CFNM à l'université Chapitre 16

BÊTA PUBLIQUE

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— Il ne faut jamais dire jamais, tu sais?

Elles terminent leur tisane et je prends les tasses pour les laver et les ranger. Virginie vient me prendre dans ses bras.

— A demain, mon chéri. Tu as été super.

Elle passe sa main sur mes abdos et descend sous mon sexe contre mon ventre, elle le touche du dos de la main.

— Je vais rêver de toi.

Elle m'embrasse tout en pianotant un peu sur mon sexe dressé.

Elle me laisse, dans tous mes états.

— Tu me raccompagnes à ma chambre? Me demande Marie-Dominique.

Elle me prend la main et nous allons dans son couloir.

— Tiens, Arno, me dit Annick, encore tout nu? Tu as raison, c'est mieux pour le traitement.

— Quel traitement? Demande Marie-Dominique.

— Tu ne le savais pas? J'ai renversé un produit dangereux sur lui hier, et ses vêtements ont été détruits, heureusement, j'ai pu le laver et lui mettre de la lotion.

— Oh pauvre Arno, tu n'as pas mal?

— Non

— C'est donc pour cela que tu restes tout nu.

Elle me parle enfin de ma nudité. Comme Annick il y a quelques secondes.

— Euh...

— Moi qui croyais que tu voulais rester comme cela, pour nous faire plaisir.

— Ce n'est pas grave, Marie-Dominique, il vaut mieux qu'il soit en pleine santé.

— C'est vrai.

Elles sont collées à moi dans le couloir et discutent encore de choses et d'autres et du gouvernement féminin.

— Arno pense la même chose, pouvoir total aux femmes.

— Il a raison.

— Bien, dit Marie-Dominique, je vais aller me coucher. Je sens que je vais rêver de notre bel Arno dans un monde gynarchique.

Elle me prend dans ses bras et m'embrasse

— A demain.

Je reste dans le couloir et elle ferme la porte. Annick vient me prendre dans ses bras par derrière.

— Tu vas bien? Tu n'as pas mal?

— Non, je vais bien.

— Tu trembles un peu. Je pensais que quelque chose n'allait pas.

Et Sandrine apparait devant moi.

— Voilà mon héros qui réalise mes travaux. Tu sais qu'il m'a dit qu'il ferait tout mon mémoire?

— Tu en as de la chance.

— Tu pourrais faire celui d'Annick aussi?

— Bien sûr, fais-je troublé dans les bras de ces deux filles magnifiques.

— J'ai envie d'une tasse de thé.

— Allons au salon. J'adore quand tu es nu, poursuit-elle, tu sais cela te va bien.

— Oui, ajoute son amie, j'aime aussi, tu pourras continuer.

Les deux filles me font aller au salon.

— Prépare donc le thé, me dit Annick d'un ton plus ferme.

Je vais à la cuisine pendant qu'elles s'installent. Quand je les sers, je me mets à genoux.

— Quelle sollicitude, s'exclame Annick.

— Moi j'aime bien. Quand nous étions en Israël, il se baladait nu devant moi, sans complexe et il faisait tout dans la chambre. Un vrai service. J'ai adoré.

— Tu as de la chance, moi je n'ai jamais connu cela.

— Tu as Arno au moins, regarde, quel gentil garçon, il nous sert le thé.

— Oui effectivement. Je crois que je vais accepter son offre, Arno, puisque tu veux m'aider, j'accepte. Je te dirai tout ce que tu peux faire pour moi.

— Merci, j'ai répondu.

— Merci?

— Oui, j'ai envie de vous aider.

Je me sens de plus en plus excité, nu à leurs pieds.

— Je ferai tout ce que vous voulez.

— Vraiment tout?

— Oui.

— C'est bon à savoir.

— Oui, parce qu'il y a beaucoup.

Je m'excite devant elles, je suis nu. C'est génial. Je ne sais pas ce qui me prend, mais elles paraissent vraiment ravies. Sandrine se penche et m'embrasse sur les lèvres.

— C'est super Arno, merci beaucoup.

Je tremble de désir...

— C'est génial que tu sois nu, tu crois que tu pourras continuer à nous servir comme ça?

Je ne parviens pas à répondre, les sons ne sortent pas de ma gorge.

— Je suis certaine qu'il le fera, tu sais, il aime nous rendre service, si cela te plait qu'il soit tout nu, et bien il se déshabillera. N'est-ce pas Arno?

— Oui, réponds-je en suffocant de plaisir.

Elles finissent leur thé.

— Tu te rends compte, dit Annick tout ce qu'il va pouvoir faire pour nous, hormis la mise en page de nos mémoires, ce qui prend quand même pas mal de temps, et bien il pourra cuisiner, nettoyer, ranger, plus besoin de faire attention à cela, et nous pouvons nous concentrer sur la vraie vie.

— Oui, et nous pourrons lui demander de faire tout cela tout nu.

— Quelle vie épatante nous allons avoir. Arno présent tout le temps, et en plus tout nu!

Elles jubilent, et je me demande dans quoi je me suis fourré, j'ai l'impression qu'elles vont abuser. Mais cela n'a pas d'importance. Je ne parviens pas à réfléchir, juste à abonder dans leur sens. Elles se lèvent et se trouvent contre moi.

Je prends les tasses et les dépose dans l'évier. Elles m'emmènent dans leur couloir et Annick se presse contre moi.

— Tu me rends très heureuse, tu sais.

Elle m'embrasse sur les lèvres et caresse mes fesses puis me laisse en entrant dans sa chambre. Sandrine est occupée de frapper à la porte de Marie-Dominique qui vient ouvrir.

— Tu sais quoi? Arno vient de nous promettre qu'il ferait tout ce que nous voulons pour nous aider. Vraiment tout.

— C'est vrai?

— Euh...

Marie-Dominique m'intimide un peu plus, mais je dis oui.

— Merci Arno, tu es super. Moi aussi j'ai tellement à faire et à penser. Tu as déjà accepté de faire tous mes travaux et mémoire, mais si tu fais tout le reste en plus, j'aurai une belle vie.

Sandrine vient derrière moi et m'embrasse,

— Tu es génial. Et tu sais, Marie-Dominique, il a aussi promis de faire tout cela tout nu si nous le voulions.

— Vrai?

Je reste longtemps sans parler,

— Il est sans doute fatigué, il n'a pas répondu beaucoup, mais je te jure qu'il nous l'a promis, et je suppose que c'est à nous toutes, pas rien qu'Annick et moi.

Marie-Dominique me prend contre elle et m'embrasse.

— Tu es génial, je t'adore.

Elle me laisse, et ferme sa porte après un dernier long baiser, et Annick fait de même, je suis seul dans le couloir.

Il est tard sans doute et veulent dormir.

Je retourne vers le salon et éteins les lumières avant d'aller dans ma chambre. Stéphanie est étendue sur le lit, elle lit un livre qu'elle dépose en me voyant.

— Tu arrives enfin, tu as passé toute la journée tout nu? Où étais-tu?

Je lui raconte les derniers événements dans les détails.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

J'adore, cela se corse. Comme j'aimerais être Arno.

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Quelle belle vie pour Arno

Rudy

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