Chroniques Du Cheptel - Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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Elle n'avait pas le temps de réfléchir ni de se reposer entre deux pipes. Le pirate suivant avait le visage tatoué et la peau burinée par le soleil. Trouvant que ça trainait, Pizarda exigeât d'elle qu'elle masturbe en même temps un autre homme. Bientôt, elle se retrouva avec une bite dans chaque main et une dans la bouche et il y avait toujours autant de pirates devant elle...

Estelle senti de la cyprine s'échapper de sa chatte, de sa cramouille rectifia-t-elle mentalement, pour couler le long de ses cuisses. Elle avait envie de se faire baiser, là tout de suite. Une vague de désespoir l'envahit, atterrée par ce que son corps ressentait et ce qu'elle venait de penser.

Quand elle pensa que sa situation ne pouvait pas être pire, elle faillit s'étouffer sur la bite qu'elle avait au fond de la gorge, se rendant compte que le prochain pirate qu'elle aurait à sucer, n'était autre que Niklos, le gros porc qui l'avait harcelée au comptoir, tout à l'heure. L'homme la regardait avec un sourire lubrique en caressant paresseusement sa grosse bite.

Alors que des papillons se formaient une fois de plus dans son ventre, sa cramouille eut comme un petit spasme de plaisir. Elle gémit, expulsant une petite coulée de mouille. Elle se remit à pleurer.

*****

Un peu plus d'une heure plus tard, Pizarda dispersait les derniers pirates malchanceux.

— « Ne vous éloignez pas trop, vous aurez très bientôt d'autres occasions de gouter aux charmes de cette salope infidèle. » Lança Mord-fesses à la cantonade, en faisant un clin d'œil appuyé à la pauvre Estelle.

Sommairement rhabillée, la favorite ressortie de l'alcôve, elle offrait un spectacle pitoyable, ses cheveux étaient défaits, son mascara avait largement coulé sur ses pommettes et son rouge à lèvre, pour ce qu'il en restait, avait bavé autour de sa bouche pulpeuse. Son regard était hagard, sa mâchoire et sa gorge étaient endoloris. Elle avait été obligée de sucer et de branler une bonne quinzaine de pirates, devant tous ses hommes, subissant leurs commentaires vulgaires et les moqueries des diablotins. Elle marchait précautionneusement, après avoir été agenouillée aussi longtemps, elle avait des fourmis dans les jambes et les genoux en miettes.

Estelle refoula de nouvelles larmes qui lui montaient aux yeux, elle avait l'impression que toute la taverne la regardait. Et en fait c'était vrai, elle était le principal sujet de conversation de la clientèle, enfin de ceux qui n'étaient pas encore ivre-morts. Pour se rassurer, elle chercha du regard Sélanor, mais elle ne la trouva pas.

Des éclats de rire attirèrent son attention au comptoir. Plume se dandinait avec exagération, mimant une pipe devant Irissia, Jonday et quelques pirates hilares. Elle reconnut parmi les pirates, le balafré qui avait baisé sa bouche un peu plus tôt. Les filles avaient l'air de bien s'amuser. Jonday souriait lui aussi. Un bref instant son regard croisa celui du musicien, elle n'y vit aucune compassion de sa part. Son cœur se serra en réalisant qu'elle allait perdre tous les soutiens qu'elle avait sur l'île. Tous les gens qui se disaient ses amis lui tournaient déjà le dos, pour ne plus voir en elle qu'Estelle-la-pute, une moins que rien tout juste bonne à écarter les cuisses à la demande. Elle fut prise d'un vertige en se remémorant les paroles de son diablotin. 'Tu seras la moins chère du marché, toute l'île vas te passer dessus !' Il avait raison, elle ne pouvait plus être sauvée.

Dehors le vent mugissait et redoublait d'intensité, comme un écho à son tourment, quelque chose au loin venait de s'effondrer, de se briser, comme elle. La tempête était sur l'île, la nuit allait être longue.

Clotilde lui fit signe d'approcher de sa table, de nouvelles personnes l'avaient rejointe. Estelle approcha méfiante, craignant de nouvelles humiliations. En s'approchant, elle eut un nouveau pincement au cœur en apercevant, en compagnie de sa rivale, deux hommes et une femme qu'elle connaissait bien. Les deux hommes répondaient au nom de Savarin et de Pauldor. Ils portaient sur leur chemise noire de nécromancien, l'insigne du groupe de combat de Sonny.

