Chroniques Du Cheptel - Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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— « De quoi voulais-tu me parler, chère associée? » Demanda Victor en admirant la silhouette élancée de Clotilde qui lui tournait le dos.

La jeune femme marqua un léger temps d'arrêt devant lui, comme si elle hésitait. Elle se retourna pour lui faire face et le regarder une fraction de seconde, pris d'une inspiration soudaine, elle l'embrassa sur la bouche en un baiser passionné. Fébrile, Victor lui rendit son baiser et repoussa la jeune femme sur la couverture.

— « Je pensais que... » Commença le mage en caressant les beaux cheveux bouclés de la belle.

— « Arrête de penser et embrasse-moi ! Ce qui ce passe dans cette chambre, restera dans cette chambre ! » Affirma Clotilde en plongeant ses grands yeux dans les siens.

Il l'embrassa avec fougue pendant de longues minutes, avant de s'attaquer aux boutons de son chemisier à jabot gris-perle, libérant sa belle et ferme poitrine.

— « Je veux te voir nue sur cette fourrure ! » Ordonna-t-il.

— « A vos ordre monsieur... » Répondit-elle avec un rire cristallin. Bientôt son pantalon suivi sa chemise sur le sol. Il ne resta plus à la jeune femme que sa culotte de soie noire et son pendentif en forme de cœur autour du cou.

Victor avait viré ses chaussures et son pantalon mais avait gardé son veston à cause du froid. Son index s'attarda sur le pendentif de Clotilde, il sentait de la magie émaner de cette pierre. Sans aucun doute la source des protections de la jeune femme, contre la magie et les influences hostiles.

— « Un cadeau de Sonny, mais il n'est pas ici, alors... » Clotilde le détacha pour l'envoyer sur son chemisier avant d'enlacer tendrement le mage.

Victor glissa une main aventureuse dans la culotte de la jeune femme pour empaumer son sexe. Son mont de vénus était glabre comme celui d'Estelle. Sonny devait détester les poils pensa-t-il. Il découvrit une petite chatte déjà bien humide. Avec impatience, il fit glisser la culotte de soie qu'il envoya sur la pile de vêtements au sol.

Victor avait déjà tenté de se représenter Clotilde nue, mais ce qu'il voyait maintenant dépassait ses espérances. Elle était peut-être un peu plus petite qu'Estelle mais elle avait de belles jambes bien galbées ; la taille fine ; une poitrine souple et ferme, plus grosse qu'il ne l'avait imaginée, avec de jolies aréoles roses. Ses seins auraient pu rendre n'importe quelle femme jalouse, sans doute un bonnet D, estima-t-il en les palpant avec concupiscence. Mais c'était surtout ces grands yeux gris-vert, qui lui mangeaient tout le visage qui lui plaisait. Oui Clotilde était canon, Sonny avait vraiment du goût pour les femmes.

Victor bandait maintenant comme un fou sous les caresses de la jeune femme. Il replia les jambes de la belle au-dessus de ses épaules. Elle se mordilla le poing pour étouffer un gémissement, quand il guida son sexe dans son vagin offert, il était chaud, accueillant et merveilleusement serré autour de sa bite qui s'enfonçait inexorablement en elle. Une fois au fond, il commença à bouger pour la pistonner à un rythme régulier.

La respiration de Clotilde se faisait plus lourde, plus profonde, entrecoupée de petits gémissements. La main près de sa bouche passa dans ses cheveux bouclés au fur et à mesure qu'il prenait de l'amplitude dans son mouvement, faisant claquer son pubis contre sa chatte. La jeune femme ferma les yeux pour mieux ressentir les sensations qui l'envahissait, son visage s'empourprait à vue d'œil. Sa lourde poitrine aux mamelons gonflés ballotait d'avant en arrière. De temps en temps, elle redressait la tête pour le regarder un bref moment avant de repartir la tête en arrière. Elle gémissait doucement, faisant attention à ne pas faire trop de bruit, lui murmurant des encouragements à peine audibles.

Clotilde jouit en premier, en étouffant avec son poing un gémissement. Victor senti les parois de son vagin se contracter de façon anarchique autour de sa bite lui arrachant un grognement, il n'allait pas tarder à suivre.

