Rêverie Féminine

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une rêverie dans un gynarchique.
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Sium38
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J'étais là à me prélasser sur mon transat au doux rayon de soleil de printemps. Je n'étais troublée que par les bruits des assiettes entrechoquées par mon cochon de mari qui faisait la vaisselle. Je me laissais aller à de douces pensées très agréables et fini par m'endormir.

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Je me réveillais langoureusement dans mon grand lit.

Mon esclave Cochon venait m'ouvrir les volets et m'apporter mon déshabillé fuchsia satiné et mes mules à talons assorties.

Il était prêt, comme d'habitude, à partir au travail. Il avait revêtu le traditionnel et obligatoire legging blanc, moulant son gros cul et sa cage de chasteté de rigueur. Une cravate en cuir sur son collier d'acier et la chemise en satin blanc moulante, qu'il avait fraichement repassée hier soir. Je pouvais voir que chacun de mes levers avait la même réaction sur son pubis gonflé d'excitation. Je ne me lassais pas de ce moment matinal.

Hier soir, pour me souhaiter une bonne nuit, il m'avait bien sûr léché consciencieusement l'abricot et avait savouré mon nectar, sous mes draps, pendant que genoux repliés je lisais mon roman érotique. Il m'avait laissé sur un claquement de doigt, nue, humide, lascive et ensommeillée.

Il avait du nettoyer le reste de l'appartement et repasser mon linge en priorité avant de regagner son réduit de nuit entre les balais et mes chaussures à nettoyer.

Il me souhaita une bonne journée oisive en me léchant les orteils avant de me passer mes mules à talons, puis s'en alla prendre le bus pour aller travailler.

Comme la plupart des hommes désormais, il occupait un travail manuel et basique. Lui, était caissier dans un grand magasin de produits de luxe féminin. Il s'en tirait bien, il restait assis toute la journée à s'occuper des achats de toutes ces Femmes. Je lui disais qu'il était privilégié au milieu de toutes ces consommatrices.

Il se plaignait qu'il avait une directrice qui le frappait dès qu'il baissait la cadence ou regardait un peu trop ces Dames. . En effet ses yeux ne devaient pas quitter le tapis roulant. Je lui répondais qu'il avait la chance d'avoir ce travail et qu'il devait s'en acquitter avec le sourire.

Beaucoup de ses congénères n'avaient pas des activités si plaisantes et devaient travailler dur avant de pouvoir ramener leur salaire sur le compte de leur Propriétaire.

Sa directrice, une belle Femme décidée et autoritaire, que j'avais rencontré lors d'une soirée arrosée des samedis soirs, avait eu l'idée géniale d'équiper ses mâles caissiers de sondes avec poches directement implantées dans leur urètre pour leur éviter d'aller perdre du temps au toilettes.

Le valet de pieds de Madame venait remplacer régulièrement les poches pleines. Ainsi les caissiers ne quittaient pas leur siège de la journée et Mme la directrice améliorait nettement ses bénéfices. Quelle ingéniosité!

Ainsi donc, les tâches plus à responsabilité ou dites intellectuelles étaient allouées évidemment aux Femmes. Enfin, pour celles qui souhaitaient travailler. ..

J'avais quand à moi réussi à économiser sur la paie de Cochon et j'avais pu me dégoter un vide-couille à prix réduit sur internet.

Il travaillait pour moi aussi désormais. Tous les papiers d'appartenance étaient en règle. Sa fonction comme la plupart des vides couilles consistait à sucer ses congénères quand leur heure de vidange de sperme, après les 28 jours rituels, avait sonné. C'était un emploi régulier rémunéré à la pipe évidemment. Le centre dans lequel il travaillait être propre et il ne se plaignait pas.

Évidemment comme tous ses collègues, il avait des problèmes de douleur d'estomac avec tout le sperme qu'il devait digérer, mais il tenait bon et savait qu'il devait tenir le rythme, s'il ne voulait pas que je le remplace.

Le centre me versait directement son salaire. Lui, était logé et nourrit (en dehors du sperme bien sur) au centre, je n'avais pas à le gérer et l'éduquer comme avec Cochon.

Un bon investissement.

En tout cas, ça me ramenait un bon complément de revenu. J'envisageais d'en acheter un deuxième.

En attendant, j'avais prévu une journée shopping avec mon amie Noémie.

Elle, avec ses deux maris, avait toujours des idées pour dépenser son argent.

