Chien en Devenir Deux

Informations sur Récit
Toujours plus de déchéance de cet ancien macho.
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/11/2022
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Aussitôt la porte ouverte, Toby entra dans le salon et sauta sur le canapé pour se reposer.

Hélas, maîtresse, ne me laissa pas de répit et m'entraina avec la laisse à nouveau sur la terrasse pour un nettoyage de mes 'papattes', comme elle se plaisait à me dire.(Elle me fit remarquer que Toby s'était fait sa toilette pendant le trajet, lui)

Un bref moment d'espoir me fut donné, lorsque maitresse défît mon collier serré et entreprit d'ouvrir la fermeture de ma cagoule. Mais je sentis, déçu, qu'elle déboucla uniquement mon bâillon dans ma nuque et rabaissa la fermeture éclair de la cagoule.

Elle ouvrit une fermeture éclair qui se situait sous le museau et je sentis de l'air frais arriver sur mon visage. Elle tira sur mon bâillon pour le sortir de ma mâchoire endolorie. Je ne pouvais pas refermer la bouche, les muscles douloureux, un flot de bave s'échappait de ma bouche libérée.

'Bien, maintenant tu vas nettoyer les bottes de maitresse avec ta vilaine langue. Allez retires moi toute cette boue'

Un coup de botte dans mon museau me motiva à trouver l'orifice de ma cagoule avec ma langue. J'essayais d'atteindre sa botte, mais le museau me gênait. Je penchais douloureusement ma tête sur le côté, libéré de mon collier. Devant ma répugnance à lécher ces amas de terre et de feuille, je reçu plusieurs coup de martinet sur le dos, déjà meurtri, qui me firent gémir.

Entendre ma voix me surpris autant que les coups. J'étais tenté de vouloir en profiter pour m'excuser et essayer de la raisonner, mais j'avoue que j'avais peur de sa réaction et mon travail pour l'instant était de nettoyer les bottes de maitresse.

Je m'appliquais de mon mieux pour la satisfaire et tourner autour de ses jambes pour atteindre toute la surface du cuir.

Elle me présenta son autre botte toute aussi crottée et attendait en silence que j'ai eu fini.

'Tu vois mon Rex, quand tu veux, tu peux te rendre utile! '

D'un seul coup un flot de désespoir m'envahit et je pris ses bottes entre mes pattes avant et léchais avidement la tige de la botte en pleurant :

'pardon, pardon' sanglotais-je.

Je ne savais si c'était la réaction par rapport à son compliment ou la peur de recevoir une punition d'avoir parlé, mais je n'avais pas pu exprimer mes sentiments depuis ce vendredi soir. Je voulais qu'elle sache que je regrettais de l'avoir trompé une fois de plus, que je n'en pouvais plus de cette humiliation sans fin, mais je redoutais de prononcer tous ces mots avec le risque de recevoir tous ces coups de fois.

Je renouvelais bêtement 'pardon, pardon!!'

Je m'attendais à ce qu'elle réagisse violemment.

Elle ne dit rien.

Elle s'accroupit et remis mon collier, resserrant et bloquant à nouveau mon cou, attacha la laisse, me tira et m'attacha à nouveau au tuyau à côté de la chaudière.

Elle partit et revint avec une gamelle et un sac de croquettes.

''Moi je crois que mon Rex a une grosse faim. Tu as fait ta promenade, , tu t'es occupé de ta maitresse et avec tout ça j'ai oublié de nourrir mon gentil Rex.'

Elle m'approcha la gamelle remplie de croquettes dont l'odeur m'écœurait et une gamelle d'eau.

'Mon Rex va reprendre des forces, faire ses besoins et après : dodo'

Elle passa derrière moi et tira sur le plug qui finit par sortir en me forçant l'œillet. Elle le déposa finalement entre les deux gamelles.

'Tu me nettoieras ça avant que je te le remette pour la nuit'

Elle me laissa seul devant mes gamelles, incrédule. J'avais très soif et essayais de laper tant bien que mal. J'avais très faim mais je me refusais à manger ces croquettes!!

Finalement, ne pouvant plus me retenir, je fis mes besoins tant bien que mal dans la caisse à litière.

Je restais seul une bonne partie de l'après midi qui s'étirait doucement. Je prenais peur quand la sonnette retentit, Toby aboya.