— « Viens, ne soit pas timide, nous parlions justement de toi, de la salope crasseuse que tu es devenue ! » Dit Clotilde d'un air mi sévère, mi amusé en regardant sa tenue négligée.

Mal à l'aise, Estelle rajusta sa jupe tachée. Pizarda s'en était servis pour essuyer son chibre après avoir éjaculé dessus. Les diablotins avaient fait de même, utilisant sa jolie jupe comme un vulgaire chiffon. A la fin, ils l'avaient obligée à frotter le sol avec, pour nettoyer les traces de foutre qui avaient atterries là pendant qu'elle taillait des pipes. Sa jupe plissée blanche était devenue grisâtre par endroit, quant aux taches, tout le monde savait de quoi il s'agissait.

Parfaitement consciente de l'apparence qu'elle offrait aux gens autour d'elle, la favorite se tenait debout, à côté du banc entre Clotilde et le jeune ferronnier qui lui tournait le dos. Honteuse, elle ferma un bref instant les yeux pour reprendre le contrôle de ses émotions et risquer un coup d'œil sur les nouveaux arrivants.

Elle n'attendait rien de Pauldor, le plus vieux des deux hommes. Elle n'appréciait pas cet individu malsain aux mains moites, qui la dévorait toujours des yeux, même quand elle était en compagnie de Sonny. Elle le savait très porté sur le sexe. Pour l'heure, il la regardait avec un inquiétant sourire lubrique. Elle espérait un peu de soutien de la part de Savarin, elle se souvenait avoir eue de longues et passionnantes conversations avec cet homme raffiné. Mais là encore, elle fut déçue, l'homme semblait totalement absorbé par la contemplation de ses seins.

Mais le coup de grâce lui fut donné par Annia. Estelle détourna rapidement les yeux devant le regard de dégoût total que lui lança la magicienne. Elle se sentie minable en face d'elle, si belle dans sa robe de mage, avec ce jolie ruban qu'elle avait noué dans ses cheveux châtains clairs, pour faire une queue de cheval un peu lâche.

Ce regard était plus dévastateur qu'un coup de poing. Instinctivement, Estelle fit un pas en arrière, pour tomber contre le torse d'un vieux pirate aviné. Elle chancela, l'homme la rattrapa en lui empoignant les seins. Elle faillit défaillir, le vieux avait une haleine terrible, mélange de vinasse et de vomi. Pizarda allait virer l'ivrogne quand Clotilde l'arrêta d'un geste.

— « Attends ! Ne privons pas un vieil homme des plaisirs de la vie. Il peut jouer avec les mamelles de cette pute tant qu'il veut. Voyons voir jusqu'où ça nous mène ! » Décréta Clotilde en se réjouissant de la détresse et du regard suppliant d'Estelle.

— « T'entends ça pétasse... » Commença l'homme à la voix avinée, en oubliant la suite de sa phrase.

Soupçonnant quelque nouveau spectacle croustillant, les pirates se rapprochaient à nouveau d'Estelle, faisant un cercle autour de la table de Clotilde. Le vieil ivrogne pelotait sans vergogne les seins de la belle à travers l'étoffe de son petit haut affriolant, lui faisant mal. Estelle avait faiblement gigoté et protesté au début avant de se laisser faire, vaincue.

— « Elle ne se défend pas beaucoup. » Constata Annia, étonnée par ce qu'elle voyait.

— « Elle adore se faire un peu malmener et dès que Sonny a le dos tourné, elle va baiser ailleurs ! » Répondit Clotilde.

— « Je confirme, cette idiote pense que sa beauté la protège ! » Dit en souriant Sélanor qui venait de réapparaitre.

— « Tu étais où? »

— « Un problème à régler avec les filles en bas. Rien d'emportant. »

Le vieux pirate dénoua le gros nœud de tissu dans le dos de la favorite pour libérer sa jolie poitrine qui apparue à la vue de tous. Il glapit de joie et recommença à lui malaxer les seins et à jouer avec les mamelons gonflés de la belle.

Clotilde se leva à ce moment et se rapprocha du couple. Elle plongeât ses yeux dans ceux humides d'Estelle, captant son attention. Il était temps d'en finir.

