Cheptel Humain Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Justement, le moment parut propice à Brigitte pour tester le niveau d'asservissement de Virginie. Elle invita une cousine qui venait parfois dans la région où elle avait une maison de famille avec un grand jardin pour le lendemain. Son compagnon, Marc, viendrait avec elle. Cette cousine, Marie Laure, à l'allure très sexy, assez mince mais avec une poitrine à faire damner un saint d'après la description de Brigitte n'était pas du tout au courant des activités de cette dernière, de son mari et maintenant de leur nièce et fille adoptive.

Virginie allait avoir l'occasion de remettre une tenue normale, en tout cas pour l'aspect extérieur: jupe portefeuille courte en coton blanc, polo rouge, socquettes blanches et sandales en cuir blanc, une tenue pas particulièrement originale pour une jeune fille qui venait de fêter ses dix huit ans. Par contre, lorsqu'on la regardait avec un peu d'attention, on voyait ses seins libres sous le polo trop petit d'une ou deux tailles et qui moulait ses seins de façon très crue. Aucune marque de slip n'était visible sous sa jupe, là aussi rien de surprenant puisque tout sous vêtement avait été interdit à la jeune fille. Enfin la jupe elle même était faite de nylon très léger qui bougeait au moindre souffle de vent.

Virginie avait été fermement avertie que si une bourrasque survenait et qu'elle faisait le moindre geste pour maintenir sa jupe en place, elle serait sévèrement punie. Les invités auraient alors tout loisir pour découvrir sa chatte lisse comme celle d'une petite fille et ses grandes lèvres décorées d'un rouge à lèvres très lumineux. Ce petit incident prémédité aurait l'avantage de fixer l'atmosphère de cette réunion.

Peu avant midi, la voiture des invités entra dans la cour avant. Marc était au volant et Marie Laure était à coté de lui. Virginie alla les accueillir et tout naturellement commença par ouvrir la portière de la passagère. La femme très jolie arborait comme on le lui avait annoncé une poitrine fabuleuse qui attira le regard envieux de Virginie.

- Mon dieu! Elle fait au moins du 95D. Je vais être comme elle dans moins de trois mois! Au moment où elle ouvrait totalement la porte de la voiture, une rafale insidieuse frappa la façade et la jupe de Virginie se releva en découvrant ce qu'elle aurait voulu cacher. La jeune fille rougit de confusion jusqu'aux oreilles mais, obéissante, ne chercha pas à remettre en place sa jupe. La femme sourit en examinant le spectacle inattendu qui lui était offert. Elle portait elle aussi une jupe portefeuille du même type quoique portant la griffe d'un grand couturier. Au bout d'une ou deux minutes, elle attrapa le bord libre de sa jupe et l'écarta d'un geste négligent mais avec un grand sourire. Virginie put constater que la femme ne portait pas non plus de slip et que sa chatte était tout aussi lisse que la sienne. La femme prit le menton de Virginie dans sa main et la força à lever la tête.

- Tu n'as pas à avoir honte. Tu es déjà très jolie et ton corps fera la joie de beaucoup d'hommes. . . et de femmes! Tu ne trouves pas, Marc?

Son compagnon s'impatientait un peu.

- Si, si! Je crois qu'on nous attend! Laisse cette gamine tranquille!

Virginie était révoltée. Cet homme la prenait pour une gamine! C'était insupportable. Elle avait déjà subi sans broncher une quinzaine d'hommes qui l'avaient enculée à tour de rôle et deux avaient joui dans sa gorge sans compter la femme qui l'avait fait jouir et à laquelle elle avait rendu la pareille. Elle allait lui montrer qu'elle était une vraie femme qui méritait bien quelques égards. Elle se dirigea vers l'entrée en marchant devant lui et en tortillant du cul pour l'exciter. L'homme ne parut rien remarquer.

