Chute d'une héritière Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Manon dans un sursaut se rebelle en pleurnichant.

—Pitié madame la directrice ne nous faite pas de mal......... !!!!!!!

La directrice se lève brusquement, se place face à Manon et la regarde dans les yeux et d'un ton autoritaire.

—Tu ne parles que quand on te l'autorise, toi petite je sais comment nous allons te mater.

Elle lui saisit à plaine main, sa vulve, la broie entre ses doigts comme les serres d'un rapace.

Manon surprise gémis de douleur.

—Aiiiiiie !!!!! Aiiiieee !!!!!!

La femme se délecte dans le regard de Manon, de la souffrance qu'elle lui irradie à travers son sexe.

—Ton sexe nous appartient et l'on peut en faire ce que l'on veut c'est compris??????

—Oui madame la directrice !!!!!

Manon immobile n'ose plus bouger pour éviter d'amplifier la douleur.

Doucement, la directrice relâche l'étreinte de sa main, elle glisse deux doigts entre les lèvres, de Manon, cherche le clitoris. Elle commence doucement à le faire rouler entre son pouce et son index. Elle jongle entre plaisir et douleur.

Manon ne peut résister longtemps, la femme le sais, son corps petit à petit prends le dessus et décide à sa place.

Une douceur sourde et sournoise remonte à travers son mont de Venus et se diffuse dans son bas ventre.

La femme la regarde toujours dans les yeux, en profite, elle se délecte de sa victoire.

Elle donne le coup de grâce en glissant avec autorité, sans lâcher le clitoris de Manon son index dans le vagin étroit et humide de la jeune fille.

L'orgasme commence à prendre forme, mais la femme a compris, elle lâche d'un seul coup son étreinte. L'orgasme n'explose pas, Manon est sonnée, abandonnée, humiliée, en plus, le comble, devant sa mère.

La femme d'un sourire narquois retourne à son bureau

La femme sort deux boites d'un des tiroirs, les ouvre. Leur contenu est soigneusement enveloppé dans de la cellophane. Avec précaution elle les dégage de leur emballage de papier. Deux colliers en acier inoxydable apparaissent dans ses mains chacun orné d'une médaille.

Clara a vite compris à qui, ils sont destinés.

—Mettez les moi a genou tête baissée et qu'elles dégagent leur nuque !!!!!! Ordonne la directrice.

Chacune reçoit un coup de cravache sur les fesses pour les forcer à obéir plus vite, à genoux, tête baissée. Résignées elles dégagent leur chevelure de leurs mains et offre la courbe délicate de leur nuque. Dans cette posture d'abandon leur destin est en train d'être scellé.

La femme se lève et pose à chacune leur collier d'asservissement. La directrice referme les colliers avec un outils spécial dont elle seul en a la possession. La condamnation des colliers sur leur nuque ne fait qu'amplifier la pression physique et psychologique sur les deux futures esclaves.

Pour Clara le poids du collier, tel un fardeau invisible lui annonce sa nouvelle vie de servitude. Le métal froid serre sa peau. Elle ressent un mélange complexe d'émotion, la contrainte, la perte de liberté, la soumission à venir. Elle sait que ce collier est bien plus qu'un simple ornement ; Il est le symbole de son assujettissement, de sa dépendance envers l'institut et du pouvoir qu'il détient sur elle.

Clara ressent également un mélange de peur, de résignation et peut-être même une pointe de révolte. Son collier est à la fois un fardeau et une marque indélébile de son nouveau statut. Elle se demande si elle pourra s'habituer à cette sensation, si elle pourra trouver un moyen de vivre avec ce poids invisible autour de son cou. Mais pour l'instant, elle se tient là, le regard fixé sur la directrice, consciente que sa vie et celle de Manon vienne de basculer irrévocablement.

Manon tremblante et résignée accepte la pose de son collier de servitude. Ses yeux reflètent la peur. Elle va apprendre petit à petit. Ce collier va symboliser sa soumission, sa dépendance envers un pouvoir supérieur. Le maillions froids se referme sur son cou juvénile. Elle ne proteste pas. Un sentiment de soumission l'attire, comme un refuge, dans ce monde qu'elle découvre où les chaines invisibles sont plus oppressante que les chaines de métal.