Quelques minutes plus tard, ils étaient blottis l'un contre l'autre sous la fourrure. Victor rompit en premier le silence qui s'était installé.

— « Tu avais raison, à propos de Sélanor. » Commença-t-il.

— « On s'en fiche de Sélanor. » Répondit Clotilde en se tournant vers lui pour l'embrasser dans le cou.

— « Je l'ai rencontrée dans sa chambre, avant de venir te voir ce soir... » Révéla le mage avant d'embrasser la jeune femme sur la bouche.

— « Et alors, tu as couché avec elle? » Répondit moqueuse Clotilde, glissant sa main sous la couverture pour le masturber.

— « En ne respectant pas le plan, tu l'as contrariée. Elle dit que tu as compromis les projets qu'elle avait pour la favorite avant de la mettre au tapin. »

— « Elle s'en remettra ! »

— « Non, tu ne comprends pas, elle veut te donner une leçon. Elle m'a demandé de t'hypnotiser pour je cite, te décoincer du cul. Elle voudrait que tu acceptes de te faire lécher par Estelle, que tu couches avec elle... »

— « Oh ! Non mais quelle garce ! Qu'est-ce que ça peut bien lui foutre, ce que je fais... » S'indigna Clotilde, réfléchissant sans lâcher pour autant la queue redevenue bien dure de son amant.

— « Elle te trouve hautaine pour une simple humaine. Tes principes l'agacent, elle veut te faire redescendre de ton piédestal. » Continua Victor pendant que son sexe reprenait de la vigueur sous les caresses de la jeune femme.

— « Moi hautaine !! Quelle salope ! Et elle t'a proposé quoi en échange de tes services? »

— « Son corps... elle m'a offert une nuit d'amour avec elle, si j'acceptais. »

— « Sans déconner ! Et tu as accepté? » Demanda Clotilde, soudainement inquiète.

— « Je passe la nuit avec toi, pas avec elle ! Et tu sais mieux que personne combien elle me plait, alors je crois que j'ai mérité une récompense, ma chère associée... » Suggéra Victor en exerçant une pression un peu plus forte sur la tête de la jeune femme, en direction de son pubis.

— « Tu ne perds pas le nord toi ! D'accord, mais je suis moins bonne à ce jeu-là que la pute ... » Répondit Clotilde avant de passer sa langue sur les lèvres pour les humidifier.

— « Tu manques peut-être juste de pratique ma belle... » Répondit Victor en amenant le visage de la jeune femme contre sa bite longue et dure.

Clotilde embrassa puis lécha consciencieusement le gland du mage avant de l'emboucher plus franchement. Effectivement la technique de la jeune femme n'égalait pas celle d'Estelle, mais elle y allait de bon cœur. Avec de l'entrainement, elle ferait une très bonne suceuse de bites, pensa-t-il. Après quelques minutes de vas et viens avec sa bouche, elle recracha sa bite pour se mettre à califourchon sur lui. Elle s'aida de sa main pour s'empaler sur lui.

— « Laisse-moi faire. » Dit-elle en plaquant une main sur son torse.

Clotilde commença à onduler des hanches sur lui, faisant coulisser sa bite dans son fourreau. Victor savourait pleinement ce moment d'abandon de la belle, il avait l'impression que le vagin de cette fille était fait pour sa queue tellement ce moment était parfait. Elle se pencha en avant pour varier l'angle de pénétration et les sensations. Il s'empressa de saisir à pleine main la poitrine généreuse qui se balançait devant lui, appréciant la texture ferme de ses seins.

*****

Une douleur fulgurante dans son rectum réveilla Estelle, la faisant hurler, elle avait l'impression qu'une barre de fer lui déchirait l'anus. Son hurlement se répercuta de façon étrange, accompagné d'un cliquetis métallique. Hagarde, le souffle court, elle tenta de reprendre sa respiration en se redressant laborieusement sur ses avant-bras. D'énormes mains la tenaient fermement par les hanches, des mains puissantes, un démon.

