CFNM à l'université Chapitre 11

BÊTA PUBLIQUE

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— Voilà, je suis plus à l'aise comme ça, cela ne te dérange pas?

— Non, non, réponds-je en m'étranglant.

— Suis-je bête, tu acceptes tout de moi, n'est-ce pas?

— Oui...

— Je sais, tu es un garçon formidable.

Elle se colle à moi et m'embrasse. Je sens mes bras la serrer plus fort contre moi, je vais craquer.

— Doucement, me dit-elle, tu me fais mal.

— Excuse-moi, bredouillé-je en desserrant à peine mon étreinte.

— Ce n'est rien.

Elle ne bouge pas. Je descends mes bras avant d'atteindre un point de non-retour. Elle sourit, m'embrasse sur les lèvres.

— J'adore quand tu es là, tu es vraiment un mec bien.

Elle s'assied sur son lit et me tire à elle, je me retrouve à nouveau contre elle mais cette fois, elle a mis sa joue sur mon sexe. Je n'en peux plus.

— Prends la brosse, me demande-t-elle d'une voix égale.

Je ne parviens pas à bouger. Elle me pousse un peu et je trouve ce qu'elle demande sur le bureau. Je suis tellement fébrile que la brosse m'échappe des mains.

— Et bien, rit-elle, tu es si maladroit. Avant de me brosser les cheveux, va me chercher un verre d'eau.

Comme un automate, je sors de la chambre. Mon cœur bat trop fort, lui aussi va exploser. Heureusement, il n'y a aucun cardiaque dans ma famille. Je ne fais pas trois pas, Stéphanie m'arrête.

— Dis donc, Arno, à quoi joues-tu? Tu es tout nu partout?

— Je n'en peux plus Stéphanie.

— Que fais-tu?

— Marie-Dominique veut que je lui brosse les cheveux, et elle m'a demandé un verre d'eau. Je ne me suis plus habillé depuis ce matin, même pas une heure, je ne sais pas, il y a comme un complot pour me faire rester tout nu avec chaque fois une fille.

— Ne dis pas de bêtise. Viens boire un verre d'eau.

Nous sommes allés à la cuisine, nous étions seuls évidemment.

— Tu as toujours la possibilité d'aller t'habiller.

— Oui, mais c'est plus fort que moi.

— Dans ce cas, reste tout nu, tu sais que j'adore.

— Oui, je le ferai pour toi, réponds-je pour me rassurer.

Elle sourit et m'embrasse.

— D'accord. Et bien, va rejoindre Marie-Dominique et ensuite, viens au lit, j'ai très, très envie de toi.

Elle m'embrasse longuement. Je suis dingue amoureux de ma fiancée, mais en ce moment, l'amour semble autre part, j'ai une sorte de pulsion physique, due à des fantasmes puissants qui se réalisent. Je bois vite un peu d'eau et apporte son verre à Marie-Dominique. Elle est toujours dans la même tenue. Elle prend son verre et y trempe ses lèvres.

— Voilà, brosse-moi les cheveux!

Je passe derrière elle et commence à brosser sa chevelure soyeuse. Elle sent bon, je joue un moment et elle frissonne, je vois son dos, sa chute de reins, merde, elle est si belle, que de courbes! Et une peau de pêche, si douce, je me surprends à embrasser son dos et son cou, elle gémit un peu.

Mais on frappe à la porte. Je m'arrête, mais je n'ai pas envie. Mon amie se lève et passe un peignoir.

— Viens.

Paniqué, je me lève, et elle me pousse derrière la porte qu'elle ouvre.

— Tu n'as pas vu Arno? Demande sa sœur. Il n'a pas bien rangé le salon.

— Non, mais si je le vois, je lui dis de venir te trouver.

— Oui, parce qu'il fait n'importe quoi.

Marie-Dominique ferme la porte.

— Pourquoi n'as-tu pas bien rangé le salon?

— Mais... je viens de le faire.

— Tu traites ma sœur de menteuse?

Le pire c'est qu'elle parait réellement fâchée.

— Non, c'est sans doute un malentendu.

— Termine mes cheveux et va toute se suite arranger cela.

Cette fois, elle s'assied sur sa chaise et l'ambiance n'est plus la même. Elle me demande de me placer derrière elle et de manier sa brosse. Pas longtemps.

— C'est bon. Tu as un peu gâché l'ambiance en laissant les choses non rangées. Va vite le faire. J'espère que demain, tu seras plus consciencieux quand tu proposes ton aide.