Manon accepte son sort, les larmes silencieuses coulent sur se joue tandis que le collier se referme inexorablement.

—Parfait, remettez-les-moi en position d'attente.

Un coup de cravache tombe sur les fesses de Carla et de Manon. Obéissantes et sonnées par la solennité de la pose de leur collier de futures esclaves, elles reprennent la position d'attente face au bureau.

—Sur votre collier il y a accroché une médaille, c'est votre matricule, retenez le bien, c'est votre seule identité. Votre mise sous écrou vient de commencer, il va y avoir plusieurs étapes tout au long de cette journée.

—Concernant l'institut, nous avons actuellement avec vous deux un cheptel de 40 esclaves femelles en court de dressage. A partir de demain vous partagerez leurs quotidiens. Il y en d'autres mais elles sont en mission. Vous allez vite remarquer la qualité physique et esthétique de ces esclaves, nous sommes très exigeants à ce sujet. Ce sont les femmes de grands dirigeants d'entreprises en faillites ou leurs filles ou les deux. Nous ne leur laissons pas le choix, lors des négociations, quand l'institut peux se servir et qu'il y a de belles pièces, nous profitons de ces opportunités pour rentabiliser notre investissement.

La directrice réouvre son dossier et s'adresse à Clara.

—Tu te souviens Mr Laurent (..........)

—Il y quelques mois c'était ton amant?

—Oui madame la directrice. Répond avec surprise Clara.

—Et bien il n'était pas là par hasard, nous savons beaucoup de choses sur toi, même les plus intimes. C'est dans le dossier qui est là, il nous a fait un rapport à ton sujet tout est détaillé.

Clara gardait un merveilleux souvenir de cet homme, elle l'avait rencontré lors d'un congrès. Il était bel homme, il avait du charisme, et du charme.

Elle n'était pas arrivée à le garder, pourtant elle avait donné le maximum d'elle-même pour le conquérir. Il l'avait poussé dans ses plus profonds retranchements, mais hélas cela n'avait pas suffi.

Clara est prise au dépourvu par les paroles de la directrice et submergée par l'émotion. Ses joues s'empourprent tandis qu'elle tangue légèrement, luttant pour garder son calme et retenir les larmes qui menacent de couler. Elle était loin d'imaginer tomber dans une telle duperie, surtout de la part de cet homme qu'elle avait tant aimé.

Elle était comme prise dans un piège, telle une proie dans une toile d'araignée machiavélique. Ses secrets les plus intimes, autrefois soigneusement dissimulés, étaient exposés à la lumière crue. Ils savent tout d'elle. Comme un insecte désespéré, elle avait la sensation de se heurtait aux parois d'une prison de verre, cherchant en vain une issue. Une machine implacable, mue par une force invisible, continuait inexorablement son travail de sape. La machine à broyer était en route depuis longtemps.

—J'en ai fini avec vous deux, vos gardiens vont vous amener dans le service de mise sous écrou.

L'entretien est clos, les gardiens et la directrice échange des aurevoirs. La directrice au passage ignore Clara et Manon, pour elle, elles ne sont plus que des numéros.

Les deux gardiens passent à chacune la longe dans l'anneau du collier et ils leur demandent de mettre les mains derrière le dos et les menottent.

Ils quittent le bureau franchissent le couloir. Clara remarque au passage que la salle de réunion est vide, la femme brune nue exposée a disparue. Ils croisent un ou deux employés, passent par l'accueil. Un des gardiens badge, la porte coulisse, ils accèdent à l'escalier par où ils sont arrivés. Ce qui a le plus marqué Clara, c'est de croiser des salariés, ce soir ils vont retrouver tranquillement leur épouse, mari et enfants. En revanche elle et Manon vont finir leur journée seules séquestré au fond d'une cellule.

Ils descendent d'un étage. Sur le palier, une porte métallique devant laquelle le gardien badge. Un voyant vert. Un claquement de verrou. La porte coulisse avec elle un bruit métallique.

