Cheptel Humain Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Vers onze heures du soir, Jean et Virginie regagnèrent tranquillement leur tente. Virginie avait passé son bras sur celui de Jean et elle restait étroitement collée contre lui. Il retira ses chaussures, sa chemise, ses chaussettes et son pantalon comme la nuit précédente, ne gardant encore une fois que son slip. Virginie semblait avoir décidé de laisser tomber sa pudeur farouche car elle fit passer d'un geste sa robe par dessus sa tête. Jean eut la surprise de la découvrir entièrement nue, sans même un string pour la dissimuler. Elle virevolta sur elle même pour laisser à son oncle le temps d'admirer son corps dans les moindres détails, sa vulve où un fin duvet très léger essayait péniblement de dissimuler des grandes lèvres charnues qui semblaient prêtes à recevoir les bites les plus majestueuses.

Ses seins pas aussi gonflés que ceux de la fille qui leur avait donné tout son lait pointaient orgueilleusement vers le ciel. Son ventre plat et musclé semblait inviter les caresses les plus osées tandis que ses fesses rondes et potelées semblaient appeler les fessées les plus sévères, les langues les plus fureteuses et les bites les plus vigoureuses.

- Eh bien, mon oncle, vous ne croyez pas que vous êtes encore un peu trop habillé pour passer au lit avec moi?

Voyant Jean qui restait interdit au milieu de la tente, Virginie s'enhardit.

- Venez, je vais vous aider!

La jeune femme attrapa l'élastique de son slip en le regardant dans les yeux. Elle commença à le tirer vers le bas. Ses yeux se détournèrent et se portèrent sur le pubis qu'elle découvrait lentement. La bite plus qu'à moitié en érection gênait la manoeuvre. Lorsqu'elle fut dégagée, elle se releva brusquement et vint taquiner le nombril de Jean. Quelque part, Virginie fut fière que son oncle soit pourvu d'une si belle bite et qu'elle ait la chance de lui plaire à voir son excitation évidente. Le membre eut un sursaut et grossit encore sous ses yeux. Le slip glissa au sol. Jean le prit entre deux orteils et le lança au loin. Virginie l'attrapa au vol et le porta à ses narines en rougissant à nouveau. Il sentait la sueur d'homme avec un vague relent d'urine. Elle s'enivra un instant de l'odeur. Virginie chercha des yeux le regard de son oncle et lorsqu'elle le trouva, sortit sa langue sans le quitter des yeux et lécha l'emplacement où son sexe avait reposé.

La veille encore, Virginie n'aurait jamais même pensé à un acte aussi dépravé mais la vue de cette foire avec tous ces corps de femmes nues, les exhibitions, les quolibets lors de la vente aux enchères avaient bouleversé la jeune fille. Quelque part, elle sentit qu'elle devait clore la journée par une action d'éclat. Elle s'approcha de son oncle, s'agenouilla à ses pieds, se pencha vers lui. Elle s'arrêta, la bouche à quelques centimètres de sa bite et dit d'une voix sourde :

- Jean, C'est la première fois, je n'ai jamais. . . Il faudra me dire comment faire!

Virginie arrondit sa bouche et franchit les quelques centimètres qui la séparaient de son oncle. Ses lèvres, tout à la fois hésitantes et déterminées se posèrent sur le gland violacé en un baiser affolant puis ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus pour accueillir le membre qui grossissait encore à vue d'oeil. Elle passa sa langue sur le méat. Jean avait un goût salé, épicé avec un relent de noisette qu'elle trouva délicieux.

Elle eut droit à une leçon complète sur l'art de la fellation et se sentit beaucoup plus savante lorsque Jean éjacula au fond de sa gorge. Comme il le lui avait annoncé, il tenait sa queue de cheval fermement dans sa main droite pour l'empêcher de le recracher. Elle crut un instant qu'elle allait se noyer dans le flot de sperme qui se déversait dans sa gorge. Elle se reprit quand même et avala le liquide visqueux et doux avant de nettoyer la verge de sa langue sous les instructions de son oncle. Jean la prit dans ses bras et la porta sur le lit. Elle pensa qu'il voulait lui faire l'amour mais il se pencha sur son sexe et lécha l'entrée de son vagin et son clitoris. La sensation était toute nouvelle pour Virginie qui hurla vers le ciel étoilé sa jouissance de lionne prise au ventre, sa première vraie jouissance de femme.

Virginie voulut remercier son oncle du plaisir inoubliable qu'il venait de lui procurer. Elle se tourna sur le lit et reprit son sexe dans sa bouche. Elle mit en oeuvre tous ses talents tout nouvellement acquis de fellatrice. Aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années. Jean aurait pu souscrire à ce vieux dicton car sa femme à Sedan n'aurait pu mieux faire. Virginie essaya même quelques variations de son cru qui emportèrent la décision finale. Jean se répandit une nouvelle fois dans sa gorge accueillante et cette fois, il n'eut pas besoin de lui maintenir la tête pour la forcer à avaler la salve qui avait jailli de ses couilles.

