Chien en Devenir

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Soumission et humiliation d'un mâle alpha déchu.
1.2k mots
4.31
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Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/11/2022
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Sium38
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J'avais toujours été un homme à femmes. 45 ans, marié depuis 20 ans, j'avais fait cocu ma femme bien des fois.

Elle devait s'en douter, mais entre nous ça ne marchait pas trop fort. Elle était pourtant encore très désirable. Elle se refusait souvent à moi qui aie un gros appétit sexuel, nous n'avions plus trop de rapport sexuel.

Par contre de mon côté, j'étais le chaud lapin.

J'étais le responsable d'un bureau d'étude de 15 personnes qui se présentait sous forme d'une grande pièce vitrée et régulièrement des stagiaires ou des intérimaires passaient quelques mois dans l'entreprise.

J'abusais de mon position hiérarchique pour motiver les plus réticentes à me sucer dans les chiottes ou dans un placard de rangement.

La dernière en date, Nolwenn ne devait pas avoir 20 ans, elle était là déjà depuis 3 semaines. Je savais pourtant que celle-ci je ne devais surtout pas y toucher : c'est la nièce de Laurence une collègue avec qui je partageais la responsabilité du bureau.

Laurence connaissait ma femme pour l'avoir invitée une ou deux fois à manger à la maison. Laurence m'attirait depuis longtemps, mais elle restait inaccessible et m'avait déjà giflé pour une main au cul que je n'avais pas pu retenir. Elle m'avait fait comprendre que j'étais un homme marié et devait respecter ma femme...Elle avait beau dire : Laurence avait la cinquantaine avec un corps voluptueux, des formes à bander comme un âne et était toujours habillé avec des tailleurs moulants, des escarpins vertigineux. Un fantasme inassouvi...

Pourtant de part son attitude dédaigneuse et son regard fier elle inspirait une sorte de crainte et du respect. Bref c'était une bombe et je devais jouer en finesse avec elle..

Revenons-en à cette Nolwenn. Pour un vieux pervers comme moi, ce fruit défendu m'obsédait encore plus, d'autant que le fruit était prêt à cueillir!

Ce matin elle portait un chemisier couleur métallisé satiné qui laissait entrevoir les coutures de son soutien gorge bien rempli. Cela faisait 3 semaines que je la matais, sa bouche et ses seins dressés m'excitaient énormément. Je ne tenais plus. Hier soir j'avais baisé ma femme comme une brute en pensant à son corps! Je n'arrivais pas à me concentrer de la journée.

Ne me contrôlant plus, j'allais à son poste de travail.

Apparemment cette petite était maline car elle avait vite compris mon manège, avec ses grands sourires, son cul qui ondulait quand elle me croisait. Elle me chauffait. On était vendredi soir et sa mission se finissait, mais je pouvais la renouveler si elle se montrait efficace et ...dévouée.

Un dossier sous le bras, j'étais allé à son bureau et, penché sur elle et son décolleté racoleur, lui avait signifié que ça ne tenait qu'à elle de renouveler sa mission, en restant tard ce soir par exemple. Ça ne tenait qu'à elle et sa langue lui avais je murmuré à l'oreille.

Je l'avais rejoins comme convenu dans une cabine des chiottes des femmes et je la coinçais rapidement contre le mur. Je la forçais à s'accroupir et enfournais sa bouche de mon sexe déjà bien gonflé. Mes manières de mâle chauffé depuis des semaines par cette allumeuse eurent l'air de la surprendre. Une main derrière sa tête et l'autre autour de son cou, je lui baisais la bouche comme un forcené. Elle tentait de se débattre et essayait de me repousser avec ses bras sur mes cuisses, mais je lui avais bien fait comprendre qu'elle devait obtempérer pour revenir lundi...

Elle s'attendait à quoi cette salope? Un bisou dans le cou et des poèmes?

Ma bite forçait sa gorge et ressortait dans de grands bruits de succion. Elle étouffait crachait et pleurait, mais j'étais en rut. Je lui ravageais les lèvres, son rouge à lèvre coulait avec des flots de bave qui venaient souiller son chemisier. N'y tenant plus j'éjaculais au fond de sa bouche tout en continuant de la buriner, elle tentait de m'écarter mais je la tenais fermement. De la mousse s'échappait de chaque côté de ma bite en feu et coulait sur son menton.