Ils accèdent à un hall un peu comme à l'étage du dessus, une banque, une secrétaire mais en blouse blanche, sur le mur au-dessus de la secrétaire, il y a écrit « SERVICE DE MISE SOUS ECROU »

Les deux surveillant fixent les longes des deux femmes aux anneaux scellés dans le mur entre deux pots de plantes vertes. Elles sont privées des sièges de l'accueil, les surveillants les placent en position d'attente.

Un des gardes s'adresse à la secrétaire.

—Je vous amène les matricule S- 475 et S-476.

—Parfait, vous les laissez là. Nous allons nous en occuper, vous pouvez venir les chercher en fin de journée elles seront prêtes.

Clara a vraiment le sentiment d'être réduite à l'état d'objets et qu'elle va rester dans ce service pour un moment.

Les deux gardiens prennent congé avec la secrétaire tout en ignorant les deux femmes attachées nues debout dans ce hall.

Elles patientent dans l'angoisse pendant une demi-heure. Des employés en pantalon et blouse blanche, Crocs blanches circulent, sans les remarquer. Ils franchissent et disparaissent derrière une porte à double battant blanche. Que se passe t'il derrière ces portes? Clara n'a pas la réponse. C'est ce qui l'angoisse le plus : que vont-ils leur faire subir? L'atmosphère est radicalement différente de celle de l'étage supérieur elle est imprégnée d'une ambiance médicale.

Deux femmes vêtues comme des infirmières viennent chercher Carla et Manon. Tirées par leur longe, elles franchissent les fameuses portes à battants, Clara découvre un couloir tout blanc, du sol au plafond. A quelques mètres, six portes de cellule s'alignent. Chaque femme en ouvre une et pousse Clara et Manon à franchir le seuil de chacune d'elle. Clara tente de résister, mais la femme la saisit fermement par les cheveux. Elle l'oblige à franchir la porte. Surprise, Clara découvre un local de la taille d'un placard à balais, tout blanc, étroit, sans fenêtre, vide avec contre le mur au font un simple banc en béton. La femme, sans la moindre compassion, attache la longe à un anneau en hauteur. Clara assise sur ce banc froid, essaie de faire comprendre du regard son angoisse d'être encore enfermée à cette femme qui reste insensible. Elle condamne la porte avec un claquement de verrous. Combien de temps va-t-elle rester là, nue sur ce banc froid, enfermée, les mains menottées dans le dos? Clara n'a pas la réponse. Une ampoule blafarde éclaire le cagibi. Combien de femmes comme elles, la peur au ventre sont passées dans ce réduit?

Au bout d'une éternité, la serrure claque et la porte s'ouvre. Les deux femmes la font sortir de son cagibi, elles l'entrainent dans les couloirs, jusqu'à une porte.

Clara découvre une pièce puissamment éclairait toute blanche, des meubles en inox. Dans un coin une machine recouverte également d'un capot en inox. Elle ressent la désagréable sensation de retrouver l'ambiance de la salle de la chaine. Au milieu il y a quelque chose de différent tout en inox mais tout aussi angoissant.

Trône au milieu une sorte de prie-Dieu, en haut un peu déporté, fixé au prie-Dieu, une sorte d'étau avec une manivelle avec des mâchoires en forme de coupelle pour fixer quelque chose de façon horizontal. A mi-hauteur du prie-Dieu une sorte de tige ronde en inox qui remonte comme une sorte de crochet et au pied deux bracelets. L'engin est vraiment inquiétant, qu'ont-ils fait à sa fille, est-elle passée avant elle sur ce dispositif de torture? En tous cas, Il ne reste aucune trace de son passage.

Un homme d'une cinquantaine d'années vêtu d'une longue blouse blanche, entre dans la pièce. Il porte des petites lunettes rondes, il a des courts cheveux gris, encadrant un visage strict aux rides prononcées.

—Parfait tout est prêt?

—Oui Messieurs.

—Très bien on peut commencer.

