Chroniques Du Cheptel - Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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— « Non pas comme ça ! » Grogna-t-il. « Met-toi à quatre pattes comme la putain de chienne que tu es ! »

L'ordre était sans appel. Incapable de lui résister, la favorite se laissa tomber à genou, avant de se mettre dans la position indiquée. Humiliée, elle sentait ses joues s'empourprer et sa chatte devenir de plus en plus liquide. Son cœur battait à tout rompre quand elle se mit à avancer à quatre pattes, se rapprochant de lui. Elle s'arrêta devant le banc, entre les gros pieds griffus du démon. Pizarda l'attendait, les cuisses largement ouvertes, son monstrueux et majestueux chibre à la main. Il émanait de lui une forte odeur de bite, entêtante.

— « C'est bien, tu es une brave chienne, Estelle-la-pute, viens chercher ta récompense ! »

La favorite marqua un temps d'arrêt, inspira profondément, laissant l'odeur du démon imprégner ses narines. Elle était toute proche et pouvait voir chaque détail de son anatomie, les excroissances de chairs de toutes les formes sur son énorme gland étaient comme autant de verrues obscènes. Incapable de détacher les yeux de son terrifiant et fascinant chibre. Il bandait pour elle dans toute son écœurante majesté. Elle se rapprocha encore et entrouvrit la bouche pour déposer un timide baiser au sommet de ce gland odorant. Derrière elle, les pirates l'encourageaient à aller plus loin.

Son premier baiser fut suivit de quelques autres alors qu'elle caressait timidement la hampe veineuse de ce monstre de chair. C'est alors qu'elle sentit la main du démon se poser sur sa tête pour empoigner fermement ses cheveux.

— « Bouffe-moi la queue, sale pute ! » Ordonna le démon, en exerçant une pression sur la tête de la favorite.

Estelle ouvrit grand la bouche pour absorber le répugnant gland du démon. Heureusement qu'elle avait une grande bouche pensa-t-elle en sentant les picots de chairs du démon frotter sur sa langue et contre son palais. Soumise, elle commença à le pomper en salivant abondement pour lubrifier son chibre. Bon sang, la bite de Pizarda était énorme.

— « Ouais c'est ça ! Montre leur à tous que tu aimes ça, bouffer une bonne bite de démon, Estelle-la-pute ! Estelle-la-pute-à-démon oui ! »

Elle leva les yeux vers lui tout en continuant à le pomper. Pizarda jubilait en l'insultant, en la dominant devant les pirates. Il avait raison, elle n'était qu'une pute, une salope bonne à soumettre et à utiliser. Stimulée par ses insultes, elle redoubla d'ardeur sur la bite monstrueuse qui emplissait sa gorge, ne lui laissant qu'un maigre filet d'air pour respirer. Il la regardait avec dédain, elle n'était plus la favorite admirée mais une vulgaire trainée de bas-étage. Cette pensée tournait dans sa tête comme un leitmotiv.

— « Il doit être fier de toi ton père ! Peut-être que je devrais lui envoyer une lettre pour lui dire ce que deviens sa fille ! » Dit une voix féminine dans son dos, qu'elle reconnue immédiatement.

Une fois de plus, son cœur s'emballa. Clotilde était là, au milieu des pirates à regarder son humiliante soumission. Une larme de honte coula sur sa joue, en même temps que sa chatte s'alourdissait un peu plus. Pourquoi fallait-il qu'elle soit excitée à ce point?

— « Bonne idée, sans doute que son père voudra la baiser, quand il apprendra que sa fille n'est qu'une pute bon marché ! » Renchéri Pizarda en ricanant. « Et cette pute, elle sait comment pomper une bonne bite ! Hey les gars, quand Clotilde la mettra au turbin, essayer-là, vous ne regretterez pas votre pièce d'argent ! »

Estelle ne quittait plus des yeux Pizarda, le démon mettait plus de pression sur sa tête, enfonçant son chibre plus loin dans sa gorge. Elle réprima avec difficulté son réflexe nauséeux quand le gland vint frotter contre sa glotte. Elle salivait énormément en se concentrant sur sa tâche et le maigre filet d'air qu'elle arrivait péniblement à maintenir pour respirer.