Jean embrassa pour la première fois sa nièce sur les lèvres. Leur baiser devint rapidement plus fiévreux. Leurs langues menèrent un combat long et délicieux dans leurs bouches étroitement unies. Le coeur de Virginie battait à tout rompre. Elle était prête à se donner complètement, à recevoir la bite de son oncle au plus profond d'elle mais Jean se contenta de la serrer dans ses bras avant de s'endormir. Virginie toujours nue était lovée au creux des bras de son oncle. Elle réfléchit longtemps à ce que l'avenir pouvait lui réserver. Finalement, une solution lui vint à l'esprit et s'imposa progressivement. Elle sut tout de suite ce qu'elle allait faire le lendemain, tôt.

Jean se réveilla vers huit heures. Le lit était vide et Virginie était sortie. Avait-elle réfléchi et fui son oncle incestueux? Etait-elle partie pour ne plus revenir? Jean était vraiment inquiet en se lavant et s'habillant rapidement. Lorsqu'il rentra sous sa tente, il fut très soulagé de voir que Virginie était revenue. Ce n'est qu'alors qu'il réalisa ce qu'elle était allé faire. Virginie était totalement nue, à genoux au pied du lit, les cuisses écartées au maximum pour exposer son sexe. Il était maintenant aussi nu qu'une fesse de bébé, sans trace du moindre poil. Il y avait une boutique qui proposait une épilation complète à la cire chaude à proximité. Elle avait du y aller dès l'ouverture à sept heures trente. Elle avait un maquillage sophistiqué de soir de gala qui choquait un peu sur un visage qui gardait des traces de l'enfant qu'elle était il n'y avait pas si longtemps. Sa sortie matinale ne s'était pas arrêtée là puisqu'à son cou était étroitement roulé un foulard blanc comme les génisses qu'elle avait vues la veille. Un collier de cuir large enserrait son cou et une grosse cloche de vache en pendait. Enfin, ses poignets étaient menottés étroitement dans son dos projetant en avant ses jeunes seins si fiers aux pointes dardées et revêtues du même rouge vif que ses lèvres.

Virginie avait aussi préparé un petit panneau qu'elle avait placé devant elle donnant sa date de naissance et précisant qu'elle n'avait pas encore reçu les injections qui provoqueraient la lactation. Elle avait punaisé au panneau un contrat type qu'elle avait déniché et rempli, précisant que le contrat était d'un an renouvelable à la seule discrétion de Jean, que le prix du contrat de cette génisse était fixé à un euro par an et qu'il n'y avait aucune restriction à l'usage personnel ou autre qu'il pourrait faire de son corps. Le formulaire avait déjà reçu la signature de Virginie et n'attendait plus que celle de Jean pour pouvoir être officialisé. Virginie regardait anxieusement son oncle pour voir sa réaction. Elle ressemblait vraiment à cet instant aux jeunes génisses qu'ils avaient vues avides de savoir qui achèterait leur contrat.

Jean pesa le pour et le contre un long moment, alimentant l'anxiété de Virginie. Finalement un sourire apparut sur son visage. Il prit le contrat et le stylo qu'elle avait déposé à coté et parapha le document. Il ne restait plus qu'à faire enregistrer le document par le secrétariat de la foire pour que sa nièce devienne sa propriété.

Jean avisa dans un coin un collier en mailles d'acier et une longe du même type que Virginie avait acquis dans l'espoir d'être amenée par son oncle à la cérémonie d'enduction de ses cordes vocales. Il lui passa le collier autour du cou et d'une secousse, la fit se lever et se diriger vers la porte. Il ouvrit l'auvent et la poussa dehors. Les hommes qui déambulaient au dehors la dévisagèrent, se rappelant de la jeune fille qui les avait charmés la veille et jetant des regards concupiscents sur la jeune génisse pour laquelle ils pourraient sans doute bientôt faire une offre pour la baiser ou l'enculer.

L'enregistrement ne prit que quelques minutes puis ils se mirent sur la file de filles qui attendaient leur tour avant d'être rendues muettes pour un an. Virginie savait au fond de son coeur qu'elle ne retrouverait le son de sa voix que dans de nombreuses années. Ses derniers mots furent pour son oncle :

- Je vous aime, Maitre! Faites de moi tout ce que vous voulez. Arrangez vous pour que je vous rapporte le maximum d'argent! Faites de moi la plus obéissante vachette du cheptel!