Estelle regarda autour d'elle, tentant de deviner où elle se trouvait. L'endroit n'était éclairé que par une pauvre lampe à huile et par une lumière rougeoyante derrière elle. Elle distingua dans la pénombre un mur de roche face à elle. Elle était nue, penchée sur un matelas qu'elle devinait crasseux. Une nouvelle poussée dans son rectum lui arracha un second hurlement. La jeune femme s'affala la tête en avant dans le matelas. C'est là qu'elle comprit que le bruit métallique était celui d'une chaine, elle porta fébrilement une main à son cou, elle portait un collier de métal. Elle se mit à sangloter incontrôlablement alors qu'une troisième poussée encore plus puissante que les autres la faisait hurler à nouveau.

Bien dormi, salope?

Pizarda ! Encore lui ! Il la sodomisait avec sa bite difforme, sa voix rocailleuse résonnait dans son esprit, moqueuse ... Les souvenirs remontèrent d'un coup à la surface. Elle était dans sa tanière !

Après le départ de Clotilde, le démon lui avait fourré une fiole dans la bouche et l'avait forcée à boire une potion au goût étrange. Peu de temps après, son épuisement avait laissé la place à un regain d'énergie presque surnaturel. Elle avait tenté de lui parler, mais tout ce qu'elle avait récolté c'était une baffe, l'ordre de se taire et des insultes humiliantes. Alors elle avait attendu bêtement à genou sur la table, silencieuse. Son regard s'était porté sur le message gravé par Clotilde : Estelle-la-pute s'est faite baisée sur cette table par plus de 20 hommes ! Un frisson de dégoût avait parcouru son dos, c'était tout ce qu'elle était maintenant, Estelle-la-pute. Cette nuit son cul avait rapporté une vingtaine de pièces d'argent, c'était dérisoire. Incapable de penser à autre chose à cet instant, cette idée tournait en boucle dans sa tête.

C'est alors qu'elle avait remarqué son diablotin, Smordif trottait dans sa direction, encombré d'un large pot en métal blanc. Il slalomait avec difficulté entre les pirates endormis à même le sol. Pizarda récupéra l'objet et le déposa sur la table devant elle. La favorite reconnut avec effarement le crachoir qui trônait sur le sol près de l'entrée de la taverne. Sa culotte de satin blanche déchirée baignait à l'intérieur, dans un liquide jaunâtre, au milieu de glaviots de différentes couleurs et textures. A l'odeur elle pensa qu'un pirate ivre avait uriné dedans, c'était gerbant.

Elle se souvenait avoir lancé à Pizarda un regard chargé d'incompréhension avant qu'il ne lui plonge la tête dans le crachoir pour l'obliger à récupérer sa culotte avec ses dents. La sensation de son visage au contact de ce mélange de pisse et de crachat était ignoble, elle faillit vomir. Elle dut s'y reprendre à trois ou quatre reprises pour sortir sa culotte de cet infâme crachoir.

Le démon lui avait ensuite ordonné de fourrer sa répugnante culotte dans la bouche, ce qu'elle fit sans discuter, luttant contre les haut-le-cœur. Le visage ruisselant de glaviots et de pisse, elle pensait que l'humiliation et la honte qu'elle ressentait à cet instant était la pire de toute sa vie. Elle avait tort.

Pizarda l'obligeât à plonger ses mains dans le crachoir pour se caresser devant lui et les quelques rares spectateurs encore réveillés. Les mains tremblantes, elle enduisit ses seins endoloris de cette bave immonde, l'étalant comme une huile de massage abjecte.

Mais c'était le comportement de Smordif, le diablotin qui était à son service depuis trois ans, qui lui faisait le plus mal. Le petit morveux prenait un plaisir joyeux et sadique à la tourmenter, l'enjoignant à être plus vicieuse. Elle obéissait, se cambrant pour projeter ses seins en avant, jouant avec les pointes durcies de ses mamelles.

Face à elle, un pirate avachit sur le sol donna un coup de coude à son compagnon pour le réveiller, l'homme grogna, mécontent, avant de mieux s'installer pour finalement profiter du spectacle. Elle regarda un instant les deux hommes, se demandant s'ils faisaient partis de ceux qui l'avaient sautée plus tôt dans la soirée, elle ne savait plus.

Une sensation de chaleur irradiait maintenant de ses aréoles, elle pinça plus fort ses tétons durcis déclenchant des ondes de... plaisir? Comment pouvait-elle ressentir du plaisir dans de telles circonstances? Pizarda tournait autour d'elle, lui donnant des ordres. Presque sans s'en rendre compte, elle se mit à frotter son clitoris douloureusement gonflé.