Je me retirais et essuyais mon sexe dans ses cheveux. Elle reprenait son souffle et crachait ce qu'elle pouvait dans les WC.

'C'est bien ma grande, tu l'as ta mission pour lundi. Allez bon weekend!' Je relevais mon pantalon et sorti en veillant à ce qu'il n'y ait personne devant les lavabos, passais prendre mes affaires et quittais l'entreprise avec en tête cette bonne petite suceuse méritante que j'allais retrouver lundi.

Bon je l'avais un peu brutalisée, j'espère qu'elle serait discrète sur notre relation... après tout je ne l'avais pas sodomisée. Enfin on verra ça pour les jours suivants!

A partir de ce moment, toute ma vie a basculé. J'étais chez moi affalé sur le canapé devant la télé, quand ma femme assise à mes cotés, reçu un sms.

Après l'avoir lu, elle alla s'isoler dans la cuisine et je l'entendis passer un coup de fil.

Absorbé par la télé, je ne remarquais pas le changement d'humeur de ma femme quand elle revint. Une bonne demi-heure s'était écoulée.

Elle avait pleuré et était très nerveuse.

'Tu as un souci mon bébé? Qu'est ce que se passe?'

'Rien ' me répondit elle

Son portable sonna et elle retourna à la cuisine. La discussion dura très longtemps, j'y prêtais cette fois attention, mais je n'entendais pas beaucoup parler ma femme, elle écoutait.

Elle fini par revenir 2 mug à la main. Je la regardais et ne vit plus trace de tristesse dans ses yeux, mais un calme résolu. Ma femme est plutôt du genre colérique voir hystérique, rarement calme.

'Tu es sur que ça va bébé?'

'Ça va mieux et ça ira bien mieux tout à l'heure'

'Bon tu es sûre?' Je ne lui posais pas plus de question, habitude de mari volage qui ne supportait pas les questions de sa femme sur les cheveux retrouvés ou les odeurs de parfums suspectes...

Je bus mon mug et retournais à ma télé. J'entendais ma femme fouiller dans la chambre, dans le garage.

'Quelle énergie' me disais je, tandis que moi je me sentais vraiment fatigué.

...

Je m'étais endormi quand je sentais qu'on me secouait. J'étais encore sur le canapé. Ma femme me tirait par le bras pour me faire assoir. La tête me tournait et je l'entendais me dire de me lever. Je me levais difficilement, très faible. Ma femme me tirait par les bras. Elle se tenait en face de l'autre côté de la table basse. Je me rendis compte que chacune de mes chevilles étaient immobilisées de chaque côté de la table. Je perdais l'équilibre et m'affalais sur le plateau de la table. Mes pieds refusant de m'aider à me redresser, je me retrouvais incapable de me relever.

'Je me sens pas bien bébé, aides moi à me relever' ma bouche était pâteuse

C'est à ce moment que je me rendis compte que mes poignets étaient ficelés à une corde chacun. Ma femme commençait à tirer sur l'une d'elle et la fixait au montant droit de la table. Je fus déséquilibré et me retrouvais à plat ventre sur la table. Elle tirait sur mon poignet pour fixer la corde sur le montant gauche de la table

'Mais qu'est ce que tu fabriques, aides moi donc!'

Elle passait derrière moi et je sentais vaguement des cordes se resserrer autour de mes cuisses, puis mon torse, mes coudes. Je luttais contre le sommeil.....

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4 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus de 2 ans

Oui bon début bien raconté j'attends la suite

Patoche95Patoche95il y a plus de 2 ans

Bonjour,

C'est un homme qui cette fois vas subir "les foudres" de sa femme. Je ne dirais pas que c'est rare, mais ça mérite d'être souligné, ça change un peu. Bon début en tout cas.

J'attend la suite.

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

vivement la suite tres bon début

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 2 ans

je pense que le meilleur est à venir

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