Manifestement des amis passaient prendre un verre, j'entendais rire à travers la porte. Ma femme passait du bon temps. Je redoutais que quelqu'un ouvre la porte du garage et me voit.

La faim ne me lâchait pas.

Je buvais pour me remplir l'estomac.

Je finis par m'endormir sur le tapis.

La porte s'ouvrit et Toby vint me lécher le museau, ma femme derrière lui.

Elle portait une nuisette fuchsia que je lui avais offerte.

Il devait être tard, elle s'accroupi devant moi pour reprendre le plug et je ne pus m'empêcher de regarder avec envie sa culotte assortie.

Combien de temps allais-je être privé de son sexe? De son corps?

'Allez Rex, à 4 pattes, c'est l'heure de se préparer pour la nuit'

'Tu n'as pas léché ton plug? Allez vas y nettoies moi ça!'

Je m'exécutais et nettoyais de ma langue le latex. Elle vint s'assoir à califourchon sur mon dos, m'arrachant encore un cri de douleur. Elle fourra sans ménagement le plug qui reprit sa place. Elle détacha la laisse et je dus la suivre.

Je bandais.

Elle me détacha enfin les chaines qui reliaient mes bras et mes jambes. En me tirant par la laisse, elle m'obligea à monter l'escalier qui menait aux chambres. J'avais du mal à la suivre, même avec les membres détachés.

J'arrivais essoufflé au pied de notre lit, ma chaine fut fixée au pied du lit avec un cadenas.

Elle m'ôta ma cagoule et je pus respirer à l'air libre enfin! Je sentais que la punition allait être levée ou du moins adoucie.

Ma joie fut de courte durée, elle ressorti le bâillon qui repris sa place dans ma bouche. Je ne protestais plus et subissais comme une marionnette ses traitements.

Elle finit par se coucher seule dans notre grand lit et éteindre la lumière, moi couché au pied du lit à essayer de trouver une position confortable qui me fit oublier ce collier.

Je dormis peu. J'attendais qu'elle se lève.

Toute la nuit j'avais ficelé des scénarios de la journée qui m'attendait.

Elle ne pouvait pas me garder ainsi indéfiniment, je devais aller travailler et reprendre une vie 'normale'!!

Je n'osais pas protester dans mon bâillon quand je la vis prendre sa douche, descendre déjeuner, s'occuper de Toby.

Elle remontait dans la chambre et ouvrait le dressing pour se choisir une tenue, sans se préoccuper de moi!

Je la voyais se maquiller, se coiffer, prendre son temps. Elle finit par sortir une de mes chemises et un pantalon et les fourra dans un sac, avec d'autres vêtements.

Je tirais sur la laisse pour marquer mon impatience : je devais prendre une douche pour nettoyer mon corps meurtri du week end, me raser.

Bref reprendre une allure présentable!

Elle finit par m'entrainer en bas. Je descendais douloureusement les marches à 4 pattes tiré par la laisse. J'étais dépité, je ne voyais pas d'amélioration de mon traitement. Il fallait que ça s'arrête, ces conneries!

On m'attendait au boulot, j'avais de grosses responsabilité!

Mais elle me tirait sans ménagement par la laisse et me fit sortir pour monter dans la voiture, dans le coffre.

Je paniquais complètement quand je vis par les vitres qu'elle prenait le chemin de mon travail. J'étais nu quasiment dans le coffre, équipé d'un collier, du bâillon et des sachets autour de mes mains ankylosées!

Elle se gara dans le parking souterrain qui desservait mon entreprise, laissa le moteur en marche en me détacha mon collier, mon bâillon et tout mon harnachement.

Ouf la punition s'arrêtait donc là!

Je n'osais la regarder. Je me mis assis dans le coffre et frottais mes poignets et mon cou rougis des frottements du week end.

'Voila tes affaires, tu t'habilles rapidement, tu rentreras en bus ce soir, voila l'argent nécessaire'

'Merci' je ne voyais pas quoi reprendre d'autre. J'ouvrais le sac de mes affaires pour m'habiller rapidement à la vue du moindre passant.

Je ne trouvais en guise de sous vêtement qu'une culotte de ma femme en dentelle. Je la regardais incrédule.