La lâcheté qu'elle ressentait une fois de plus, lui donnait le vertige. Son corps, les sensations qu'elle endurait... La partie d'elle qui appréciait être dominée, la salope, la putain, la trainée, prenait le pas sur l'autre. Mon Dieu, elle en voulait plus ! Elle avait envie d'une grosse bite, là tout de suite ! Effarée par cette nouvelle trahison de son corps, elle se mit à gémir incontrôlablement. Heureusement le bâillon étouffait la plupart de ses plaintes.

Elle trempa à nouveau ses mains dans le crachoir, quand on le lui ordonna, pour reprendre une bonne dose de glaviots et de salive. Elle s'en tartina généreusement la vulve, étalant un mollard verdâtre, le mêlant au foutre de différents hommes qui fuyaient de son vagin. Elle enfonça trois, puis quatre doigts poisseux dans sa chatte endolorie et se masturba fiévreusement. La bouche entrouverte, elle gémissait sourdement. Elle manqua de s'étrangler avec sa culotte enfoncée dans la bouche. Proche de l'orgasme, elle frottait frénétiquement son clitoris malmené. Elle jouit ainsi, à genou sur cette maudite table sous les moqueries des diablotins.

Le plaisir passé, tout le poids de la honte s'était abattu sur elle. Elle s'était mise à sangloter comme une gamine, cachant son visage entre ses mains. Pizarda l'avait prise contre lui, comme s'il voulait la réconforter, mais il lui murmurait des trucs cochons à l'oreille, félicitant la putain soumise qu'elle était.

Ensuite, il l'avait entrainée dans les quartiers des prostituées au sous-sol de la taverne pour lui faire prendre une douche glacée. La plupart des filles dormaient déjà, mais pas Berthine, elle se souvenait de son regard méprisant qu'elle n'avait pu soutenir. Ce n'est qu'une fois propre qu'elle eut la permission de retirer la culotte de sa bouche.

Pizarda avait parlementé un long moment avec le démon surveillant la porte qui donnait vers les souterrains. Ils parlaient dans leur langue gutturale, elle ne comprenait pas ce qu'ils disaient, mais il lui sembla qu'ils utilisaient, l'un et l'autre, leur mot pour dire 'pute' en parlant d'elle. Le gardien, un démon au teint bilieux plus grand que Pizarda, avait incliné son crane allongé vers elle pour mieux la détailler. Il scrutait avec ses petits yeux jaunes, son corps nu, comme si elle était une vulgaire pièce de viande. Elle s'attendait à devoir tailler une pipe au démon, mais il se contenta de la renifler avant de tripoter durement ses seins et sa chatte, enfonçant ses doigts fins dans sa chair, la malmenant, lui faisant mal.

Après ça, le gardien les avait laissée passer et Pizarda l'avait balancée sur son épaule, comme si elle ne pesait rien. Il l'avait trimbalée dans les souterrains, s'enfonçant profondément sous la ville, pour arriver devant une lourde porte de métal.

La tanière de Pizarda était une succession de petites grottes sommairement meublée remplit de trophées et de cranes de créatures. Une forte odeur animale imprégnait les lieux, un mélange de fauve, de rance, d'odeur de pieds qui lui avait retourné le cœur, avant qu'elle ne s'habitue peu à peu.

Le démon porc-épic avait sorti d'un coffre une robe beige soigneusement pliée et lui avait ordonné de la passer. Elle se souvenait de cette robe, elle l'avait portée pendant un diner en tête-à-tête avec Sonny. Elle pensait l'avoir perdue peu après. La robe lui moulait parfaitement le corps, en particulier ses seins. Pizarda lui avait ensuite lancé une trousse à maquillage, du parfum et un quart d'heure pour se refaire une beauté.

Quand elle fut prête, il l'avait emmenée dans une sorte de salle à manger, où elle put se restaurer en sa compagnie. Elle était affamée et mangea volontiers le brouet que lui servi le démon. Il la dévorait littéralement des yeux, sans rien dire. Craignant l'inévitable conclusion de ce repas, elle se souvenait qu'elle avait tenté de lui parler pour le raisonner. Tout ce qu'elle avait récolté s'était une nouvelle gifle.

