Chien en Devenir Trois

BÊTA PUBLIQUE

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Nolwenn me jeta le carton à mes pieds.

Le carton ouvert, je découvris une cage de chasteté de bonne taille, en acier. Je me frottais le visage en me disant un 'oh merde! merde! merde!'

Un nouveau coup de bottes dans les épaules.

'Mets ça et vite!' 'Et n'oublies pas le cadenas'

Je me mettais à genoux.

Je regardais le mode d'emploi, puis me décidais à passer l'anneau derrière mes couilles, puis vint l'étui que je plaçais devant mon sexe encore décalotté. L'étui tout de métal était froid, ce qui m'aida à forcer mon sexe à pénétrer à l'intérieur. Je poussais l'étui vers l'anneau et arrivais tant bien mal à crocheter le tout, avec le cadenas fournis.

Mes couilles enserrées me faisaient à nouveau bander et l'étui rempli vite sa fonction : je ne pouvais plus bander.

Je regardais, perplexe, cet équipement que je n'avais vu que sur internet. L'étui en métal chromé qui recouvrait tout mon sexe était recourbé vers le bas, mon sexe essayait de gonfler déjà à l'intérieur mais ne pouvait que rester bridé dans ce tube proéminent de 8 cm relié à mes couilles prisonnières, aucun accès à mon sexe n'était désormais plus possible, aucune fente pour pisser!!.

L'acier chromé paraissait robuste, il brillait, tirait mes couilles en avant et m'attribuait un sexe d'acier incurvé rigide inamovible et totalement proéminent!

Je paniquais.

La vue du cadenas une fois refermé, placé tout en haut de cet équipement, m'évoqua une porte d'acier blindée d'un appartement qui se referme sur vous dans un courant d'air quand vous êtes à l'extérieur sur le palier, en slip et sans les clefs!

Elles me contrôlaient entièrement maintenant!

Je reprenais mes esprit et remontais cette culotte sur cet équipement : une bosse gonflait mon entrejambe, vu la courbure du tube. Le cadenas comme pour me narguer était bien visible au départ du tube et ses angles saillaient du nylon.

'Voilas-tu en as dans la culotte maintenant!' 'Et regardes ça!!'

Je levais le visage, elle me présentait la clef minuscule du cadenas entre ses doigts et la mis dans son sac à main.

Je fermais les yeux pour me calmer et allais passer mon pantalon et ma chemise. Je regardais mon pantalon, dont une bosse obscène levait le tissu. Le tube simulait une érection que je ne pouvais plus avoir!!

'Alors pauvre cloporte tu as cru que tu allais t'en tirer comme ça!'

'Mais ce que tu n'as pas compris' dit elle en s'asseyant sur la table en croisant les jambes 'c'est que je te voyais venir, depuis plusieurs semaines que tu me bouffais des yeux (voir première partie) et que j'attendais que tu me baises dans les chiottes'

Je la regardais essayant de comprendre

'Tu crois que tu es le premier à fantasmer sur ma bouche? Je suis toujours arrivé là où je voulais avec ma bouche et mon cul de salope' Elle décroisait les jambes et agitait ses bottes.

Elle riait.

'Après j'ai joué la sainte nitouche avec ma tante. Je lui ai parlé de tentative de viol. Elle m'a cru la vieille! De toute façon elle n'attendait qu'une occasion pour te griller ta place!'

Je restais hébété de ses révélations...

Puis d'un élan, je m'avançais vers elle, menaçant, ne me maitrisant plus :

'Salope de merde!!'

Elle attendait sans aucun doute cette réaction, je le compris plus tard, car je pris aussitôt un terrible coup de botte dans les couilles déjà comprimées par l'anneau.

Je ne vis rien venir et me pliais en deux de douleur.

C'est à ce moment que Laurence revint et vit la scène.

'Qu'est ce qui se passe ici?'

'Oh c'est Rex qui fait le méchant chien, ma tante! Il m'a traité de salope!'

Elle riait très satisfaite

'Rex, Rex, Rex! ' Répétait Laurence en secouant la tête, elle posait les verres de café sur une table.

'Je l'avais dit : ta femme n'a pas voulu être trop dure avec toi. Je dois tout reprendre. Mais avec moi, ce sera la méthode dure! Dès demain je m'occupe de corriger ce mauvais caractère de caniche. En attendant, rinces moi cette gueule pleine de sperme, quelle image pour notre service! '

Je pris le gobelet d'eau qu'elle me tendait en regardant vers le sol pour éviter sa colère que je sentais monter en elle. Je n'avais pas bu depuis bien longtemps et le sperme n'avait pas arrangé la chose!

J'eus la bêtise de murmurer un timide et soumis 'merci '

Une gifle monumentale sur la joue me fit faire un pas de côté, la moitié du verre finit au sol.

'Tu as déjà oublié? Tu n'as pas le droit à la parole!! Comment un chien remercie sa maitresse??'

Je me jetais à 4 pattes instinctivement pour éviter la punition, je posais le verre au sol et restait prostré.

'Mes escarpins! Qu'est ce que tu attends? Lèches!'

J'entendais glousser sa nièce qui se délectait du spectacle.

Je m'approchais à 4 pattes et me baissais jusqu'à atteindre ses magnifiques chaussures avec ma langue, elle me tendit ensuite la deuxième. Puis finalement me repoussa d'un coup de pied dans le nez.

'Stop ça suffit'

Elle était de mauvaise humeur, je restais immobile.

Je n'avais pas vu sa nièce arriver.

Elle renversa le verre d'un coup de bottes. D'un coup de talon aiguille dans les côtes, elle me lança ; 'Remercies moi aussi pour la cage que je t'ai offerte'. La tige de sa botte écrasait déjà mon nez.