Tandis que le vétérinaire procédait méticuleusement à l'enduction, Jean susurrait à l'oreille de sa nièce ses intentions :

- Merci, Virginie, pour le magnifique cadeau que tu me fais. J'ai été toujours considéré comme l'un des meilleurs dresseurs de notre groupe et je vais me surpasser avec toi! Tu vas rester vierge encore quelques années, je n'utiliserai et je ne louerai que ton cul et ta bouche. Une fille vierge qu'on encule souvent est ce qu'il y a de plus agréable au monde. Elle est plus souple, plus bondissante, elle crie plus fort. Dans ton cas, j'aurais du dire qu'elle meugle plus fort. On fera une fête du tonnerre ici pour ton dépucelage. C'est moi qui te prendrait la première fois mais après je te laisserai aux mains d'une douzaine de noirs d'un groupe musical du Cameroun que je connais bien, ils ont de très grosses bites très dures et ils sont infatigables. Ils s'occuperont de toi toute la nuit et probablement la journée d'après.

Virginie essayait de caresser la bite de son oncle avec ses mains entravées.

- Patience, Virginie! Apres que le vétérinaire aura procédé aux injections dans tes seins, tu te retrouveras exposée dans une des stalles du grand hall. En milieu d'après midi, je t'emmènerai sur le podium et je t'enculerai en public pour la première fois. Il est de tradition pour les ventes de gré à gré que j'offre alors ton cul à une douzaine de mes collègues. Il y aura un tirage au sort pour savoir quels seront les heureux élus.

Le repas de midi de Virginie fut constitué d'une macédoine de légumes avec de petits carrés de viande et de poisson, le tout froid et servi dans une auge métallique où elle dut manger à genoux sans l'aide de ses mains. L'eau était fournie par une pression de son menton ou de son nez sur une petite auge qui se remplissait alors. La première fois, de l'eau pénétra dans son nez et elle toussa éperdument au milieu des rires de l'assistance.

L'après midi, le vétérinaire vint lui faire les injections promises. Ce fut assez douloureux et ses seins se mirent à la bruler. Ils enflèrent progressivement les jours suivants et sa poitrine passa d'un 95B honorable à un 95E impressionnant d'autant qu'ils gardèrent toute leur fermeté. Jean et Brigitte parlaient maintenant devant elle non plus de ses seins mais de ses mamelles et cela ne la gênait pas. Les premières gouttes de lait perlèrent deux semaines plus tard et Jean se mit à la traire matin et soir quelques jours après. Sa poitrine était devenue extrêmement sensible et porter le moindre vêtement était plutôt désagréable pour elle.

Vers 16 heures, Jean vint la chercher dans son enclos, lui mit sa longe métallique et l'amena sur le podium. Sa cloche de vache pendait à son cou et tintait à chaque mouvement qu'elle faisait. Il y avait une barre métallique contre laquelle il la fit s'appuyer. Il attacha sa longe au pied de la barre à un anneau prévu à cet effet. Virginie était cassée en deux, tendant ses jeunes fesses fermes vers le ciel. Jean déboutonna sa braguette et extirpa un membre plus qu'honorable : près de vingt centimètres de long et cinq centimètres de diamètre. Impressionnant pour un petit cul de toute jeune femme encore vierge. Même un doigt n'avait jamais touché l'orifice dans lequel ce chibre conséquent comptait s'enfoncer.

Jean prit un tube de crème pour la peau et en couvrit son doigt. Il l'introduisit lentement en tournant doucement pour lubrifier toute la circonférence et commencer à apprivoiser cet orifice dont il comptait faire un usage quotidien pour les années à venir. Il encréma son doigt plusieurs fois avant de l'enfoncer à nouveau jusqu'à ce qu'il coulisse parfaitement dans l'anus devenu plus accueillant. Au bout d'un certain temps, il sentit que Virginie réagissait enfin en poussant de son coté pour accélérer la pénétration et la rendre plus profonde.

C'était le signal que Jean attendait pour passer à la prochaine étape. Cette fois, ce fut deux doigts étroitement accolés qui se présentèrent devant l'orifice entrouvert. Virginie grogna. Elle aurait voulu crier mais cela lui fut impossible. Un mugissement prolongé lui échappa et cela ressemblait un peu au meuglement d'une vraie vache. Malgré ses protestations inarticulées, les deux doigts la pénétrèrent et entreprirent d'élargir son anus de façon plus conséquente.

Lorsqu'il jugea que son anus était enfin suffisamment relâché, il remplaça ses deux doigts maintenant nettement écartés par son propre sexe qu'il couvrit de crème. La pointe rentra comme dans du beurre mais ensuite, elle hurla lorsque la bite de Jean s'enfonça irrémédiablement dans son postérieur. Elle était tellement graissée que Jean ne ressentait qu'une pression continue délicieuse mais elle, sentait que la bite la dilatait, l'ouvrait à une nouvelle vie qui l'effrayait tout en la fascinant. Lorsque les poils du pubis de Jean vinrent chatouiller son anus, Virginie sut que son calvaire s'achevait. Son oncle se retira lentement en ne laissant que le gland dans son cul avant de rengainer violemment, ce qui arracha de nouveaux cris à Virginie qui se transformèrent en autant de meuglements affolés.