Les démons étaient des créatures sadiques, elle le savait, elle avait été idiote toutes ses années en pensant qu'elle avait noué de bonnes relations avec eux. Elle avait peur, un peu d'être violée, mais surtout elle avait peur de la taille du chibre hors norme de Pizarda, peur d'avoir mal, qu'il la mutile.

Il l'avait mise debout de force et entrainé dans une salle ou trônait un matelas. Elle avait supplié en vain de l'épargner. Le démon avait déchiré son corsage avant de la projeter brutalement sur le matelas. Paniquée, elle avait crié, supplié encore, promis n'importe quoi, sans résultat. Le démon porc-épic était sur elle, il mit littéralement en lambeaux sa jolie robe. Pizarda s'était penché sur elle, en bavant, léchant tout son visage avant de l'embrasser de force, sa langue envahissant toute sa bouche. Les longues épines dorsales du démon rougeoyaient en oscillant rageusement.

Il n'avait pas perdu de temps, lui collant son énorme chibre dans le vagin. Il forçait le passage, en une seule poussée il était au fond d'elle. Elle cria de douleur, le supplia de faire attention, mais il ne l'écoutait pas, elle n'était qu'une fille bonne à violer. Et il la viola pendant longtemps, bestialement, faisant d'elle sa chose, sa chienne soumise. Il l'avait violée sans vergogne, perdant la notion du temps, et mon dieu, elle avait eue mal, mais elle avait aussi jouie, elle avait jouie comme jamais, dans cet accouplement sauvage.

Elle était à la place de ces filles, des prisonnières que Sonny livraient à ses démons pour son plaisir. Elle n'était plus que ça, une pute à démon, tringlée comme la une chienne soumise qu'elle était. Par bonheur, ses craintes n'étaient pas fondées, elle avait mal, mais sa chatte dilatée à l'extrême s'accommodait plutôt bien du chibre de Pizarda. C'est alors qu'elle comprit entre deux cris de douleur ou de plaisir, elle ne savait plus. Ce n'était pas la première fois qu'il la baisait, cette certitude avait fait naitre en elle un nouvel orgasme dévastateur. Elle finit par perdre connaissance, épuisée.

C'était son dernier souvenir, avant de se réveiller enchainée à un mur. Pizarda lui pistonnait le cul avec son énorme chibre avec la régularité d'un métronome. Mon dieu, il était tellement gros, bien plus que n'importe quelle bite qu'elle s'était prise dans le cul jusqu'à présent. Elle avait tellement mal, elle hurla à nouveau de douleur.

Son cri se cassa en un feulement rauque. Pizarda accéléra la force de ses coups de butoir, comme si sa souffrance l'excitait. Il lui démolissait littéralement le cul. Estelle se dit que jamais son corps ne parviendrait à réparer les dégâts qu'il lui causait. Il allait l'élargir à tout jamais !

Fiévreuse, elle se mit à délirer. Répudiée, elle deviendrait une poubelle à bite, juste bonne à être violer par le premier venu, une putain bas de gamme accro aux grosses bites, passant de chibres en chibres, vivant nue dans la rue, mendiant pour un peu de nourriture... devenant la risée de la ville.

Sans s'en rendre compte, elle glissa une main sous elle pour venir frotter son clitoris, espérant confusément qu'un peu de plaisir viendrait atténuer l'intense souffrance qu'elle ressentait.

*****

Victor caressait le dos nu de Clotilde, elle dormait paisiblement blottie contre son torse. Il repoussa la couverture fauve pour admirer les courbes séduisantes de la jeune femme. Le spectacle d'une jolie femme sur une fourrure était quelque-chose qui l'avait toujours émoustillé. Le magicien sentit sa virilité reprendre vie à la contemplation de celle qu'il tenait dans ses bras. Elle s'était montré une amante passionnée et avait fait preuve ses derniers jours d'une force de caractère qu'il appréciait.

Il était forcé de reconnaitre qu'il l'aimait bien, ce qui lui posait un premier problème. Il considérait les femmes comme de vulgaires objets sexuels, des salopes justes bonnes à baiser, à utiliser et à jeter une fois qu'il avait obtenu ce qu'il désirait d'elles. S'attacher à l'une d'entre elles ne faisait pas parti de ses plans.

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