Les deux femmes entrainent par la longe leur suppliciée vers le prie-Dieu. Clara a un mouvement de recul, mais c'est peine perdue. Elles la poussent, elle est obligée s'agenouiller dessus, tout en enjambant la barre en inox en forme de crochet. L'homme regarde la scène les bras croisés. Clara implore du regard sa mansuétude, mais comprend vite à son comportement que cela ne le concerne pas. Il a une tâche à accomplir, il ira jusqu'au bout. Les deux femmes l'immobilise à l'aide de larges sangles qu'elles referment au milieu de son dos, son torse, au bas de ses reins. Elles la plaquent bien serrée contre le dossier. Ces mains restent menottées dans son dos. Elles fixent ses chevilles à l'aide des bracelets à cet agenouilloir, ses mollets par des sangles. A l'aide d'un système coulissant, une des femmes lève au maximum la barre, elle vient buter contre son entre cuisses. Le fameux crochet remonte haut entre ses fesses. Clara sent la pression et la douleur de la barre qui lui cisaille l'entre-cuisse. Elle grimace de douleur, Clara se retrouve le bassin immobilisé contre le dossier du prie-Dieu. Elle n'a plus aucune amplitude de mouvement elle est immobilisée ses seins reposent sur le rebord du prie-Dieu.

Il est face à elle. Clara croise son regard. Il est implacable. Les larmes dans les yeux, de son regard elle l'implore, la terreur la paralyse. Quel supplice va-t-elle subir? Pour Clara, les secondes s'étirent insoutenables. Elle continue de croiser le regard noir de l'homme. Le voile de l'inconnu se referme sur elle. Elle plonge dans l'abime. Mais elle ne sait pas ce qui va lui arriver quel supplice va-t-elle subir.

Elle regarde cet étau dont elle n'appréhende toujours pas l'utilité. L'homme s'approche. Il prend à pleine main sa chevelure blonde, lui dégage la nuque, la force à baisser la tête pour la placer entre les deux coupelles. Elle résiste de peur, mais vue sa posture, elle ne pourra contrecarrer longtemps la pression.

Dans un instinct de survie elle tente ses dernières chances, Clara d'un seul coup se crispe, ses muscles se tétanisent, tout son corps résiste, se mets à trembler de terreur de façon incontrôlable.

Prisonnière de ses liens, la frayeur fait doucement son œuvre elle essaie de se débattre. Mais chaque mouvement, chaque sursaut finissent par l'épuiser. Ses pensées s'entrechoquent. Clara lutte contre l'inéluctable, espérant un miracle qui hélas ne va pas venir. Elle se demande quelle est la main qui tire au loin les ficelles de son destin. Y a-t-il une personne pour l'arrêter? Dans cette pièce, il n'y a que le froid et la peur qui rode.

Une fraction de seconde Clara voit l'image de Manon, sa nudité juvénile à genoux immobilisée sur ce carcan de torture. Terrorisée attendant la suite du sort qui lui est réservé. Cette image furtive pour Clara est un moment d'horreur, d'impuissance. Les larmes montent à ses yeux, elle se prépare à affronter l'inimaginable.

—Ne me faites pas de mal !!!!

D'une voix calme et autoritaire.

—Doucement ma belle, ne résiste pas tout va bien se passer, laisse-toi aller !!!!!

A ces paroles douces mais autoritaires, ses nerfs lâchent Clara fini par capituler, prostrée, en pleurs. Elle abandonne la lutte, elle se soumet aux mains de son bourreau, elle lui offre sa tête.

Sous les mains de son bourreau bien agrippées à sa chevelure, sous la pression elle se laisse positionner : la tête entre ces deux coupelles, elle attend terrifiée le début de son supplice.

Avec patience, il attend qu'elle retrouve un semblant de calme.

Au cœur de cette scène oppressante et d'épouvante, l'homme commence à tourner la manivelle les coupelles métalliques se rapproche doucement elles viennent au contact de son visage. Clara se retrouve petit à petit prise au piège, sa tête enserrée entre les deux pièces métalliques. Le froid du métal contre ses joues et ses oreilles lui glace le sang. L'homme continue de tourner la manivelle, resserrant inexorablement l'étau autour de sa tête. Clara sent la lente pression sur sa boite crânienne. La terreur reprend le dessus. Elle perçoit les cognements réguliers de sa tension sanguine dans son crâne. Elle tente de se dégager, mais en vain. Elle n'est plus qu'une bête traquée, piégée. L'immobilisation totale la terrifie. Elle se demande ce qui l'attend au-delà de ces coupelles implacables qui immobilise sa tête. Elle ne peut que contempler le carrelage blanc du sol, les Crocs des assistantes et de l'homme qui s'agitent autour d'elle. Les bruits sinistres de leurs activités autour d'elle ne font qu'augmente sa terreur.