Estelle écarquilla les yeux, la pointe d'une chaussure, sans doute la botte de Clotilde, venait de se poser contre sa vulve pour la frotter grossièrement. Passer la surprise, la sensation n'était pas douloureuse mais juste désagréable. Elle se faisait branler par le pied de sa rivale. La favorite écarta sensiblement les cuisses pour faciliter l'accès à sa chatte. La botte en profita immédiatement pour exercer une pression plus forte et tenter de la pénétrer, ce qu'elle fit sur quelques centimètres. Ceci provoqua quelques sensations plus agréables qui vinrent se mélanger à d'autres, plus douloureuses. Mais après quelques vas et vient, la botte se retira, laissant une sensation de manque.

— « Regardez ma botte, cette sale truie mouille comme une fontaine. A croire qu'elle aime ça, prendre mon pied dans sa chatte ! Non mais quelle dépravée ! » Déclara Clotilde avec le plus profond des mépris.

— « Non, moi je pense qu'elle mouille parce qu'elle aime bouffer ma grosse bite ! » Affirma Pizarda sur un ton plus léger, en enfonçant complétement son énorme chibre dans la gorge de la malheureuse.

Ces dernières répliques déclenchèrent quelques rires et commentaires de la part des spectateurs, les pirates spéculant sur qui avait raison. Mais Estelle ne les écoutaient pas. Elle avait le visage plaqué contre le pubis poilu du démon, le nez écrasé contre sa toison épaisse, elle avait franchement du mal à respirer.

— « On devrait lui poser la question pour en avoir le cœur net. » Proposa Clotilde, sarcastique.

— « Attend, je vais me finir d'abord. » Objecta le démon. « Les gars, regardez comment il faut traiter une salope infidèle comme elle ! »

Pizarda raffermi sa poigne sur les cheveux de la favorite et commença à faire des vas et viens dans sa gorge, lui baisant littéralement la bouche en grognant d'aise.

— « N'ayez pas peur de la malmener, comme toutes les putains de Sonny, cette chienne a une bonne endurance. Vous pouvez lui faire mal et même si vous la blesser un peu, elle guérira après une bonne nuit de sommeil. » Expliqua le démon porc-épic. « Et le lendemain, vous pourrez recommencer, encore et encore. »

— « Oui et j'ai cru comprendre que la régénération de cette truie, est meilleure que celles des putes ordinaires, alors ne vous privez pas, messieurs. » Rajouta Clotilde, en caressant pensivement la cravache de cuir rouge qu'elle portait à la ceinture.

En attendant, Estelle se faisait douloureusement défoncer la bouche par le monstrueux chibre de Pizarda. Ses horribles picots de chair frottaient contre les parois de sa gorge, de sa langue, raclaient sa gorge pour finir dans son œsophage. Dans un réflexe futile, elle avait tenté de le repousser, mais il ne s'en était même pas rendu compte. Réduite à l'état d'objet sexuel, elle ne pouvait que subir l'assaut en pleurant sur sa déchéance. Après un moment de vas et viens qui lui parut interminable, le démon éjacula enfin dans sa bouche. Son foutre était épais et abondant, bien plus que celui d'un homme. Pendant qu'elle en avalait une bonne partie, il tapissait sa bouche et sa gorge lui faisant du bien, calmant ses irritations.

Son plaisir prit, le démon sorti son chibre de la bouche de la fille, mettant fin à son calvaire. De grands filets de sperme et de salive restaient attachés à son gland, emmaillotés entre les excroissances de chairs pâles qui poussaient à sa surface.

— « Avale bien tout, Estelle-la-pute. Quand tu auras terminé, tu embrasseras ma bite, tu la nettoieras et tu me remercieras. » Ordonna sèchement le démon porc-épic sans lâcher la favorite de ses yeux cruels.

Estelle offrait un spectacle peu reluisant. Son mascara avait coulé de ses yeux, laissant de larges sillons noirs sur ses pommettes. Sa bouche était restée entrouverte, comme si elle avait du mal à la refermer, enfin un mélange de salive et de sperme coulait encore sur son menton luisant. Quelques gouttes de foutre avaient même atterries sur sa poitrine. Elle dégluti péniblement plusieurs fois, avalant le sperme épais qui restait dans sa bouche. Le goût n'était d'ailleurs pas désagréable, peut-être un peu âcre. Elle toussa en reprenant laborieusement son souffle. Sa gorge lui faisait mal, elle était irritée, mais c'était supportable.