'Dépêches toi Rex' Je dois partir j'ai d'autres chiens qui m'attendent' (rappel : ma femme travaille dans un cabinet vétérinaire)

J'enfilais la culotte, puis le reste de mes affaires. Je n'osais imaginer mon visage encore marqué par le bâillon, des traces de bave séchée devaient être visibles. Elle démarra aussitôt et me laissa là, désemparé mais satisfait aussi de reprendre ma vie d'homme, enfin!

En entrant dans l'entreprise, j'essayais de me faire discret et rejoins aussitôt les toilettes pour trouver une glace et me nettoyer.

Je vérifiais que les stries des coups de ceinturon ne saignaient pas à travers ma chemise blanche.

J'avais les yeux rouges, le teint blafard, la barbe naissante. Ma chemise était toute froissée. J'ajustais ma cravate autour de mon cou douloureux, vérifiais que la culotte ne laissait pas de traces suspectes.

Je rejoignais mon bureau, les collègues me regardaient d'un drôle d'air en voyant ma barbe de deux jours, ma peau marquée, mon pantalon fripé. J'étais mal à l'aise avec cette culotte sous mon pantalon. Est-ce qu'elle pouvait se voir?

Une fois assis à mon bureau, je soufflai comme pour oublier mon week end, mon humiliation.

Je devais me concentrer pour retrouver mon esprit de responsable de service, ne pas penser à toutes les flagellations dans mon dos et sur mes fesses et cette culotte inconfortable.

Heureusement en tant que responsable, j'arrivais toujours plus tôt que les autres et je pus reprendre mes esprits doucement avant leur arrivée.

Du moins j'affichais un visage que je voulais serein et autoritaire.

Dans mon cerveau, tant de questions se bousculaient. Et j'appréhendais l'arrivée de Laurence ma collègue.

Elle était au courant de tout et peut être même à l'origine de tout ce stratagème!

Quelle attitude adopter?

Je devais me montrer calme et peut être m'excuser de mon comportement!

En réalité, je n'en menais pas large.

Laurence m'avais toujours déstabilisé.

Je n'arrivais pas à me concentrer jusqu'à son arrivée.

Elle salua tout le monde en s'approchant de mon bureau. Je ne pus m'empêcher d'admirer une fois encore sa tenue toujours très classe dans un tailleur strict, vert, cintré qui lui mettait les hanches en valeur. Elle portait apparemment des bas avec des escarpins vertigineux assortis à son tailleur. Elle fini par arriver vers moi, rayonnante, mes serra la main encore douloureuse du week end et me demanda un peu trop fort à mon gout en me regardant dans les yeux :

'Alors ce week end, c'était comment?'

Je devins écarlate aussitôt, devant son grand sourire éclatant, j'avais l'impression que tout le monde savait ce qui c'était passé.

'Oui, oui' réponse à côté de la plaque, je regardais le sol, je suais.

'Il faudra qu'on se voit tout à l'heure pour le programme de la semaine. On fera ça dans la salle de réunion'

Son ton était ferme, contrairement à d'habitude. Son attitude avait changé radicalement.

Elle me toisait et je me sentais ridicule dans ma culotte en satin.

Je relevai la tête, surpris, car elle avait toujours refusé de faire des réunions dans cette pièce isolée en tête à tête avec moi, sachant mon penchant pour les mains au cul et ma réputation de détrousseur...

Maintenant elle m'imposait ce face à face, connaissant ma situation délicate!

'Oui oui!' dis je en relevant la tête, blanc comme un linge. Elle me regardait d'un sourire cynique, ne cachant rien de sa satisfaction.

Je ne pouvais pas me concentrer de la matinée et n'avançais pas dans mon travail.

L'heure de la réunion arriva.

Je pris quelques dossiers pour me donner une contenance. J'entrai et m'assis face à elle à une table

Elle me laissa le temps d'ouvrir mes dossiers et se leva pour aller à la porte, qu'elle ferma à clef. Comme je fis comme si de rien n'était, elle s'adossa à la porte et commença :

'Bien, vu les événements et ton comportement inacceptable de ce vendredi, tu imagines bien qu'il y aura des conséquences dans notre relation professionnelle!'

Je tournais la tête et pivotais sur ma chaise : 'Comment ça? Je... je peux m'expliquer. Je ne sais pas ce qui m'a pris.... ta nièce m'a sauté dessus...je suis allé un peu loin...je m'excu'

'Silence! Comment oses-tu me parler sur ce ton! Ton weekend ne t'a rien appris! Mets toi à 4 pattes et regardes le sol!!!'