Je me préparais en essayant plusieurs tenues pour sortir, indécise.

Noémie arriva avec sa nouvelle voiture. Elle avait laissé ses deux maris enchainés sur son balcon. Cela leur faisait du bien de prendre le grand air, m'expliquait elle.

Nous primes un café et nous partîmes au centre ville. Nous avons eu du mal à trouver une place, heureusement un agent de la circulation nous indiqua une place libre. Noémie lui offrit 1/10 pour le remercier. Il la remercia, les yeux brillants, en lui baisant l'escarpin droit. J'en profitais pour lui mettre une tape sur son beau cul moulé dans son legging blanc.

Je précise qu'un 1/10 représente un 1/10 de journée en moins sur son sevrage. S'il gagne les autres 9/10 avant la fin de la journée, il aura gagné un jour de moins de sevrage au fond de sa cage. L'homme, resté très primate, est prêt à tout pour se faire sucer le plus tôt possible, même par un homme pour dégorger son trop plein.

Évidemment s'il ne parvient par à gagner les 9/10, le lendemain il devra repartir à zéro. La méthode votée à l'unanimité par la Chambre des Sénatrices est une bonne loi qui incite ces hommes à se rendre utile en dehors de leur travail alloué.

Pour le plus grand plaisir des Femmes.

Beaucoup d'entre nous, avouons le, en profitons en ordonnant à celui-ci de porter nos emplettes, à celui là de nettoyer un pare brise... Cela dit, il n'est pas raisonnable d'exagérer la distribution de ces 1/10.

Leur sevrage a été fixé sur la durée de menstruation des Femmes, c'est pour leur bien. Ils doivent comprendre que leur petit plaisir de quelques minutes (secondes?) passe après l'organisation de notre belle Gynarchie.

Bref, nous avons acheté quantité de jupe virevoltante. Moi j'ai craqué pour une paire de botte rouge superbement sexy. J'adore leur effet sur les hommes. Il n'y avait qu'à voir l'effet sur le vendeur qui m'a aidé à les enfiler. Il était bien sûr à genoux face à moi et je voyais bien sa cage ressortir de son legging blanc. Il ne pouvait pas rater la vue sous ma courte jupe de mes bas le sale vicelard.

Je me suis amusée à essayer trois paires différentes et marcher de long en large devant lui. Je lui ai demandé son avis, il n'a fait que bafouiller. Son legging tendu était plus explicite : toutes lui plaisaient!

J'ai choisi les rouges (qu'il a du m'aider à nouveau à enfiler) et les ai gardé aux pieds.

Noémie, elle, a craqué pour des dessous coquins. Elle avait même obligé le vendeur aux mains tremblantes à l'aider à agrafer son soutien gorge. Bien sûr il savait qu'il ne devait pas toucher la Divine peau avec ses pattes.

Eh oui, uniquement la langue d'un homme pouvait entrer en contact rapproché avec la Femme.

Nous avons bien ri. Le vendeur, angoissé, n'en pouvait plus, sa chemise satin était trempée de sueur.

Ensuite nous sommes allées manger au restaurant. J'ai une adresse que j'affectionne particulièrement. Le serveur, un bel italien musclé et divinement soumis, était agréable à regarder. D'ailleurs je n'étais pas la seule à lui pincer les fesses et à faire tomber mainte fois ma serviette à mes pieds. J'avais chaussé mes belles bottes malgré la chaleur et je voulais tester leur effet. Il n'en pouvait plus le pauvre, son front goutait de sueur et son regard lubrique passait de nos décolletés exagérés à nos cuisses écartées. Avec Noémie nous sommes très complices et nous nous régalons souvent à jouer avec ces maniaques dépravés. Apparemment, il devait approcher de ses 28 jours, il était excité comme un âne. Quelques gouttes s'étaient même échappées de son gland tuméfié et avaient fini par tâcher son joli legging moulant à souhait.

Le petit italien nous avait émoustillées et nous sommes repassées par le quartier des putes.

Beaucoup de noirs faisaient les cents pas et bandaient leurs muscles pour attirer quelques Femmes. Deux vieilles Femmes discutaient avec un homme qui ne portait qu'un short cuir sur sa cage. Sa musculature était impressionnante et les Femmes négociaient un bon prix. La tenancière finit par valider le marchandage et fournie aux deux vieilles Femmes la clé de la cage de la pute. Elles montèrent en mettant la main au panier du black chanceux.