La favorite se pencha pour caresser le chibre humide de Pizarda qui se dandinait paresseusement devant son visage. Elle fit courir ses doigts sur les grosses veines de ce sexe, qui la fascinait toujours autant, pour le branler doucement. Elle avait peur des sensations que cet énorme et inhumain chibre faisait naitre en elle. Mentalement, elle se traita plusieurs fois de pute-à-démon et de pauvre fille alors qu'elle sentait sa chatte réclamer à nouveau de l'attention. Elle avait du mal à croire qu'il y a quelques instants, ce monstre de chair était totalement enfoncé dans sa gorge. Cette idée la rendait toute chose, elle avait besoin de jouir elle aussi. Elle repoussa l'envie de se masturber, essentiellement à cause des spectateurs dans son dos.

Estelle déposa un baiser sur l'une de ses verrues pales avant de franchement l'emboucher. Elle faisait courir sa langue sur le gland du démon, nettoyant chaque interstice entre les excroissances de sa bite, aspirant chaque trace de mouille et de sperme. Quand elle eut la certitude de l'avoir complétement nettoyé, elle se mit à le pomper avec ardeur. Pizarda grogna de plaisir, la laissant faire. Quelques minutes plus tard, il jutait à nouveau dans sa bouche. Elle avala avec une satisfaction inavouée cette petite charge de foutre, puis elle libéra le chibre démoniaque.

— « Merci de m'avoir utilisée, monsieur... » Dit la jeune femme avec une voix quelque peu éraillée, honteuse d'y avoir pris du plaisir. Quel genre de fille aimait être maltraitée, insultée? Elle essayait de se rassurer en se disant qu'elle y avait été forcée, mais cet argument peinait à la convaincre.

— « Parfait maintenant répond à la question de tout à l'heure, soit franche. » Exigea Clotilde.

Toujours à genou, Estelle tourna la tête vers Clotilde, pour découvrir sans surprise qu'une bonne douzaine de personnes se pressaient devant l'alcôve à la regarder, pour l'essentiel des pirates. Plume était là aussi, adossée dans l'encadrement de l'alcôve, la jolie serveuse avait assisté à sa déchéance. La rouquine la scrutait intensément, arborant une expression de visage qu'Estelle n'arriva pas à déchiffrer.

— « Allez, répond salope ! » Lâcha un pirate.

— « ...? ... »

Devant le regard vide d'incompréhension d'Estelle, Clotilde soupira bruyamment avant de développer : « Qu'est-ce qui te faisais mouiller comme une chienne en chaleur? La grosse queue de Pizarda ou ma botte contre ta chatte? Dépêche-toi, quelques-uns des gentlemans ici présents ont pariés sur ta réponse. »

Estelle piqua un fard à l'énoncé de la question.

— « Je... je ne sais pas madame Clotilde... » Bredouilla-t-elle en baissant la tête, embarrassée.

— « Tu ne sais pas? En vérité, notre petite salope adore avoir une bite dans la bouche, tout ceux qui la connaissent le savent bien. Elle s'en est souvent vanté lors de soirées quand elle n'était pas occupée à danser nue pour Sonny et ses amis. » Assena Clotilde avant de continuer. « D'un autre côté, nous savons maintenant, que cette truie est prête à tout pour se faire tripoter par le premier venu. Alors réponds ! »

Clotilde exagérait, mais à cet instant, la favorite regretta cet aveu, qu'elle avait effectivement réitéré sous l'emprise de l'alcool. C'était vrai qu'elle aimait les hommes et leur bite bien dure, elle aimait les sensations que ça lui procurait quand ils atteignaient l'apothéose. Mais ces derniers temps, elle s'était rendu compte qu'elle était attirée par les chibres des autres créatures, en particulier s'ils étaient hors norme. Elle ne pouvait s'empêcher d'imaginer ce qui se cachait sous leurs pagnes. Clotilde voulait qu'elle s'avilisse en le reconnaissant et Estelle ne voulait pas prendre le risque de la décevoir, d'être punie.

— « Je... J'étais excitée par le chibre de Pizarda... Je voulais dire de monsieur Pizarda. Il me fait de l'effet... » Avoua Estelle, terriblement gênée. « J'ai également apprécié le contact de... de votre chaussure contre mon intimité, madame. » Rajouta-t-elle avec lâcheté, espérant flatter sa rivale avec ce mensonge.