Virginie devait assurer le service de table. Sa tante lui avait déjà montré ce qu'il fallait faire et la jeune fille fit de son mieux pour que tout soit parfait. Un moment où elle servait du vin à l'homme, elle se trouva debout entre lui et sa femme. Virginie eut la surprise de sentir deux mains, une de chaque coté, remonter sous sa jupe et explorer délicatement sa chatte pour celle de la femme et ses fesses pour celle de l'homme. Les instructions de Brigitte avaient été très claires: si un visiteur se lançait dans l'exploration de son cul, sa fente ou ses seins, elle devait le remercier à mi voix de l'intérêt qu'il lui portait et se disposer de façon à lui faciliter autant que possible la tâche. Elle se tourna donc à moitié pour offrir sa chatte à la femme et son petit cul à l'homme qui commençait déjà à forcer son anus. Jean s'amusa beaucoup de la situation avant de venir à la rescousse.

- Marc, tu devrais débarrasser cette petite dinde de sa blouse, que la splendeur de sa jeune poitrine illumine ce repas. Quant à vous, Marie Laure, ma chère cousine, que diriez-vous de faire de même? Ma protégée a reçu des piqures d'hormones adéquates et d'ici trois petits mois, vous ne serez plus la seule à nous faire rêver!

Marie Laure ne s'était jamais encore dénudée devant Brigitte et son mari mais cette petite, comment déjà? ah, oui! Virginie, l'avait bien excitée avec sa chatte rasée et ses grandes lèvres baveuses. Elle et Marc, son compagnon avaient une vie sexuelle bien remplie, faisant l'amour un peu partout avec une prédilection pour les endroits où ils pouvaient être surpris comme le jardin de leur pavillon où quelques logements avaient une vue imprenable sur la propriété. Ils avaient aussi fait l'amour à l'arrière de la voiture de Marc garée sur un parking du centre ville en pleine nuit, dans l'entrée de leur immeuble à Paris ou carrément sur leur balcon, à l'abri insuffisant d'une balustrade en fer forgé. Marie Laure s'était d'ailleurs débarrassée de tous les pots de fleurs qui pouvaient gêner la vue des voisins voyeurs qu'elle espérait nombreux.

Depuis le premier soir, le jeune couple avait trouvé piquant de faire l'amour à la fenêtre de leur appartement. Trois nuits auparavant, par exemple, il faisait beau, Marc l'avait mise toute nue et elle s'était penchée au dehors en appuyant sa poitrine nue sur le rebord de la fenêtre de leur chambre. Elle cachait seulement ses aréoles avec ses deux mains. Son compagnon l'avait prise en levrette, lui arrachant de longues plaintes sourdes tellement les sensations qu'elle éprouvait étaient fortes. Lorsque son besoin de jouir était devenu trop intense, l'homme avait ôté les mains de Marie Laure de sa poitrine et les avaient croisées derrière son cou. Elle n'avait plus bougé, offrant sa poitrine orgueilleuse à tous les regards, toute honte oubliée. Il avait sorti son téléphone portable et pris une série de photos à bout de bras pour immortaliser l'événement. Seulement après, il avait relâché son contrôle sur lui même pour jouir bien au fond de sa chatte. Dès le lendemain, il avait envoyé les photos les plus réussies à tous leurs amis, enfin plus exactement à tous ceux qui partageaient un tant soit peu leurs goûts exhibitionnistes.

L'expérience avait exacerbé leurs tendances de ce coté-là et depuis les premiers temps de leur vie commune, ils recommençaient souvent en essayant d'apporter de temps en temps un élément nouveau. Une fois, il faisait nuit. Il avait ouvert les rideaux de la porte fenêtre de leur salle à manger qui donnait sur un balcon. Il avait allumé toutes les lumières pour attirer les regards du voisinage. Il l'avait mise nue à nouveau et l'avait collée contre la vitre avant de l'enculer toujours collée contre la paroi. Là, elle n'avait même pas pu voir s'ils avaient eu des spectateurs et c'était justement cela qui l'excitait.