— « Je suis prête à faire un marché avec toi. Je pense que dès que cet homme t'a touché devant nous, tu t'es mise à mouiller comme une salope. Si je me trompe et que ta chatte est sèche, je te libère, je détruis les preuves que j'ai contre toi, je t'aide à restaurer ton honneur pour que tu redeviennes une favorite respectable. »

Sélanor haussa un sourcil étonnée par la proposition de son amie, Clotilde ne l'avait pas habituée à être aussi impulsive.

— « Mais si comme je le pense, ta cramouille est bien humide, ce sera la preuve que tu es bien une pute sans valeur. Tu devras tailler une pipe à ce vieil homme avant de le laisser te baiser devant nous. »

Estelle écarquilla les yeux en faisant non de la tête. Les caresses du vieux étaient maladroites et grossières mais elles lui faisaient de l'effet, elle était presque certaine d'être humide.

— « Et ce n'est pas tout, si comme je le pense tu mouille, tu n'auras plus jamais le droit de dire non et ta vie de prostituée commencera cette nuit. Peu importe si tu es fatiguée, si c'est pour un homme, un orc ou un foutu chien, tu baiseras tout ce qui se présentera ! C'est bien compris salope? » Annonça Clotilde, une lueur sadique dans le regard.

Un murmure approbateur monta de l'attroupement autour d'elles. Estelle hoqueta en hochant affirmativement la tête. Paniquée, elle parcouru du regard les gens autour d'elle, en plus de la vingtaine de pirates et des gens à la table de Clotilde, il y avait Plume, Jonday, Berthine, Vasseur et Tom, ce gentil mousse qu'elle avait servi plus tôt. Mon dieu, il y avait tellement de gens, d'autres arrivaient.

— « Parfait, voulez-vous vérifier pour nous vieil homme? » Demanda Clotilde avec emphase.

— « Non pitié... » Murmura Estelle en se débattant mollement.

— « Avec plaisir m'dame. » Dit l'homme en faisant glisser au sol la jupe souillée de la favorite, révélant son corps nu dans toute sa splendeur.

Pour la seconde fois de la nuit, elle était nue dans la taverne, mais avec plus de spectateurs cette fois-ci. Le silence se fit quand le vieil homme empauma son mont de vénus de ses doigts noueux. Elle se mordit la lèvre et lâcha un petit cri en fermant les yeux quand il lui mit deux doigts dans la cramouille. Le vieux commença à faire lentement des mouvements de va et viens en elle. Il introduisit un troisième doigt, la faisant gémir plus fort.

— « La pute est trempée ! » Dit le vieux, accélérant ses mouvements, il la pistonnait de plus en plus énergiquement avec un fort bruit de clapotis, le doute n'était plus permis, provoquant quelques murmures dans la foule. Vasseur murmura quelque chose à l'oreille de Plume, faisant rire la serveuse.

— « Non... non... non... non-non-non-non-non... Ooooh mon dieu... non... OoooOoohoo... » Estelle se mit à gémir incontrôlablement, soudain elle lâcha une plainte rauque, terrassée par un gigantesque orgasme. Elle manqua défaillir et s'affala sur la table devant Annia.

Le vieux pirate retira ses doigts du vagin d'Estelle et montra sa main trempée de la cyprine à tous ceux qui voulait la voir. Ses amis lui donnaient de grandes claques dans le dos, le félicitant.

— « Bienvenu dans ta nouvelle vie, sale pute ! » Jubila Clotilde, lui empoignant les cheveux pour lui relever la tête.

— « J'ignorais qu'elle était aussi salope que ça. » Dit Annia, choquée par ce qu'elle venait de voir.

— « Franchement, tu n'as encore rien vu. Notre Estelle est réputée pour ses fellations, mais elle lèche très bien les chattes. Si tu veux, je te la prête demain. Tu n'auras qu'à passer. » Proposa le plus sérieusement du monde Sélanor.

En face des filles, le vieux pirate venait de baisser son pantalon. « P'tain j'ai trop envie, hé, je vais me la faire direct ! » Fanfaronna-t-il, en collant sa vieille bite entre les fesses d'Estelle. Il la pénétra sans attendre, la saisit par les hanches et commença à la baiser en ahanant comme un vieux cochon.

Annia avait vu sur le visage d'Estelle, le moment précis où le vieux avait introduisit sa bite en elle. Sa bouche s'était arrondie en réalisant ce qui lui arrivait. Son visage exprimait un mélange d'incrédulité, de soumission et de quelque chose qui ressemblait à un plaisir honteux.