Je regardais du coin de l'œil mon verre désespérément vide et léchais consciencieusement ses bottes, semelles et talons. Elle m'insultait copieusement et gloussait pour m'humilier encore plus.

Elle fit durer son plaisir, jusqu'à ce que ses bottes reluisent.

Laurence ne m'accordait plus d'attention et finissait de remplir ses documents.

J'étais le jouet de cette jeune salope!

Finalement je fus autorisé à rejoindre mon bureau.

Je tentais de cacher ma joue écarlate et mon entrejambe obscène. Je restais calé à mon bureau toute la matinée et essayais de me concentrer. Laurence passait d'un bureau à l'autre, donnait des instructions.

Je ne pouvais pas détacher mon regard de son déhanchement provoquant. Je sentais mon sexe gonfler et rapidement être bloqué par son étui. Mes couilles cerclées par l'anneau étaient douloureuses et me rappelaient ma situation

Malgré ce qu'elle m'infligeait, je fantasmais encore sur son corps voluptueux. Son autorité naturelle me glaçait le sang, mais sa prestance, son regard, son corps attirait mes yeux.

Je n'étais pas le seul, je le voyais bien sur le personnel.

Tout le monde avait compris qu'elle avait pris subitement depuis ce matin l'ascendant sur moi. Je n'étais que l'ombre de moi-même. Le personnel m'évitait.

Laurence rayonnait d'autorité. Elle inspirait le respect voir la crainte de tout le bureau.

Mais ma relation avec elle était unique! Terrible et effrayante, mais unique!

Étrangement le fait d'être en son pouvoir me faisait trembler d'appréhension, sur mon avenir proche. Mais en même temps, j'étais presque fier de me trouver entre ses mains : au moins elle me regardait et m'adressait la parole!

Même si ce n'était que des ordres ou des insultes, j'avais de cette façon pu l'approcher et au moins avec ma langue prendre en quel que sorte contact.

Je sais ce n'était que ses chaussures.

Cette femme me rendait dingue, je ne savais plus où j'en étais

Je commençais à me considérer comme lui appartenant!!! Bref elle m'avait pris en main, malgré moi et le service avec!!

Vint l'heure de la pause de midi, le bureau se vidait. Je fis mine de me lever pour aller manger (une cantine se situait dans un autre bâtiment).

'Où crois-tu aller?' me lança Laurence. Je dus la suivre, sans un mot bien sur. Je me surpris à encore (avoir envie de) bander, du fait de me retrouver seul avec elle, à suivre son déhanchement hypnotique des yeux

. Elle me conduisit au WC, me fit entrer dans le réduit des femmes de ménage entre 2 portes de chiottes.

Elle m'y enferma à clef et repartit sans un mot.

La porte claqua, le silence régnait, tout le monde était parti manger.

Je m'assis sur un seau retourné au milieu des produits de nettoyage et attendis dans le noir la fin de la pause.

Je fus finalement libéré et fus autorisé à aller à mon bureau. J'étais affamé, mais plus que tout assoiffé. Je ne pensais qu'à ça. Cela m'obsédait. Je regardais de temps à autre Laurence pour essayer d'attirer son regard.

Elle ne me prêtait pas plus d'attention qu'à une chaise!

Par contre les personnes du bureau me regardaient souvent. Je devais avoir une allure inhabituelle et surtout négligée.

Mon service était constitué de dix personnes, que j'avais fait rentrer pour la plupart. Neuf femmes et un homme. Toutes ces femmes étaient soit passées sous mon bureau, soit avaient été convoquées pendant midi dans ma voiture ou dans un chiotte. La petite Cécilia avait perdu ses virginités de ses trois orifices avec moi. Un cul étroit bien cambré. Toutes ses pensées me faisaient du mal : je devais me sortir de cette merde.

Mon comportement effacé, mon silence, mes yeux baissés sauf pour regarder ma tortionnaire, tout devait leur paraitre étrange à tous.

Moi qui la semaine dernière encore, me pavanais, lorgnais les décolletés, pinçais les culs des plus méritantes et finalement baisais la bouche de cette salope de Nolwenn!

Elle était partie ce fin de journée en me faisant un clin d'œil bien visible devant tout le bureau et avait tourné du cul comme jamais, en faisant tourner la clef du cadenas autour de ses doigts!!

'Alors c'est ta nouvelle chasteté qui te met dans cet état?'

Je relevais la tête en sortant de mes réflexions, Laurence se tenait à côté de mon bureau. Tout le monde était parti, la journée de bureau était finie!

'Debout, tu me suis'

J'étais partagé entre effroi, angoisse de ce qui m'attendait encore. Mais ma femme m'avait dit de rentrer avec le bus, avec cette horrible cage en acier qui me faisait une bosse obscène!

Comment aurais je pu faire?

Non je préférais de loin, suivre Laurence, je ne sais où.

J'en étais malade d'appréhension mais je l'aurais suivi n'importe où.

Oui j'avais vécu une scène douloureusement humiliante à ses pieds quand elle m'appelait Rex, mais jamais bizarrement je n'avais jamais été aussi proche de son corps, de ses chaussures, ses chevilles, ses jambes divines...

Hum ma cage métallique se rappelait à mon sexe.

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4 Commentaires
ChrisstefChrisstefil y a 7 mois

Le récit commençait très.bien puis le 3 est une recopie du 2

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Quand pensez vous édité le bon chapitre ?

Sium38Sium38il y a environ 2 ansAuteur

Oups merci pour l'info

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

c’est la même histoire que le chapitre 2....je pense que vous vous êtes trompé en publiant le fichier

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