Depuis leurs premières expériences, les délices de l'amour dans leur chambre, dans le noir et les volets fermés leur avaient semblé bien fades en comparaison. Il leur fallait quelque chose de plus excitant. Avec Jean et Brigitte, ils étaient bien tombés et il y avait peu de chances qu'ils s'ennuient vraiment la nuit prochaine. Et la petite Virginie apporterait certainement une contribution très appréciée à leurs plaisirs.

La table était mise pour quatre personnes, une petite table carrée idéale pour les parties fines, suffisamment proches pour que les hommes puissent atteindre sans grande difficultés les chattes de leurs voisines ou taquiner leurs poitrines, leur faire du genou mais suffisamment éloignées pour que les contacts accidentels soient rares. Lorsque Marie Laure voulut s'asseoir, elle vit la main droite de Jean qui reposait la paume en l'air sur le siège où elle voulait prendre place. Le majeur et l'index étaient tendus à la verticale. Il n'était pas très compliqué de comprendre ce que souhaitait leur hôte.

Marie Laure troussa sa jupe et s'assit lentement sur les doigts accolés qui commencèrent aussitôt à s'agiter dès que la chaleur humide de sa chatte les entoura. Lorsque ses fesses arrivèrent en contact avec la paume de Jean, un soupir d'aise échappa de ses lèvres. Un mouvement spasmodique de son ventre avertit l'assistance que Marie Laure commençait à jouir. Marc et Brigitte applaudirent. Marie Laure se mordit les lèvres pour ne pas leur laisser le plaisir de l'entendre crier. Jean laissa ses doigts enfoncés dans la chatte trempée honteusement. Lorsqu'il les retira, il appela Virginie et lui mit successivement ses doigts dans la bouche en lui intimant l'ordre de les nettoyer parfaitement avec sa langue. La jeune fille s'activa immédiatement.

- Votre petite Virginie est une perle. J'espère que vous me la prêterez à l'occasion.

- Cela va sans dire, chère amie! Elle est d'ores et déjà à votre disposition si nous n'avons rien prévu pour elle.

- Et quel est son programme?

- Demain, je l'amènerai chez Romuald pour lui faire tout le jeu de piercings requis. Elle ne sera donc pas disponible pendant une huitaine.

- Même son cul?

- Non, bien sur! Il a déjà pas mal servi depuis notre visite à Saint Azul.

- Lui avez vous déjà mis un plug?

- Non, pas encore, voulez vous étrenner notre nouveau jouet? J'ai justement un modèle gonflable qui sera parfait pour lui faire subir son premier fist fucking anal!

- Magnifique! Virginie, va donc t'allonger sur la table de desserte et écarte tes fesses avec tes mains. On va t'élargir sérieusement la rondelle!

- Jean! Ce n'est pas la peine d'être grossier avec notre petite Virginie. Tu vas lui faire peur! Ne t'inquiète pas, ma chérie. D'ici peu, tu en redemanderas. C'est si bon, tu verras!

Virginie alla s'allonger sur la table de desserte, comme elle en avait reçu l'ordre. Il n'était pas pensable qu'elle se rebellât contre une autorité aussi naturelle. Jean lui enfonça quelque chose dans le cul, ce n'était guère plus gros qu'un crayon de papier, rien de bien méchant, vu ce qu'on lui avait déjà enfoncé à cet endroit là. Elle s'inquiéta un peu plus lorsqu'on adapta une pompe à main à cet objet inhabituel. Brigitte tendit la pompe à Marie Laure.

- Tiens! A toi, l'honneur!

Marie Laure donna deux coups de pompe rapides. Virginie sentit le tube dans son cul se gonfler et devenir plus rigide mais elle était encore loin des calibres auxquels elle était habituée. Marie Laure passa la pompe à Marc qui donna trois pressions longues sur la pompe. Virginie commença à ressentir une gêne sensible. Le diamètre de l'objet entre ses fesses avoisinait celui des plus grosses bites qui s'étaient introduites à cet endroit.