La surprise passée, l'expression de son visage avait subtilement changée, elle ne saurait le décrire, mais Annia avait l'impression qu'Estelle se faisait plus permissive. Clouée contre la table par le vieil ivrogne, son corps oscillait sur le rythme qu'il lui imposait et elle commençait à gémir. Elle avait déjà vu des femmes se faire violer, mais jamais avec une telle complaisance, les hommes autour le ressentaient.

Un homme s'approcha du couple et s'accroupi pour avoir un meilleur point de vue. De là où il était, il voyait clairement la bite du vieux aller et venir dans le vagin trempé de la fille. « Elle est comment à l'intérieur? » Demanda-t-il, curieux.

— « Elle est bonne ! Elle est sacrément bonne c'te salope ! » Lâcha le vieux en soufflant.

Le visage du vieil homme devenait de plus en plus rouge, sans doute sous l'effet conjugué de l'effort et de l'alcool. Annia avait peur qu'il ne fasse une crise d'apoplexie, pourtant il tenait étonnement bien le rythme. Les gémissements d'Estelle avaient tendance à prendre de l'ampleur et après quelques minutes de fornication, elle murmura quelque chose d'indistinct avant de jouir dans un râle. Heureusement pour lui, le vieil ivrogne ne tarda pas à jouir à son tour.

Il se retira de la fille pour sentir ses jambes devenir molles, prit d'un malaise il dû s'assoir sur un banc. Clotilde, inquiète lui apporta rapidement une bière fraiche qu'il descendit d'un trait. « Merci m'dame, c'était le meilleur coup de ma vie ! Mes amis m'appellent Papa. » S'esclaffa-t-il, souriant de tous ses chicots jaunis par le tabac.

— « Enchanté Papa, je suis ravie de faire votre connaissance. Je m'appelle Clotilde. » Se présenta-t-elle en lui tendant la main.

— « Ravi de faire vot'connaissance ma bel'dame. » Lui répondit le vieil ivrogne, s'emparant de sa main en une tentative maladroite de baisemain.

Estelle se remettait doucement de son viol. Pendant que quelques pirates tentaient, sans succès, de savoir ce qu'elle avait dit avant de jouir, l'un d'entre eux, se présenta derrière elle, son sexe à la main, prêt à la prendre à son tour. Estelle, qui avait senti sa présence, s'était un peu cambrée par anticipation, mais Pizarda arrêta l'homme.

— « Si vous voulez la sauter, je vous demanderais de bien vouloir payer d'abord notre caissier, Monsieur Colton ! » Déclara Clotilde.

— « De plus, ce jeune-homme ici présent sera le suivant. » Rajouta Sélanor en désignant le jeune ferronnier à côté d'elle.

Une bonne dizaine de pirates, se ruèrent vers le bureau du caissier.

— « Elle est à toi, si tu le souhaites tu peux prendre une chambre à l'étage avec elle. » Dit Sélanor au jeune homme pour le mettre à l'aise. Elle savait qu'il n'était pas puceau, mais il ne devait certainement pas être très expérimenté.

— « Merci, mais je vais la prendre ici. » Répondit le jeune homme en se levant, bien décidé à prouver qu'il en était capable.

Sélanor fit signe à Annia de se pencher un peu vers elle pour la mettre au parfum.

— « Notre jeune ami fait la cour à cette petite salope depuis presque deux semaines, mais elle préfère aller baiser, ailleurs. Tu savais qu'elle avait couché avec monsieur Bontis? » Révéla Sélanor sur le ton de la confidence.

— « Non ! Le vieux fromager? » Répéta un peu stupidement Annia, en ouvrant de grands yeux.

— « Oui, elle s'est faite sautée dans une ruelle à côté de la place du marché. » Continua Sélanor en regardant droit dans les yeux Estelle, prenant plaisir à la tourmenter.

La favorite écoutait ce qu'elles se disaient mais n'osait pas intervenir, après tout, c'était la vérité, enfin une partie de la vérité. Voyant qu'elle ne réagissait pas, Sélanor rajoutait quelques détails croustillant pour rajouter à son humiliation.

— « Tu savais, qu'elle s'était tapé presque tous les gardes de la taverne? » Rajouta malicieusement l'elfette. Chacune de ses révélations rajoutaient à l'inconfort de la favorite.