Tous ses sens sont en éveil.

Ils dégagent bien sa nuque, l'expose vulnérable, à l'aide d'un élastique ils empêchent ses cheveux de retomber.

Sa nuque est bien visible, une fine toison blonde se dessine au sommet de ces vertèbres cervicales. Sa peau est d'une douceur exquise, lisse et glabre, offrant un contraste saisissant avec le métal implacable qui l'enserre.

Clara ressent une caresse possessive sur sa nuque, peut-être pour la rassurer.

Par intuition, elle perçoit quelques choses de lourd, rouler et se positionner dans son dos. Un clic d'interrupteur, un vrombissement mécanique se met en route. Elle discerne qu'ils s'activent autour de sa nuque, ils parlent de réglage.

Une sensation de froid au bas de sa nuque et une odeur d'alcool à 90° le glissement d'une lame de rasoir sur sa peau. Il glisse son collier d'esclave au plus bas de sa nuque, elle attend avec fatalité la suite de son sort.

—C'est parfait ont un peut commencer.

Le ronronnement lancinant de la machine augmente.

Au bas de sa nuque, elle commence à sentir de multiples picotements, la douleur commence à se faire sentir. Son cœur bat la chamade, sa respiration s'accélère. Proche de sa nuque, ils surveillent le travail de la machine. A leurs discussions, ils ont l'air satisfait de l'avancement de l'ouvrage. Son monde se dédouble, dans un sursaut de conscience, elle se demande si elle est encore humaine ou si elle est devenue autre chose.

Pendant une longue demi-heure, une douleur lancinante lui irradie la nuque.

Contrainte et silencieuse elle subit.

Les picotements d'un seul coup s'arrêtent, le ronronnement du moteur s'interrompt, le silence revient dans la pièce.

L'homme s'approche, elle sent le contacte de sa blouse sur son flanc nu.

L'odeur de l'alcool à 90° et une forte sensation de brulure fait crier Clara.

—C'est un très beau travail tout et parfait vous pouvez la détacher.

Clara est en pleurs. On la libère de son joug, des sangles, de la barre dans son entrecuisse, des bracelets aux chevilles. Doucement il laisse Clara reprendre ses esprits.

—Vous m'avez fait quoi dans la nuque?

—Ce n'est pas toi qui poses les questions ici !!!!!

Ils lui détachent les menottes des poignets.

—Tu te mets en position d'attente.

Carla obéi bras croisés dans dos cuisses écarté, tête droite.

L'homme prend la parole.

—Je vais t'expliquer quelque chose : au-dessus de ton collier, nous t'avons tatoué un QR code sur ta nuque. Lorsqu'une personne le scanne, elle aura accès à toutes les informations te concernant, même les plus intimes, sur son téléphone portable. Si quelqu'un te demande de le montrer, tu ne peux pas refuser, tu dois obéir et le présenter. Par la suite nous te donnerons plus détails sur les différentes fonctions.

—Allons, découvrons si cela fonctionne !

Clara est en état de sidération pendant quelques secondes, elle ne comprend pas ce que l'homme en blouse blanche lui annonce Les deux autres infirmières l'observent. Elle là, nue au milieu de la pièce complétement effarée, habillé seulement de son collier de servage.

—Mais pourquoi avez-vous fait cela?

L'homme se place derrière elle, soulève sa chevelure dégage sa nuque, son QRcode s'affiche sur sa peau lisse et glabre, elle entend le bip du scanne, elle réalise avec effroi que sa vie intime vient de lui échapper.

—Parfait ça marche, cela charge, voilà le dossier ! Nous allons l'ouvrir. C'est bon il s'ouvre, alors nous allons trouver quoi à l'intérieur? Des photos de toi prises avant ta captivité par un de nos agents.

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