Jean se mit à lui caresser le clitoris ce qui arracha de nouveaux cris, de jouissance cette fois, à Virginie. Lorsqu'il éjacula en elle, elle partit elle aussi mais si elle pensait que son anus allait rester tranquille quelque temps, elle dut déchanter lorsque les douze hommes qui avaient été tirés au sort pour continuer à lui défoncer l'anus furent appelés les uns après les autres sur le podium. Elle les reçut tous stoïquement pour faire honneur à son oncle, cherchant à resserrer son anus avant chaque pénétration pour la rendre plus agréable pour l'homme qui se préparait à l'empaler sans merci. Elle s'évanouit lorsque le dernier d'entre eux ajouta sa contribution au fond de ses entrailles. Jean lui enfonça un plug pour qu'elle garde tout en elle jusqu'à son départ pour rentrer à la maison.

Un détail qui l'avait beaucoup gênée le soir de son engagement vis à vis de Jean avait été justement que celui-ci lui avait annoncé qu'elle ne pouvait pas revenir avec lui. Il n'avait en effet pas de bétaillère pour elle. Il s'était déjà arrangé avec un ami habitant Charleville. Il ferait un détour pour la ramener chez lui. En échange, il pourrait utiliser ses reins et sa bouche quand cela lui chanterait pendant le voyage. Elle monta avec beaucoup d'appréhension dans la remorque. Le propriétaire poussa Virginie contre une barre horizontale sur laquelle elle s'appuya des hanches.

Une ceinture vint fixer étroitement la taille de la jeune fille à la barre. Elle dut ensuite se pencher en avant. L'homme ajusta une seconde barre télescopique pour que le haut de ses épaules vienne s'y appuyer. Une seconde entrave de cuir vint s'enrouler autour de sa taille. Elle ne pouvait plus se relever. Ses seins pendaient sans aucun soutien. Deux autres sangles vinrent se fixer autour de ses chevilles, les écartant autant que possible. L'homme amena ensuite une autre fille qu'il avait achetée à la foire et qu'il attacha à coté de Virginie. Les deux filles échangèrent un regard complice. Il retira le plug de son anus martyrisé. Le sperme se mit à couler le long de ses cuisses et ses jambes jusqu'au sol. Elle devrait patauger dans cette mare collante et odorante jusqu'à l'arrivée.

C'est dans cette position très humiliante, vraiment animale que Virginie fit le périple de sept cents kilomètres ponctué de cinq arrêts dont deux pour les repas. A chaque arrêt, l'homme montait dans la bétaillère et sans la détacher une seconde, s'installait derrière la jeune fille, il se couvrait la bite de crème fluide et, sans autre préambule, s'enfonçait dans ses reins avant de s'agiter violemment jusqu'à ce qu'il jouisse au fond de son anus. Il se dégageait ensuite et faisait le tour de la fille entravée pour présenter son sexe taché de trainées brunâtres à sa bouche. Elle surmontait son dégoût pour lui faire une toilette impeccable en regrettant que ce ne soit pas Jean qui profite de son attention.

Pour les repas, une écuelle pour chien était placée dans une alvéole devant elle et il la remplissait rapidement de pâtée pour chien mélangée à de la salade non assaisonnée et une orange coupée en quartiers. Le produit était peu ragoûtant mais relativement équilibré, après tout. Une petite bouteille d'eau à la fin du repas constituait la seule boisson à laquelle elle eut droit. Bien entendu, avant de repartir, Virginie eut en guise de dessert l'occasion de s'agiter au bout du pénis de l'homme. L'autre fille la regardait avec un air pincé car elle n'eut pas droit à la moindre caresse tout le long du voyage.

Pendant les mois puis les années suivantes, Virginie eut souvent l'occasion de revoir cet homme avec cette fille puis avec d'autres, car c'était l'un des meilleurs amis de Jean et ils se voyaient à peu près deux fois par mois. C'était devenu un rituel entre elle et lui : il la prenait toujours par l'anus rapidement et brutalement avant d'aller se rincer dans sa bouche sans s'essuyer. A un moment ou à un autre, les deux filles présentes étaient détachées et devaient se gougnotter devant les deux hommes qui les encourageaient de la voix.

Brigitte n'assistait jamais à ces ébats mais elle avait beaucoup d'autres occasions de prendre du plaisir avec sa nièce mais c'est une autre histoire qu'on vous racontera peut être un autre jour!

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Assez ignoble.

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