Je restais interloqué, paralysé par son ordre abrupt.

Elle n'avait pas crié, mais plutôt baissé la voix, elle serrait les dents, en colère.

Une colère maitrisée qui me fit regretter de m'être laissé aller à chercher des excuses!

'Rex!! à 4 pattes j'ai dit!!!!'

Ce nom me donna la chair de poule, me remémorait mon weekend de honte.

Je tombais à 4 pattes, la tête basse.

Je sentais que je ne m'en sortirai pas, pas avec Laurence, ici sur mon lieu de travail.

J'attendais la suite, n'osant pas relever la tête.

Je l'entendis s'approcher doucement et vis ses escarpins sous mes yeux. Elle me frôlait de ses jambes gainées de bas, des jambes qui m'avaient toujours enfiévré, elle tournait autour de moi doucement.

'Je disais donc Rex que notre relation professionnelle va changer. Radicalement. Si tu contestes, j'en avise nos supérieurs et je serai obligé de parler de ma nièce, bien sur!'

'Ta femme n'a pas été assez ferme, malgré les conseils que je lui ai donnés. Enlève ta chemise et ton pantalon, je veux voir les marques sur ton corps de chien'

Sa voix glaciale me sidérait, je me déshabillais rapidement en restant accroupi et jetais rapidement mes affaires pour reprendre instinctivement ma place à ses pieds.

J'oubliais que je me trouvais en sous vêtement féminin.

'Ah, comme ça te va bien cette culotte, bonne idée!'

'Ecoutes moi bien Rex! Lève la tête et regardes moi bien dans les yeux'

J'obtempérais.

Elle se tenait mains sur les hanches, sa poitrine opulente fièrement dressée. Elle m'écrasa une main d'un de ses talons aiguilles, appuya et tourna, je serrais les dents mais ne la quittais pas des yeux.

'A la moindre réflexion, à la moindre hésitation, tu seras puni. Mes paroles sont des ordres que tu suis à la lettre, tu ne m'adresses plus la parole sans lever le doigt et attendre. Oublies ça et tu seras punis. Ces marques sur ton dos et ton gros cul ne sont rien par rapport à ce que je peux te faire. Ta femme a utilisé une ceinture, moi ce sera le fouet. Pas le fouet qu'on trouve sur internet pour faire sado-maso le dimanche.

Non le fouet en cuir qui claque, lacère et ouvre la peau pour sévir, punir, mater les plus coriaces. Le fouet c'est la peau qui explose comme une saucisse, une souffrance que tu ne peux pas imaginer, des cicatrices à vie, des spasmes de douleur jusqu'à tomber dans les pommes!'

Un silence.

J'avale ma salive et n'ose baisser les yeux.

Mon cerveau ne fonctionne plus.

Elle enlève son talon aiguille de ma main. Je ne bouge pas. Elle contourne la table et se rassoit.

'Debout!'

'Bon devant ton comportement, je vais adapter la situation immédiatement!'

Elle se leva et sortit du bureau en refermant la porte derrière elle.

J'attendais quelques minutes, ridicule en culotte, devant cette table. J'avais froid et respirais difficilement. Elle revint s'assoir à sa place avec des documents. Un grand sourire éclairait son visage. Elle déboutonna sa veste de bustier. De part ma position surplombante, je voyais son décolleté sur une poitrine généreuse qu'un chemisier blanc en satin comprimait.

Je me tenais debout devant elle, quasi nu, ne sachant quoi faire.

'Tu vas me signer ça, c'est une demande de congés pour 8 jours qui prend effet ce soir'

Elle me retourna la feuille que je lus, incrédule. Je signais sans réfléchir, je sentais mes jambes s'enfoncer dans le sol, ma main tremblait.

Tout à coup la porte de la salle s'ouvrit, je me redressais et me retournais en cachant machinalement mon sexe derrière mes mains.

C'était la stagiaire, Nolwenn.

Qui referma la porte à clef et se dirigea vers Laurence tout en me regardant de haut en bas avec un sourire moqueur.

Elle qui m'avait excité depuis le premier jour avec ses tenues sexy, me laissa hypnotisé devant sa tenue : un perfecto en cuir ouvert sur une sorte de bustier corset rouge, une jupe noire en cuir droite très serrée jusqu'aux genoux et une paire de bottes noires en cuir verni avec des talons vertigineux.