— « Contre ton intimité? Ne devais-tu pas trouver des noms qui décrivent mieux la stupide roulure que tu as toujours été? » Sermonna Clotilde sur un ton cinglant.

Estelle soudain très nerveuse, fut prise d'un vertige. « Je... je pensais que ça resterais entre nous, madame... » Dit-elle dans un souffle.

— « Tu es vraiment trop stupide pour penser ma pauvre, je me demande comment fait Sonny pour te supporter. Je perds mon temps avec toi, je devrais te balancer sous les latrines » Dit Clotilde en détachant calmement la cravache de sa ceinture pour jouer avec.

— « Pardon madame Clotilde, je vous demande pardon, ne me punissez pas ! Je vais m'améliorer, je vous promets. » Supplia Estelle toujours à genou, abandonnant toute dignité, terrifiée par le pouvoir de cette cravache de cuir rouge.

— « Très bien, alors reprenons. Tu vas te présenter à nous, parler un peu de toi et pour finir tu vas te décrire comme je te l'avais demandé ce matin. Tu penses que tu peux faire ça pour moi? »

Estelle fit oui de la tête. Sélanor l'avait aidée cet après-midi, pour trouver et répéter les mots qu'elle allait prononcer. Elle se racla la gorge encore douloureuse et se lança :

— « Je m'appelle Estelle, je suis la favorite de Sonny... sa putain. Il m'a ramassée dans une taverne de Mircus ou je chantais un soir. Il m'a séduite et fait de moi sa chose, son esclave consentante... Pour lui, j'ai appris à devenir bonne au lit. Il aime me baiser, parce que je suis jolie et que j'ai un corps de pute. C'est... c'est ce que disent les hommes de moi, quand ils pensent que je ne les entends pas. » Révéla la favorite en marquant une pause, comme si elle méditait sur ce qu'elle venait de dire. Incapable de soutenir le regard méprisant de Clotilde, elle baissa la tête. Plume gloussa devant la gêne de la jeune femme et se mêla aux commentaires salaces des pirates.

— « Décrit nous ton corps de grosse pute, en commençant par le haut. Donne envie aux hommes de dépenser une pièce d'argent pour te baiser ! » Ordonna calmement Clotilde.

— « Je... bien madame. » Une larme coula malgré elle sur sa joue. « J'ai une tête de cochonne... Je ne peux pas m'empêcher d'évaluer le sexe des hommes dans leurs pantalons... Mes yeux sentent la bite et mes lèvres charnues font de ma bouche une... ...une véritable bouche-à-sperme. » D'autres larmes coulèrent sur ses joues. Se rabaisser en parlant d'elle ainsi devant tous ces hommes était la chose la plus humiliante qu'elle ait faite dans sa vie. A cet instant précis, Estelle avait envie d'être avalée par le sol. Non ce n'était pas elle qui parlait ; ce n'était pas possible.

— « Continu grosse truie ! »

— « ...J'ai de belles grosses mamelles, douces et fermes, idéales pour les mains des hommes qui voudront bien de moi... »

— « Oui, des hommes ou des démons, grosse cochonne ! » S'esclaffa Smordif.

— « Oui... Je... En plus de... de ma bouche-à-sperme, les hommes pourront utiliser... ma... ma cramouille toute chaude ou mon... mon trou-à-bites pour se soulager. » Termina Estelle avec difficulté. La gorge nouée, incapable d'en dire plus, elle retenait son souffle, tremblant légèrement, elle était au bord de l'effondrement.

— « Je dois avouer que je suis un peu déçue par ta prestation, mais je suppose que je ne dois pas trop attendre, d'une putain aussi stupide que toi ! » Déclara Clotilde. « Ton trou-à-bites, c'est ton anus, je suppose? Tu aimes quand Sonny le défonce avec sa grosse bite? »

— « Oui madame. » Répondit Estelle sans quitter le sol des yeux.

— « Pourquoi cramouille? » Demanda Plume, curieuse.

— « C'est parce que madame Sélanor dit de moi que je mouille facilement. »

— « Tu mouille en ce moment? »

— « Oui madame... ma cramouille est humide. » Répondit Estelle, mortifiée.