Ce ne fut pas sans inquiétude que Virginie vit Marc tendre la pompe à Brigitte. Celle-ci s'approcha doucement de sa jeune victime, se pencha vers elle et l'embrassa sur les lèvres, forçant sa langue au plus profond de la bouche de Virginie. Tout en prolongeant le baiser brulant qui les soudaient, elle plongea les yeux dans ceux de la jeune fille. Elle avait un regard avide et affamé lorsqu'elle pressa de toutes ses forces sur la pompe à trois reprises. Virginie eut l'impression que son sphincter se déchirait tant la douleur qui accompagnait sa dilatation était intense.

Les lèvres de Brigitte quittèrent à regret celles de Virginie. Elle tendit l'instrument de la souffrance de la jeune fille à son mari avec un grand sourire.

- Tiens, chéri, regarde si tu peux l'élargir encore un peu. Je crains qu'elle soit encore un peu étroite pour que je puisse y mettre ma main entière!

Jean tata du doigt l'anneau tendu à se rompre de son cul autour du pieu qui la dilatait sans pitié. Il donna un petit coup de pompe pour voir comment Virginie réagirait. Elle se mit à gémir puis à crier. Jean lacha la pompe mais n'appuya pas sur la valve destinée à faire baisser la pression. Au contraire, lorsque Virginie essaya de l'atteindre, il lui menotta les poignets devant son ventre. De cette façon, elle ne pouvait plus espérer atteindre cette fameuse valve. Au bout de quelques essais infructueux, Virginie se mit à pleurnicher dans son coin. Brigitte lui administra quelques coups de martinet.

- Allons debout, Virginie. Tu vas nous servir le café. Comme cela, tu penseras à autre chose que ton petit cul. Cela te donnera le temps de s'habituer et on pourra t'élargir encore un petit peu. Si tu voyais ton cul, on dirait que tu pourrais te faire un vrai étalon ou au moins un bourricot! Qu'en penses-tu?

Virginie aurait bien été en peine pour répondre. Elle pleurait de douleur et d'inquiétude mais la douleur s'atténuait rapidement. Lorsque la jeune fille eut fini de servir le café, Jean lui fit reprendre sa place sur la table de desserte. Il estima que son sphincter s'était suffisamment accoutumé et il donna deux coups de pompe longs et appuyés. Virginie feula comme une louve mais elle ne cria pas. Brigitte la fit se relever et s'agenouiller devant Marie Laure. Celle-ci écarta de ses doigts sa vulve gluante et l'offrit à la bouche de la jeune novice. Virginie se mit à laper le jus clair et musqué qui s'échappait de la fente de plus en plus baveuse. Marie Laure jouit bruyamment. Brigitte intima à Virginie l'ordre de s'occuper ensuite d'elle même. La jeune fille s'acquitta à merveille de cette nouvelle tâche.

Brigitte jugea que le moment fatidique était arrivé. Elle appuya sur la valve qui relacha rapidement la pression sur l'anus de Virginie qui resta béant au grand amusement des deux autres femmes. Brigitte s'enduisit copieusement la main de crème pour la peau et introduisit rapidement et très facilement trois doigts jusqu'à la garde dans la cavité toujours béante. Elle ressortit les doigts et y ajouta son petit doigt puis elle s'acharna à y faire aussi rentrer son pouce. L'opération apparaissait aux spectateurs, difficile voire vouée à l'échec mais Brigitte poussait sa main toujours plus profondément sans pitié. Marie Laure vit de très près les derniers millimètres disparaître dans l'orifice horriblement dilaté qui bagua aussitôt étroitement son poignet. Brigitte se mit à agiter les doigts au fond de l'anus de Virginie, appuyant sur les parois internes de son rectum. La jeune fille, soufflait, grognait, gémissait sans discontinuer. Lorsque Jean se mit à lui caresser le clitoris, un orgasme titanesque la balaya. Elle poussa un meuglement long et prolongé et s'évanouit. Brigitte retira doucement sa main et la remplaça par une bouteille de Champagne glacée qu'elle enfonça profondément.

- Il faut fêter cet événement dignement. Vous avez une meilleure idée?

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

J'ADOREEEEEE ! ! !

Rudy

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