Elle me provoquait en tournant admirablement du cul et vint faire la bise à Laurence, sa tante, sa croupe tournée vers moi.

Malgré ma situation désespérée je sentais mon sexe bander. Je tenais toujours mes mains devant.

Elles discutaient comme si je n'étais pas là. Je ne pouvais m'empêcher de jeter des coups d'œil à cette bombe. Mon sexe commençait à tendre le nylon de cette culotte.

Nolwenn vint tourner autour de moi, elle vint derrière moi et me caressa les fesses à travers le nylon.

'Tu ne la trouve pas mignonne comme ça la petite pute, Laurence?'

Cette fois le maigre tissu de la culotte n'empêchait pas mon sexe de se dresser à l'horizontal. Mes mains ne pouvaient tout dissimuler. Je sentis son ongle suivre l'élastique de la culotte et arriver sur mon ventre.

Ma respiration s'amplifiait.

Son parfum suave, l'odeur du cuir, ses bottes qui frôlaient mes mollets...

'Oui elle aurait du succès au bois! Allez Rex, tu signes encore ça, dépêches toi, je ne vais pas y passer la matinée'

Je me penchais à nouveau sur la table pour signer, laisser apparent mon sexe dressé de désir

'C'est l'accord pour embaucher la jeune stagiaire que tu as devant les yeux. Apparemment elle te plait bien!! ' dit-elle en baissant les yeux sur mon sexe tout veiné qui transparaissait derrière le nylon.

' Ah j'oubliais : ce que je t'ai dit pour moi et valable pour elle aussi : tu lui dois obéissance et respect'

'Bien!' Elle se levait en vint près de moi 'tu vas commencer par t'excuser auprès de Nolwenn :

Tu te mets à 4 pattes tu baisse ta culotte aux genoux'

J'obéissais sans broncher.

Nolwenn vint aussitôt s'assoir sur mes épaules, ses cuisses contre mes oreilles, ses bottes devant mes mains. Je ne pouvais pas m'empêcher à ses cuisses écartées et sa chatte pressée contre ma nuque, malgré la douleur sur mes cicatrices.

Je bandais comme un âne.

Elle riait.

'Maintenant tu te branles et disant 'Rex s'excuse' Laurence elle ne riait pas.

Le poids de Nolwenn sur mon dos, j'essayais de me branler d'une main, l'autre soutenant mon corps. Je m'y repris à plusieurs reprises, perdant l'équilibre.

'Allez Rex excuses toi'

Je n'allais pas tenir longtemps, l'odeur du cuir m'entêtait, ma nuque se trouvait sous la jupe en cuir et forçait ma tête vers le sol, son cul divin dans sa jupe s'appuyait sur ma peau, ses cuisses et les bottes de cette jeune déesse me frôlaient et râpaient mes joues, Laurence se tenait devant moi et me traitait de pute, de chienne. Je me retrouvais sous le pouvoir de ces deux femmes qui contrôlaient jusqu'à ma jouissance. Je me sentais comme un jeune puceau nu devant une femme mûre. En quelques secondes seulement, Rex éjacula rapidement dans un spasme soudain en gueulant 'Rex s'excuse'.

J'étais sevré depuis ce vendredi et des jets de sperme fournis giclèrent au sol.

Je repris vite appui sur mon autre main couverte de sperme, essoufflé. J'avais ressenti ça comme une éjaculation précoce, médiocre et honteuse.

'Maintenant tu nettoies tout ça avec ta langue' m'ordonna Laurence face à moi.

'Ma petite pute à joui? Non...? Dommage, c'était la dernière occasion' me lança Nolwenn qui s'était relevé pour reprendre sa position sur le côté.

Elle me lança un coup de botte dans les côtes.

Elle alla à son sac à main en sortis un paquet, pendant que je me tordais de douleur.

'Bon je vais nous chercher un café' repris Laurence. 'Quand je reviens, le sol est propre, tu as passé le petit cadeau de bienvenue de Nolwenn et tu te rhabilles' 'Nolwenn tu le surveilles?'

'T'inquiètes pas'

Un nouveau coup de bottes.

'Allez lèches moi tout ça! Qu'est ce que tu attends? '

Je commençais à laper le sol, écœuré de mon propre sperme. J'entendais la porte claquer et le bruit des talons qui s'éloignaient.

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