— « Et tu penses vraiment qu'avec ce genre de discours tu vas attirer les hommes dans ton lit? Pas étonnant que tu ne vailles qu'une pièce d'argent la passe. Ma pauvre, tu es la putain la plus minable de l'île ! » Jubila Clotilde en giflant la favorite, d'un coup sec.

— « Pardon madame. » S'excusa Estelle en se frottant la joue. Cette gifle l'avait prise au dépourvu.

— « En attendant, je me la ferais bien, moi ! » Dit un pirate, en saisissant son entrejambe d'un geste obscène.

— « T'es pas le seul, depuis le temps qu'on la regarde tortiller du cul celle-là ! » Renchérit un autre.

— « Encore un peu de patience messieurs. Le dressage de la favorite n'est pas tout à fait terminé. Estelle-la-pute sera très bientôt disponible dans cet établissement. Pour vous faire patienter, la maison vous offre gratuitement sa bouche-à-sperme pendant une heure. Sa cramouille et son trou-à-bites sont pour l'instant réservés. Piz, tu surveilles ! » Annonça Clotilde. « Amusez-vous bien avec elle ! » Rajouta la jeune femme en tournant les talons, sans plus accorder d'attention à sa victime, prostrée au sol, nue.

Les pirates commençaient à se rapprocher dangereusement d'Estelle. Certains dégrafaient leurs ceinturons.

— « Non s'il vous plait... Je ne suis pas une pute... » Protesta faiblement Estelle, les yeux embués de larmes.

— « Si ma chérie, tu en es une. Tu as toujours été une pute même si tu ne le savais pas encore. » Lui susurra Smordif à l'oreille, en lui empoignant les cheveux pour lui relever la tête et la forcer à regarder les hommes en face d'elle.

— « Mon pouvoir de prescience me dit que tu vas même devenir une putain très populaire. » Renchérit Mord-fesses en lui parlant à l'autre oreille. « Et tu sais que ma prescience, ne se trompe jamais ! »

— « Normal, tu es la moins chère du marché, toute l'île vas te passer dessus ! » S'esclaffa Smordif en tirant vicieusement les cheveux d'Estelle, lui arrachant un gémissement de douleur.

Un grand pirate balafré avec un bandana sur la tête, se planta devant elle, sa queue à la main. D'imposants muscles tendaient sa chemise grise, ce devait être le plus fort, le premier à passer, se dit Estelle.

— « Attend ! » Dit Plume, posant sa main sur le torse du pirate pour le retenir. La rouquine se pencha vers la favorite. « Une dernière chose salope ! J'ai appris que tu avais essayé de vendre mon cul à Pizarda pour te tirer d'un mauvais pas. Alors je vais t'en faire baver espèce de garce ! »

Estelle écarquilla les yeux, paniquée, Pizarda avait dû tout lui raconter. Elle n'eut pas le temps d'approfondir plus avant ses pensées. Plume venait de lui cracher au visage, la touchant juste sous l'œil gauche. Elle senti le crachat couler lentement le long de sa joue, rajoutant à son humiliation.

— « Vas-y ! Démonte lui la gueule à cette conne ! » Lâcha la serveuse avant d'abandonner Estelle à son sort.

— « Y'a pas à dire, tu sais te faire des amis toi ! » Commenta Mord-fesses, hilare.

Le pirate balafré enfonça directement sa bite dans la bouche entrouverte de la favorite, étouffant ses protestations. Encouragé par ses compagnons, il commença à lui baiser la bouche en l'insultant. Il avait l'entrain d'un bucheron. Sa queue était bien moins grosse que celle de Pizarda mais il était brutal et sa gorge était déjà bien endolorie. Quelques minutes plus tard, il éjaculait bruyamment dans sa bouche.

Estelle toussa dès qu'il se retira. Il fut remplacé par un pirate de petite taille, l'homme était râblé avec un visage carré. Son sexe était épais avec un gland effilé. Il préférait se faire sucer. Estelle s'y appliqua en étant attentive à ses réactions. Sa technique était efficace, mais l'homme avait l'habitude des prostituées, il se retenait de jouir pour prolonger son plaisir. Relevant le défi, la favorite redoubla d'efforts et se concentra sur son gland tout en lui massant les couilles. Elle le suça comme une pro et sa bouche talentueuse eue bientôt raison de lui, libérant une décharge de foutre qu'elle avala aussitôt.

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