Elle se lève, ouvre sa porte et me flanque dehors. Je n'en reviens pas du changement, mais c'est peut-être mieux, elle était presque nue dans mes bras. Mais pas de temps mort, Virginie entre depuis le salon.

— Arno, mon chéri, tu veux bien ranger l'album de photos dans ma chambre? Là où tu l'as pris? Merci.

Elle passe devant moi et frappe chez Marie-Dominique. Je me retire vers le salon. Virginie entre dans la chambre et ferme la porte. Alors que j'allais ouvrir cette du salon, elle s'ouvre sur Annick.

— Je ne m'attendais pas à te voir. Viens.

Elle me prend la main et nous allons dans sa chambre.

— Retire mes chaussures, me dit-elle.

Interdit, je ne discute pas, j'exécute son ordre. C'est facile. Et je me relève.

— C'est bon, merci. Tu peux y aller.

Elle sourit, mais elle me congédie comme un domestique. Je me retrouve à nouveau dans ce couloir, tout nu. Il faut que je retourne dans ma chambre. Je n'en peux plus. Je vais presque hagard dans le salon.

— Ah, te voilà, crie presque Anne-Sophie, je te cherchais.

Elle arrive rapidement sur moi et me prend par le coude pour me mener au salon.

— Regarde, il y a encore des traces sur la table, et un verre.

Anne-Sophie me frappe les fesses.

— Il faut vraiment tout te dire. C'était beaucoup mieux en novembre, quand j'avais ma cravache... Tu travaillais bien, c'est donc ce que tu recherches.

— Non, non, désolé, je vais nettoyer.

Je vais vers la cuisine et elle me frappe encore les fesses. Je reviens, frotte la table et range le verre et arrange les coussins des divans.

— C'est mieux, se radoucit-elle. Je n'aime pas me fâcher sur toi, mais tu dois faire ton travail correctement. Alors, dis-moi, tu es tout le temps nu, c'est bien. Tu as enfin décidé de vivre nu ici?

— Non.

— En tout cas, je trouve cela très bien. Continue.

— Mais je ne vis pas nu, réponds-je bêtement.

— Ne te cache pas, je ne t'ai plus vu beaucoup habillé, en tout cas pas cette semaine. J'adore. Tu en as déjà parlé aux autres?

— Non.

— Mais elles ont dû le remarquer, tu vas partout tout nu. Qui t'a vu?

— Tout le monde, réponds-je honteux.

— Ah? Mais alors ça y est. Personne n'a rien dit?

— Non.

La porte s'ouvre, cette fois Stéphanie entre. Elle porte déjà une chemise de nuit et sa robe de chambre.

— Arno, je t'attends. Tu es toujours dehors.

— Il vient de me dire qu'il s'est montré nu à tout le monde.

— Excellente nouvelle, dit Stéphanie en venant se coller à moi. Viens, allons dans la chambre.

— Il faut que je range l'album de Virginie, parviens-je à marmonner, vraiment à bout maintenant.

Je prends le gros volume sur le divan et nous allons dans notre couloir. Cette fois, je prends le tabouret, range l'album sous le regard des deux filles et nous nous retrouvons dans le couloir. Anne-Sophie nous embrasse.

— Bonne nuit.

Stéphanie et moi nous retrouvons seuls dans notre chambre.

— Je n'en peux plus, annoncé-je tout de suite. S'il te plait, faisons l'amour.

— J'ai envie de ta langue... j'en ai rêvé toute la journée.

Je la prends dans mes bras, une idée derrière la tête.

— Non, Arno, fais comme j'aime bien.

— Je n'en peux plus, pitié.

— Justement, tu es tellement désespéré, je n'en profiterais pas. Fais moi jouir avec ta langue et je m'occuperai de toi après.

Elle s'assied sur le bord du lit et m'invite entre ses cuisses. Elle adore de plus en plus, je me jette entre ses pieds et passe tout de suite ma bouche dans son intimité. J'adore son goût et son parfum, c'est tellement aphrodisiaque, je ne dois pas y aller longtemps, elle jouit très fort, un long spasme la secoue et elle me repousse.

— Attends, me dit-elle alors que je vais vers elle.

Frustré. Fâché presque, j'en ai marre. Mais je sens sa main douce prendre mon sexe et il ne faut que très peu de temps pour me soulager. C'est cela, un soulagement, je crie presque, je vois de longs jets partir sur le sol, je tremble.

— Et bien, je vois que tu étais vraiment à bout. Nettoie tout cela, et viens te coucher.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

ça progresse ! ça progresse !

Arno de plus en plus !

Bravo

Rudy

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