.

"Continue", ai-je dit. Elle avait l'air nerveuse.

"Ils ont commencé à venir dans le jardin voisin pour pouvoir discuter avec moi par-dessus la clôture. Je pouvais les sentir me regarder.

-Et pendant que tu étendais le linge, tu te penchais pour montrer ta culotte?"

Elle a baissé les yeux en rougissant et a hoché la tête.

"Oui, a-t-elle admis, je faisais comme si c'était accidentel et que je ne me rendais pas compte.

En essayant de rester calme, je lui ai demandé comment ils avaient commencé à entrer dans la maison.

"Un jour, m'a-r-elle alors expliqué, ils m'ont dit que l'eau avait été coupée et qu'ils ne pouvaient pas boire. Je les ai invités à prendre un café. C'était vraiment innocent, et ils ont commencé à venir souvent pendant leur pause-café en restant un moment pour discuter.

"Combien d'entre eux?" ai-je demandé.

-Parfois trois, mais l'un d'eux travaillait dans d'autres maisons.

"Laisse-moi imaginer ça... trois hommes à qui tu as montré ta culotte seuls avec toi dans la maison... ça t'excitait?" Elle a à nouveau baissé les yeux, sans répondre.

« Tu as recommencé à te montrer à eux, dans la maison?

Elle a encore gardé le silence

"Allez, tu vois bien que je ne suis pas fâché. »

Toujours sans me regarder, elle a alors murmuré un timide : « Oui.... *

"Qu'est-ce que tu as fait?"

Je bandais à mort.

"Ils étaient assis à la table de la cuisine, je faisais semblant de continuer mon ménage, ça me donnait une excuse pour me pencher. Parfois, je m'asseyais en face d'eux en remontant un peu ma jupe comme sans en avoir l'air.

"Bon Dieu ce que tu m'excites! Tu les allumais en t'exhibant pour qu'ils puissent voir ta culotte! Continue, continue! »

Elle a respiré lourdement alors que je mettais ma main sur sa cuisse.

"Qu'a tu fais d'autre?" ai-je chuchoté.

Elle a fermé les yeux et posé sa tête sur mon épaule.

"Est-ce que le fait d'y penser t'excite aussi?" lui ai-je demandé.

"Hmm, un peu", m'a-telle répondu. Si je portais une jupe, je portais généralement un haut décolleté. Certains sont assez serrés, un peu trop petits en fait. Quand j'ai servi le café sur la table, ils ont regardé... vers le bas.

-Donc, quand tu savais qu'ils allaient venir, tu t'habillais exprès pour eux?

"Oui..." m'a-t-elle dit en évitant de lever les yeux. J'ai des jupes que je ne porterais pas dehors parce qu'elles sont trop courtes. Pareil avec les hauts. Certains sont transparents. Je les enfilais quand je savais qu'ils allaient venir. Une de mes jupes couvrait juste mes fesses. Les hauts faisaient ressortir mes seins... "

"Et ta culotte ; tu la choisissais aussi?

-Oui... j'emmenais les filles à l'école et sur le chemin du retour, je voyais généralement un des hommes, qui me demandait s'ils pouvaient passer plus tard. Dès que j'étais rentrée, je me changeais... et je mettais une petite culotte transparente...

-Une de celles que je t'avais offertes?

-Oui, ils... ils pouvaient... tout voir quand je m'asseyais en face d'eux et que... j'écartais les jambes...

-Qu'est-ce qu'ils disaient?

-Rien... je pouvais voir qu'ils étaient excités par les bosses leur pantalons et par leur air mal à l'aise. --Et toi aussi, tu étais excitée?

-Oui... Mes tétons devenaient durs. Je pouvais les voir regarder pendant que nous parlions. Leurs yeux allaient d'entre mes jambes à ma poitrine.

-Ils devaient se rendre compte que tu t'étais changée...

-Oui, ils le savaient, ça ressemblait à un jeu. Ils s'asseyaient, buvaient leur café et discutaient en ne me quittant pas des yeux. Un jour, j'ai fait semblant de ne pas remarquer que ma jupe était retroussée jusque... jusqu'en haut... quand j'étais assise. Ils pouvaient tout voir. "

-Tu écartais les cuisses?

-Oui, ils pouvaient voir ma chatte. Parfois, nous restions assis à discuter comme ça pendant 20 minutes ou plus... »

Cette nuit-là, j'ai baisé cette salope trois fois!

Au cours des jours suivants, je n'ai pas pu me concentrer sur mon travail. J'avais une envie irrésistible de me précipiter chez moi et de lui poser davantage de questions. J'allais régulièrement aux toilettes et je me masturbai comme un fou. Je l'imaginais assise dans notre cuisine, sa jupe remontée jusqu'à la taille, ses jambes grandes ouvertes, ses tétons dépassant de sa chemise, trois hommes avec des bites en érection regardant sa chatte à travers une culotte transparente, hypnotisés. Est-ce qu'elle portait des modèles couleur chair "effet nu"? Ils avaient dû aller plus loin, avoir envie de la toucher, de sentir ses seins, de lui doigter la chatte.... Mon Dieu! Elle devait en avoir envie aussi. Jusqu'où étaient-ils vraiment allés?

J'avais hâte de le découvrir.

(à suivre)

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6 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 2 mois

J'allais le dire... J'aime beaucoup cette histoire et je la relis avec grand plaisir d'autant plus qu'une traduction différente apporte forcément un autre esprit. Merci à toi Luc

luc1234_luc1234_il y a environ 2 moisAuteur

Merci de ton commentaire, Trouchard. Mon hypothèse d'une traduction antérieure était donc bien la bonne. Il suffit maintenant de comparer la tienne et la mienne pour voir qu'il ne s'agit pas d'un copié-collé mais d'u n travail parallèle. Les deux textes ont la même origine, mais diffèrent totalement tant du point de vue du style que de nombreux points de développement. Je profite de l'occasion pour te féliciter de l'envergure de ton travail.

trouchardtrouchardil y a environ 2 mois

Cette histoire a été traduite et publié par moi en avril 2020 sur Literotica. De plus, j'ai publié l'histoire complète Atramenta sous forme de livre depuis plus d'un an.

luc1234_luc1234_il y a environ 2 moisAuteur

Je reviens sur mon commentaire précédent, qui me pose d'autant plus problème que je suis en train de traduite la suite de ce texte de Quin. La seule explication, si ton commentaire n'est pas malveillant, tient à ce que le texte de ce dernier date d'il y a 23 ans, et qu'il aurait pu être déjà traduit depuis. Mais dans ce cas, il suffit de comparer les traductions éventuelles : la mienne ne peut être qu'originale puisque j'ai changé plusieurs éléments de base du texte de Quin (d'où ma précision : "adapté").

luc1234_luc1234_il y a environ 2 moisAuteur

Impossible. Indique les sites en question, ou c'est ton commentaire qui est bizarre !

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