Nous continuâmes notre visite en repérant les putes qui nous plaisaient. J'en réservais un pour deux heures ce weekend, indiquant le domicile à sa propriétaire. Les dimensions et tenue dans le temps garanties me paraissaient un bon rapport qualité prix.

Noémie, elle, avec ses deux maris s'était fait lécher toute la nuit. L'un d'eux, m'a-t-elle confié, avait même eu l'immense honneur de pouvoir la pénétrer avec sa cagoule équipée des derniers gods vibrants à la mode. Elle était épuisée.

Et puis, après ce restaurant, nous avions une envie pressante et nous quittâmes finalement le quartier des putes pour un bar à toilettes réputé.

Quand nous entrâmes, le portier nous indiqua tout de suite des places de premier choix avec vue imprenable sur le spectacle. Je lui caressais son sexe de métal pour le remercier, mais il ne reçu pas de /10. Je l'autorisais à lécher mes superbes bottes rouges.

Nous nous accroupîmes donc côte à côte face à la scène, au fond des sièges cuir sans fond après avoir confié nos culottes au serveur, qui le récupéra sur un petit plateau ciselé. Je choisis un cunnilingus complet avec un modèle à langue double piercing. Noémie choisis un double, la coquine. Je la charriais qu'avec ses deux maris, elle prenait des habitudes de petite bourgeoise et avait besoin d'une langue spécialisée pour l'anus et une autre pour la chatte. Le spectacle était assez banal avec trois hommes nus, pendus par les pieds, tête en bas qui se faisaient fouetter par une Mama africaine. Le fouet laissait des traces très excitantes sur ces dos et ces gros culs écarlates.

Nos trois lécheurs commandés arrivèrent enfin, tirés leur collier par le petit serveur. Ils nous présentèrent leur langue nettoyées et frottées et après inspection, nous les autorisâmes à se placer sous nos sièges. Sitôt la langue du mien en contact avec mon sexe, je lui déversais ma Divine Liqueur qu'il eut du mal à avaler. Mais il se rattrapa par la suite en me nettoyant consciencieusement l'anus. Il me fit jouir ensuite tendrement et longuement en gâtant mon Clitoris et je lui offrais mon Divin Nectar avec quelques jets de divine Liqueur.

Noémie quand à elle, s'accrochait aux accoudoirs en criant de bonheur avec ses deux langues asservies qui la léchaient en rythme. Elle finit par arroser son lécheur brusquement, inondant son crâne rasé et ses yeux. Nous étions bien calées, repues de bonheur maintenant au fond de nos fauteuils en cuir. Les langues essuyaient maintenant consciencieusement nos divins Fessiers.

Le serveur nous ramena nos culottes lavées séchées et repassées. Nous lui laissâmes un pourboire pour la qualité de ses lécheurs. Lui et ses trois esclaves se mirent à léchouiller nos semelles pour nous remercier.

J'aperçus en sortant une voisine qui au fond de la salle, hurlait son bonheur pendant qu'un chien sous son siège se délectait de ses Nectars. C'était la nouvelle tendance à la mode avec des langues de chiots ou de chevreaux spécialisés. Je restais plutôt quand à moi classique dans mes choix traditionnels comme Noémie.

L'après midi était déjà bien entamé quand je rentrais fourbue chez moi. Je m'affalais dans mon fauteuil après m'être servi un grand Martini blanc. Cochon arriva, en début de soirée, pendant que j'étais en pleine conversation avec une amie. Je lui fis signe de s'occuper de mes pieds fatigués. Agenouillé, il entreprit de nettoyer mes semelles souillées. Il lécha consciencieusement mes orteils et massa mes jambes avec application. Je le repoussais doucement d'un pied pour lui signifier de me resservir un autre Martini. Et puis il devait me préparer à manger, nettoyer l'appartement, faire mon lit et d'autres petites choses futiles et routinières.

Je continuais ma discussion avec mon amie et lui proposait d'aller boire un verre.

Cochon me fatiguait à aller et venir pour ranger l'appartement.

Un bruit me fit sursauter et ............... ; je me réveillais dans mon transat. Un doux rêve encore en tête. Mon cochon de mari venait de laisser tomber un verre au sol. Le martinet allait chauffer ses fesses ce soir...

J'espère que ma douce rêverie toute féminine fantasmée vous aura plus, donnez moi votre avis!

Sium38
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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Amusant… la suite?

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Complètement loufoque, mais tellement bien.

Merci

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Superbement écrit, très original

J'attends la suite

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