Estelle senti des mains palper durement ses fesses, le jeune ferronnier était derrière elle et explorait son corps. Elle perdit le fil de la conversation, laissant son esprit divaguer pour échapper à cet enfer. Soudain une claque bruyante s'abattit sur son cul, la faisant sursauter.

— « Répond à Sélanor, salope ! » Ordonna le jeune homme en la fessant à nouveau.

— « Hein? Pardon madame, je n'ai pas écouté, j'étais dans mes pensées. » Avoua Estelle, penaude, obligeant Sélanor à répéter sa question.

— « En début de soirée, tout le monde t'as vu flirter avec Vasseur. C'est l'un de nos gardes. » Précisa l'elfette pour Annia. « Tu t'es laissée pelotée comme une vulgaire trainée, il t'a même roulé une pelle. Que lui as-tu dit pour l'exciter autant? » Demanda-t-elle avec malice.

Sélanor savait pertinemment ce qu'avait dit Estelle à Vasseur, puisque c'était elle qui le lui avait ordonné. Elle voulait juste que la favorite l'avoue devant Annia. Ainsi, la magicienne aura plein de ragots à raconter à ses amis quand elle rentrera chez elle.

Estelle prit une inspiration avant de lâcher : « Je... je lui ait dit que j'avais bien aimé sa queue, quand il m'a enculée ce matin. » Avoua-t-elle la mort dans l'âme, regardant ailleurs pour échapper au regard hautain d'Annia.

— « Tu as préféré coucher avec un garde plutôt que d'accorder tes faveurs à Tilian? C'est limite un manque de respect pour lui, vu la trainée que tu es ! » Asséna l'elfette.

— « Euh... » Derrière elle, le jeune ferronnier était en train de lui frotter la vulve, il était maladroit, mais elle commençait à ne plus avoir les idées claires. Elle ne voyait pas du tout de qui parlait Sélanor, bien que ce prénom, Tilian, lui fût vaguement familier.

— « C'est pas vrai ! Tu ne sais pas de qui je parle, c'est ça? » Compris Sélanor, surprise. Devant l'air stupide d'Estelle, elle enchaina. « Ça fait deux semaines qu'il te drague et tu ne fais même pas l'effort de retenir son prénom ! »

Estelle se mordit la bouche, comprenant que le prénommé Tilian était le garçon qui s'apprêtait à la sauter. A sa décharge, elle trouvait le jeune homme et ses amis, totalement inintéressant. Elle ne l'avait jamais vraiment écouté quand il lui parlait et elle n'avait jamais compris ce que Sélanor lui trouvait.

— « Quelqu'un l'a ensorcelée? » Demanda la magicienne, consternée par ce qu'elle entendait.

— « Non, c'est juste une trainée, n'est-ce-pas Estelle ! » Répondit Sélanor.

— « C'est juste que... Ooh... »

Le ferronnier, Tilian, venait de poser son sexe contre son anus et se préparait à l'enculer. Instinctivement, Estelle se cambra pour lui faciliter la tâche.

— « ...Je préfère les hommes plus virils. » Avoua-t-elle. Après tout peut être que passer pour une salope était préférable. Peut-être qu'avec le temps, elle finirait par s'habituer, pensa-t-elle alors qu'elle sentait la bite du ferronnier s'enfoncer dans son rectum, remplissant son trou-à-bites, centimètre par centimètre, jusqu'à s'enfoncer jusqu'à la garde.

Les pirates autour d'eux, encourageaient Tilian. Le jeune homme commença à lui limer le cul, rageusement.

— « Tu vois, avant de te connaitre, je pensais que tu étais une fille respectable, peut-être un peu garce mais respectable. Mais je me trompais. Plus j'en apprends sur toi... Merde ! Tu ne connaissais même pas mon prénom ! Oh putain, t'es serrée... La vache, Clotilde a raison, tu n'es qu'une putain juste bonne à écarter les cuisses pour une pièce d'argent... Merde les gars, c'est vrai qu'elle est bonne ! » Rugit Tilian en la limant frénétiquement.

Estelle subissait l'assaut en s'accrochant à la table, La bite du jeune homme avait beau être de taille moyenne, Tilian était ferronnier, il avait plus de force qu'elle ne l'avait soupçonnée, il la ramonait avec colère et fougue.